• il y a 6 mois
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio
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• À Votre Écoute

##A_VOTRE_ECOUTE-2024-06-06##
Transcription
00:00 www.soudradio.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:05 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 Bonjour à tous, je suis très heureux de vous retrouver durant 7h.
00:23 Hier, nous avons eu des auditeurs avec des questionnements sur leur changement de vie,
00:27 mais aussi avec des sujets plus sensibles, notamment sur la violence conjugale.
00:32 Et vous, avez-vous des interrogations concernant votre situation sentimentale, familiale, professionnelle,
00:39 ou bien sur d'autres sujets ? Je suis avec vous pour vous accompagner, vous donner des réponses intuitives.
00:45 Un seul numéro à votre disposition, le 0826 300 300, on prendra tous vos appels,
00:52 mais aussi depuis notre adresse de contact, avotreécoute@sudradio.fr
00:58 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane
01:03 Alors aujourd'hui, comme tous les jours, un nouveau programme, et le programme de l'émission aujourd'hui,
01:08 c'est "J'aurais Anna", Anna, son compagnon l'a trompée avec la secrétaire de son entreprise.
01:15 J'aurai aussi comme auditrice la fille de Mireille, qui a fait une dépression à la suite de son expérience professionnelle dans la mode.
01:24 Nous aurons Sandrine, qui a vécu une séparation difficile à s'en remettre, et aujourd'hui, elle ouvre son cœur à l'amour.
01:31 Mais nous aurons bien entendu d'autres auditeurs que je prendrai en direct et durant toute cette émission.
01:37 Alors tentez-vous d'appeler le 0826 300 300, c'est peut-être votre chance de passer aujourd'hui à l'antenne.
01:46 Et dans un premier temps, j'accueille Julien. Bonjour Julien.
01:50 Bonjour Alexandre.
01:51 Bienvenue sur Sud Radio.
01:53 Merci beaucoup, un plaisir.
01:55 Merci. Alors Julien, justement, vous avez 43 ans, vous nous appelez de Narbonne,
02:03 vous travaillez dans la sécurité et notamment dans tout ce qui est travaux publics, c'est ça ?
02:09 C'est ça, tout à fait.
02:10 Alors hier, on a eu pas mal d'auditeurs qui nous ont appelés pour des changements de vie, des envies de partir ailleurs, de vivre autrement, différemment.
02:19 Et je crois que c'est un peu aussi votre question d'aujourd'hui.
02:24 C'est bien ça.
02:25 Racontez-nous.
02:26 Ma question, en étant frontalier de l'Espagne, et étant souvent en Espagne, avec ma compagne, on se demande si dans un futur, d'acheter un bien en Espagne,
02:38 ou avoir une mutation sur l'Espagne.
02:42 D'accord. Pourquoi l'Espagne ? J'entends, vous êtes frontalier, j'imagine que la vie en Espagne...
02:49 La vie est différente.
02:50 Oui, ça c'est sûr, je ne vais pas vous contredire à ce niveau-là.
02:56 Mais pour quelles raisons ? Parce qu'entre y passer des vacances, des bons moments et carrément s'y installer, c'est peut-être pas la même chose.
03:04 Un état d'esprit, je pense.
03:06 Oui, d'accord.
03:08 Et qu'on se retrouve dedans.
03:11 Et ça permettrait pour vous de solliciter votre entreprise pour faire une demande de mutation, c'est ça ?
03:21 Exactement, tout à fait.
03:23 Vous avez fait déjà cette demande ?
03:26 Non, pas encore. J'ai fait une proposition déjà, mais sur du CISAN.
03:34 C'est-à-dire dans CISAN, vous voulez dire ?
03:37 Oui, dans CISAN. J'ai demandé une mutation.
03:40 Et pour l'instant, je pense qu'ils sont favorables.
03:45 Mais CISAN, est-ce que vous avez envie de tenir jusque-là ?
03:49 Non, moi non.
03:51 Je vous sens un peu plus vouloir précipiter les choses et notamment d'essayer d'entreprendre ou en tous les cas d'accélérer un peu la situation.
04:01 Pensez à votre changement de vie éventuel et notamment cette installation en Espagne.
04:07 Vous avez déjà une idée en Espagne où vous voulez vous installer ?
04:10 Oui, sur la Costa Brava, pas trop loin de notre domicile en France.
04:16 Oui, bon, quitte à faire autant être au bord de l'eau et de profiter d'un bon climat tempéré.
04:25 Exactement.
04:27 Vous pensez à cette mutation ? Donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
04:33 Le vert.
04:34 Un vert. Plutôt clair, foncé.
04:36 Claire.
04:37 D'accord. Alors, effectivement, pour moi, il y a un changement, il y a quelque chose qui va pouvoir se faire.
04:42 On dirait que sous une période de deux ans, vous avez l'opportunité du changement.
04:47 Votre épouse ne contredit pas les choses ? Elle a envie, elle est aussi dans cette initiative de vouloir changer, non ?
04:54 Tout à fait.
04:56 Elle a envie aussi de participer au projet. Elle est un peu plus embêtée par rapport à son travail.
05:02 En Espagne, ce n'est pas pareil qu'en France.
05:05 Elle fait quoi dans la vie ?
05:06 Elle est pédicure-podologue.
05:08 Ah oui, ok. Oh, mais même si c'est peut-être un peu différent, elle peut faire sa place, non ?
05:15 Tout à fait, bien sûr.
05:17 D'accord.
05:19 Pour moi, sous une période de deux ans, je sens qu'il y a une opportunité, il y a une possibilité.
05:25 Effectivement, par rapport à l'échéance des six ans, ça va s'anticiper et ça va vous permettre de pouvoir vous installer.
05:33 Et d'avoir même, peut-être, par la suite, ce n'est pas tout de suite, mais peut-être même la possibilité d'une promotion ou d'une mutation à venir.
05:47 À la suite de cette mutation, vous aurez peut-être la possibilité d'une promotion.
05:51 D'accord, très bien.
05:53 D'accord.
05:54 Super, merci beaucoup.
05:56 Merci à vous.
05:57 Merci à toi, bravo.
05:58 Merci, et puis restez fidèle à l'antenne de Sud Radio.
