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00:00Dites-nous tout, les dix infos, les révélations sur le nouveau Premier ministre, pourquoi Michel Barnier a été choisi déjà ?
00:05– Alors parce qu'il fallait un profil donc de droite pour avoir les Républicains,
00:09capter évidemment ce qui reste de macronistes, d'ailleurs c'est plus des macronistes,
00:13c'est des députés derrière Gabriel Attal plus que derrière Emmanuel Macron,
00:16sans se faire censurer par le Rassemblement National.
00:19C'est pour ça que Xavier Bertrand est tombé à l'eau.
00:22David Lissnard, maire de Cannes, profil trop jeune, trop ambitieux pour cohabiter avec Emmanuel Macron,
00:27et donc le profil de Michel Barnier a émergé.
00:30– Donc pour comment Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve ont-ils été écartés ?
00:33– Alors Xavier Bertrand parce que menace de censure du Rassemblement National,
00:37il y a trop de contentieux.
00:38– Et je tiens à dire que le Rassemblement National a dit,
00:40en revanche si Xavier Bertrand est ministre, ça il n'y a pas de problème,
00:44c'était juste qu'il ne voulait pas qu'il soit chef du gouvernement, on le rappelle.
00:46– Il est tout à fait probable que Xavier Bertrand ait un gros ministère
00:49dans le gouvernement de Michel Barnier.
00:52– Donc censure pour le RN, il y a trop d'inimitiés,
00:55trop d'invectives qui ont été échangées entre Xavier Bertrand et Marine Le Pen.
00:59Et pour Bernard Cazeneuve, censure du RN aussi, mais de la gauche.
01:03Et là, c'est là où la gauche n'a pas été du tout fine dans sa tactique.
01:06– Voilà, Gilles Bernaise, ou Stas Esbourne.
01:08– La France insoumise, on n'est pas surpris, les écolos non plus, c'est le parti socialiste.
01:12Ils se sont réunis en bureau en début de semaine pour dire que même Bernard Cazeneuve
01:15serait censuré par Olivier Faure et ses députés.
01:18Et c'est là où ça commence à tanguer pour Olivier Faure au sein du PS.
01:22Il y a une partie qui ne voulait pas censurer Bernard Cazeneuve.
01:25Et donc Olivier Faure a dit non à des ministères socialistes, potentiellement.
01:28– On rappelle que Cazeneuve est du PS.
01:30– Exactement.
01:31– Non, il a quitté le PS.
01:32– Non, il était apparenté.
01:34– Il a quitté le PS au moment de la NUPES.
01:36– Merci, on le savait, mais on savait qu'il était à gauche, Bernard Cazeneuve.
01:39– Pas pour Gilles.
01:41– Oui, pas pour Gilles.
01:42C'est que Bernard Cazeneuve n'est pas à gauche pour Gilles.
01:44– Gauchemol.
01:46– C'est quoi la gauche dure ?
01:47– Comme vous dans le lit, merci.
01:49D'où le Viagra, merci.
01:51D'autres personnalités ont été approchées par le Président.
01:53– On vient de les citer.
01:54– Thierry Baudet.
01:55– Voilà, c'est celui qui nous manquait.
01:57– Un ex de chez Décathlon à fond la forme.
01:59– Résident du CESE.
02:02– Un ex de chez Conforama.
02:04– Résident du CESE, Conseil Économique, Social et Environnemental.
02:07Qui est aussi utile que le H d'Hawaï.
02:09Et donc il va retourner…
02:11– Pour la barbe, c'est la barbe.
02:13– Il va rester au CESE.
02:14– C'est quoi, il travaille chez Masdouge le mec ?
02:16Non, c'est les us.
02:17– C'est en gros, c'est un parlement vice pour créer des…
02:21– Le pauvre Thierry Baudet, Thierry Baudet le pauvre,
02:23il a été ministre 15 minutes, le pauvre il s'est fait défoncer.
02:27Il y avait Gabriel Attal, bien sûr, François Bayon, Gérard Larcher aussi.
02:31– Oui, alors Gérard Larcher, je ne suis pas sûr qu'il aurait quitté le Sénat.
02:34Il était quand même deuxième personnage de l'État.
02:36– Il y a Lucie Castel.
02:37– Lucie Castel n'a jamais été approchée par Emmanuel Macron.
02:39Elle, elle a vu la Vierge.
02:40Elle est allée voir Emmanuel Macron à l'Élysée.
02:44Elle s'est imposée dans le bureau du Président.
02:46Elle est sortie de là, toujours que c'est vrai.
02:48Elle est sortie de là.
02:49Elle a cru, c'est là où Emmanuel Macron est trop fort.
02:51Il lui a fait croire.
02:52– Elle est sortie tout sourire.
02:54– Elle pensait que c'était fait.
