Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-06-04##
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00:00 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
00:05 Bonjour à tous, je suis heureux de vous retrouver dans votre émission, à votre écoute.
00:17 Alors, comment se passe votre début de semaine ?
00:20 J'espère aussi ensoleillé que le temps, même si parfois on est préoccupé par notre futur.
00:27 Et justement, vous êtes peut-être en pleine remise en question.
00:31 Et cette émission vous permet d'avoir un éclaircissement sur vos interrogations.
00:37 Un numéro à votre disposition, le 0826 300 300.
00:42 On prendra tous vos appels, mais aussi depuis, notre adresse e-mail de contact à votreécoute@sudradio.fr.
00:50 Et j'en profite cette semaine à la réalisation, c'est Marie qui est aux commandes,
00:54 Aude, Isaac au bout du fil et Edwin pour nous faire revivre les moments en audio et en image.
01:01 Et je les remercie d'être avec moi toute cette semaine et aussi durant toute cette saison.
01:08 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
01:13 Et au programme de l'émission, j'aurai le plaisir d'accueillir Lucie.
01:17 Lucie est en pleine reconversion professionnelle.
01:20 Elle hésite entre la géobiologie et être animatrice auprès de personnes âgées.
01:26 Nous avons aussi Annie qui vit une histoire à distance.
01:30 Et pour elle, est-ce que c'est durable dans le temps ?
01:33 Nous retrouverons Frédéric qui vit un climat familial plutôt tendu.
01:38 Et bien entendu, nous aurons d'autres auditeurs que je prendrai en direct et durant toute l'émission.
01:44 Et la parole est à Marie-Laure. Bonjour Marie-Laure.
01:47 Bonjour Alexandre.
01:49 Bienvenue sur Sud Radio Marie-Laure.
01:51 Merci. Je vous envoie quelques rayons de soleil. Je suis en Guadeloupe.
01:55 Ah très bien.
01:56 Ça peut vous faire du bien.
01:57 Ça nous fera toujours du bien.
01:59 Mais ça y est, le soleil arrive. Il a mis du temps à arriver.
02:02 Donc vous vous appelez de la Guadeloupe.
02:06 Ça va là-bas ? Tout se passe bien pour vous ?
02:09 Bah écoutez, oui la Guadeloupe en elle-même c'est magnifique.
02:14 J'y suis très bien.
02:16 Sauf que je suis ici depuis deux mois après une décision un peu rapide.
02:23 D'ailleurs je vous avais contacté au mois de novembre pour être un peu aiguillée.
02:30 Ma décision a été prise tout de même.
02:32 Ah vous êtes une fidèle auditrice de l'émission alors ?
02:34 Tout à fait.
02:35 Bon très bien. J'en profite pour embrasser tous les Guadeloupéens, Martiniquais,
02:40 enfin toutes les personnes des Domtom.
02:43 Et aujourd'hui pour vous c'est plus sur le plan professionnel ?
02:48 Vous êtes dans ce questionnement, c'est ça ?
02:51 Tout à fait, c'est tout à fait ça.
02:53 Les gens sont absolument merveilleux.
02:57 Je côtoie des personnes vraiment merveilleuses qui font de leur mieux pour m'aider.
03:01 Mais voilà, depuis deux mois je suis ici.
03:04 Et même avant de venir, je suis arrivée le 30 mars 2024,
03:08 je suis à la recherche d'un emploi.
03:11 Je suis aide-soignante.
03:12 J'ai beau envoyer des CV, j'ai beaucoup d'expérience,
03:16 et puis même dans autre chose que le soin,
03:19 parce que ça devient alimentaire.
03:22 Et en fait je n'ai quasiment pas de retour,
03:25 ou les retours ne sont pas bons.
03:28 Pourquoi ils ne sont pas bons les retours ?
03:30 En fait c'est parce que, en dehors du domaine du soin,
03:36 ce ne sont pas dans mes compétences.
03:39 Même si c'est serveuse dans un restaurant,
03:42 ou vendeuse, voilà, ce sont des choses que j'ai fait quand j'étais beaucoup plus jeune.
03:46 Mais bon, je n'ai pas de CV et d'énormes expériences là-dedans.