06:02 Pas de problème, merci, bonne journée.
06:04 Merci.
06:05 Et à présent, j'accueille Sonia. Bonjour Sonia.
06:14 Bonjour Alexandre.
06:16 Bienvenue sur Sud Radio.
06:18 Merci de me recevoir.
06:20 Merci à vous. Alors Sonia, vous nous appelez d'où ?
06:23 De Perpignan.
06:24 C'est de Perpignan. Bien. Vous nous appelez peut-être pour une question sentimentale. Vous avez le cœur fragile, sensible. Comment se positionne votre état affectif aujourd'hui ?
06:36 J'ai le cœur perdu, on va dire.
06:38 Perdu, ah oui. Bon, racontez-nous.
06:41 J'ai le cœur perdu, en effet. Mais en fait, je suis arrivée sur la région du Sud il y a quatre ans.
06:47 Oui.
06:48 En fait, j'ai pris la décision de me séparer de mon mari à l'époque pour rejoindre mon premier amour.
06:56 D'accord.
06:57 Donc, je suis arrivée ici en 2020, juillet 2020.
07:02 Je ne cache pas que les choses ont été finalement plus compliquées que ce que je pensais dès le départ.
07:12 Et il s'avère qu'effectivement, le temps faisant, à force de plein de choses, en fait, j'ai l'impression que ça devient de plus en plus compliqué pour moi en tous les cas.
07:23 Je suis un peu, voilà, je suis un petit peu perdue, perplexe. Je ne sais pas trop comment dire finalement.
07:29 Ça devient compliqué par rapport à ce, de vivre cette relation, par rapport au fait que vous avez peut-être décidé de changer votre vie pour cet homme.
07:39 Qu'est-ce qui, pour vous, devient pesant et compliqué aujourd'hui ?
07:45 En fait, je pense qu'il y a un peu tout ça.
07:47 Oui.
07:48 Entre le fait, si vous voulez, d'être avec quelqu'un qui, au niveau du caractère, ce n'est pas forcément facile aujourd'hui par rapport à nos différences qu'on peut avoir en termes de caractère tous les deux, même si on fait des efforts.
08:02 Mais il y a souvent les mêmes sujets de discorde qui reviennent.
08:06 Donc, ce n'est pas évident par rapport à ça, même si, encore une fois, voilà, on fait des efforts pour.
08:12 Et puis, oui, le fait qu'effectivement, j'ai quand même tout quitté pour cet homme.
08:19 J'ai aussi fait emmener mes enfants avec moi, etc.
08:24 Et du coup, oui, forcément, ça crée plein de questionnements et de remises en question.
08:30 Enfin, voilà, tout se bouscule, finalement.
08:32 Oui, alors, même si je ne crois pas que vous avez une grande différence d'âge entre vous, mais j'ai l'impression que si dans la manière de penser et de se projeter dans l'avenir.
08:42 Oui, complètement.
08:43 C'est ça, hein ?
08:44 Oui, complètement.
08:45 Et c'est ce qui fait réellement cette difficulté à se projeter ensemble.
08:51 Et pour moi, vous avez besoin d'une relation qui soit plus dynamique ou qui donne l'esprit de quelque chose, non pas plus de rassurant, parce qu'il ne fait pas peur, pour autant, dans l'avenir, il est rassurant.
09:07 Mais ça donne un autre mouvement, une autre vibes, une autre énergie pour avancer dans la vie et pour vous réaliser comme vous le souhaitez.
09:16 Et puis, il y a une deuxième chose aussi qui semble ressentir, et là, on est sur un autre sujet, mais sur le plan professionnel, vous manquez d'un certain épanouissement.
09:24 Je ne sais pas, vous pouvez me dire oui ou non.
09:29 Après, je ne veux pas...
09:31 Pour moi, j'ai l'impression que ça manque.
09:33 Ça ne veut pas dire, pour autant, que vous n'êtes pas dans la bonne voie professionnelle, mais il manque quelque chose.
09:39 Ce qui veut dire qu'aujourd'hui, si je devais ressentir de cette manière-là les choses, je trouverais que c'est un peu fade.
09:47 Mais ça, c'est mon point de vue, c'est mon ressenti.
09:49 Est-ce que vous me l'accordez ou pas ?
09:51 Alors, un peu fade, je suis dans un métier qui me prend beaucoup de temps, d'énergie, etc.
09:57 J'adore mon métier, mais c'est énergivore.
10:01 Donc, je pense que c'est peut-être par rapport à ça que vous avez ressenti, je pense.
10:06 D'accord, ok. Mais pour moi, effectivement, il y a des remises en question qui semblent ressentir.
10:12 Et vous verrez que ces remises en question, elles sont d'ordre sentimental, mais aussi d'ordre professionnel.
10:18 Et je vous sens, à un moment donné, prendre la première décision que vous allez prendre sera d'ordre professionnel et ensuite d'ordre sentimental.
10:29 Parce que c'est par le travail que vous allez changer les choses.
10:32 Vous allez vous mettre d'une opportunité ailleurs et ça va vous demander d'être face à un choix
10:37 et peut-être de s'éloigner géographiquement de là où vous êtes pour vous réaliser autrement.
10:44 Mais c'est le travail qui va diriger la suite des événements.
10:48 D'accord.
10:52 Bon, tout ça, vous souhaitez avoir une date un peu ou pas ?
10:57 Oui, j'aimerais bien avoir un peu plus de détails par rapport à ça.
11:04 C'est vrai que je suis dans une remise en question globale, sans trop savoir finalement ce qui me pose problème.
11:11 Mais c'est vrai que vous n'avez pas complètement tort là-dessus.
11:15 Pour moi, je crois qu'il ne faut pas tout remettre en question aujourd'hui.
11:19 Votre compagnon actuel, vous ne le changerez pas pour autant.
11:24 Il a sa personnalité, il a sa manière de vivre.
11:27 Vous avez votre personnalité, vous avez votre manière de vivre.
11:30 Le seul souci, c'est que vous n'êtes pas sur la même projection de ce que je ressens.
