"J'ai hurlée devant ma DRH" - À Votre Écoute

  • il y a 3 mois
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-06-03##

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00:00Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et e-mail présente
00:07Sud Radio, à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Deleuvene
00:20Bonjour à tous, ravi de vous retrouver pour une nouvelle semaine. Ça y est,
00:24nous sommes dans le mois du solstice de l'été. L'été peut parfois déclencher, malgré tout,
00:30une baisse de moral ou un état de malaise et constituer pour certaines personnes des
00:36doutes et des remises en question sur son avenir. Que ce soit d'un point de vue professionnel,
00:41sentimental ou familial, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300. On prendra tous vos appels,
00:49mais aussi depuis notre adresse de contact à votre écoute, arrobasudradio.fr.
00:55Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Deleuvene.
01:00Au programme de l'émission, j'aurai le plaisir d'accueillir Marion et son frère en resto et
01:07depuis le Covid, impossible de remonter la pente. Nous aurons aussi Cécile qui est en pleine
01:13séparation suite à la dépression de son compagnon qui nécessite un suivi psychiatrique. J'aurai
01:19aussi Sophia qui a craqué, elle s'est mise à hurler devant tous ses collègues. Et bien
01:25entendu, nous aurons d'autres auditeurs que nous prendrons en direct et durant l'émission.
01:31Allez, j'accueille à présent Valérie. Bonjour Valérie.
01:34Bonjour Alexandre.
01:37Bienvenue sur Sud Radio Valérie.
01:39Merci de me recevoir.
01:42Merci. Valérie, vous avez passé un bon week-end ?
01:46Oui, très bien. Il a fait beau, donc j'ai bien profité du soleil. C'était très bien.
01:55Bon, très bien. Vous nous appelez des Pyrénées-Atlantiques, vous travaillez dans une école,
02:01vous avez 53 ans et sentimentalement, mais c'est pas tout à fait ça.
02:06Exactement. Je suis dans une relation depuis 5 ans avec une personne qui habite à peu près à
02:18une heure de chez moi. Donc on va dire que les deux ans et demi du début de la relation se
02:26sont bien passés. Tout se passait très très bien avec des projets de voyages et autres. Et puis,
02:35comme beaucoup de relations au fil du temps, moins de projets, moins d'envie de se voir,
02:42etc. Donc moi, ça fait à peu près deux ans où de mon côté, j'ai exprimé mes sentiments,
02:50que ça descendait, que ça s'est filoché avec le temps. Et pas trop d'action de l'autre côté,
02:57pas trop de mots non plus, parce que c'est un taiseux sur ce qui est de l'ordre de ses émotions.
03:04Et puis là, on se voit très très peu, ça se passe bien, mais de mon côté, il n'y a plus de
03:13sentiments amoureux. D'accord. Donc en sorte, c'est une relation qui se termine et qui s'épuise au fil
03:20du temps, non ? C'est ça. Le hic, et c'est pour ça que je vous appelle, c'est que vraiment c'est
03:27quelqu'un de très respectueux, gentil, sur qui je peux compter quant à les épreuves de la vie,
03:35les problèmes qui sont toujours présents. Voilà, donc j'ai vraiment du mal à arrêter cette relation
03:43parce que c'est quelqu'un de fiable, de stable malgré tout. Il y a quand même un attachement
03:49affectif, même si les sentiments ne sont plus vraiment là ou ont du mal à se formuler. Mais
03:55en tous les cas, oui, l'attachement affectif est là. C'est ça, tout à fait. Et donc votre question,
04:02c'est laquelle ? Alors ma question, c'était sur mon avenir sentimental. Est-ce que je vais faire
04:13une autre rencontre ? Quand est-ce que je vais être capable d'arrêter cette relation ? Je me
04:22sens m'enfermer moi-même dans cette relation. Il y a beaucoup de respect, d'affection, et du coup,
04:29ne pas pouvoir ouvrir sur une autre histoire, une éventuelle autre histoire. Oui, c'est vrai qu'en
04:36vous écoutant, j'ai l'impression que vous piégez un petit peu dans le sens où, à la fois, vous
04:41entretenez cette relation parce que vous y trouvez quand même un côté agréable de cette personne,
04:50et aussi de ce que ça peut apporter et nourrir dans votre quotidien. Et puis, il y a une véritable
04:58souffrance parce qu'il n'y a pas ce « waouh », ces sentiments qui sont là et qui ne donnent pas
05:06l'envie de se projeter et d'aller plus loin. Après, à vous de vous écouter, à vous de prendre
05:13une décision, à vous aussi d'être peut-être un peu plus ferme avec vous-même et de vous respecter.
05:20C'est peut-être avant tout ce qu'il y a de plus important, de se respecter, c'est-à-dire qu'à un
05:27moment donné, non pas de se forcer à faire les choses, mais tout simplement de se dire « est-ce
05:32que je mérite ça ? » et « est-ce que je ne le mérite pas ? » et de prendre une véritable décision,
05:38et non pas de rester un petit peu dans cette notion, dans cette décision. Surtout que vous,
05:44vous connaissez votre lien que vous avez avec lui, l'attachement que vous avez avec lui,
05:50même peut-être un peu le sentiment, parce que même s'il n'y a pas un sentiment d'amour,
05:54mais il y a peut-être sûrement un sentiment d'affection et d'attachement qu'il y a. Mais
05:59lui, peut-être qu'il souffre aussi de ne pas avoir une femme face à lui qui s'engage plus. Donc,
06:05pensez à lui aussi et à son bien-être. Et son bien-être, c'est peut-être de prendre une véritable
06:11décision. Et pour moi, c'est ce que vous allez faire. Vous allez décider, peut-être que ça va
06:15demander encore un petit peu de temps, mais je sens que vous allez décider courant de cet été. Alors,
06:20cet été, là, c'en est, les chances sont là. Et puis, après, sur votre future réalisation
06:27sentimentale, l'automne, vous rentrez dans une période où là, les choses vont pouvoir à nouveau
06:32se décider, se proposer pour vous et avoir une opportunité de rencontrer une belle personne et
06:42avec qui vous aurez cette capacité de faire quelque chose sur du long terme. Et surtout,
06:48une personne qui, en termes de distance géographique, n'est pas très loin de chez vous.
