TPMP MÊME L'ÉTÉ : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h40 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "TPMP même l'été" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00T'as écrit des livres, deux livres, et tu viens de lancer ta chaîne YouTube.
00:04Et écoute, c'est pas mal parce qu'en fait, tu prends le temps d'interviewer des personnalités
00:09et tu as le luxe du temps long.
00:11Et tu sais ce que je veux dire en télé ?
00:12Ce que c'est que le luxe du temps long ?
00:13Tu viendras ?
00:14Justement sur ce...
00:15Bah écoute, ça marche !
00:17C'est lancé !
00:18Tu sais, on a presque fini là, les émissions d'été.
00:20Après, c'est bon, on se sépare des téléspectateurs avec grand plaisir.
00:23Ça s'est mis comment, cette idée ?
00:25J'ai toujours aimé écouter les gens, en fait.
00:29Quand on est journaliste, évidemment, tu as le luxe d'entrer dans la vie des gens
00:34et surtout, tu as la confiance des gens qui t'ouvrent la porte
00:38et on peut passer d'un politique à un agriculteur.
00:41Et moi, ça a été ça, mon souhait, toute petite,
00:45c'était d'aller recueillir la parole des gens
00:47et surtout, de la retransmettre le plus justement possible et avec le cœur.
00:53En effet, sur du news pur, on a toujours des formats imposés
00:57parce que ça doit rentrer dans une émission.
00:59Depuis un JT, c'est 30 minutes.
01:01C'est 30 minutes, pas plus.
01:03Un sujet d'une 30 ou d'une 40.
01:05Et là, d'avoir le bonheur d'entendre des personnes
01:08qui puissent parler d'eux sans les couper, sans les monter,
01:13juste se dire qu'on est entre vous et moi,
01:16parce que ça s'appelle entre vous et moi,
01:18et de se dire, vous avez le temps.
01:20C'est notre parenthèse à nous.
01:22Vous allez vous installer.
01:23On est comme dans un café, dans une alcove
01:26et puis on est là et on va s'écouter.
01:28Alors, on a des petits extraits, évidemment,
01:29juste pour comprendre de quoi on parle,
01:31pour ceux qui nous regardent.
01:32Elle est sur la chaîne YouTube de Dominique Lagonce.
01:34Franchement, honnêtement, en plus,
01:35tu as plein de personnalités qui jouent le jeu,
01:37qui sont venues te voir, qui se sont confiées à cœur ouvert.
01:39Très éclectique.
01:40Exactement, c'est très éclectique.
01:42Et tu sais les amener à se livrer un peu plus sur leur vie,
01:46sur leurs états d'âme.
01:48Mon adage, c'est savoir poser les questions,
01:51mais surtout, savoir écouter les réponses.
01:54Je pense que dans la deuxième partie de ma phrase,
01:57ce n'est pas forcément partagé.
01:59Non, mais c'est vrai.
02:00Savoir écouter des réponses, tu as raison.
02:02C'est vrai qu'il y en a beaucoup,
02:03beaucoup de personnalités qui sont venues,
02:04qui ont parlé aussi des épreuves de la vie,
02:06parce qu'on a tous des épreuves dans la vie.
02:07On traverse tous la vie avec des épreuves.
02:10Et on a, par exemple, un extrait avec Fanny Loeb
02:12qui parle de son cancer.
02:15La première des peurs, j'imagine,
02:17c'est la peur de mourir
02:18quand on vous annonce un cancer, j'imagine.
02:20Oui, la peur de mourir, mais la rage de vivre.
02:24Se rendre compte qu'il n'y a pas moyen
02:26que je quitte cette planète,
02:28que non, je veux vivre.
02:30Donc, ça m'a donné encore plus envie de vivre.
02:33Voilà, c'est vrai.
02:34Tu abordes effectivement, il n'y a pas de tabou,
02:37parce que c'est vrai que la maladie,
02:39c'est parfois un sujet difficile à aborder.
02:41En fait, pour la première fois de ma vie, je crois,
02:43ce que je propose là avec ma superbe équipe
02:46qui est en coulisses,
02:47Franck Gerber et Camille Juez,
02:49ce qu'on propose là, c'est une droite ligne
02:52de ce que moi, j'ai vécu.