11:34 Aujourd'hui, ce qui est peut-être prioritaire et sur la question sur laquelle vous devez travailler,
11:40 c'est peut-être de trouver cet équilibre et cet épanouissement professionnel
11:44 pour qu'à un moment donné, vous vous sentez complètement en phase avec votre vie
11:49 et en phase aussi avec vos propres choix et vos propres décisions.
11:53 Mais ce n'est pas pour tout de suite, ce ne sera pas avant début de l'année 2025, Sonia.
11:58 D'accord, d'accord.
12:00 Merci à vous, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
12:02 Merci beaucoup, merci.
12:04 Prenez soin de vous et on vous envoie du soleil aussi.
12:07 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Anna.
12:12 Anna s'interroge sur l'avenir de sa relation avec son compagnon
12:16 qui l'a trompé avec la secrétaire de son travail.
12:20 Peut-elle lui pardonner ? On en parle juste après. Ne bougez pas.
12:24 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
12:30 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission.
12:34 C'est le moment pour vous de poser toutes vos questions à l'antenne de Sud Radio
12:38 et dans votre émission, à votre écoute au 0826 300 300.
12:42 Et avant de retrouver Anna, c'est le moment aussi du Saviez-vous ? comme tous les jours.
12:47 Selon un sondage de février 2022 réalisé par Page Group,
12:52 59% des Français ont déjà eu une relation avec un collègue
12:57 et 37% seulement des Français ont déjà éprouvé un intérêt sentimental particulier
13:03 pour l'un ou l'une de leurs collègues.
13:06 Alors, est-ce que vous, ça vous est déjà arrivé d'éprouver un sentiment, une attirance
13:10 ou d'avoir vécu peut-être une histoire avec un ou une de vos collègues ?
13:16 Faites-vous partie de ces 59% des Français ?
13:19 N'hésitez pas à venir témoigner à l'antenne au 0826 300 300
13:24 ou tout simplement aussi vous pouvez poster vos messages sur notre page à votre écoute sur Facebook.
13:30 Et à présent, j'accueille Anna. Bonjour Anna.
13:33 Vous êtes là Anna ?
13:36 Oui, je suis là.
13:39 Bon, très bien. Je croyais que vous étiez partie montée à l'étage, c'est pour ça, du temps d'arrivée.
13:45 Non, non, c'est bon.
13:46 Bon, parfait Anna. Bienvenue sur Sud Radio.
13:49 Merci.
13:50 Anna, vous avez 22 ans.
13:54 Oui.
13:55 Et vous êtes aide-soignante.
13:57 Oui.
13:58 Et aujourd'hui, vous vous interrogez vraiment sur l'avenir de votre couple, ce que je peux comprendre.
14:03 Parce que, racontez-nous ce qui se passe aujourd'hui.
14:06 Alors en fait, il y a deux ans, on est resté ensemble pendant des années.
14:13 Après, on a eu un enfant.
14:15 Et un an après avoir eu l'enfant, il s'est rapproché de sa secrétaire de travail.
14:21 Et en fait, après j'ai eu des doutes et j'ai appris des choses, donc je l'ai quitté.
14:25 Et le lendemain même, en fait, c'était mis avec elle.
14:27 Et il est resté avec elle pendant quelques mois.
14:31 Et suivant ces quelques mois, il est revenu, donc début d'année, pour me dire qu'il regrettait ce qu'il avait fait.
14:37 Donc, on s'était plus ou moins remis ensemble, mais il était encore avec elle.
14:41 Et je l'ai quitté. Et depuis, il est perdu.
14:43 Et il ne sait plus où c'est qu'il en est.
14:45 Malgré qu'il y ait beaucoup d'amour et de passion entre nous, il est complètement perdu.
14:50 Parce que, bon, elle a des qualités que je n'ai pas.
14:52 C'est très jaloux, je suis très possessive.
14:54 Elle, pas du tout.
14:55 Et je pense qu'il regarde beaucoup la qualité de vie, vu qu'il est plus âgé que moi.
14:58 Donc, voilà, il ne sait pas. Il est complètement perdu.
15:01 Donc, c'est difficile, quoi.
15:02 Pourquoi vous êtes possessive et jalouse ?
15:05 C'est une question directe, hein. Désolé, Anna.
15:08 Oui, ça a toujours été. Je ne sais pas pourquoi.
15:11 Parce que j'ai toujours eu peur de le perdre. Il a toujours été mon pilier.
15:14 Je me souviens avec, j'avais 15 ans, j'étais toute jeune.
15:16 Donc, ça a été mon premier amour. C'est lui qui m'a tout appris.
15:19 J'ai toujours été très possessive et très jalouse.
15:21 Même en amitié, j'ai toujours été comme ça.
15:23 D'accord. Peut-être un manque de confiance en vous ?
15:27 Oui, oui, oui, je pense, oui.
15:29 Certainement. Et par rapport à l'éducation familiale que vous avez reçue,
15:33 est-ce qu'il y a eu un équilibre dans la relation ?
15:36 Non, pas trop. Je suis partie quand j'étais jeune.
15:38 Mon père n'était pas trop présent. Il était un peu trop laxiste.
15:41 Donc, je me suis un peu éduquée toute seule.
15:43 D'accord. Vous lui en voulez ?
15:46 À qui ?
15:47 À votre compagnon.
15:49 Oui, ah oui, bien sûr. Bien sûr que j'ai en veux.
15:52 Il a des raisons. Pourquoi il a fait ça ?
15:55 Au tout début, il m'a dit que c'était juste une crise,
16:00 qu'il avait juste besoin, parce que tout le monde la voulait.
16:03 Et il voulait se dire que lui, il allait la voir.
16:05 Donc, c'était comme une crise de la quarantaine.
16:10 Il m'a dit que c'était une crise de folie.
16:12 Et puis après, ben voilà quoi.
16:14 OK. Il a quel âge, lui, aujourd'hui ?
16:17 Il va avoir 38.
16:19 38 ans. D'accord. Et vous avez un enfant de 2 ans ?
16:22 Oui, il va avoir 2 ans le mois prochain, oui.
16:24 D'accord. Bon, alors peut-être que si vous vous êtes installés ensemble très jeune,
16:30 est-ce qu'il a eu ce besoin d'aller dans la curiosité de nouvelles expériences, de nouvelles histoires ?