03:50 Et puis, du coup, bien sûr, ça ne fonctionne pas très bien.
03:55 Mais c'est surtout au niveau soin, c'est très compliqué,
03:58 parce que j'ai énormément d'expérience, je suis en pleine forme.
04:01 Mais bon, jamais de retour positif.
04:04 On me dit qu'on garde bien ma candidature.
04:07 C'est toute la Guadeloupe en voiture pour déposer manuellement mes CV et mes lettres de motivation.
04:14 Mais bon, pas de retour positif.
04:17 Et voilà, financièrement, ça m'inquiète,
04:22 parce que j'aimerais pouvoir continuer à vivre ici.
04:24 C'est vraiment mon but, avec mon compagnon avec qui je suis,
04:30 j'étais avant de partir.
04:32 Et du coup, lui est ici depuis 30 ans,
04:37 on se connaît depuis notre adolescence.
04:39 Et voilà, c'est un peu un tout.
04:43 C'est ma vie en Guadeloupe, avec mon compagnon, un travail,
04:48 et pouvoir vivre sereinement.
04:51 À la fois de ce que je ressens et de ce que j'entends aussi,
04:54 par rapport à votre témoignage,
04:56 c'est que vous êtes dans cette période, bien sûr, d'incertitude sur l'avenir professionnel.
05:01 Mais vous avez quand même des possibilités de travailler,
05:04 même si les expériences que vous avez vécues jusqu'à présent ne sont pas satisfaisantes.
05:12 Mais il y a quand même du potentiel, il y a quand même des possibilités chez vous.
05:16 Et vous êtes volontaire et aussi persévérante.
05:20 Et ça, c'est important, parce que je vous dirais que,
05:23 et de ce que je ressens, c'est que ça va encore durer un peu comme ça.
05:29 Mais il semblerait que la période de l'automne,
05:32 alors l'automne pour nous, c'est-à-dire, je dirais, octobre-novembre de cette année à venir,
05:38 eh bien, vous allez avoir une opportunité professionnelle auprès d'un établissement
05:43 qui va vous permettre d'accéder à un poste, peut-être en tant qu'aide-soignante,
05:48 et vous permettre de travailler et de trouver cette fameuse stabilité professionnelle.
05:54 Moi, je vous encourage à vraiment persévérer,
05:56 à ne pas baisser les bras, à rester dans cette dynamique dans laquelle vous êtes aujourd'hui,
06:01 même si c'est compliqué, même si c'est difficile.
06:04 Mais je suis persuadé que vous nous rappellerez pour nous dire
06:07 qu'enfin vous avez trouvé cette stabilité
06:10 et que la Guadeloupe est une terre d'accueil pour vous.
06:14 Vous allez pouvoir vous installer avec beaucoup moins d'incertitudes.
06:18 - Et pécuniairement, parce que moi, par le mois prochain, j'ai plus rien.
06:23 En fait, là, je vis sur mes toutes petites économies,
06:26 donc j'ai juste de quoi payer mes factures.
06:29 C'est-à-dire que je n'ai pas droit au chômage, à quoi que ce soit.
06:33 Donc, je n'ai aucune aide extérieure.
06:36 - Oui, mais pour moi, comme je dis, ça va être encore un peu compliqué,
06:39 mais je vous sens avoir des possibilités de travailler sur des petites missions,
06:42 comme si vous sauvez un peu les murs, et aller à l'urgence.
06:48 Et puis ensuite, les choses s'amèneront avec stabilité.
06:51 Persévérez, continuez comme ça et croyez en vous.
06:54 - Et la vie avec mon compagnon ici ?
06:57 - Il y a une stabilité, ça se maintient.
07:01 Mais n'hésitez pas à nous rappeler, d'accord Marie-Laure ?
07:03 - Merci beaucoup. - Merci à vous et prenez soin de vous.
07:05 - Bonne journée. - Merci. - Au revoir.
07:07 - Et la parole est à Nathalie.
07:15 Alors, Nathalie, on devait vous avoir juste avant Marie-Laure,
07:18 il y avait eu un petit souci pour vous joindre.
07:20 Est-ce que c'est bon pour vous ? Vous êtes là ?
07:22 - Oui, je suis là. Bonjour Alexandre.