02:53J'en ai parlé.
02:54J'ai perdu mon homme, Claude Semper,
02:56qui était grand reporter sur France 2,
02:58que tu connais très très bien.
02:59Je vais le dire, juste, tout le monde s'en fiche,
03:01mais c'est grâce à lui que je fais de la télé quand même,
03:03ton mari.
03:04C'est grâce à lui, il m'a mis un jour en formation.
03:06Effectivement, il faisait aussi des formations au CHPJ,
03:08question de formation professionnelle des journalistes,
03:10voilà, pour faire de la télé.
03:11Je ne savais même pas pourquoi faire de la télé.
03:13Et avant que tu sois connue...
03:14C'est lui qui m'a dit, tu y vas.
03:15Avant que tu sois connue, il était rentré à la maison
03:17en me disant, ah putain, je suis tombée.
03:19Je suis tombée sur une nana telle d'énergie.
03:22Le mari peut lui rendre hommage.
03:25Prix Albert Londres, grand reporter ATF1.
03:27À France 2.
03:28À France 2, qu'est-ce que j'ai dit ?
03:29On était sur les deux, en fait.
03:31Sur France 2, évidemment.
03:33Moi, j'ai une pensée émue pour lui ce soir.
03:36Il doit être content, là.
03:38Je sais qu'il est avec nous.
03:39C'est un grand journaliste.
03:41Quand vous avez vécu cette épreuve de vie,
03:43soit, on en avait parlé ensemble,
03:45soit on sombre parce que c'est trop dur,
03:48soit vous trouvez au fond de vous
03:50cette énergie que vous sous-estimiez,
03:53cette force de vie que vous ne connaissiez pas.
03:57Et la mort, aussi dégueulasse soit-elle,
04:01elle peut vous redonner un électrochoc
04:04qui va vous aligner avec ce que vous êtes.
04:07Et Fanny Leib, qui, elle, a été touchée d'un cancer
04:10et qui s'est dit, OK, Coco, t'es chez moi,
04:13t'es venue dans mon corps,
04:14je t'héberge pendant quelques temps, si tu veux,
04:16mais au premier arrêt, tu descends de ma bagnole.
04:19C'est ça, en fait.
04:20Tous ces gens qu'on rencontre,
04:22ça va de Valls qui nous raconte aussi
04:26son intimité avec sa soeur qui était toxicomane.
04:29Chacun, où qu'on soit, en haut de l'échelle sociale
04:33ou en bas, on est tous pareil.
04:35On a tous vécu des douleurs
04:37à petite ou grande échelle
04:39et c'est à soi, au fond des tripes,
04:41de remonter, quoi.
04:42Tu évoquais la mort.
04:43Tu as posé cette question à Patrick Sébastien
04:45que tu as reçue, qui a perdu son fils.
04:47Là aussi, il s'est livré sur cette épreuve épouvantable.
04:51Vraie ambition que j'arriverais peut-être jamais à réaliser,
04:54c'est de passer une seule journée
04:56sans penser à la mort de mon fils.
04:58Voilà.
04:59C'est la seule que je pourrais, à mon avis, pas réaliser.
05:02Penser une seule journée.
05:04Parce qu'on vit avec nos douleurs
05:08et c'est pour ça aussi
05:10que je suis dans le léger,
05:12je suis dans le futile
05:14et je suis dans la transmission aux gens
05:16du bien-être, de la bienveillance,
05:20toutes ces choses pour lesquelles on me moque.
05:22Oh putain, c'est que de l'amour.
05:24Mais bien sûr que c'est que de l'amour.
05:26Tous les parents qui ont perdu un enfant
05:28comprennent évidemment ce que dit Patrick.
05:30Il n'y a pas une journée qui passe comme toi.
05:32J'imagine qu'il n'y a pas une journée qui passe
05:34où tu ne penses pas à Claude.
05:35Quand on perd un proche, un enfant ou un conjoint,
05:37il n'y a rien de plus difficile.