02:55Le Président m'a dit que j'avais plein de qualités,
02:57qu'on était d'accord sur la politique étrangère.
02:59Paf, communiqué le soir même, terminé, rideau.
03:01Et donc là, elle va pouvoir retourner à la mairie de Paris ou ailleurs.
03:04– Gilles Bernaise.
03:06– Ça le fait rire lui.
03:08– Bien sûr, mais ça le fait rire parce que tu es ridicule.
03:10Tu es ridicule.
03:12Alors donc, il y avait Thierry Baudet, Gabriel Attal, François Bayrou,
03:14Gérard Larcher, Lucie Castex, Bébert Le Frolon également.
03:17– Gabriel Attal, il n'a jamais été question qu'il reste à Matignon.
03:19– Il n'a jamais été question de Ségolène Royal
03:21puisqu'elle-même avait pris la parole.
03:23– Pour elle-même, oui.
03:24– Mais elle n'a jamais été dans l'étude.
03:26– En dehors d'elle-même, non.
03:27– D'accord.
03:28– Attends, elle est magnifique.
03:29– Elle est formidable.
03:30– C'est ça, elle est contente.
03:31– Très.
03:32– Ségolène Royal.
03:33– Michel Barnier, on n'aurait plus de proviseur.
03:35– Non, c'est pas content.
03:36– T'es content ?
03:37– Ben non, la victoire est volée.
03:38– La victoire, non, il n'y a pas de victoire.
03:39– Mais il y a une victoire.
03:40– Il n'y a aucune victoire.
03:41– Mais quand vous êtes premier sur la ligne d'arrivée.
03:42– Il n'y a aucune victoire.
03:43– Ah bon, ben ok.
03:44– Il n'y a aucune victoire.
03:45– Le premier n'a pas gagné, c'est nouveau.
03:46– C'est comme au tennis, c'est une énorme arnaque.
03:47C'est au tennis, tu gagnes le premier set, le deuxième set,
03:49ils disent bon allez, on joue à trois contre un, les mecs.
03:51– Par contre, là où je peux être d'accord avec Gilles Verdez,
03:55c'est que vous avez quand même une situation totalement inédite.
03:57Vous avez un premier ministre, si je ne regarde que le groupe LR
03:59qui a 47 députés seulement à l'Assemblée nationale.
04:01– Non mais c'est un hold-up.
04:02Pour le LR, c'est un hold-up.
04:03– Le NFP a 190 députés et le Rassemblement National 120.
04:07Et les deux sont exclus parce qu'en gros, on s'achemine vers un gouvernement LR, XLR,
04:11passé chez Macron comme Rachid Haddati potentiellement et d'autres.
04:14Donc c'est quand même une situation totalement inédite.
04:16Vous avez 190 députés pour le NFP.
04:18– Et en fait, la coalition, elle était à gauche avant les élections
04:22et maintenant elle est à droite avec LR, RN.
04:24Parce qu'en vrai, ils ont besoin du RN pour…
04:26– Le pays est à droite, le pays n'est pas à gauche.
04:28– Marine Le Pen est toute puissante.
04:30Elle appuie sur un bouton, elle fait tomber Michel Barnier.
04:33Il y avait un front républicain anti-RN avant le second tour des législatives.
04:36Maintenant, il y a un front républicain anti-NFP pour gouverner.
04:39– Oui, Olive, Olive.
04:41– On oublie de dire quand même, je ne sais pas si tu es d'accord avec moi,
04:43ils ont quand même trouvé un premier ministre
04:45qui ne va pas revenir sur la réforme des retraites pour commencer.
04:47Et secondo, on a la loi finance qui va démarrer à partir du 1er octobre.
04:51Et si jamais ça toque au niveau de l'Assemblée nationale,
04:53je pense qu'on aura un deuxième roi des 49.3.
04:55Et cette loi finance, malheureusement, sera mise en place avec ce personnel.
04:59– Alors, je suis 100% d'accord avec toi.
05:00Si Bernard Cazeneuve n'a pas été nommé à Matignon,
05:02c'est aussi parce qu'il voulait revenir sur la réforme des retraites.
05:04Et c'était hors de question pour Emmanuel Macron.
05:06Il a fait deux lois importantes depuis sa réélection,
05:09les retraites et la loi immigration.
05:11Et c'est absolument certain qu'on s'achemine vers des 49.3 pour le budget.
05:14Parce que vous votez le budget, vous êtes dans la majorité.
05:16Donc le RN, en toute logique, on les a entendus depuis ce matin,
05:20ils ne veulent pas censurer, on a bien compris, d'office.
05:23Mais ils ne veulent pas être dans la majorité.
05:25Donc ils doivent voter contre le budget ou s'abstenir.
05:27Qui dit vote contre ou abstention du RN, dit nouveau 49.3.
05:30Et c'est comme ça que les précédents budgets sont passés.