07:25 - Bonjour Nathalie. Je suis heureux et ravi de vous accueillir à l'antenne de Sud Radio.
07:30 Vous êtes de Béziers, vous êtes infirmière.
07:34 - Oui. - Et vous avez 54 ans, tout simplement.
07:38 - Exactement. - Voilà.
07:40 Et il y a deux ans, vous avez rencontré un homme,
07:43 avec qui, au départ, vous ne vouliez pas vous engager réellement dans cette histoire.
07:49 Et la vie vous a montré le contraire, non ?
07:53 - Oui, en fait, c'était une personne qui était là en vacances,
07:58 que j'ai rencontrée. Il habite à l'étranger,
08:02 donc ça semblait compliqué d'envisager un avenir.
08:07 Et puis finalement, on s'est vu, il est venu 15 jours après ton départ.
08:10 Moi, je suis allée chez lui plusieurs fois.
08:13 Et puis finalement, ça a duré comme ça.
08:16 Mais c'est vrai que ça s'installe dans le temps.
08:20 Et je me demande s'il y a vraiment possibilité d'un avenir ensemble.
08:24 - D'accord. Lui, il vit où exactement ?
08:28 - Il vit dans le nord de l'Europe, en Suède.
08:31 - En Suède, d'accord. Et il a un pied-à-terre dans le sud de la France ?
08:35 - Oui, il a une maison de vacances ici. - D'accord.
08:38 - Oui, oui, ici qu'on s'est rencontrés.
08:40 - Voilà. Et il a peut-être pour intention de s'installer dans le sud, non ?
08:44 - Alors, pas de façon permanente.
08:47 Parce que c'est quelqu'un qui a encore une activité professionnelle,
08:50 qui a sa famille, qui a sa vie sociale en Suède.
08:54 Et donc, il envisage de me voir... - Mais c'est un homme marié ?
08:58 - Non, non, non, pas du tout. Il est célibataire.
09:01 Mais disons qu'il envisage de me voir le plus souvent possible.
09:05 Mais nos contraintes, nos vies sont séparées, on va dire.
09:09 - Elles sont séparées pour une certaine période.
09:11 Parce que pour moi, je sens que plus ça ira,
09:14 plus il aura un besoin de se rapprocher du sud
09:16 et peut-être de vivre des bons moments dans le sud.
09:18 Alors, je ne dis pas qu'il abandonne la Suède,
09:20 mais pour moi, j'ai l'impression que d'ici une période à peu près
09:24 de deux ans et demi, trois ans,
09:26 où là, il pourra partager autant... un peu à mi-temps, hein,
09:30 autant du temps en Suède qu'en France.
09:33 Et ça vous permettra de pouvoir vous rapprocher, de vivre votre histoire.
09:38 Après, Nathalie, soyez prudente.
09:40 - Soyez prudente parce que je sens que c'est quelqu'un
09:43 qui peut être sérieux avec vous.
09:47 Je ne remets pas en question son côté sérieux.
09:51 Mais par contre, dans l'engagement,
09:53 il n'est peut-être pas dans le même engagement que vous.
09:56 Et dans l'attente que vous avez vis-à-vis de lui,
09:59 eh bien, lui, il le verra autrement et différemment.
10:02 Donc, c'est ce qui peut vous contrarier par la suite
10:05 et peut-être remettre en question la relation.
10:08 Mais de ce que je perçois et de ce que je ressens,
10:11 bien entendu, je ne sens pas pour l'instant un changement négatif.
10:15 Bien au contraire, cette histoire va se vivre.
10:18 Alors, elle se vit un peu par simonie, mais elle se vit malgré tout
10:22 et c'est plutôt positif. - D'accord.
10:24 - D'accord ? - Prudente, oui. Je vous remercie.
10:27 - Je suis sûr que vous nous rappellerez pour nous dire
10:29 de nouvelles choses et de nouveaux événements qui s'annonceront,
10:33 liés à votre histoire et pas forcément des événements négatifs.
10:37 - Merci beaucoup, Alexandra. Bon après-midi.
10:40 - Merci à vous, Nathalie.
10:42 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Frédéric.
10:47 Alors, Frédéric, il a toujours vécu des relations familiales un peu compliquées
10:52 et aujourd'hui, avec sa nouvelle épouse,
10:55 il souhaite s'éloigner de tout ça et acheter un appartement.