16:36 Le problème, c'est qu'il est resté avec quelqu'un pendant 17 ans.
16:39 Donc, lui s'est mis en couple très jeune.
16:41 Il a eu 2 enfants avec sa première relation.
16:44 Et en fait, moi, quand je l'ai connue, il y avait 15 ans,
16:46 il était déjà avec elle.
16:48 Il l'a quitté. Pour moi.
16:50 D'accord. Il reproduit les mêmes schémas.
16:52 Il reproduit la même chose, des années après.
16:54 OK. Qu'est-ce que vous voulez faire, Anna, dans l'avenir avec lui ?
16:58 Est-ce que vous voulez continuer ou vous l'arrêtez ?
17:00 Moi, je voudrais savoir s'il y a encore un espoir entre lui et moi,
17:03 ou si je vais avancer dans ma vie, ou si je vais me trouver quelqu'un d'autre.
17:07 Vous voyez ce que je veux dire ?
17:08 Bien sûr. Mais il faut peut-être définir ensemble un contrat d'entente,
17:13 et d'accord, avec des accords ensemble, pour se dire,
17:17 on recommence sur de nouvelles bases, et non pas sur des bases anciennes,
17:21 où justement, ça a été difficile et ça a capoté.
17:24 Vous voyez, il y a eu des choses qui ont été difficiles.
17:26 Alors, pour moi, et de ce que je ressens bien sûr,
17:30 par rapport à votre situation actuelle,
17:33 vous avez du mal à lui en vouloir, vous avez du mal à lâcher cette histoire,
17:38 parce qu'effectivement, vous êtes face à ce dilemme,
17:43 et à cette difficulté que vous avez en rapport avec vos traits de caractère,
17:49 de personnalité, sur tout ce qui touche à cette possessivité, à cette jalousie.
17:53 Ça, il faut y travailler.
17:55 Ah oui, je l'ai dans la peau.
17:56 Oui, vous l'avez dans la peau, d'accord, mais il faut faire attention,
17:59 parce que ça peut coûter cher.
18:01 Oui, je sais.
18:02 Et oui, donc il faut y travailler, ma chère Anna, dessus.
18:04 Je ne veux pas dire pour autant que vous devez être laxiste,
18:07 et de laisser faire, ou de ne plus vous porter de centre d'intérêt
18:11 sur votre relation sentimentale,
18:12 mais de laisser une certaine forme de souplesse,
18:15 pour que lui ne se sente pas non plus trop asphyxié,
18:18 et lui donner l'envie aussi d'aller ailleurs, et de faire autre chose.
18:22 Et puis ensuite, par rapport à sa situation,
18:25 il ne faut pas oublier qu'avec vous,
18:27 avec son ex, il a fait la même chose, ce qu'il a fait avec vous,
18:33 et ce qu'il fera avec d'autres.
18:35 Donc, est-ce que vous arrivez à vous projeter avec un homme
18:39 qui, bien par période, par cycle, a des moments de crise,
18:43 et a des moments peut-être de curiosité ailleurs ?
18:46 Donc, soyez prudente.
18:48 Oui.
18:49 Alors, je vais vous répondre de manière très franc.
18:54 Oui, ça va reprendre, votre histoire va reprendre,
18:56 mais je ne vois pas une suite sur le long terme.
18:59 Mais ça reprend, parce que vous n'avez pas terminé votre histoire.
19:02 Ah, donc vous voyez qu'on se remette ensemble,
19:07 mais qu'il va recommencer en fait ?
19:08 Alors, attention, il faut que je fasse attention au mot.
19:12 Il va recommencer, je ne sais pas,
19:14 je vous dis que pour l'instant, pour moi,
19:16 de ce que je perçois, c'est que oui, ça peut reprendre,
19:20 qu'il y a une suite ensemble,
19:22 parce qu'il y a du sentiment commun,
19:24 et ne pas oublier ce qu'il a fait auparavant.
19:28 Et je ne veux pas dire pour autant que vous devez le condamner,
19:31 et en faire une fatalité,
19:33 mais soyez prudente, pensez à vous,
19:35 et essayez de prendre un petit peu de recul,
19:38 respirez, Anna, d'accord ?
19:40 Oui.
19:41 Mais soyez confiante sur l'avenir quand même.
19:44 Et ensemble, si vous définissez un pacte,
19:46 je dirais d'entente, avec des accords,
19:49 de vouloir s'arranger l'un comme l'autre,
19:52 et bien pour moi, ce qui est parfois prévisible,
19:55 peut s'effacer, ou s'éliminer,
19:57 ou en tout cas s'améliorer,
19:59 et non pas être tout le temps dans une notion de fatalité.
20:02 Donc vous voyez plutôt un bon avenir alors ?
20:05 Je vois un bon avenir pour l'instant, oui,
20:07 il faudra me rappeler un peu plus tard
20:09 pour regarder un peu la météo, tout ça, d'accord ?
20:11 Merci à vous, Anna.
20:13 Je vous souhaite une bonne continuation.
20:15 Profitez et pensez à vous.
20:17 Merci.
20:18 Et nous, on se retrouve dans quelques instants,
20:23 avec notre prochaine auditrice, Mireille.
20:28 Alors Mireille, elle s'inquiète pour sa fille,
20:31 sur éventuellement une reconversion professionnelle.
20:34 Ne bougez pas, on en parle juste dans quelques instants.
20:37 Sud Radio, à votre écoute,
20:39 16h17, Alexandre Delovane.
20:43 Bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
20:45 Je rappelle que nous sommes en direct,
20:47 alors c'est à vous maintenant de profiter,
20:50 de vouloir ou si vous souhaitez passer à l'antenne,
20:53 0 826 300 300.
20:55 Et si comme Anna, vous avez vécu de l'adultère,
20:59 ou vous avez des questionnements concernant votre futur,
21:02 eh bien je suis là pour vous accompagner,
21:05 comme tous les jours.
21:06 À présent, je vais vous donner quelques petits conseils
21:09 pour protéger son couple de l'adultère,
21:12 puisqu'on en parle, et notamment au bureau.