05:32Parce que les 49.3 sont illimités en matière de finances.
05:35– Avec une économie de 17 milliards quand même
05:37et une augmentation de la précarité à venir,
05:39selon la nouvelle loi finance qui va sortir au mois d'octobre quand même.
05:42– On a une quatrième révélation.
05:43Nicolas Sarkozy aurait pesé dans la balance.
05:45– Oui, interview au Figaro de l'ancien chef de l'État.
05:48Il a fait changer de position Laurent Wauquiez.
05:50Alors si vous avez Laurent Wauquiez un jour sur un plateau,
05:52je suis sûr qu'il dira que ce n'est pas à cause de Nicolas Sarkozy.
05:54– On l'aura bientôt, on va l'inviter.
05:55– Mais enfin il y a quand même un lien qui s'est fait visiblement.
05:58Puisque Nicolas Sarkozy a dit, c'est quand même très curieux
06:01de la part de Laurent Wauquiez de proposer un pacte législatif
06:03avec toute une série de mesures.
06:04Et après de dire, il ne faut pas les appliquer nous-mêmes
06:06et il ne faut pas que ce soit un LR à Matignon.
06:08Donc Laurent Wauquiez a mis de l'eau dans son vin,
06:11il a répondu à sa position et a accepté que ça soit un LR à Matignon
06:14en la qualité de Michel Barnier.
06:15Il avait accepté Xavier Bertrand, le RN ne l'a pas fait.
06:17Et donc finalement, ils sont tombés d'accord sur Michel Barnier.
06:19– Michel Barnier.
06:20Alors, cinquième révélation, des coulisses du dîner
06:23entre Emmanuel Macron et Michel Barnier.
06:25Mais Bernard Montiel nous dit qu'il n'y a pas eu de dîner.
06:27– Ah bon ?
06:28– Non, je te garantis qu'il n'y a pas eu de dîner.
06:30– Parce que vous avez eu la première dame ?
06:31– Ah ben il dort avec Macron lui alors.
06:33– Oui, j'ai eu la première dame, effectivement.
06:36– Donc je te respecte si tu y arrives.
06:38– Ah, j'adore Bernard Montiel !
06:40– Oh le pauvre, je t'ai vexé.
06:41– Ah pas du tout.
06:42– Il n'y a rien d'irrespectueux à dire que tu dors avec Macron.
06:44– Ah bon ?
06:45– Il n'y a rien de méchant.
06:46– Oui, enfin bon, je l'attends Bernard.
06:48– La vérité, tu es tout le temps avec eux.
06:50Matin, midi et soir, on boit tout le temps avec eux.
06:52– Tu es avec nous.
06:53– D'ailleurs, les informations par rapport à Emmanuel Macron,
06:56la preuve, tu es à même de les sortir puisque tu passes ta vie avec eux.
06:59C'est tes meilleurs amis.
07:00– C'est bien.
07:01– Oui, c'est tes meilleurs amis, on sait tous.
07:02– J'aimerais bien passer mes vacances.
07:04– On mène Géraldine, c'est son rêve.
07:05– Non, mais j'aimerais bien.
07:06– On mène Géraldine un peu avec toi.
07:07– J'aimerais bien, non, non, ils n'ont pas besoin de moi.
07:09– Pas loin de son plus grand rêve aussi, à Géraldine.
07:10– Ils n'ont pas besoin de moi.
07:11– Alors, Bernard, il n'y a pas eu de dîner en réalité.
07:13– Un goûter, un goûter.
07:14– Ils sont restés à discuter de tous les dossiers jusqu'à minuit et demi.
07:17– Ah oui, d'accord, ils se sont vus à l'Élysée.
07:19– Il n'y a pas eu dîner.
07:21– Mais on s'en fiche de savoir ce qu'ils ont mangé.
07:23– L'important, c'est qu'il n'y a qu'une réunion à l'Élysée.
07:25– Il devait avoir 2-3 frites et des chipettes.
07:27– Tout le monde a dit qu'il y avait des olives.
07:28– Il devait avoir 2-3 élèves avec un 4-5 à Ouest.
07:30– L'important, ce n'est pas le dîner.
07:31– Arrêtez, les mecs.
07:32Tu ne restes pas le ventre creux, comme ça.
07:33– Oui, jusqu'à minuit.
07:34– Le ventre vide, comme ça, jusqu'à minuit, avec un paperboard.
07:36Arrêtez, les gars.
07:37J'en ai fait des réunions.
07:38Tu avais au moins des triangolinis, je connais.
07:40Arrêtez, les gars, des mini-pizzas.
07:42– L'idée, ce n'était pas de dire qu'il y avait un dîner.
07:44– Il n'y avait pas des tucs, je veux bien me couper le coude.
07:46– Tout le monde a dit qu'il y avait un dîner.
07:47– Il y avait des tucs, c'est sûr.
