Crise politique, retrait de fréquences... Et pendant ce temps, Emmanuel Macron vient de publier une vidéo en selfie devant la Tour Eiffel pour expliquer que "tout est prêt pour les Jeux Olympiques" ! Un message qui peut sembler un peu décaler en cette période et alors que beaucoup accusent le Président de la République d'être déconnecté.
Un Président qui a réclamé une très politique de 3 semaines pendant les Jeux et affirmant qu'il ne nommerait pas de nouveau gouvernement avant la mi-août malgré les demandes insistantes du Front Populaire.
Une heure avant l'interview d'Emmanuel Macron sur France 2, le Nouveau Front populaire est parvenu à s'entendre sur le nom de Lucie Castets, une haute fonctionnaire inconnue du grand public engagée dans la défense des services publics.
Une proposition balayée quelques instant plus tard par le chef de l'État :
"Il est faux de dire que le Nouveau Front populaire aurait une majorité, quelle qu'elle soit", a-t-il répondu. "La question n'est pas un nom. La question, c'est quelle majorité peut se dégager à l'Assemblée", a-t-il ajouté.
Selon lui, "personne ne peut appliquer son programme". Une attitude qui a fait bondir les responsables de gauche. Il "veut nous imposer de force son nouveau Front républicain", a dénoncé Jean-Luc Mélenchon, qui l'avait invité un peu plus tôt à "ne plus tergiverser" et à nommer Lucie Castets. Le déni "conduit à la politique du pire", a estimé de son côté le patron du PS Olivier Faure.
Un Président qui a réclamé une très politique de 3 semaines pendant les Jeux et affirmant qu'il ne nommerait pas de nouveau gouvernement avant la mi-août malgré les demandes insistantes du Front Populaire.
Une heure avant l'interview d'Emmanuel Macron sur France 2, le Nouveau Front populaire est parvenu à s'entendre sur le nom de Lucie Castets, une haute fonctionnaire inconnue du grand public engagée dans la défense des services publics.
Une proposition balayée quelques instant plus tard par le chef de l'État :
"Il est faux de dire que le Nouveau Front populaire aurait une majorité, quelle qu'elle soit", a-t-il répondu. "La question n'est pas un nom. La question, c'est quelle majorité peut se dégager à l'Assemblée", a-t-il ajouté.
Selon lui, "personne ne peut appliquer son programme". Une attitude qui a fait bondir les responsables de gauche. Il "veut nous imposer de force son nouveau Front républicain", a dénoncé Jean-Luc Mélenchon, qui l'avait invité un peu plus tôt à "ne plus tergiverser" et à nommer Lucie Castets. Le déni "conduit à la politique du pire", a estimé de son côté le patron du PS Olivier Faure.
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00:00Bonjour à tous. Dans deux jours, les Jeux olympiques commencent, puis nos Jeux paralympiques.
00:05Tout est prêt. Regardez, même les anneaux sont là.
00:09Et la tour Eiffel, le Trocadéro, pour la cérémonie d'ouverture et les épreuves.
00:14Alors bon jeu. On ouvre grand les Jeux. À bientôt.