05:39Tiens, autre extrait.
05:41Évidemment, on parle de la maladie, on parle de la mort,
05:43on l'a évoqué avec toi.
05:44On parle aussi, tiens, Laurent Bafi qui s'est confié
05:46sur son syndrome de l'imposteur
05:49dont il souffre en fait.
05:51Dont il souffre, Laurent Bafi.
05:53On a tous un peu.
05:55Regarde, regardez.
05:57Confiance en toi ?
05:58Non, non, bien sûr que non.
05:59J'ai le syndrome de l'imposteur
06:01comme tous les artistes, bien sûr.
06:05Bien sûr que non, je ne me fais pas confiance.
06:07Tu sais, quand tu écris, que ce soit une pièce,
06:11un livre, un film,
06:13quand tu arrives vers la fin,
06:15tu as toujours ce moment de panique
06:17où tu te relis et tu te dis
06:19oh putain, c'est de la merde.
06:21On est toujours très durs avec soi-même.
06:23On est très durs avec soi-même.
06:25C'est ce qu'il dit, Laurent Bafi.
06:26C'est super émouvant pour moi de les réentendre,
06:28tous ces gens-là,
06:29parce que ce sont des gens que je ne connais pas.
06:31Laurent, je ne le connais pas.
06:33Fanny non plus.
06:34Patrick Sébastien non plus.
06:36Et en fait, quand j'arrive soit chez eux,
06:38soit dans une librairie pour Laurent Bafi,
06:41je leur dis moi, ça ne m'intéresse pas
06:43de vous voir comme ce que vous voulez donner
06:47ou voir être.
06:49Moi, ce qui m'intéresse, c'est qu'on enlève le costume,
06:51qu'on enlève l'humour,
06:53qu'on enlève l'ironie pour certains
06:55et juste qu'on se parle en vrai.
06:57Parce que demain, on ne sait pas ce qui peut se passer.
06:59Demain, toi et moi, on peut mourir.
07:02Donc autant qu'un jour dans la vie,
07:04se poser en se disant, droit dans les yeux,
07:06OK, on est ça, on est ça.
07:08Et Patrick Sébastien, à un moment, je lui dis,
07:10mais tu vas pleurer ou pas ?
07:11Il me fait, non, il me dit, moi, je n'ai pas besoin de pleurer.
07:14Il dit juste d'avoir parlé de mon fils,
07:17c'était mon cadeau aujourd'hui
07:19parce qu'au moins, on aura parlé de mon fils.
07:22C'est génial de pouvoir faire ça.
07:23Pascal.
07:24Dominique, je ne peux pas te recevoir
07:28et ne pas parler de Jean-Pierre.
07:29Jean-Pierre nous.
07:30Je ne peux pas.
07:31Notre Jean-Pierre.
07:32Oui.
07:33Je ne peux pas ne pas t'en parler de Jean-Pierre.
07:37Non, mais c'était ton mentor.
07:39Est-ce qu'il t'adorait ?
07:41Jean-Pierre Pernaut adorait Dominique.
07:44Tu travailles avec lui sur le 13h.
07:47Est-ce qu'aujourd'hui, quand tu fais ce type d'interview,
07:49tu as une petite pensée pour Jean-Pierre ?
07:51Tout ce qu'il t'a appris,
07:52enfin, ce qu'il t'a appris,
07:53parce qu'évidemment, il était plus âgé que nous,
07:55plus âgé que toi.
07:56Tu travailles avec lui tous les jours.
07:58C'est un grand, grand monsieur de la télé,
07:59Jean-Pierre Pernaut.
08:00Travaillez avec Jean-Pierre Pernaut,
08:01tu en parleras mieux que moi.
08:02C'est quelque chose.
08:04Tu t'en sers aujourd'hui ?
08:06Moi, je parle, en fait, à ceux qui ne sont plus là,
08:08parce que j'estime qu'ils sont quand même là, quoi.
08:10Donc, Claude est là, Jean-Pierre est là.
08:14En fait, les deux hommes du début,
08:20enfin, de ma première vie,
08:21parce que je parle de ma première vie
08:23et du début du reste de ma vie
08:24que je suis en train de vivre avec vous,
08:26il y avait deux hommes au début.