07:48– Ils n'ont rien mangé jusqu'à minuit.
07:50– Bien sûr qu'ils ont mangé.
07:51Tu crois quoi ?
07:52Mais je le connais, je sais comment ça se passe.
07:53– Il y avait des mini-bannibels.
07:54– Il y avait des mini-bannibels, c'est sûr.
07:56Il y avait du gouda, c'est sympa, c'est sûr.
08:00– Les deux hommes se sont vus, effectivement, hier soir.
08:03Est-ce qu'ils ont mangé ? Est-ce qu'ils n'ont pas mangé ?
08:04– Ce n'est pas grave.
08:05– Est-ce qu'ils se sont regardés dans le blanc des yeux ?
08:06L'idée était, évidemment, d'avancer.
08:08– Bernard Montel, il est énervé parce qu'on dit qu'ils ont bien mangé.
08:11Ils n'ont pas resté jusqu'à minuit sans boire rien.
08:13Il m'a dit que Michel Barnier était comme un...
08:16– Vous n'êtes pas un verre d'eau.
08:17– Non, il n'y a pas de verre d'eau.
08:19On a dit à Bernard Montel qu'on ne dînerait pas.
08:21On ne dînerait pas, Michel Barnier.
08:23Non mais les gars, Bernard Montel, il est vénère.
08:26Les gars, qui a amené ces mini-pizzas ?
08:29C'est toi.
08:30Qu'est-ce qu'on a dit à Bernard Montel ?
08:31On a dit qu'on ne mangerait rien, bordel.
08:34Tu veux qu'il nous tombe dessus ?
08:36Tu veux qu'il nous reprenne toute la collection de nos DVD sous le soleil ?
08:40– Enlevez les mini-caprices des dieux.
08:42– Enlevez les mini-caprices des dieux.
08:46C'est mythique.
08:49Qui a mis des boules de Mozart ?
08:52Donc, les deux hommes se sont vus.
08:53Parce que, pour évoquer deux idées évidemment très importantes.
08:56Maintenant, si vous voulez, c'est bien d'avoir trouvé un Premier ministre.
08:59Il faut en trouver 25 autres.
09:00Il faut en trouver 25 autres.
09:01Il faut faire un casting de Bernard Montel.
09:02– Alors justement, là, j'ai une petite question.
09:04Je pense que les téléspectateurs vont trouver que c'est une bonne question pour une fois.
09:07– En toute maîtrise.
09:08– Ils font quoi ?
09:09Tous les ministres, là, ils se doivent attendre.
09:11Ils travaillent quand même ?
09:12C'est-à-dire un Gérald Darmanin, il continue, tout ça ?
09:14– Alors là, ils étaient déjà des missionnaires.
09:16Là, ils sont plus que des missionnaires.
09:18– Donc là, il n'y a pas de ministre, en ce moment ?
09:19– Non, si, il y a un ministre.
09:20Parce que, si vous avez n'importe quoi, par exemple,
09:22vous prenez l'exemple de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur,
09:25s'il y a le moindre drame, évidemment qu'il reste à la tête de la police jusqu'à un successeur.
09:30Donc si, il y a un ministre avec le moins de pouvoir possible.
09:33Mais il y a quelqu'un dans les ministères, pour chaque ministère, en ce moment,
09:38pour évidemment gérer s'il y a une crise ou quoi que ce soit.
09:41– Premier coup de fil de M. Barnier, c'est à Yael Brand-Pivet.
09:44Déjeune avec elle demain.
09:45– Je sais, il a appelé quelqu'un avant.
09:48– Ah bon ? Qui ?
09:49– Il a appelé, il a fait une commande parce qu'il n'avait pas mangé.
09:52Il a fait une commande derrière.
09:53– Alors, Michel Barnier ne pouvait pas supporter Emmanuel Macron.
10:00– C'est un truc de fou.
10:01Parce qu'on a une compil' où Michel Barnier, il tacle Emmanuel Macron.
10:04Et c'est vrai que ce n'était pas la folie.
10:06– C'est très bien.
10:07– Ça ne veut rien dire.
10:08– Au contraire, c'est difficile.
10:09– Moi, ça, je ne comprends pas ça.
10:11Le mec, à mon avis…
10:12– Lui, il dit, je ne suis pas dans la poursuite pure et simple du macronisme.
10:16Et on l'a vu au moment de la passation de pouvoir.
10:18Et d'ailleurs, l'Élysée se met déjà dans l'optique.
10:20On dit aux équipes, il faut couper les canaux jusqu'à Matignon.
10:24On ne va pas gérer Matignon comme on gérait Matignon jusqu'ici
10:27avec des premiers ministres inféodés à Emmanuel Macron.
10:31Alors, il faut dire aussi que nombre de ces extraits
10:33étaient pendant la campagne présidentielle où il soutenait Valérie Pécresse
10:36ou avant il était candidat à la primaire.