10:58 Alors, est-ce que ce projet va pouvoir aboutir ?
11:01 Eh bien, on en parle juste après.
11:04 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
11:09 - Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission.
11:13 Alors, c'est le moment pour vous, à présent, d'appeler le 0826 300 300
11:18 pour témoigner ou poser toutes vos questions,
11:21 qu'elles soient d'ordre professionnel, sentimentale ou bien sur d'autres sujets.
11:25 Et c'est le moment aussi du "Saviez-vous ?" comme tous les jours,
11:29 selon une enquête IFOP de 2021 pour le magazine "Notre Temps",
11:33 eh bien, 85% des parents se déclarent heureux
11:37 quand ils pensent aux liens qui les unissent à leurs propres parents.
11:41 Et en outre, la naissance d'un enfant donne une amélioration
11:45 des relations entre les grands-parents et leurs enfants.
11:48 Et vous, comment se passe votre relation familiale ?
11:52 Est-ce que c'est une relation plutôt harmonieuse, plutôt fluide
11:56 ou est-ce que, effectivement, vous vivez des fragilités, des conflits ?
12:00 N'hésitez pas à venir témoigner à l'antenne.
12:03 Je rappelle le numéro 0826 300 300.
12:06 Et à présent, j'accueille Frédéric. Bonjour Frédéric !
12:09 - Bonjour Alexandre !
12:11 - Bienvenue sur Sud Radio, Frédéric !
12:14 - Merci !
12:15 - Alors, justement, je parlais de cette étude
12:19 qui a été faite concernant la relation par enfant.
12:23 Et vous, c'est un peu compliqué au niveau familial.
12:27 Ça a toujours été comme ça ?
12:29 - Oui, plus ou moins.
12:31 J'habite dans un milieu rural,
12:34 donc la pression de la famille a toujours été présente.
12:39 Et là, c'est de plus en plus compliqué,
12:42 depuis le décès de ma mère il y a trois mois.
12:45 - Mais pourquoi ? On a voulu vous donner une responsabilité
12:48 ou on vous a rendu coupable de quelque chose ?
12:50 Comment ça s'est passé ? Vous avez des frères et sœurs ?
12:52 - Oui, j'ai un frère.
12:54 Et donc, ça ne s'est pas très bien passé
12:57 quand on a fait le partage.
12:59 Ils se sont dispoliés.
13:01 Et donc, à partir de là, ça a été des non-dits.
13:06 J'ai été le vilain petit canard de la famille.
13:12 Et donc, tout le monde s'est ligué contre moi.
13:15 Et donc, j'ai subi encore des conséquences.
13:19 Là, je suis au bout de certaines choses.
13:23 Psychologiquement, c'est difficile pour moi
13:26 d'assumer tout ça.
13:28 Physiologiquement, j'ai des tracas.
13:31 J'ai des tracas intimes.
13:33 Ça devient de plus en plus lourd pour moi.
13:36 Et là, je...
13:38 - C'est difficile, j'entends.
13:40 Je rappelle que vous vous avez divorcé récemment.
13:44 - En 2014.
13:46 - En 2014, d'accord.
13:48 Et ce divorce a été douloureux aussi ?
13:51 - Oui, très, très.
13:53 Avec une exforme très pressante.
13:57 Limite stable psychologiquement.
14:01 Donc, elle fait encore le bazar à travers les enfants.
14:06 - Dites-moi, Frédéric,
14:09 est-ce que vous vous imposez un petit peu ?
14:12 Est-ce que, ne serait-ce que par rapport à la cellule familiale,
14:15 à un moment donné, vous-même vous imposez...
14:18 Je ne veux pas dire que vous devez y mettre de l'autorité,
14:21 mais à un moment donné, un peu de respect
14:23 pour éviter à ce qu'on vous juge de la sorte.
14:27 Ou même vis-à-vis de votre ex-femme,
14:31 est-ce que vous avez réussi un petit peu
14:33 à imposer certaines choses pour éviter de vous sentir
14:36 à chaque fois écrasé, à chaque fois jugé ?
14:39 - Non, je ne me sens pas écrasé.