21:16 Si ça peut arriver,
21:18 et si vous voulez éviter que votre couple se fracture,
21:21 eh bien évitez, autant que cela dépend de vous,
21:24 d'être seul avec une personne du sexe opposé,
21:27 ou tout au moins de la personne qui semble vous sensibiliser.
21:32 Évitez de passer des appels aussi téléphoniques réguliers et personnels,
21:36 qu'ils soient d'ordre non professionnel,
21:38 à un collègue d'une personne aussi de sexe opposé,
21:43 ou de ce qui vous intéresse.
21:45 Allez au restaurant toujours en groupe,
21:47 restez professionnels dans vos emails,
21:49 parlez aussi de votre conjoint en termes positifs,
21:54 et évitez les regards insistants prolongés avec les collègues.
21:58 Et à présent, j'accueille Mireille.
22:00 Bonjour Mireille.
22:01 Bonjour Alexandre.
22:03 Bienvenue sur Sud Radio.
22:05 Oui, merci, merci.
22:07 Mireille, vous avez déjà été en activité professionnelle auparavant ?
22:13 Oui, j'étais en activité professionnelle.
22:16 Est-ce que ça vous est déjà arrivé d'avoir un petit coup de cœur ?
22:20 Non.
22:21 Ou une attirance ?
22:23 Oui, ça peut arriver, mais après des coups de cœur, non.
22:26 Vous avez su y mettre des limites ?
22:29 Oui, je pense que oui.
22:32 Très bien.
22:34 Alors aujourd'hui, vous nous appelez pour votre fille.
22:37 Oui.
22:38 Votre fille, elle a 23 ans.
22:42 Elle va avoir 23 ans, elle va avoir 24 ans.
22:45 Racontez-nous un petit peu le parcours de votre fille,
22:48 et aujourd'hui, quel est votre questionnement la concernant ?
22:52 Alors ma fille travaillait sur Toulouse,
22:54 elle avait arrêté ses études,
22:55 elle avait été prise dans un magasin par rapport à la mode,
22:58 elle faisait des Fashion Week,
23:00 elle était très impliquée.
23:02 Et à un moment donné, l'ambiance est devenue anxiogène,
23:05 et à partir de là, elle a commencé à faire une dépression assez importante.
23:08 Elle a établi une rupture conventionnelle,
23:11 donc elle est restée avec ses parents, moi et mon mari,
23:15 durant deux mois,
23:17 et ensuite elle est partie faire du "hoofing" en course.
23:20 C'est quoi le "hoofing" ?
23:22 Alors le "hoofing", c'est quand vous partez bénévolement,
23:24 vous travaillez dans une ferme bio,
23:27 et vous êtes logé,
23:29 mais vous ne travaillez que demi-journée,
23:30 et le reste du temps c'est pour vous.
23:32 Mais vous ne recevez pas de rémunération,
23:34 c'est quelque chose d'associatif.
23:36 Donc nous on est allé la retrouver.
23:38 C'est des fermes biologiques, des choses comme ça ?
23:40 Oui, c'est du maraîchage bio,
23:43 et après elle a travaillé au niveau de fabricant d'huile d'olive,
23:47 c'était très intéressant,
23:50 franchement c'était très intéressant.
23:51 Elle a eu besoin de ça, j'avoue qu'elle va mieux,
23:54 mais bon là elle a décidé de rentrer,
23:56 après avoir passé quatre mois sur la Corse,
23:59 elle rentre donc début juillet,
24:01 et je suis un peu inquiète sur son avenir,
24:03 dans la mesure où elle avait arrêté ses études,
24:05 où le "hoofing" n'est pas quelque chose qui va à la prochaine déplomme,
24:09 et je ne vois pas trop ce qu'elle prévoit de son avenir.
24:14 C'est un peu flou.
24:16 D'accord.
24:17 Donc à la suite de cette expérience qu'elle a eue dans la mode,
24:21 et de par cette ambiance un peu anxiogène,
24:25 elle a fait une dépression, c'est ça ?
24:27 Oui, assez sévère, oui.
24:28 D'accord, parce qu'on lui a fait perdre confiance en elle ?
24:31 Pourquoi ?
24:32 Ou tout simplement, elle ressentait une injustice au sein de la structure ?
24:37 Je pense qu'elle sentait une injustice,
24:39 et qu'on lui a donné trop de responsabilités par rapport à son âge.
24:44 D'accord, mais elle aime ce métier ?
24:46 Elle aimait ce métier, elle a adoré ce métier,
24:49 maintenant je ne sais pas où elle en est,
24:51 parce que c'est un monde assez superficiel,
24:53 où ce sont des gens un peu particuliers,
24:55 parce qu'on touche des gens qui ont des gros gros revenus,
24:57 et là elle est tombée carrément à l'opposé.
25:01 C'est ça qui est surprenant,
25:02 elle est avec des gens qui se suffisent de peu,
25:04 qui sont accrochés à la terre,
25:06 et c'est ce qui m'interpelle le plus.
25:10 Comment elle a pu basculer comme ça ?
25:12 Dans son mode de vie, elle est plutôt simple votre fille ?
25:17 Oui, elle est plutôt simple, surtout maintenant,
25:20 parce qu'elle s'est mise beaucoup à faire du travail,
25:22 elle a essayé de réduire le tabac,
25:24 elle a réduit ses antidépresseurs,
25:26 donc elle est en train de tomber dans beaucoup plus de simplicité.
25:30 C'est étrange, mais moi je ressens les enfants pour elle.
25:33 Ah bon ?
25:34 Oui, je ressens les enfants,
25:36 et on dirait que la mode n'est pas complètement terminée.
25:40 Est-ce qu'elle peut s'intéresser à une mode pour la jeunesse,
25:44 pour les enfants,
25:46 mais il y a quelque chose qui pourrait ressortir par rapport à ça ?
25:48 Alors effectivement, peut-être qu'elle a eu une mauvaise expérience dans ce domaine-là,
25:54 mais je crois, et ce n'est pas pour vouloir essayer d'apporter un jugement et une critique vis-à-vis de ça,
26:02 mais en tous les cas, même si elle a eu une mauvaise expérience,
26:07 ça ne veut pas dire pour autant qu'elle l'aura dans ce secteur-là toujours,
26:12 et dans d'autres structures, ça sera la même chose.