10:39Et donc, évidemment, il voulait jouer la rupture avec le chef de l'État.
10:41Il y a aussi un dossier plus personnel.
10:44Michel Barnier ambitionnait, après avoir réussi à négocier un accord autour du Brexit,
10:49de devenir président de la Commission européenne.
10:51Et il s'attendait qu'Emmanuel Macron le soutienne
10:54et soutienne un Français pour prendre ce poste-là.
10:58Et finalement, Emmanuel Macron ne l'a pas fait.
11:00Et il a soutenu l'Allemande Ursula von der Leyen.
11:03– C'est fou, c'est hyper habile de prendre quelqu'un qui l'a taclé.
11:07Parce que sinon, on aurait dit, c'est vraiment la poursuite du macronisme.
11:09Et là, ça ne passait pas.
11:11Là, il peut dire, mais moi, j'ai pris quelqu'un qui m'a taclé.
11:13Voilà, c'est comme quand moi, je suis franc-chroniqueur.
11:15– Et ce n'est pas le premier.
11:16Gérald Darmanin n'avait pas de voix assez dure contre Emmanuel Macron
11:19avant qu'il ne rentre au gouvernement.
11:20Bruno Le Maire, c'est pareil.
11:21– Après, je vais te dire, de toute façon…
11:23– C'est le jeu de la politique.
11:24– Bien sûr, je vais te dire, tu retournes ton slip quand tu retournes ta veste.
11:27Bah oui, c'est sûr.
11:28– C'est que de la poudre aux yeux.
11:29Je pense qu'il va suivre quand même les directives d'Emmanuel Macron.
11:31Je ne sais pas ce que tu en penses.
11:32– Je ne suis pas aussi sûr que toi.
11:33Je pense que ça ne va pas juste passer comme…
11:34– Lui, il ne rigole pas.
11:35– Je demande à voir.
11:36– Revoyez parce que vous étiez…
11:37– Je demande à voir.
11:38– Revoyez la passation du pouvoir.
11:39– Je demande à voir.
11:40Moi, on va laisser sa chance au produit.
11:42– Bien sûr.
11:43– Est-ce que pour vous, c'est une bonne nouvelle, Michel Barnier ?
11:44Tiens, autour de la table, j'ai envie de savoir.
11:46Tiens, Géraldine, toi, t'es…
11:47– Pour moi, c'est une très bonne nouvelle.
11:48Je trouve ça très bien.
11:49Je trouve que c'est cohérent avec, finalement, la volonté du pays.
11:52Moi, je ne crois pas que le pays était à gauche.
11:54Je crois que c'était, comme j'ai dit tout à l'heure,
11:55une alliance contre nature NFP.
11:57Et je pense qu'il va, peut-être, faire comme dans d'autres pays européens,
12:00est-ce qu'il va ratisser l'arge, Gauthier ?
12:01C'est-à-dire, est-ce qu'il peut prendre, je ne sais pas, un ministre RN ?
12:04– Non.
12:05– Et je ne suis pas RN.
12:06– Les RN…
12:07– Donc, ils sont hors-circuit.
12:08– Non, mais je vais te dire un truc.
12:09Les RN, on a discuté avec eux cet après-midi à la radio.
12:13Eux-là, je t'explique, ils ont la meilleure position.
12:16– Ils font mettre des horloges.
12:17– Ils font ce qu'ils veulent.
12:18– Sans faire grand-chose.
12:19– Sans faire grand-chose.
12:20– J'ai échangé avec les autres.
12:22C'est fou parce qu'il y a eu…
12:23– Ils ont eu un bol.
12:24– Ils étaient grands-gagnants, puis grands-perdants.
12:26– Un bol incroyable.
12:27– Puis re-grand-perdants, puis re-grand-gagnants.
12:28Et là, ils sont grands-gagnants parce qu'en fait,
12:30eux, ils ne sont pas au gouvernement.
12:31Ils sont toujours dans l'opposition.
12:32Et en vrai, ils font ce qu'ils veulent.
12:34Parce qu'il n'y a pas une loi qui passe…
12:35– Donc, il va ratisser l'arge, Jean-René, sans salaire,
12:37et peut-être, éventuellement, des socialistes hors NFP.
12:40Il va essayer de faire des précaires.
12:41– Peut-être que Jean-Claude Caseneuve pourrait rentrer au gouvernement.
12:44– Jean-Claude Caseneuve, Bertrand, Rachida, Dati…
12:47– D'Alga, moi, je vois bien D'Alga.
12:48– Michel Barnier a mis tout de suite dans son discours, devant Matignon,
12:51qu'il voulait lutter contre l'immigration de manière drastique.
12:54Donc, est-ce que Bernard Casseneuve pourrait accepter une ligne
12:56plutôt à droite comme celle-là ?