06:54Très bien. Alors, affaire à suivre. Effectivement, Valérie. Mais vraiment,
07:03si j'ai un petit conseil à vous donner, c'est écoutez-vous et ne vous faites pas de mal et ne
07:09lui faites pas du mal. Oui, c'est la peur de perdre. Oui, je comprends. Mais parfois, la peur de prendre
07:19la décision crée des dégâts. D'accord ? Merci. Prenez soin de vous. Merci à vous. Et juste pour
07:27vous dire que j'adore votre émission, je l'écoute très souvent. Et malgré, même si c'est bien sûr
07:37des histoires différentes, on peut toujours trouver un écho en soi. Donc, c'est pour ça que j'aime
07:43beaucoup votre émission. Et voilà, je voulais vous remercier de ce que vous faites. Il y a beaucoup
07:47de personnes qui se retrouvent dans votre cas, qui ont peur de faire du mal à l'autre et qui ne vont
07:53pas dans cet engagement-là. Mais parfois, d'être honnête avec soi-même, ça permet de libérer
07:59l'autre et peut-être de faire mal au début, mais après de se sentir beaucoup mieux. C'est pour ça
08:03que je vous conseille de réfléchir et de penser pour vous et pour les autres. Je vous remercie
08:10beaucoup. A très bientôt. Bonne continuation. A bientôt. Au revoir.
08:14Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Deleuvenne.
08:19Et la parole est à Anne. Bonjour Anne.
08:22Oui, bonjour Alexandre. Merci de me permettre d'accéder à votre émission.
08:28Oh, mais je vous le permets gracieusement.
08:30Oui, oui, oui. Et de bénéficier peut-être de vos intuitions, voilà.
08:35Merci.
08:36Par rapport à ma question.
08:38Oui, alors Anne, si vous me permettez, vous avez 68 ans, vous vous appelez de la région lyonnaise.
08:43C'est ça.
08:45Vous êtes une jeune retraitée.
08:46Oui, si on veut. Active, en tout cas.
08:50Active, oui, on le voit. Mais même la voix, vous avez une voix assez jeune. Et vous avez un projet
08:57qui concerne aussi votre fils, parce que vous avez envie de vous rapprocher d'un lieu, d'un
09:04département, d'une région qui vous tient à cœur. Peut-être de vos racines, non ? C'est l'Hérault ?
09:11Oui, alors ce sont mes racines méditerranéennes, je dirais. Ce n'est pas spécifiquement l'Hérault.
09:17Mais j'y connais beaucoup de monde. J'y vais depuis 40 ans. Et oui, en effet, donc j'ai ce
09:23projet d'un achat de terrain pour une petite construction. Mais ce projet est conditionné à
09:30la vente du chalet qui appartient aujourd'hui à mon fils et ma belle-fille, parce qu'ils
09:36participeraient, si vous voulez, à ce projet. Mais de manière plus élargie, mes enfants
09:40participeraient, mes trois enfants participeraient au final à ce projet. Mais c'est vrai que c'est
09:47très conditionné à la vente de son chalet qui traîne.
09:50Voilà. Et à la suite de cette vente de ce chalet, ça permettrait pour vous de faire l'acquisition d'un lieu, d'un endroit,
09:57et de construire pour en faire bénéficier vos enfants ?
10:01Ou comment ça se passerait ?
10:03Pour moi, en résidence principale, mais ça serait sous une forme familiale, si on veut rentrer un petit peu dans le détail.
10:10Ce qui fait que mes enfants pourraient, après moi, garder ce lieu.
10:16D'accord. Alors, votre question, c'est de savoir si votre fils va pouvoir vendre ce chalet pour que vous puissiez faire l'acquisition de ce lieu.
10:24Vous avez déjà repéré un lieu ou un endroit ?
10:27J'ai déjà repéré un endroit. C'est quelque chose qui va sortir, le projet sortira en 2025, c'est-à-dire qu'il y aura capacité d'acheter des terrains en 2025.
10:37D'accord. Vous y croyez ?
10:39Là, j'y crois beaucoup, oui. J'avais des doutes et là, j'y croyais beaucoup.
10:43Et vous croyez au potentiel de pouvoir vendre et d'arriver à vendre le chalet de votre fils ?
10:50Alors, oui, parce qu'aujourd'hui, je crois qu'ils sont au prix. Ils n'ont pas été bien aiguillés dès le départ par les professionnels qui se sont positionnés sur les marchés d'avant la crise.
11:05Et aujourd'hui, je pense que c'est le prix.
11:08Écoutez, moi, je pense que vous pouvez continuer à y croire parce que vous verrez qu'à la période de septembre... Ah, il y a une petite coupure, vous êtes en double appel.
11:17Non, non, je suis là.
11:19À la période du mois de septembre, vous allez avoir une opportunité, une possibilité, enfin, en tous les cas, votre fils aura cette opportunité, cette possibilité de pouvoir avoir une offre pour vendre son chalet.