14:41 Je me suis imposé.
14:43 J'ai montré les dents.
14:45 Mais bon, après, on ne peut pas passer une vie
14:49 à se bagarrer.
14:52 - C'est sûr.
14:53 - C'est... à un moment donné, il faut prendre un peu de recul
14:57 et prendre un peu de large, surtout, pour survivre.
15:01 - Bien sûr.
15:02 Bien sûr. Après, il y a les blessures émotionnelles qui sont là.
15:05 Et c'est difficile parce que...
15:07 J'imagine que dans une famille,
15:09 on a envie que tout se passe bien.
15:11 On a envie d'aimer ses proches.
15:12 - Oui, surtout avec ma nouvelle femme.
15:14 Maintenant, il est temps qu'on essaie de prendre un peu de large,
15:19 de trouver, de se chercher un petit nid pour nous deux.
15:24 Mais bon, c'est difficile.
15:27 Je ne sais pas si on va y arriver.
15:29 C'est difficile.
15:30 - Tout se passe bien avec votre nouvelle femme ?
15:33 - Oui, très bien.
15:34 - Très bien. Ça fait combien de temps que vous êtes ensemble ?
15:37 - 2016. Ça fait un peu dur.
15:40 - Déjà, c'est pas mal. Vous avez fait un pas en avance.
15:42 C'est-à-dire que vous avez trouvé un équilibre
15:45 et vous avez rencontré votre moitié
15:48 qui est dans le même état d'esprit que vous
15:51 et avec qui vous pouvez avancer sereinement.
15:54 Donc, c'est bien.
15:55 Je pense que vous avez dû vous remettre en question
15:57 sur vos propres erreurs, s'il y a eu des erreurs.
15:59 Et peut-être, voilà, de vous amener à trouver la personne
16:03 qui vous correspond bien.
16:04 Et ça, c'est plutôt positif.
16:06 - Donc, aujourd'hui, vous souhaitez prendre un peu le large
16:11 et acheter un appartement, c'est ça ?
16:13 - Oui, oui, pour m'écarter de tout ça
16:15 parce que trop de pression de la famille,
16:18 de oncle, tante, cousine, cousine.
16:20 Ça ne va pas du tout.
16:22 Ça ne va pas du tout.
16:24 Tout le monde me tourne le dos.
16:25 C'est plus du tout.
16:27 - Vous souhaitez investir loin de votre lieu actuel ?
16:30 - Non, non, non. Absolument pas.
16:32 - D'accord. Alors, oui, pour moi, vous allez pouvoir le faire.
16:36 Vous allez pouvoir le faire, Frédéric.
16:38 Ça va demander un petit peu de temps.
16:40 Peut-être que, alors, est-ce que c'est votre karma,
16:43 si on peut parler ainsi,
16:44 mais peut-être que les choses ne sont jamais faciles pour vous
16:48 et qu'à chaque fois, il faut toujours redoubler d'efforts
16:52 pour avoir quelque chose.
16:53 Mais en attendant, ça semble pouvoir se faire.
16:56 Pas si facilement, mais vous allez y arriver.
16:59 Vous allez y arriver.
17:00 - À partir de cet été, il y a une piste qui vous sera donnée
17:05 sur la possibilité de lieu, d'un endroit,
17:09 peut-être d'un endroit qui soit qui est réaffecté
17:13 ou qui est en vue de reconstruction,
17:16 de réaménagement ou de modernisation ?
17:19 - On l'a déjà trouvé.
17:21 On a signé un compromis.
17:23 On a signé un compromis, mais bon, après,
17:25 l'aspect bancaire, c'est difficile.
17:28 - Ah, ok, d'accord.
17:30 - On est un peu dans l'expectative à l'heure où on parle.
17:34 - D'accord, ok. Persévérer.
17:36 Persévérer parce que je pense que c'est possible.
17:38 Je pense que c'est possible.
17:39 Et justement, courant de cet été,
17:41 donc on est dans le mois de l'été, là,
17:44 il y a des choses qui vont s'annoncer, qui vont se faire.
17:48 Et pour moi, j'ai l'impression que même s'il y a un premier refus bancaire,
17:52 vous aurez la possibilité d'obtenir gain de cause
17:56 et peut-être d'aller voir ou en tout cas d'aller sur d'autres pistes
18:01 qui vont vous permettre de pouvoir arriver à accéder à cette nouvelle propriété.