12:58Mais le RN a un bol incroyable.
12:59J'ai changé en police avec quelqu'un du Rassemblement national qui me disait
13:02on a le cul bordé de nouilles.
13:03– C'est Julien Audouille.
13:04– Non, non, c'était par message, ce n'est pas Julien Audouille.
13:06– Le RN, ils ont fait quand même un pas vert aussi à Michel Barnier
13:08puisque dans Marine Le Pen, quand elle a pris la parole,
13:10à aucun moment elle n'a parlé de la réforme des retraites.
13:12Ce n'est plus du tout dans leurs priorités.
13:14Donc, c'est quand même aussi une sorte de volonté pour eux d'être arrangé.
13:17– Gilles Bernays, est-ce que vous vous sentez bon grand comme devant ?
13:19– Ah oui, on s'est fait, voilà, papaouter, c'est terrible.
13:23C'est de l'hypocrisie totale, la victoire est volée.
13:26Michel Barnier va nous placer sous le joug de l'Europe.
13:28Il a été commissaire européen longtemps, le Brexit, etc.
13:31– C'est vrai.
13:32– Donc, moi, j'ai peur que la France perde son indépendance.
13:34Et puis, vous spoliez les vainqueurs d'une victoire.
13:36Vous dites, on n'a pas gagné.
13:38Ben oui, la gauche a gagné, mais la gauche n'a rien.
13:40– Moi, c'est un discours qui m'énerve, ça, mais tu ne peux pas savoir.
13:43– Oui, tu dénerves.
13:44– Ce que tu dis sur l'Europe et Barnier, c'est vrai.
13:46– Il a changé.
13:47– S'obstiner à dire, on a gagné, on a gagné, on a gagné,
13:50sans faire allusion au jeu des alliances et tout et tout.
13:53– Oui, il a perdu sa formation politique, s'est fait bananer aux élections.
13:56Et on nomme quelqu'un dont la formation politique
13:59a subi une cuisante défaite aux élections.
14:01Vous trouvez ça normal, Gauthier Lebray ?
14:03– C'est l'homme qu'on évite.
14:05– J'étais d'accord avec vous tout à l'heure quand vous avez dit ça.
14:07Il y a 190 députés NFP, 120 du RN et 47 des Républicains.
14:11Donc quand on regarde comme ça d'un point de vue numérique,
14:13ça paraît complètement fou.
14:14Mais le jeu des alliances et cette opposition de l'Assemblée nationale
14:19qui est complètement inédite, pousse à cela.
14:21Et encore une fois, la gauche a mal joué.
14:23La gauche a mal joué en sarco-boutant sur Lucie Castex,
14:26en disant, c'est Lucie Castex, rien d'autre.
14:28Toute la politique du Nouveau Front Populaire,
14:30rien que la politique du Nouveau Front Populaire,
14:31ce qui énervait même, j'entendais que vous passiez son son, Fabien Roussel.
14:34Donc voilà, la gauche a aussi très mal joué.
14:36– Il paraît déjà que Michel Barnier, pour sa première sortie,
14:38c'est ce qui se dit, a été exceptionnel avec Gabriel Attal.
14:42Et vraiment, je ne sais pas, on a l'impression d'avoir un homme d'État
14:48comme on n'en avait plus, c'est ça ?
14:50– Ça faisait vraiment le père et son jeune fils, si vous voulez,
14:54la passation de pouvoir.
14:55Pas que par l'âge, par aussi…
14:57– Gabriel Attal, après, il a beaucoup de talent.
14:58– Il a beaucoup de talent.
14:59Je veux dire, le gars est de stature, en fait.
15:01Je pense que c'est ce que…
15:03Moi, j'ai envie de lui laisser sa chance, après, on va voir.
15:05– Bien sûr, il vient d'arriver.
15:07– Bah oui, exactement.
15:08– Et il n'a pas…
15:09– Non mais les mecs qui critiquent, comme Gilles Bernays, tout ça,
15:12moi, j'en ai ras le cul, laissez-le faire.
15:14Aujourd'hui, là, il faut penser à la France.
15:16– Mais il ne faut pas faire de l'idéologie, il faut être pragmatique.
15:18– Exactement, là, je vous le dis, là, il est déjà peut-être trop tard.
15:21Donc là, il faut tracer, il faut laisser sa chance au produit,
15:25et il faut essayer de voir.
15:26Les mecs qui, comme vous, commencent à critiquer,
15:28le mec n'est même pas arrivé, c'est insupportable.
15:30– Et pardonnez-moi, mais Gilles, tout à l'heure,
15:32tu as dit qu'il était pro-européen, pro-européen.
15:34Il faut voir, quand même, les discours de Michel Bernays,
15:36dernièrement, aux dernières primaires de la droite,
15:38où il n'est pas du tout pro-européen, justement,
15:40par rapport à l'immigration, contre les frontières.