11:33Et les papiers vont se signer. Il y a un compromis qui se signe. Donc, après, bien sûr, il y a un délai, mais j'ai l'impression que pour la fin de l'année, on a avancé sur le projet,
11:43sur l'idée de pouvoir aller à la réalisation de votre futur projet dans les ronds.
11:49Eh bien, oui, pour moi, ça passe et ça va se réaliser.
11:53Bon, c'est génial. C'est génial.
11:56Oui, c'est génial.
11:58Oui, c'est génial parce que c'est un projet que j'ai longtemps à l'intérieur de moi, depuis longtemps, et que je n'osais pas forcément mettre en avant ou mettre en évidence.
12:09Eh bien, écoutez, ça va se faire et vos enfants seront aussi ravis et heureux de pouvoir se réaliser dans ce projet-là aussi.
12:17Merci à vous, Anne.
12:19Merci beaucoup, Alexandre. Merci, merci.
12:21Prenez soin de vous.
12:23Oui, et bonne continuation. Merci beaucoup. Bonne émission.
12:25Et nous, on se retrouve dans quelques minutes avec Sophia. Alors, Sophia, actuellement, est dans un état où elle est repliée sur elle-même.
12:34Elle ne dort plus. Elle a du mal à aller vers les autres. Et dans son travail, eh bien, figurez-vous qu'elle a craqué.
12:40Elle s'est mise à hurler devant tous ses collègues. Alors, s'agit-il d'un burn-out ? On en parle juste après.
12:47Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Deloval.
12:53Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission.
12:57Alors, c'est le moment de poser toutes vos questions ou de témoigner à l'antenne au 0826-300-300, Ode aux standards vous attend.
13:06Et avant de retrouver notre prochaine auditrice, Sophia, c'est le moment du Saviez-vous ?
13:11Le Saviez-vous ? Selon une étude récente par Opinion Way, 34% des salariés français seraient en burn-out et parmi eux, 13% en burn-out qualifiés de sévère.
13:23Alors, au total, soit plus de 2,5 millions de personnes qui auraient vécu un burn-out.
13:30Et si vous avez besoin de témoigner ou vous avez vécu ce genre de choses, n'hésitez pas à le faire sur le groupe, à votre écoute, sur Facebook ou tout simplement de venir témoigner à l'antenne.
13:39Et à présent, j'accueille Sophia. Bonjour Sophia.
13:43Bonjour Alexandre.
13:45Bienvenue sur Sud Radio, Sophia.
13:47Merci de m'accueillir sur votre antenne, dans votre émission.
13:50Vous avez contacté en 2021 pour une question amoureuse et vos predictions ont été réalisées, même si ce n'est plus d'actualité, donc vous aviez bien dû.
14:00Bon, merci. Et aujourd'hui, vous appelez pour un autre sujet.
14:05Oui, voilà. Je travaille depuis 20 ans dans l'insertion des jeunes.
14:08J'ai subi deux agressions il y a 15 ans, pas reconnues par mon employeur, donc j'ai fait une dépression assez longue et lourde.
14:17Et trois ans après, j'ai été accompagnée par ma direction et là, j'ai pu m'en remettre, même s'il y a eu un procès, etc.
14:25Et donc, depuis deux ans, les situations changent. Les jeunes sont de plus en plus en difficulté.
14:32On a de plus en plus de pression, on doit mettre les jeunes dans des cases.
14:35Chaque fois qu'une personne s'en va, elle n'est pas remplacée et on distribue à ceux qui sont présents.
14:42Et j'alerte moi depuis deux ans. Ma direction crie trop, je ne suis pas entendue.
14:47J'ai fait un burn-out l'année dernière en mai. Comme j'ai eu des promesses, j'ai repris au bout de deux mois.
14:52Et cette fois, c'est plus lourd. Donc depuis mars, j'ai craqué, j'ai hurlé après ma RH, après ma responsable,
15:01à force de demander, d'attendre, etc. Et sans me rendre compte, j'ai fait un burn-out.
15:07Et là, je suis sous antidépresseur, anxiolytique, je m'endors à 3-4 heures du matin.
15:12Je ne peux plus répondre à des amis, sauf mes enfants et mes petits-enfants. Je ne peux pas faire autrement.
15:18Je suis fatiguée, épuisée. Je fais des crises d'angoisse. Je vois que je vais aller un peu mieux.
15:26Mais je voudrais savoir si vous voyez quelque chose de positif après.
15:30Est-ce que je vais reprendre dans quel contexte, avec cet employeur ? Comment ?
15:34J'ai 61 ans maintenant. Je dois encore travailler. Je suis très fatiguée.
15:39Je comprends. Et on l'entend aussi au travers de votre voix, qu'il y a une fatigue.
15:44Il y a aussi des angoisses qui ressortent réellement.
15:48Alors, je vais vous poser une question parce qu'en dehors de l'activité professionnelle,
15:53vous avez bien donné les choses et vous avez bien expliqué.
16:01Mais est-ce qu'aujourd'hui, et là on est hors contexte professionnel,
16:06est-ce qu'aujourd'hui, par rapport à votre lieu de vie, vous êtes bien ?
16:11Je suis un peu embêtée parce que je dois m'occuper de la maison de mes parents.
16:15Ils habitent régulièrement parce qu'il y a tout l'entretien à faire.
16:20Mon père est en besoin de retraite et ma mère est décédée.
16:22Puis j'ai ma maison à moi. C'est un petit appartement. Donc je vogue entre les deux.
16:28Pourquoi je vous pose cette question ? Parce que pour moi, cette angoisse qui est générée,
16:34alors bien sûr qu'il y a le côté professionnel qui est là, effectivement.