18:06 - D'accord.
18:08 - Merci à vous, Frédéric.
18:10 - Merci, Alexandre, je reviendrai vers vous pour vous retenir au courant.
18:14 - Et ne lâchez pas. Foncez.
18:16 - Merci.
18:17 - Merci.
18:18 - Bonne journée, au revoir.
18:20 - Merci. À la présence, c'est à vous.
18:22 Vous avez peut-être un doute, des questionnements sur votre
18:24 devenir un seul numéro, le 0826 300 300.
18:28 On se retrouve dans quelques instants avec Annie.
18:30 Alors Annie a fait une belle rencontre il y a un an,
18:34 sauf qu'elle vit à Reims et lui à Grenoble.
18:38 Pas facile de se voir.
18:40 Et quel est vous, votre ressenti sur cette relation à distance ?
18:44 Faites fonctionner un petit peu votre sixième séance.
18:46 Tiens, allez, je vous mets au travail.
18:48 Ne bougez pas, on en parle juste après.
18:50 - Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
18:54 - Et bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
18:56 Je rappelle que nous sommes en direct.
18:58 Et si comme Frédéric, votre histoire familiale est compliquée,
19:03 ou vous avez des questionnements concernant votre futur,
19:06 appelez le 0826 300 300.
19:10 On prend tous vos appels et nous sommes en direct.
19:13 Et à présent, je vais vous donner quelques conseils pour maintenir,
19:17 ou pour essayer tout de moins de maintenir une bonne entente familiale.
19:21 Notamment, il faut travailler sur l'affection.
19:24 C'est important de montrer des signes d'affection auprès de ses proches,
19:28 de gagner de la confiance.
19:30 C'est-à-dire que dans ce qu'on vous a donné en termes d'éducation,
19:36 c'est de travailler sur cette notion de confiance
19:38 et de la faire perdurer, cette confiance-là.
19:41 C'est de se concerter quand il s'agit d'un problème familial,
19:46 de se concerter avec les bonnes personnes
19:48 pour pouvoir réfléchir et avancer ensemble dans le respect mutuel.
19:53 Et puis aussi, c'est de travailler sur peut-être des projets optimistes
19:58 qui pourraient permettre, que ce soit si des familles ont des biens immobiliers,
20:06 de pouvoir faire fructifier les choses, avancer intelligemment
20:09 et permettre à ce que cette famille puisse avancer en toute confiance
20:15 et en toute sérénité.
20:17 À présent, j'accueille Annie. Bonjour Annie.
20:20 Bonjour Alexandre.
20:22 Bienvenue sur Sud Radio Annie.
20:24 Merci, merci de m'accueillir.
20:27 C'est un grand plaisir.
20:29 Alors Annie, vous avez une relation à distance depuis un an.
20:34 Racontez-nous comment s'est passée cette rencontre
20:37 et comment vous la vivez aujourd'hui.
20:40 C'est un peu le dernier client de mon hébergement touristique que j'avais.
20:45 D'accord. Vous avez une maison d'hôte ?
20:47 J'avais, oui, parce que j'ai eu une séparation avec mon mari.
20:52 Il y a deux ans, avant de quitter ma maison,
20:57 j'ai rencontré Roland qui était en déplacement professionnel.
21:00 D'accord. C'est étrange quand même. C'était votre dernier client ?
21:04 On peut dire ça comme ça, oui.
21:06 C'est fou.
21:08 Ma vie depuis n'est plus qu'une suite de coïncidences.
21:12 Je me dis que ça ne peut pas être que de la coïncidence à force.
21:15 Bien sûr. On parle peut-être de synchronicité ?
21:18 Oui, si on veut. Je ne connaissais pas ce mot-là, mais c'est tout à fait ça.
21:22 Il est revenu plusieurs fois à l'occasion de ses déplacements professionnels.
21:26 Après, il m'a demandé si je voulais l'accompagner dans ses déplacements professionnels
21:29 parce que moi je suis retraitée.
21:31 Oui, d'accord.
21:32 Donc j'ai fait ça plusieurs fois.