15:42Il dit qu'il faut inventer quelque chose de différent.
15:44Et franchement, là, il a vraiment changé son braquet.
15:46– Moi, j'aimerais qu'on revienne, quand même, au coup d'Emmanuel Macron,
15:50le coup qu'il a fait à la LFI, au NFP.
15:52– Ça, ça vous plaît, ça ?
15:54– Non, parce qu'il a quand même dit à Lusti Castex,
15:56elle est sortie de l'Élysée, elle était toute sourire,
15:58elle était persuadée qu'elle allait être Premier ministre.
16:00– Il lui a dit, ne vous inquiétez pas, il y aura un communiqué
16:02qui va tomber ce soir.
16:03Effectivement, il y avait un communiqué pour lui dire
16:05qu'elle ne serait jamais Première ministre.
16:06– C'est incroyable.
16:07– Et ça, c'est tout le talent d'Emmanuel Macron.
16:09Quand vous avez des interlocuteurs qui le voient longtemps,
16:11ou même, quand vous le croisez de temps en temps,
16:13la capacité qu'il a à séduire son interlocuteur,
16:16à complètement l'endormir, et l'ember…
16:19– L'emberlificoté.
16:20– Merci.
16:21Voilà, et donc c'est ce qui s'est passé avec Lusti Castex.
16:23Emberlificoté.
16:24– Ifiqui.
16:25– L'emberlificoté.
16:26– L'emberlifiqui.
16:27– L'emberlificoté.
16:28– L'emberlifiquicoté.
16:29– L'emberlificoté.
16:30– L'emberlificoté.
16:31– Merci.
16:32– L'emberlificoté.
16:33– Parce qu'on peut quand même se dire que, à mon avis,
16:35ça n'a pas changé grand-chose malheureusement.
16:37– Ça n'a pas changé le monde.
16:40– Aujourd'hui, on est sur trois groupes politiques
16:42à l'intérieur de l'Assemblée nationale, donc on se rend bien compte
16:44que pour faire passer les lois à l'intérieur pour changer les choses,
16:47ça risque quand même d'être très, très compliqué.
16:49– Non, non, non, pas du tout.
16:50– Ça ne dépend sur quoi ?
16:51– Pas du tout.
16:52– Non, ça lui facilite.
16:53– Sécurité, il va avoir l'ERL avec lui, ça ne va pas s'écraser.
16:54– Oui, mais peut-être pas l'aile gauche de la Macronie.
16:55Il y a une aile gauche dans la Macronie et on est à un député près
16:58avec l'Assemblée qu'on a.
16:59– Je sais.
17:00Fais tes calculs, fais tes calculs.
17:01120, 120.
17:02– Son problème…
17:03– 120 plus 47, 167.
17:04– Non, mais il faudrait savoir combien vont s'enjouer
17:06dans l'aile gauche de la Macronie.
17:07– Prends la moitié de la Macronie.
17:09– Oui, mais ça ne suffira pas.
17:10– Oui, je sais.
17:11– Donc, il faut qu'il arrive à composer avec l'aile gauche de la Macronie
17:14et le Rassemblement national.
17:16Mais s'il arrive à aller vers plus de fermeté en ce qui concerne la sécurité
17:20et la lutte contre l'immigration illégale, puisqu'il l'a évoqué
17:23dans son discours ce soir, eh bien, oui, il pourrait faire passer
17:26des textes de loi dans ce sens.
17:28– C'est très bien que ça ne se passera pas.
17:29– On verra.
17:30– On verra.
17:31– On verra.
17:32– La façon de gérer la monnaie est passée.
17:33– Ne faites pas vos filles bernaises, olives, olives.
17:34– Finalement !
17:35– C'est bon, là, regardez, vous avez un petit Babi Bell à côté de vous,
17:37magnifique, là, profitez, regardez comme elle est mignonne, celle-là.
17:40– Peut-être pas 49.3 parce que l'aile gauche ne censurera pas non plus
17:42Michel Barnier, l'aile gauche de la Macronie.
17:43– Allez, on va parler de Sébastien Deleugue, c'est toujours un plaisir.
17:46Restez avec nous, tiens.
17:47Sur le plateau de l'émission BFM Stories, Sébastien Deleugue
17:49a encore cherché le buzz.
17:50chercher le buzz, il a reproché à la députée RN Edwige Diaz d'avoir osé lui
17:53frôler le bras pour lui demander de finir sa phrase.
17:55Regardez la séquence éliminaire, il y a Julien Audoul, il est déjà là, il est
17:59plus rapide que l'éclair celui-ci. Comment allez-vous ?
18:02Ça y est, vous êtes heureux. Heureux, je ne sais pas, on va voir.