16:37Et puis il y a des méthodologies et des process aujourd'hui qui ne s'adaptent peut-être,
16:42je ne veux pas dire pas, mais en tout cas qui fonctionnent peut-être pas très bien par rapport aux besoins.
16:48Et puis bon, voilà, je ne suis pas là pour essayer de vouloir donner certaines vérités ou quoi que ce soit.
16:56Mais pour moi, ce que je ressens, c'est que vous êtes dans une fragilité. Pourquoi ?
17:02Parce qu'autour de vous et dans votre environnement, il y a un stress, il y a un manque de repères, il y a une perte de repères.
17:10Alors peut-être que cette maison avec les parents crée trop de surcharges pour vous, émotionnellement, je parle.
17:17Excusez-moi, il y a aussi que j'ai un frère handicapé.
17:21Très lourdement dont je dois m'occuper, mon père handicapé et en même temps en maison de retraite.
17:26Donc ça fait beaucoup de choses.
17:27Ça fait beaucoup, voilà, exactement. Et pour moi, c'est l'extérieur au-delà du travail,
17:33où là, bien sûr, le travail ne fait que rajouter la pression dans laquelle vous êtes,
17:39mais l'environnement extérieur devient trop lourd et trop compliqué pour vous.
17:44Alors ne vous précipitez pas, prenez ce temps nécessaire pour vous reposer,
17:48pour peut-être suivre une thérapie, pour vous faire accompagner.
17:52J'ai un psychiatre et une psychologue.
17:55Oui, continuez comme ça. Pour moi, vous allez reprendre votre travail,
17:59mais peut-être avec une reprise à mi-temps, thérapeutique, où il faudra peut-être négocier avec eux
18:05pour que dans une période d'à peu près d'un an et demi, vous puissiez décider de terminer ou d'arrêter.
18:13Alors je ne sais pas dans combien de temps votre retraite, mais en attendant, il y aura peut-être...
18:17Trois ans.
18:17Trois ans, d'accord. Alors dans un an et demi, pour moi, il y aura quelque chose qui va changer ou qui va évoluer,
18:22et le temps d'aller jusqu'à la retraite et de pouvoir finir tout ça convenablement.
18:28Mais vraiment, c'est l'extérieur qui aujourd'hui est en train de vous asphyxier et donc de devenir trop difficile.
18:35Et comment faire ?
18:36Comment faire ? C'est difficile à dire, parce que c'est votre famille et vous ne pouvez pas abandonner votre famille.
18:43Donc c'est pour ça, il faut vous faire accompagner et travailler aussi sur une bonne gestion.
18:49N'hésitez pas à nous tenir au courant, Sophia.
18:52D'accord, vous voulez une amélioration quand même ?
18:53Oui, oui, une amélioration, mais prenez ce temps nécessaire pour prendre soin de vous et de mieux gérer les choses, d'accord ?
19:01Merci beaucoup, Alexandre.
19:02Merci, prenez soin de vous.
19:03Merci, au revoir.
19:05Et à présent, vous avez, vous, peut-être un doute, vous avez des questionnements sur votre devenir,
19:11n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300.
19:15Nous, on se retrouve dans quelques instants avec Cécile.
19:18Alors, Cécile est en couple depuis 7 ans.
19:21À ce jour, elle est en pleine séparation.
19:24Le souci se pose sur le logement à venir.
19:27Va-t-elle pouvoir se reloger ?
19:29Ne bougez pas, on en parle juste après.
19:32Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:37Et de retour sur Sud Radio, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent dans l'émission À votre écoute.
19:43Je rappelle que nous sommes en direct et si comme Sophia, notre précédente auditrice,
19:48vous avez vécu un burn-out ou bien vous avez d'autres questionnements concernant votre futur,
19:53appelez le 0826 300 300.
19:57On prend tous vos appels et nous sommes, je rappelle, en direct.
20:01Et à présent, je vais vous donner quelques petits conseils pour sortir d'un burn-out.
20:05Alors, il y en a plein de conseils, mais voilà, j'en ai sélectionné quelques-uns.
20:09Dans un premier temps, pratiquer des exercices physiques et musculaires régulièrement.
20:13C'est important pour donner une réoxygénation à notre système cérébral.
20:20Mener aussi un mode de vie sain et il faut s'alimenter correctement.
20:24Faire part de ces difficultés à un professionnel de la santé et à des personnes aussi de confiance qui sont proches de vous.
20:31Alléger vos responsabilités et la surcharge des tâches ou du travail à effectuer.
20:37Faire des pauses régulières et apprendre à dire non.
20:40Alors ça, ce n'est pas évident, mais c'est un principe qu'il faut avoir pour justement s'économiser
20:46et éviter de repartir dans un état de stress.
20:48Effectuer des activités relaxantes telles que la méditation, le yoga ou encore la sophrologie.
20:54Le massage, c'est pas mal aussi pour détendre le corps et développer la créativité.
21:00Ce qui est important pour redonner de la confiance en soi.
21:04Et à présent, j'accueille Cécile.
21:09Bonjour Alexandre.
21:11Bienvenue sur Sud Radio.
21:13Merci.
21:14Alors Cécile, vous avez 51 ans, vous appelez de l'Aveyron, vous travaillez dans le commerce, c'est bien ça ?
21:22C'est parfait, oui.
21:23Et vous avez été avec votre compagnon pendant 7 ans, ou même plus de 7 ans.
21:295 ans chacun chez soi et 2 ans de vie commune, oui.
21:34D'accord, d'accord.