08:28Il y avait mon homme intime, Claude,
08:30et il y avait JP, je l'appelais JP,
08:32mon homme pro, voilà.
08:34Et c'est rare dans ce métier
08:37d'avoir quelqu'un qui est suffisamment diminuté
08:40et qui n'ait pas peur, en fait,
08:42que sa propre lumière soit éteinte
08:44par la présence de quelqu'un d'autre.
08:46Et Jean-Pierre, tu le sais mieux que personne,
08:48il était comme ça,
08:49il m'a donné ma chance.
08:51Pourquoi ?
08:52Parce que c'est la première personne
08:54dans ce milieu-là,
08:55quelquefois un peu de requin,
08:57d'avoir cru en moi.
08:58Et quand quelqu'un croit en vous
09:00dans ce milieu, c'est juste...
09:02Et en plus, quand c'est JP,
09:04ça vous donne une force en vous.
09:06On ne trichait pas, ils ne trichaient pas.
09:08Je pense que présentateur préféré
09:10des 15-25 ans...
09:11Ah ça, ils ne trichaient pas,
09:12Jean-Pierre.
09:13Quand il avait un truc à dire,
09:14il le disait.
09:15Non mais c'est vrai.
09:16C'est vrai, c'était quelqu'un de...
09:17Il était au travail
09:18comme il était dans la vie.
09:19C'était le même.
09:20Souvent, les gens me disaient
09:21quand on était sur le terrain,
09:23on me disait
09:24mais est-ce qu'il est comme ça,
09:25Jean-Pierre ?
09:26Les coups de gueule.
09:27On rigolait.
09:28Les coups de coeur.
09:29C'était quelqu'un de formidable.
09:32Quelqu'un de formidable.
09:33Dis-moi, on va faire un petit jeu,
09:35Dominique, histoire de sourire un peu.
09:38Je vais te donner.
09:39On va t'afficher des journalistes.
09:41Tu es journaliste.
09:42C'est un peu dur
09:43ce que vous lui demandez, les jeux.
09:44On va afficher un journaliste
09:45et tu vas dire un mot,
09:46comment tu le qualifierais,
09:47aujourd'hui.
09:48Écoute, ce n'est pas moi.
09:49Je n'aimerais pas être à ta place,
09:50je te le dis tout de suite.
09:51Allez, première photo.
09:53Première photo.
09:54Allez, première photo.
09:55Apolline.
09:56Apolline.
09:57Apolline de Malherbe.
09:58Hyper intéressante.
09:59Un adjectif.
10:00Alors, un adjectif, tu dis quoi ?
10:01Claude Laformé.
10:02Claude Laformé.
10:03Donc, ça veut dire quoi ?
10:06Ça veut dire que…
10:07Un adjectif.
10:08Elle est pro.
10:09Elle est pro.
10:10Elle est pro, OK.
10:11Professionnelle.
10:12OK, bon.
10:13Benjamin Duhamel.
10:14Je l'ai rencontré à LCI.
10:17Je ne connais pas.
10:19Allez, journaliste politique.
10:22Je m'en sors bien.
10:24Pas mal.
10:25Pascal Praud.
10:27Pascal Praud.
10:28Un adjectif.
10:29Jean-Pierre l'aimait beaucoup.
10:30Oui.
10:31Pascal Praud, j'allais dire…
10:33Elle est pro.
10:35Pro.
10:36Brute.
10:37Oui, brute.
10:38Oui.
10:39Pas mal.
10:40Pas brute de côté d'écoutage.
10:41Brute.
10:42Cash.
10:43Cash.
10:44Sans filtre.
10:45Cash.
10:46Laurence Ferrari.
10:47Laurence Ferrari.
10:48Je l'ai croisée là aussi dans les couloirs.
10:49J'ai baissé pour elle.
10:50T'as baissé pour elle.
10:51J'ai baissé pour elle.
10:52J'ai baissé quand j'étais au service enquête.
10:55On faisait des mini-MAC de 4-5 minutes.