21:34 Je rappelle que vous êtes située aujourd'hui à Reims.
21:38 Oui.
21:39 Et lui, il est à Grenoble.
21:41 Son entreprise est à Grenoble, oui. Il habite à côté.
21:44 Il y a quand même une distance géographique.
21:47 Même si par son travail, ça lui permet de bouger, de se déplacer, d'être assez disponible,
21:53 malgré tout, il faut accepter et vivre cette absence.
21:59 Mais entre vous, les sentiments sont forts ? Ils sont là ? Comment ça se passe ?
22:04 Moi, oui, de mon côté, mais c'est quelqu'un qui parle très très peu.
22:08 C'est un monsieur qui est divorcé depuis 15 ans.
22:11 Voilà.
22:13 Et donc, il parle très très peu.
22:15 Donc, depuis quelques temps, je lui ai dit "Tu sais, parler, ça fait du bien."
22:19 Et quand il est dans ses déplacements là, c'est là qu'il se rend compte qu'il s'ennuie, qu'il est tout seul.
22:24 Donc, presque tous les jours, maintenant, il m'appelle.
22:27 Mais alors, à la fois, je veux vous dire, il parle peut-être très peu,
22:32 mais dans son comportement, dans son attitude de tous les jours avec vous,
22:37 le fait qu'il porte de l'attention sur vous et de vouloir vous faire partager des moments lorsqu'il se déplace,
22:44 qu'il vous demande de le rejoindre, peut-être que c'est une preuve aussi d'amour, une preuve de sentiment ?
22:51 Parce que dans l'amour, il y a des personnes qui ont une facilité à la communication
22:56 et puis d'autres personnes vont l'exprimer par des petites attentions,
23:00 par des manières de faire ou en tout cas de donner du temps et du moment à la personne.
23:08 Est-ce que vous le ressentez aussi comme ça ?
23:10 Oui, il m'a apporté un très très beau bouquet d'un an d'anniversaire la semaine dernière.
23:17 Très bien. Alors, je vais être un petit peu curieux, c'est quoi comme fleurs que vous avez eues ?
23:21 C'est plusieurs fleurs. Il y a des liches.
23:24 Des liches qui sont en train de souffrir, qui embaument très très fort.
23:28 Des petites marguerites, là il est en train de se faner, parce qu'il a 10 jours.
23:35 Ce ne sont pas des roses rouges.
23:37 En tous les cas, la symbolique est forte.
23:40 Et puis, la fleur du lys des roses, c'est aussi très fort quand même.
23:47 Alors, quelle est votre question aujourd'hui ?
23:50 Il m'avait prévenu tout de suite au départ, quand on a vu qu'on s'entendait bien, qu'on se correspondait bien,
23:55 qu'il avait encore trois ans à travailler avant d'être en retraite par rapport à mon statut de retraiterie à moi.
24:00 Donc pendant trois ans, si on se voit comme ça ou comme ça, c'est déjà très très bien pour moi.
24:06 C'est très bien, c'est très fort, ça me permet de me reconstruire entre deux de nos visites par rapport à mon nouveau statut de femme presque divorcée.
24:16 Voilà. La procédure divorce est en cours.
24:20 Oui, c'est en train de se faire, mais en même temps, je me demande pour l'après, qu'est-ce que ça sera ?
24:27 Ce n'est pas que ça m'inquiète, mais bon, j'y pense.
24:30 Bien sûr, c'est normal. Vous allez penser à votre futur sentimental, que ce soit avec votre compagnon ou sans ce compagnon.
24:37 Mais donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
24:40 Bleu clair.
24:43 Bien, pour moi, le ciel est bleu, les oiseaux chantent, la vie est belle et c'est ce qui semble apparaître pour vous.
24:51 Non, mais je plaisante, mais sérieusement, je vous parle avec beaucoup de sincérité et de ressenti aussi.
24:58 Restez confiante sur cette histoire, vraiment. Je le sens bien.
25:03 Je sens que cet homme prend du temps, il a envie de vous connaître pour vous apprécier.
25:11 Il n'a pas envie de vouloir consommer cette relation trop vite et bien au contraire, de profiter de certains moments un peu insolites
25:22 qui vont permettre de graver dans la mémoire des souvenirs et notamment aussi de nourrir ce bonheur, cette joie d'aimer, d'être aimé et de continuer comme ça.