21:35Et aujourd'hui, votre compagnon a des troubles nerveux, psychologiques, il fait une grosse dépression, c'est ça ?
21:43Tout à fait, oui.
21:44Est-ce qu'il y a eu un événement particulier qui l'a amené justement à cette dépression ?
21:50Une surcharge de travail en fait.
21:53Ça a commencé au travail et il a voulu s'arrêter, chose qu'il n'aurait certainement pas dû faire.
21:58Parce qu'en fait, il s'est coupé de son monde social et vu qu'il n'avait pas d'activité physique autrement,
22:05donc il est resté à la maison enfermé pendant un an.
22:09Donc on sortait, on essayait de sortir, moi j'essayais de me motiver, c'était compliqué.
22:14J'ai invité du monde pour ne pas qu'il se coupe quand même du monde.
22:19Mais en fait, il avait le goût à rien et puis plus ça allait, plus il s'est enfoncé.
22:25Donc il est suivi par un psychiatre.
22:27Le psychiatre l'encourage à aller voir, à partir en hôpital psychiatrique, mais il a peur de ça.
22:34Il voit tout en noir en fait.
22:35Et il y a 3 semaines, il est parti, il a quitté la maison pour retourner chez sa mère.
22:40Peut-être pour me soulager moins, je ne sais pas, il n'en peut plus de cette maison.
22:46Parce qu'en fait, c'est dedans qu'il a fait sa dépression.
22:51Il était en dépression, donc il était toujours dans la maison, donc il ne la supporte plus.
22:55Et il ne veut plus que je supporte son mal-être, donc je pense qu'il a fait ça aussi pour moi.
23:04Mais voilà, moi la maison toute seule, je ne peux pas la garder ou louer une maison.
23:09Donc moi je suis dans l'obligation de déménager, donc là j'ai du mal à trouver un logement.
23:14Lui, il me dit qu'il veut se soigner et qu'après il reviendra peut-être vers moi, après on ne sait pas.
23:21Donc je voulais savoir où c'est qu'en était ma situation sentimentale
23:24et savoir si moi j'allais trouver un logement parce que c'est très compliqué en fait.
23:28Cette maison, vous ne pouvez pas la mettre en location ?
23:32Mais elle n'est pas à nous.
23:33Elle n'est pas à vous, d'accord.
23:35On l'a louée, on l'a louée.
23:36Ah ok d'accord, c'est juste une location, d'accord.
23:38Avec une maison à l'ensemble.
23:40Alors peut-être, c'est ce que je ressentais aussi, l'histoire de la location,
23:43c'est peut-être parce qu'après elle sera amenée à être louée, à continuer à être dans la location, c'est peut-être pour ça.
23:48Oui, c'est très étrange, Cécile, mais effectivement je ne vois pas votre histoire terminée.
23:55Je sens que votre compagnon, lui, il est dans une véritable dépression,
23:59alors après il n'y a qu'un psy qui pourrait définir son degré de dépression, ou un psychiatre.
24:05Ah mais il n'a pas eu de psychiatre, c'est une dépression profonde.
24:07Oui, voilà, et il a un suivi, mais c'est peut-être au-delà du burn-out,
24:12en tous les cas il y a quelque chose de profond chez lui.
24:15Il y a aussi l'absence du père, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, il a perdu son père ?
24:21Oui, il a perdu son papa, justement quand il avait 15 ans, 59 ans.
24:24Son papa a eu un anébrisme à 59 ans et il a été handicapé pendant 15 ans.
24:32Il a perdu il y a 8 ans, mais en fait à 59 ans il a eu un anébrisme à l'âge où mon compagnon a.
24:40Et je crois que chez lui il y a des traumatismes qui sont liés au départ de son papa
24:47et qui remontent à la surface, alors peut-être qu'il n'exprime pas forcément,
24:51mais il y a quelque chose de compliqué, de difficile.
24:55Il faut patienter un petit peu, c'est-à-dire qu'effectivement il veut vous protéger,
24:59il demande à ce qu'il y ait une séparation, je ne le sens pas vouloir couper définitivement
25:04et je ne le sens pas vouloir se séparer de vous pour une raison d'une relation cachée ou quoi que ce soit,
25:10c'est juste pour, voilà, c'est dans un but de se soigner.
25:13Après vous, je vous sens pouvoir vous réinstaller, retrouver une habitation
25:18et vous allez voir que par le biais d'un entourage, notamment une femme,
25:21va vous donner l'opportunité de trouver une habitation pour vous reloger dans des conditions correctes
25:27et avec des facilités pour éviter que vous soyez dans la difficulté.
25:31Donc tout ça va se décider, va se mettre en place, courant d'ici entre juin et juillet,
25:36où là les choses vont pouvoir se faire et se mettre en place le temps que lui se récupère
25:41et de laisser le temps de quelques mois et ensuite reprendre une relation ensemble
25:46parce qu'il y a malgré tout un attachement, il y a un lien qui vous unit à tous les deux,
25:52sauf qu'il y a une période, je dirais, compliquée et peut-être prioritaire
25:59sur le plan de la santé chez lui et pour lequel il a pris cette décision-là
26:03et ça peut se comprendre aussi.
26:07Oui, après je ne le laisse pas tomber, on s'appelle, on est en contact, voilà.
26:12Exactement, mais pour moi ça ne se termine pas.
26:15Et pour vous, vous avez l'impression qu'il va les faire hospitaliser parce qu'il a tellement peur ?
26:19Non, je ne crois pas, ou alors ce sont des hospitalisations qui sont juste des hospitalisations de jour,
26:25quelque chose de manière régulière, mais je pense qu'il peut sortir.
