• il y a 2 mois
Le festival du film israélien prévu du 8 au 10 septembre à Strasbourg a été annulé. En cause, des pressions de groupes propalestiniens. Face à cette situation, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) n'a pas tardé à réagir, parlant de «terrorisme intellectuel».

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Transcription
00:00« Terrorisme intellectuel », ce sont les mots utilisés par le Cri-Falsas après l'annulation du Festival du cinéma israélien.
00:08Prévu du 8 au 10 septembre à Strasbourg, cette 16e édition de Shalom Europa a été victime d'un appel au boycott et de pressions exercées par des collectifs pro-palestiniens.
00:18« On arrive à une autocensure, à une forme de terrorisme intellectuel qui conduit à décider d'annuler un événement en lien avec Israël,
00:29et non pas pour une raison politique mais parce qu'on décide de baïonner des artistes pour une seule raison qui est leur appartenance à un État ou une nation. »
00:41Programmé d'abord en juin, le festival avait déjà dû être reporté pour des raisons de sécurité.
00:46Une première en 16 ans d'existence.
00:48« Strasbourg, capitale européenne, accueille depuis 16 ans ce festival sans qu'il n'y ait jamais eu de difficultés.
00:55C'est un festival qui est ouvert sur le monde, ouvert sur les autres, d'ailleurs même sur les relations entre les Israéliens, les Palestiniens, le Proche-Orient.
01:03C'est un festival qui a toujours été un festival d'unité et c'est déplorable de voir cela. »
01:08La maire de Strasbourg, qui dénonce ces pressions, a affirmé être en relation avec les organisateurs pour reprogrammer le festival.
01:16Sous-titrage Société Radio-Canada

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