26:15 Peut-être qu'effectivement, elle pourra elle-même se réconcilier avec ce milieu,
26:22 avec la mode, bien sûr.
26:24 Et pour moi, il y a une opportunité, il y a des possibilités qui vont se présenter à elle,
26:31 et notamment, ça touche la jeunesse,
26:33 et peut-être ça la ramène à quelque chose en lien avec la mode aussi.
26:38 Donc, cet univers-là risque à nouveau de la sensibiliser,
26:46 et aussi où elle se sentira elle concernée par ça.
26:50 D'accord, c'est possible.
26:52 Un jour, elle m'a dit "Toi, la mode, ce n'est pas fini".
26:55 Elle m'a dit ça, mais elle ne l'a dit qu'une fois.
26:57 Mais vu qu'elle avait changé complètement son comportement et sa façon de vivre,
27:01 je me suis dit que c'est peut-être quelque chose qui a fini par disparaître.
27:06 Pour moi, il y a un changement, et ça va demander encore un petit peu de temps,
27:10 mais à l'automne, elle rentre dans une période de changement plutôt positif dans ce sens-là.
27:14 D'accord ?
27:15 D'accord, c'est de bonnes nouvelles.
27:16 Merci Mireille.
27:17 Merci Alexandre.
27:18 Merci, prenez soin de vous.
27:20 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.
27:26 Et la parole est à Caro. Bonjour Caro.
27:29 Bonjour Alexandre.
27:30 Bienvenue sur Sud Radio.
27:32 Merci de m'accueillir.
27:34 Merci à vous.
27:35 Alors, Caro, vous travaillez dans une structure professionnelle
27:39 où il y a peut-être une mésentente avec vos collègues.
27:44 J'ai un peu de mal à trouver, suite à ma reconversion professionnelle,
27:49 je suis arrivé dans une équipe qui était déjà bien installée.
27:52 J'ai beaucoup de mal à trouver ma place, peut-être parce qu'on ne m'en laisse pas,
27:57 tout simplement, peut-être parce que j'ai beaucoup de mal à m'intégrer,
28:01 alors que je ne suis pas du tout de naturel difficile à trouver ma place.
28:07 Ça ne m'est jamais arrivé, ce qui fait que ça me déstabilise beaucoup,
28:11 me fait perdre ma confiance en moi, je suis dans un nouveau travail,
28:16 donc de nouvelles missions à acquérir,
28:20 une nouvelle expérience des compétences et tout ça.
28:26 Et c'est vrai que du coup ça me...
28:28 Qu'est-ce qu'on vous reproche aujourd'hui ?
28:30 On ne me reproche pas vraiment des choses,
28:35 mais les attitudes que l'on a envers moi qui me blessent
28:39 et qui me font pas mettre au trace de ma règle.
28:44 Oui, mais car pourtant vous aimez votre poste, votre métier, vous l'aimez.
28:50 Tout à fait.
28:51 Donc, mis à part l'entente et la relation humaine que vous avez dans votre entreprise,
28:58 vous vous sentez bien et vous êtes en phase avec votre métier.
29:03 Tout à fait.
29:04 Persévérez, persévérez vraiment,
29:07 mais à vous de lâcher un peu avec la peur du regard extérieur,
29:13 avec le sentiment que vous pouvez avoir de l'extérieur
29:20 et qui ne vous donne pas cette possibilité de vous mettre à l'aise.
29:24 Lâchez un petit peu, faites de l'humour et essayez de détendre un petit peu l'atmosphère.
29:29 Parce que oui, peut-être que ces personnes ne vous aident pas à vous sentir bien,
29:34 mais vous, je crois que vous êtes un petit peu renfermé,
29:37 vous voyez comme un peu replié sur vous-même
29:40 parce que vous vous sentez jugé, regardé, observé et tout ça.
29:44 Donc lâchez, allez-y avec beaucoup plus de détente.
29:48 Et vous allez voir que vous allez les désarmer en faisant ça.
29:52 Et faites de l'humour.
29:54 Ok.
29:55 Vous verrez Caro, ça peut marcher.
29:57 Parce que pour moi, je vous sens continué,
29:59 je vous sens duré dans la structure et je vous sens pas pour autant abandonné.
30:02 Et vous avez cette capacité à la persévérance.
30:05 J'ai cette capacité, oui, oui, tout à fait, je l'ai.
30:09 Tout à fait.
30:10 Je n'arrête pas à déstabiliser.
30:12 Bien sûr.
30:13 Et peut-être qu'il est important à un moment donné de discuter avec ces femmes,
30:18 entre elles, de vouloir dire, tenez, on va prendre un café,
30:22 on va boire un verre à l'extérieur et de leur expliquer, de leur dire,
30:25 moi je suis désolé, je me sens écarté, je me sens pas bien,
30:29 qu'est-ce qu'il y a, qu'est-ce que je pourrais améliorer ?
30:32 J'ai envie aussi de m'introduire dans l'équipe de travail, dans leur groupe.
30:39 Pas forcément, parce que chacun a le droit de choisir ses groupes,
30:42 mais en tous les cas, dans un état d'esprit, d'équipe, parce que vous avez envie.
30:46 N'hésitez pas à essayer d'anticiper et essayer d'avoir une approche avec eux.
30:52 Et vous allez voir que ça sera bien perçu par la suite.
30:56 Sur le moment, peut-être qu'elles vont prendre ça de manière légère,
31:02 mais vous verrez que ça aura un retour et ensuite ça apportera ses fruits
31:09 pour vous et pour votre résultat dans votre travail. D'accord ?
31:14 D'accord.
31:15 Allez Caro, je compte sur vous et rappelez-nous,
31:17 parce que je suis sûr que d'ici trois semaines, grand maximum,
31:21 tout va s'arranger et tout va s'améliorer et je veux de vos nouvelles.
31:26 Oui, je vous tiendrai au courant, c'est promis.
31:29 Merci.
31:30 Merci beaucoup.
31:31 Prenez soin de vous Caro.