26:29Après attention, je ne suis pas le médecin, je ne fais pas de diagnostic à l'antenne, bien entendu.
26:33Mais pour moi, je le sens en tous les cas sortir de cette période sombre, d'accord ?
26:39Merci à vous Cécile, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
26:42Merci beaucoup Alexandre, bonne journée à toi.
26:49La parole est à Marion, bonjour Marion.
26:51Bonjour Alexandre.
26:53Bienvenue sur Sud Radio Marion.
26:55Merci beaucoup.
26:57Alors Marion, vous avez 39 ans, vous êtes jeune.
26:59Oui.
27:01Vous êtes en Gironde et vous travaillez dans le domaine de la restauration avec votre frère.
27:05Oui, pas uniquement, on est associés tous les deux sur une entreprise en effet.
27:11Depuis combien de temps ?
27:13On a aussi une équipe de collaborateurs.
27:16Sur cette entreprise depuis 2015 et avant ça on travaillait dans le restaurant familial ensemble depuis 2010.
27:22D'accord.
27:24Donc vous avez créé cette structure, c'est un seul restaurant que vous avez ?
27:30Alors il y a plusieurs établissements à l'intérieur de restauration
27:36et puis avec la crise Covid, il a fallu un petit peu se diversifier pour maintenir notre activité.
27:40Donc on fait aussi de la livraison de repas en entreprise.
27:45Donc jusque là, jusqu'à la Covid, tout se passait bien et puis la Covid est arrivée et là ça est devenu un peu plus compliqué.
27:51Et aujourd'hui il se pose la question de savoir qu'est-ce qu'on doit faire, non ?
27:57Exactement, sachant que l'entreprise est dans une situation un peu délicate parce qu'on avait fait un gros investissement
28:03avec des travaux, achats de bâtiments, travaux etc.
28:07qui se sont terminés en mars 2020, veille du premier confinement.
28:14Et cet investissement aujourd'hui pèse très lourd puisqu'il faut rembourser des échéances bancaires
28:18et clairement l'entreprise aujourd'hui n'est pas en capacité de rembourser ses emprunts
28:24et également un emprunt souscrit durant la période Covid.
28:28Donc nous avons été placés en redressement judiciaire il y a deux mois
28:32qui est en quelque sorte une opportunité de redresser la barre
28:38tout en étant exempté pendant un certain temps d'échéances bancaires.
28:44Mais voilà, c'est ma question parce que mon frère est très optimiste et très fonceur
28:50là où moi je suis beaucoup plus réservée et j'ai plutôt une tendance à avoir le verre à moitié vide.
28:56Donc on se complète mais moi ça me perturbe beaucoup, j'ai envie de le croire et d'aller avec lui
29:02et en même temps je sens que c'est plutôt la fin d'une histoire.
29:06Moi je crois aussi, sincèrement je crois aussi.
29:10On est à la fin d'une histoire, à la fin d'un chapitre, à la fin d'un cycle.
29:14Il ne faut pas le prendre de manière catastrophique même si je comprends que derrière ça
29:18vous avez des hommes qui travaillent pour vous et des femmes.
29:22Il y a aussi un enjeu financier et je crois que ça ne peut donner que du souci et que des tracas.
29:28Mais à la fois il faut peut-être essayer de conclure et de faire remonter un petit peu cette entreprise
29:34pour pouvoir la mettre peut-être en fermeture définitive ou essayer de vendre ce qu'il y a à vendre.
29:42Parce que ce que je ressens c'est qu'il y a des services ou il y a peut-être un savoir-faire
29:50de cette entreprise qui peut être revendu à d'autres entreprises et permettre d'ajuster les dettes
29:58et fermer cette entreprise sans trop de dégâts.
30:02Et je crois que vous serez aidé, vous serez bien conseillé pour justement éviter trop de risques
30:08et par la suite de remonter autre chose qui sera dans une activité assez similaire
30:14mais peut-être avec un autre savoir-faire, une autre manière et ne pas justement commettre les mêmes erreurs
30:22que vous avez pu vivre et qu'on vous a fait subir aussi avec cette crise sanitaire.
30:28D'accord.
30:30C'est la base de ce que je ressens pour vous.
30:32Donc il faut affronter, il ne faut pas avoir peur, mais il faut effectivement ne pas rentrer dans une fatalité
30:38mais il faut peut-être préparer l'avenir autrement et différemment.
30:42Oui, j'ai assez de lucidité vis-à-vis de tout ça, c'est mon frère plutôt qui m'inquiète et j'ai peur que pour lui ce soit brutal.
30:48Non, je crois qu'il faut tout simplement essayer de l'amener vers une autre approche et vers un autre dialogue.
30:54Il ne faut pas l'amener sur un dialogue défaitiste ou d'une fatalité où tout va sombrer et tout ça.
31:01Au contraire, il faut l'amener vers une stratégie de sortie pour reconstruire autre chose de manière positive
31:08et d'en faire quelque chose là aujourd'hui de fragile, en faire quelque chose de fort.
31:13Oui, d'accord.
31:15C'est une autre approche.
31:17Oui, tout à fait.
31:18Merci à vous Marion, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
31:21Merci beaucoup, merci, bonne journée, au revoir.
31:24Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
31:29Bonjour, la parole est à Philippe, bonjour Philippe.
31:34Bonjour.
31:35Alors là, nous venons de vous prendre en direct.
31:37Philippe, vous vous appelez d'où ?
31:40De l'Aveyron.
31:41C'est de l'Aveyron, parfait.
31:43Philippe, vous êtes séparé depuis un an et demi, c'est bien ça ?