18:06Arrêtez, on va se dire la vérité. Moi je dis la vérité avant qu'on parle de
18:09Belleau-Gueux, Julien Audoul, on se dit tout, on ne va pas arrêter, on ne va pas non plus
18:12tortiller du cucu. Vous étiez grand gagnant, puis perdant,
18:18puis l'été, puis on ne sait pas, et puis maintenant vous êtes quand même les
18:23grands gagnants de cette affaire, parce que vous êtes un petit peu les arbitres,
18:26vous êtes là avec le sifflet, on n'aime pas cette loi, on ne fait pas, la terminé, merci,
18:29au revoir. Non mais c'est incroyable. On est au centre du jeu, et c'est vrai que
18:33certains nous ont enterrés après la législative. Moi j'ai cru, voilà je vous le dis,
18:37il y a beaucoup de gens qui croyaient, ils se sont dit bon ben eux ça y est, terminé.
18:39Et on pensait que le NFP de Gilles Verdez, enfin le NFP de Gilles Verdez, la France
18:43insoumise, que c'est pas le NFP, la France insoumise de Gilles Verdez allait être au
18:46centre du jeu, et c'est un truc de fou, ça a été un renversement de situation.
18:50Est-ce que vous l'aviez vu venir ? Mais ça c'est la meilleure nouvelle de la journée.
18:52Pourquoi vous me regardez ? Parce que je vous regarde, parce que ce sont vos amis politiques,
18:57et c'est la meilleure nouvelle de la journée. 60 jours d'enfumage, où on a assisté au show
19:04casté, à la tournée partout, des représentations en veux-tu en voilà, où ils ont essayé de faire
19:09croire qu'ils étaient majoritaires, qu'ils pouvaient constituer un gouvernement. En fait,
19:12ils ont cru que parce qu'il était arrivé en tête grâce à la Macronie, parce que c'est la
19:16Macronie qui s'est désistée pour des candidats LFI, antisémites, homophobes, et j'en passe,
19:21ils ont cru en fait que ce plan d'un soir allait se transformer en mariage. Voilà, c'est tout.
19:26Et aujourd'hui, patatras, ils sont minoritaires, vous êtes minoritaire dans le pays, vous êtes
19:31minoritaire dans les idées, parce que les Français, vous avez voté pour eux.
19:36Oui.
19:37Regardez, regardez, regardez son attitude.
19:40Vous avez voté pour eux, vous avez voté pour eux, on dirait que ça transpire.
19:47Regardez cette méchanceté, regardez, n'oubliez jamais, donne de la confiture à Jean, il te la
19:53rendra en chiant. Non mais c'est ça, c'est lui, c'est lui, ça c'est lui. Non mais franchement,
19:58non mais arrêtez, non mais aujourd'hui, vous êtes grongeon comme devant.
20:00Oui, bah oui, mais ça vous fait rire.
20:02Bah oui, ça me fait rire. Mais c'est surtout pour ça que je rigole en fait.
20:05C'est pensé qu'à vous.
20:07Il y a des millions de gens qui sont...
20:08Arrêtez, je pense à Delogu, c'est incroyable, encore hier, il faisait le malin sur BFM Story.
20:13Je pense à Boyard, non mais sans rigoler, il va retourner au fort.
20:16Non mais arrêtez, non mais c'est une rigolade.
20:18Mathilde Panot, elle va retourner à la sécurité routière.
20:20Non mais arrêtez, c'est incroyable.
20:22Ce qui se passe, c'est exceptionnel.
20:24Mais c'est pour les électeurs de gauche que c'est pas bien, là, vous prenez des noms, on s'en fout de...
20:27Non mais pas du tout, mais je pense que les électeurs de gauche...
20:29Ils ont été trompés, ils ont été dupés.
20:30Exactement, ils ont été dupés.
20:32J'ai de la peine pour eux.
20:33On leur a fait croire des choses et en fait, ils s'entendent pas du tout, ils ne sont pas d'accord, c'est rien.
20:36J'ai rien contre les électeurs, je vous l'ai déjà dit.
20:38Moi, je n'ai plus de personnes.
20:39C'est juste des personnes de la LFI.
20:41Tu voulais que je vous dise ?
20:42Ils ont instrumentalisé des combats.
20:43Moi, je comprends tout à fait qu'il y ait des gens qui peuvent plus voter pour la LFI.
20:46Le problème, c'est que dans la LFI, il y a quand même des sacrés loustics, excusez-moi,
20:50qui faisaient les malins, qui paradaient.
20:51Moi, je me rappelle de Sébastien Delogu qui a tweeté
20:53« Anouna doit quitter la France ».
20:55Oui, bien sûr.
20:56Écoutez, aujourd'hui…
20:57Il n'est pas au gouvernement, Sébastien Delogu.
20:58Je pense qu'il ne sera jamais au gouvernement.
21:01Je pense qu'il va continuer à aller sur les plateaux.

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