10:57Elle m'avait choisie dans son équipe.
10:59Laurence…
11:02Couillue.
11:03Oui.
11:04C'est vrai.
11:05Ça, c'est vrai, ça.
11:06Harry Rosenmack.
11:08Je l'ai interviewée entre vous et moi, Harry.
11:11Dissection.
11:12Solaire.
11:13Calme-toi, calme-toi.
11:14Qu'est-ce qu'il y a ?
11:15Dissection.
11:16Oui, c'est ça.
11:17Moi aussi.
11:18Moi, j'ai un homme à la maison qui est sexy, donc c'est pour ça que je m'interroge.
11:23Mais t'as le droit.
11:24C'est vrai.
11:25C'est pas faux.
11:26Jacques Legraux.
11:27Joker.
11:28Joker.
11:29Elle a le droit à un joker.
11:30Mais non.
11:31Non.
11:32Ah, joker.
11:33Ah oui, oui.
11:34Non, non, non.
11:35Elle a raison.
11:36Joker.
11:37Ah, joker.
11:38Non, non, non.
11:39C'est pas mal.
11:40C'est pas mal.
11:41Non, c'est vrai.
11:42Je me dérobe pas.
11:43Joker de JP.
11:44Laurent Delahousse.
11:45Mèche.
11:46C'est pas un adjectif.
11:47Elle est élégante.
11:48Elle est élégante.
11:49Ouais, ouais, ouais.
11:50Pas mal, Élise Lucet.
11:51Cash.
11:52Ouais.
11:53Investigation.
11:54Ouais, pas mal, pas mal, pas mal.
11:55Anne-Claire.
11:56Coudrée.
11:57Authentique.
11:58Authentique.
11:59Ouais, ça, c'est vrai.
12:00Nathalie Renou.
12:01M6.
12:02Je connais pas.
12:03Ok.
12:04Anne-Sophie Lacaro.
12:05Marie-Sophie.
12:06Ah, merde, oui.
12:07Marie-Sophie.
12:08Oui, Marie-Sophie.
12:09C'est bien.
12:10Marie-Sophie Lacaro.
12:11Remplaçante.
12:12Remplaçante.
12:13Remplaçante.
12:14Remplaçante.
12:16J'ai mis en budget.
12:1713h France 2.
12:18Julien...
12:19Remplaçant de Marie-Sophie Lacaro.
12:20C'est pas mal, c'est pas mal.
12:21Il a raison.
12:22Il a raison.
12:23C'est factuel.
12:24C'est factuel.
12:25C'est bon.
12:26Alors, ok, on est au fini.
12:27Bruce Toussaint.
12:28Bruce, il m'a envoyé un gentil mot quand j'ai publié mon livre.
12:29Et il me dit...
12:30Il me dit...
12:31Il me dit...
12:32Il me dit...
12:33Il me dit...
12:34Il me dit...
12:35Il me dit...
12:36Il me dit...
12:37Il me dit...
12:38Il me dit...
12:39Il me dit...
12:40Il me dit...
12:41Il me dit...
12:42Il me dit...
12:43Il me dit...
12:44Il me dit...
12:45Il me dit...
12:46Il me dit...
12:47Il me dit...
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12:50Il me dit...
12:51Il me dit...
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13:00Il me dit...
13:01Il me dit...
13:02Il me dit...
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13:04Il me dit...
13:05Il me dit...
13:06Il me dit...
13:07Il me dit...
13:08Il me dit...
13:09Il me dit...
13:10Il me dit...
13:11Il me dit...
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13:15Il me dit...
13:16Il me dit...
13:17Il me dit...
13:18Il me dit...
13:19Il me dit...
13:20Il me dit...
13:21Il me dit...
13:22Il me dit...
13:23Il me dit...
13:24Il me dit...
13:25Il me dit...
13:26Il me dit...
13:27Il me dit...
13:28Il me dit...
13:29Il me dit...
13:30Il me dit...
13:31Il me dit...
13:32Il me dit...
13:33Il me dit...
13:34Il me dit...
13:35Il me dit...
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13:43Il me dit...
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