31:48Oui, c'est bien ça.
31:49Et là, vous êtes dans une situation où le divorce est en train de se prononcer ?
31:55Il a été prononcé votre divorce ?
31:57Le divorce a été prononcé.
31:59La problématique, on va dire, c'est les problèmes un petit peu non tariés
32:03où ça prend beaucoup de temps et tout.
32:07Je me demande si c'est pas un peu de mauvaise foi en même temps dans tout ça.
32:12Parce que les choses pourraient être, elles sont simples puisque j'ai déjà accepté tout.
32:17De mauvaise foi de la part de qui ? De la partie adverse ?
32:22De votre côté à vous ?
32:24Non, de la partie adverse, voilà.
32:28Et moi, de mon côté, je pense que j'ai un notaire qui s'en occupe,
32:33un cabinet notarial mais qui ne s'occupe pas à moitié des choses.
32:37Il faut tout le temps les relancer.
32:39On les appelle, ils ne s'appellent pas, ni rien.
32:42Très difficile d'un point de vue communicatif.
32:46C'est étrange, Philippe, parce que j'entends ce que vous me dites,
32:50mais en moi, il y a quelque chose qui résonne différemment.
32:53Dans le sens où tout est en train de se mettre en place pour que ça puisse se conclure correctement
32:59et avec, je dirais, une bonne entente.
33:03Peut-être que jusqu'à présent, ça a été difficile.
33:06Peut-être que chacun tirait la couverture vers soi, c'est pas impossible.
33:11Mais je crois qu'aujourd'hui, on a envie d'en finir avec cette histoire.
33:15Et à la fois par rapport aux conclusions, par rapport à ce qui peut se décider avec votre ex-femme,
33:21eh bien, soit elle fait un peu de lâcher prise,
33:24soit elle a peut-être eu autour d'elle des personnes qui l'ont amené à avoir une autre réflexion
33:32sur ce qui a été décidé auparavant.
33:34Mais pour moi, les choses vont se concrétiser.
33:38Il y a une conclusion qui se fait.
33:41Et pas si pessimiste que ça.
33:44D'accord. Très bien.
33:47Vous attendez une réponse pour quand ?
33:50Oui.
33:51Moi, j'aurais aimé le voir d'ici la fin de l'été, la totalité des choses.
33:58Normalement, on aurait dû avoir des états liquidatifs, tout ça qui arrivait le mois de juin.
34:04En mai, ça devait arriver.
34:06Je voulais voir si ça va arriver là maintenant.
34:08Ça va arriver.
34:10Je pense qu'au niveau de la deadline, en tous les cas de l'échéance,
34:13pour la fin de l'été, on y est.
34:15Ça avance et ça se met en place.
34:17D'accord.
34:18Ayez confiance en l'avenir.
34:20D'accord. Merci.
34:21D'un point de vue relationnel, j'ai des rencontres.
34:24Mais pas de conclusion.
34:26J'aimerais vivre évidemment sur une longue relation.
34:32Ce que je vous propose, parce qu'on est un peu pris par le temps, Philippe,
34:36pour déjà un peu répondre à votre question,
34:39c'est que ce divorce vous a pris beaucoup d'énergie.
34:43Inconsciemment, je pense que vous vous êtes pas rendu disponible pour faire la bonne rencontre.
34:47Mais moi, ce que je vous propose, c'est de rester à l'antenne.
34:50Le standard va vous reprendre et puis on pourra vous reprogrammer pour une prochaine émission.
34:55D'accord ?
34:56C'est gentil. Ok, super.
34:58Merci à vous. Prenez soin de vous.
35:00Merci beaucoup.
35:01Et oui, c'est peut-être votre tour pour passer à l'antenne de Sud Radio.
35:05Faites-le tout simplement si vous appelez le 0 826 300 300.
35:11On se retrouve dans quelques minutes avec Isabelle.
35:14Isabelle, en juin 2023, elle a quitté son compagnon au bout de quatre ans de relations
35:20pour se consacrer à sa carrière professionnelle.
35:23Sauf que son compagnon revient près d'elle, malgré quand même la distance qui les sépare.
35:29Alors, quel choix doit-elle faire ?
35:31Est-ce qu'elle reste focalisée sur son orientation professionnelle
35:35ou est-ce qu'elle décide de tout lâcher pour rejoindre son ex-compagnon ?
35:39Eh bien, la réponse, c'est dans quelques minutes. Ne bougez pas.
35:48Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,
35:51avant de retrouver les vrais voix présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.
35:56J'ai ma réalisatrice Marie qui essaye vraiment de vouloir me perturber, mais elle n'y arrive pas.
36:02Désolé, ça sera pour une prochaine fois ma chère Marie.
36:04Allez, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de votre émission.
36:07À votre écoute, je rappelle le numéro de 0 826 300 300.
36:12La parole est à Isabelle. Bonjour Isabelle.
36:15Bonjour Alexandre, merci de prendre le temps de m'écouter.
36:19Avec grand plaisir.
36:21Et merci pour votre émission.
36:23Merci à vous de votre fidélité à l'antenne de Sud Radio.
36:26Alors Isabelle, vous avez 48 ans, vous vous appelez de Ambres dans le Tarn.
36:32Oui.
36:33On dit Ambre ou Ambresse ?
36:34Ambre.
36:35Ambre, bon, très bien.
36:37Et vous êtes aide-ménagère, c'est ça ?
36:39Oui, c'est ça.
36:40Alors, en juin 2023, vous avez quitté votre compagnon après quatre ans de relations.
36:48Pour quelles raisons ?
36:50On ne s'entendait plus trop.