31:32 Merci pour votre écoute. Merci beaucoup. Au revoir.
31:34 Et la parole est à Émilie. Bonjour Émilie.
31:42 Oui, bonjour Alexandre.
31:44 Bienvenue sur Sud Radio, Émilie.
31:46 Merci de m'en recevoir.
31:47 Vous nous appelez de Norbonne ?
31:49 Oui, c'est ça.
31:50 Et vous ?
31:51 Chaud, beau et chaud.
31:53 Beau et chaud, parfait.
31:55 Allez Émilie, vous nous appelez pour votre fils, Célestin.
31:58 Oui.
31:59 Alors, votre fils est dans un club de basket,
32:02 parce que là on vient juste de prendre votre appel et donc je prends note de l'information.
32:08 Il est donc dans un club de basket et ça ne se passe pas si bien que ça, c'est ça ?
32:14 Ça fait plusieurs années en fait.
32:16 Depuis une dizaine d'années, j'ai un ado et chaque année je trouve qu'il n'est pas valorisé,
32:25 pourtant il se donne et je ne comprends pas ce qui se passe en fait.
32:29 C'est un peu moi mon sentiment, j'aimerais avoir votre regard parce que je ne sais pas si c'est mon fils qui ne fait pas ce qu'il faut
32:36 ou si c'est eux qui l'ont un peu pris en grippe à tel point que cette année, lui il a envie d'arrêter.
32:44 Il n'en parle pas trop parce qu'il sait que ça ne m'atteint,
32:47 ça fait plusieurs années que je lui dis "fais autre chose, il adore le basket".
32:53 Voilà, donc je ne sais pas ce qui se passe.
32:56 Il a quel âge là aujourd'hui ?
32:58 Il a 16 ans.
32:59 Pardon, 16 ans ?
33:00 16 ans.
33:01 Oui.
33:02 Alors, c'est étrange parce que la décision c'est lui qui doit la prendre.
33:07 Effectivement, je le sens un petit peu, peut-être complexé.
33:11 Il a du mal à s'intérer, ce n'est pas uniquement par rapport à son manager ou à son coach ou autre,
33:20 c'est peut-être un ensemble de choses.
33:22 Il n'est peut-être pas dans la bonne équipe ou dans le bon club qui lui correspondrait.
33:26 Moi je serais lui, je tenterais un autre club et peut-être, est-ce qu'il a besoin d'aller vers un sport qui soit assez similaire
33:33 en termes de gérer d'activité, peut-être, est-ce que c'est après plus du hondes ou autre,
33:39 mais il y a quelque chose, ou du volet ou autre, mais il y a quelque chose qui ressort toujours avec une activité assez similaire.
33:46 Et je tenterais ou je le sensibiliserais à changer peut-être de club pour intégrer un autre état d'esprit.
33:54 Et vous allez voir que là, ça va changer beaucoup de choses.
33:56 Mais je ne le vois pas s'arrêter.
33:58 Non, non, non, ok, c'était un peu ma question.
34:01 Je me dis, moi je le tente à changer, je lui parle, je lui dis, peut-être que là ça ne se passe pas bien,
34:08 mais tu dois essayer autre chose.
34:10 Le même sport peut-être, mais dans un autre club.
34:13 Comme il est timide, et c'est vrai qu'il est un peu complexé, même s'il grandit, ça va mieux.
34:17 Mais il reste un peu, un petit peu en retrait, je trouve.
34:22 Et je pense que c'est ce qui joue mal dans l'équipe.
34:25 Mais il ne faut pas hésiter à l'accompagner aussi.
34:27 C'est-à-dire à dire, tiens, on va aller voir d'autres clubs, on va aller voir jouer d'autres clubs,
34:32 peut-être discuter avec des personnes pour qu'à un moment donné, ou avec des entraîneurs, avec des coachs,
34:38 et à un moment donné qu'il ait cette gnaque en disant, tiens, mon choix va se faire de cette manière-là.
34:44 Au lieu de s'enfermer sur lui, de continuer à entretenir ses complexes et de l'empêcher d'avancer, de se réaliser.
34:51 Oui, c'est ça.
34:52 Mais il a besoin d'un petit coup de pouce.
34:54 Bon, c'est normal, il a 16 ans, il se découvre.
34:57 Et je crois qu'il se sent peut-être un peu complexé sur certaines choses.
35:01 Mais tout ça, pour moi, peut se dépasser.
35:04 Et je suis persuadée que vous allez arriver à un meilleur résultat avec votre fils.
35:08 Et il a de bonnes capacités dans ce sport-là aussi.
35:10 Ok, ok, ok, très bien, c'est gentil.
35:12 De toute façon, ce n'est pas là que ça va se révéler.
35:15 Je pense qu'il vaut mieux qu'il sorte de ce club.
35:17 Je crois, je crois.
35:19 Mais bon, après, à lui de le ressentir et de décider.
35:22 Ok, très bien.
35:24 Merci beaucoup Alexandre.
35:25 Merci.
35:26 Bonne continuation et merci pour tout ce que vous faites.
35:29 Merci à vous, on vous embrasse.
35:30 Au revoir, au revoir.
35:32 Et oui, c'est peut-être à vous de passer à l'antenne de Sud Radio dans l'émission.
35:36 À votre écoute, faites-le en appelant le 0826 300 300.
35:42 On se retrouve dans quelques minutes avec Sandrine.
35:45 Après une fin de relation difficile, parce que Sandrine, elle était amoureuse.
35:49 Et on a le droit d'être amoureux, d'être amoureuse, peu importe.
35:52 Et elle est enfin prête peut-être à rencontrer l'amour.
35:56 Va-t-elle y parvenir ?
35:58 Bien, je vous dirai ça dans quelques minutes.
36:00 Ne bougez pas.
36:01 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:06 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie.
36:09 Avant de retrouver les revois présentés par Philippe David et Cécile Dominibus.
36:13 Il vous reste encore quelques minutes pour passer dans votre émission.
36:16 À votre écoute, je vous rappelle que l'émission est en direct.
36:19 Donc, tentez votre chance au 0826 300 300.
36:23 La parole est à Sandrine. Bonjour Sandrine.
