Jordan Bardella, au sujet du Front Populaire : «Le péril et le danger sont aux portes de la République française».
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00:00Mais est-ce que vous vous rendez compte du danger et du péril qui est aujourd'hui aux portes de la République française ?
00:05On a une coalition qui réunit tous les partis de gauche, d'extrême gauche,
00:11qui a fait le choix de la radicalité, qui a fait le choix de l'insurrection,
00:15qui investit aux élections des gens qui sont fichés S,
00:18c'est-à-dire des gens qui sont suivis par nos services de renseignement
00:21car ils représentent un danger pour la sécurité de l'État.
00:26La personne que vous mentionnez fait partie de la mouvance d'ultra gauche.
00:29Cette mouvance qui attaque nos forces de l'ordre, cette mouvance qui attaque nos commerces,
00:34cette mouvance qui piétine les champs de nos agriculteurs
00:36et cette mouvance qui utilise la violence, le chaos et le désordre comme méthode d'action politique.
00:42Donc le choix est extrêmement simple et tous les Français qui nous regardent
00:45doivent avoir conscience que ce péril est aujourd'hui aux portes du pouvoir
00:48à cause de cette coalition de gauche dans laquelle on voit M. Hollande, pardon,
00:53M. Hollande qui a été le président, qui a fait face en 2015 aux attaques terroristes
00:59de Charlie Hebdo, du Bataclan, de l'Hypercacher et du Stade de France
01:02et qui se retrouve à côté dans la même coalition que M. Poutou
01:06dont le mouvement politique, le NPA, est poursuivi pour apologie de terrorisme
01:10parce qu'ils ont applaudi aux atrocités du Hamas le 7 octobre dernier.
01:14Il y a dans cette coalition, Madame, des gens qui nous expliquent que le Hamas,
01:19qui a commis des atrocités en Israël le 7 octobre dernier, est un mouvement de résistance
01:22et on a là des gens qui légitiment un antisémitisme dans notre société.
01:25Donc attention, le danger il est présent, ce danger il est aux portes du pouvoir
01:30et le choix il est très simple au second tour de cette élection législative.
01:34Ce sera soit l'extrême gauche, soit nous, soit M. Mélenchon, soit moi.