36:52C'était un stock-make.
36:53Moi, j'avais des sentiments et lui, il n'osait pas.
36:56Il sortait d'une relation compliquée et il n'osait pas dire ses sentiments.
37:02Je pensais qu'il ne tenait pas à moi.
37:04Et là, je suis retournée le voir.
37:07On a repris contact et il m'a dit qu'il tenait à moi et tout ça.
37:12Combien de temps après vous êtes retournée le voir ?
37:16Un an.
37:17Un an. Vous avez laissé un an comme ça.
37:19Est-ce que pendant cet un an, il y a eu des contacts entre vous ou alors silence radio ?
37:23Non, il y a eu quelques contacts comme ça, de jalousie.
37:28De jalousie parce qu'il pensait que j'avais refait ma vie, que j'avais quelqu'un.
37:35Et en attendant, vous vous êtes consacrée à votre travail.
37:38Je crois que vous avez fait une formation.
37:42J'aimerais passer cette formation.
37:44Je suis en train de le batailler avec les ANPE et tout ça pour essayer de trouver la formation.
37:51Formation d'auxiliaire de vie ?
37:53D'auxiliaire de vie, voilà.
37:54D'accord, ok.
37:55Et donc, quelle est votre question ?
37:59Moi, je voudrais savoir si cette formation, je vais y arriver à l'avoir.
38:06Et après ça, lui et moi, on va se remettre ensemble vraiment ?
38:10Ou c'est juste un passage et que j'en vais m'enflammer ?
38:14Bien sûr, bien sûr.
38:15Alors effectivement, je crois que même s'il y a eu une séparation, cette séparation n'est pas arrivée par hasard.
38:21C'est parce qu'il y a eu quand même auparavant et durant ces quatre ans, ça a été un petit peu difficile.
38:26Ensemble, ça n'a pas toujours été rose.
38:29Il faut se souvenir de cette période-là, de ces moments-là.
38:32Je crois qu'ensemble, vous avez des problèmes de communication et ça, il faut améliorer la communication.
38:38Et il ne faut peut-être pas trop s'emballer.
38:40Donc, je ne suis pas en train de vous dire ce que vous avez à faire.
38:44Surtout pas, Isabelle, c'est à vous de prendre la décision.
38:46Mais aujourd'hui, vous êtes en âge de vous réaliser, aussi de gagner de la confiance en vous et de mettre en avant vos compétences.
38:54Donc, sur cette formation-là, moi, je vous dis oui, vous allez pouvoir bénéficier de cette formation.
39:01Et vous permettre d'avancer, d'évoluer.
39:04Et puis, cette relation en parallèle, pourquoi pas ?
39:07Parce que cet homme est attaché à vous.
39:09Il a admis, il a reconnu vos valeurs.
39:13Peut-être cette période que vous avez vécue avec lui, il s'est aperçu peut-être de ce qu'il a perdu aussi.
39:23Et je crois que cet homme déclare tout simplement des sentiments envers vous.
39:28Mais après, essayez tous les deux d'améliorer votre communication pour que vous ne puissiez pas à nouveau réenclencher une relation qui vous amène vers des conflits et vers aussi un regret d'avoir fait ce choix-là.
39:42Donc, pour moi, ça se fera dans une seconde étape.
39:44Mais la formation, oui, je la sens.
39:47Et vous obtiendrez ce diplôme en tant qu'auxiliaire de vie.
39:51Merci beaucoup, c'est ce que je voulais savoir.
39:53Merci à vous, Isabelle.
39:55Merci à vous, et continuez l'émission, parce que ça nous aide énormément.
39:59Même à travers les autres personnes.
40:01Merci de votre soutien.
40:03On prend pour nous.
40:05Merci de votre encouragement.
40:07Et pour conclure, je dirais le burn-out et le cri de détresse de l'âme, tout simplement.
40:13Allez, moi je vous souhaite une bonne fin de journée et je vous dis à demain.
40:17Et la place est au Vrai Voix.
40:18Bonsoir, Philippe David.
40:19Bonsoir, Alexandre Deleuven.
40:21Au menu des Vrais Voix à 17h30.
40:23Emmanuel Macron s'exprimera jeudi sur l'actualité internationale aux 20h de TF1 et France 2.
40:29Et on vous pose cette question.
40:31Omniprésence du chef de l'État lors de la campagne des Européennes, est-ce de l'abus de pouvoir ?
40:35Oui, est-ce que pour vous, c'est peut-être pas le moment de parler ?
40:38À trois jours du scrutin, ou non, aucun problème, il peut s'exprimer.
40:41Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
40:45À 18h35, le coup de projecteur des Vrais Voix.
40:48Élections européennes, le moment fatidique approche.
40:51À quelques jours du scrutin, les listes multiplient les coups de com',
40:54mais certaines semblent dépasser les limites.
40:57On pense à une liste qui dit que le Hamas ne doit pas être considéré comme une entité terroriste.
41:02Ou à une autre, alors que je ne connaissais même pas l'existence hier soir,
41:06qui dit qu'il faut combattre le lobby sioniste en France.
41:10Et c'est une liste qui s'appelle Fortress Europe, totalement inconnue.
41:13Et on vous pose cette question.
41:15Légitimation du terrorisme, antisémitisme assumé.
41:18Cette campagne européenne dépasse-t-elle les limites ?
41:20Vous pensez que oui ? Vous pensez que non ?
41:22Venez nous le dire au 0826 300 300.
41:25Nos 3 Vrais Voix du jour.
41:26Philippe Biliger, Jean-Michel Fauvergue et Michael Sadoun.
41:29Bonne émission.

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