36:26 Bonjour Alexandre et merci de me recevoir.
36:30 Merci à vous et merci de votre fidélité à l'antenne de Sud Radio.
36:34 Sandrine, vous êtes de Toulouse.
36:36 Vous êtes secrétaire de direction en ressources humaines.
36:39 Et il y a presque trois ans, vous avez mis fin à une relation qui vous a été difficile.
36:45 Parce que vous étiez très amoureuse.
36:47 Ce sont les infos que j'ai.
36:49 C'est des très bonnes informations.
36:51 Bon, vous n'allez pas me contredire.
36:54 Pourquoi ça s'est arrêté, cette histoire ?
36:57 Nous avions des différends par rapport aux enfants, beaucoup.
37:03 Et puis, à plusieurs reprises, on aurait dû se mettre ensemble sous le même toit.
37:10 Et à chaque fois, il a reculé.
37:12 Et j'ai trouvé au final que c'était sûrement un prétexte, les enfants.
37:17 Il y a quelque chose que je ne sentais pas.
37:19 J'ai perdu confiance.
37:21 Et je crois que j'ai bien fait parce que je pense que ce n'était pas la bonne personne pour moi.
37:25 Il m'a permis de sortir d'un mariage qui était compliqué.
37:28 Mais voilà, je crois que ce n'était pas...
37:32 Alors, je vais vous poser une question peut-être un peu délicate.
37:36 Mais comment on peut être amoureuse en sachant que ce n'est pas la bonne personne pour avancer, évoluer ?
37:42 Je crois qu'il y avait un attachement un peu nocif.
37:46 J'étais tellement, tellement attachée.
37:49 Je n'avais jamais vécu ça.
37:51 Je trouvais que c'était très violent par moments, quand on était absent.
37:55 Et ça me faisait...
37:57 On n'avait pas la même énergie.
38:00 On n'avait pas le même rythme de vie.
38:02 Il y avait beaucoup de choses qui étaient décalées.
38:05 Et moi je fatiguais, je fatiguais, je fatiguais.
38:07 Je perdais mon énergie en fait.
38:09 D'accord.
38:10 Et aujourd'hui, vous avez envie d'ouvrir votre cœur, de laisser place à l'amour
38:15 et de faire une belle rencontre, c'est ça ?
38:18 Oui, exactement.
38:19 Vous ne l'avez pas encore faite.
38:20 Eh bien non.
38:21 Et j'avoue que je suis un peu impatiente parce que je suis à cette rupture.
38:26 Je suis beaucoup, beaucoup sortie de ma zone de confort.
38:29 Je suis beaucoup sortie.
38:30 Je refais un environnement social, avec des pots et des bas quand même.
38:34 Et voilà.
38:36 Et donc je me sens prête.
38:38 Et j'aimerais savoir si vous voyez quelque chose pour moi.
38:41 Alors, ma chère Sandrine, vous allez penser à votre devenir sentimental.
38:44 Vous allez me donner une couleur qui vous vient tout de suite.
38:47 Le rose.
38:48 Le rose.
38:49 Effectivement, un besoin de douceur, d'épanouissement, de rêver un petit peu avec cette couleur-là.
38:55 Et aussi de sérénité.
38:58 Bien, oui, pour moi il y a une possibilité.
39:01 Bon, déjà de rencontre, alors ça c'est une bonne nouvelle.
39:04 Mais pas tout de suite, Sandrine.
39:06 Pas tout de suite.
39:07 Je sens qu'il y a encore un besoin de temps.
39:09 Il y a encore peut-être une échéance à passer.
39:13 Et peut-être aussi des priorités.
39:16 Alors, j'ai l'impression que ça peut être des priorités par rapport à votre entourage autour de vous.
39:20 Et qui demande à ce que vous devez vous occuper d'eux un peu pour après faire cette belle rencontre.
39:26 Mais vous allez faire une rencontre avec une personne qui sera aussi disponible et qui sera vraiment dans votre même état d'esprit que vous.
39:34 Et là, on parlera d'une belle histoire à construire et qui va pouvoir durer du long terme et peut-être finir votre vie ensemble.
39:42 D'accord.
39:43 Et vous voyez ça quand ? Parce que ça ne compte pas.
39:46 Une période, une petite année.
39:48 Une petite année.
39:49 Ah oui, c'est pour ça.
39:51 D'abord, il y a d'autres choses à vivre.
39:53 Merci Sandrine.
39:54 Prenez soin de vous.
39:56 Oui, Alexandre.
39:57 Merci.
39:58 Et pour conclure, je dirais, la fidélité repose aussi sur un sentiment d'admiration de l'autre.
40:03 Et moi, j'admire comme tous les jours le moment venu d'admirer peut-être Philippe David.
40:08 Bonsoir.
40:09 Vous me flattez.
40:10 Ecoutez, je rebondis.
40:12 C'est très touchant.
40:13 Bonsoir Alexandre Delovane.
40:14 Au menu des vrais voix, évidemment, spécial Jour J, D-Day.
40:19 A l'occasion du lancement des cérémonies du 80e anniversaire du débarquement, Emmanuel Macron a loué hier l'esprit de sacrifice des libérateurs de la France.
40:27 Et on vous pose cette question.
40:28 Serait-on prêt aujourd'hui à sacrifier sa vie pour défendre la France ?
40:32 Vous pensez que oui, on serait capable de mettre sa peau en danger pour défendre la République, nos institutions, le territoire national, notre civilisation ou pas ?
40:42 Appelez-nous au 0826 300 300.
40:45 À 18h35, Macron a-t-il raison de parler de « montée des périls » ?
40:49 Hier, il a parlé de la montée des périls.
40:51 Alors pour vous, les périls, c'est quoi ?
40:53 C'est la Russie ou c'est, avec des arrières-pensées, les élections européennes à venir où Macron fera un parallèle entre la montée des populismes et l'extrême droite à l'époque en Europe ?
41:03 Venez nous le dire au 0826 300 300, nos trois vrais voix du jour.
41:07 Philippe Bilger, Françoise Degoy et Luc Gras.
41:10 Belle émission.
41:12 Radio à votre écoute 16h-17h.
41:15 Alexandre Delovane.

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