25:33 Je le sens très bien, Annie.
25:36 Oui, il est en route, il est en train de venir.
25:42 Très bien, il n'a pas sonné à la porte là, non ça va ?
25:46 Non, pas encore, il était à une heure de route il n'y a pas longtemps sur l'autoroute.
25:50 Et quand il est en déplacement, il me téléphone, il me parle pendant qu'il est en déplacement parce qu'il s'ennuie et il pense à moi à ce moment-là.
25:57 Très souvent, depuis le début, il m'a envoyé beaucoup de photos de sa maison pour Noël, les lumières qu'il avait fait, le jardin, il a fait un petit muret.
26:06 Alors comme vous dites, il n'est peut-être pas très communicatif mais je le sens quand même être un communicant.
26:12 Alors bien entendu, il ne vous dit peut-être pas des petits mots d'amour qui frissonnent votre oreille mais ça va venir, ne vous inquiétez pas.
26:19 Et pour moi, je sens cette histoire se mettre en place, se réaliser très positivement.
26:25 Restez confiantes et surtout, tenez-nous au courant Annie.
26:29 Oui, merci.
26:31 Merci, prenez soin de vous, merci.
26:33 Merci Alexandre.
26:35 Et la parole est à Jocelyne. Bonjour Jocelyne.
26:43 Bonjour Alexandre.
26:45 Bienvenue sur Sud Radio Jocelyne, vous nous appelez du Lot-et-Garonne.
26:49 Oui.
26:50 Et notamment, vous vous appelez pour votre fils qui lui vit en Gironde sur une histoire professionnelle.
26:59 Oui, professionnelle et physique puisqu'il a une petite maladie qui dure depuis un petit moment.
27:11 Ce n'est pas incurable mais c'est peut-être par rapport à son état professionnel.
27:17 D'accord. Je rappelle, pardonnez-moi pour tous nos auditeurs, à l'antenne, on ne fait pas de diagnostic médical.
27:25 Non, non.
27:27 Bien entendu.
27:29 Alors, aujourd'hui, il a une société, il a une entreprise, votre fils.
27:33 Oui.
27:35 C'est dans quel domaine son entreprise ?
27:37 C'est dans le lignage.
27:41 D'accord. C'est la mécanique ?
27:43 Oui.
27:44 D'accord. Et c'est difficile, c'est ça ?
27:48 Oui.
27:50 Alors, il a pris la décision de vendre ?
27:56 Oui. Il semble que c'est mieux de vendre tant que ça marche un petit peu.
28:02 Et votre question est de savoir s'il va vendre ou pas ?
28:06 Oui, si son avenir est bon pour la vente et qu'il puisse se remettre moralement aussi en bonne santé.
28:17 Effectivement. Et puis je pense que ça va avec.
28:20 Forcément, s'il a des tracas vis-à-vis de son entreprise, ça génère un stress et ça n'aide pas autant sur le plan psychologique que sur le plan physique, évidemment.
28:31 Alors, c'est assez rassurant. Vous allez quand même penser à votre fils et vous allez me donner une couleur, s'il vous plaît.
28:37 Oui, une rouge.
28:39 Bien. C'est assez rassurant parce que pour moi, je pense que c'est quelqu'un qui est volontaire, qui ne lâche pas l'affaire comme ça.
28:46 C'est-à-dire qu'il ne baisse pas les bras, il a envie de se battre, il a envie de vendre cette entreprise, même si elle ne génère pas un grand bénéfice,
28:54 mais d'essayer de sortir un peu du rouge, comme la couleur que vous m'avez citée.
29:00 Mais il a cette envie d'aller vers du mieux et il va aller vers un peu de mieux.
29:07 Oui, il va vendre son entreprise et il a la possibilité de la vendre.
29:11 Alors, je ne sens pas qu'il puisse vendre cette entreprise dans sa totalité.
29:15 Est-ce qu'il a des acheteurs qui sont intéressés uniquement sur un secteur dans lequel lui produit ou de ce qu'il fait ?
29:23 Mais en tous les cas, ça lui permettra de sortir un petit peu la tête de l'eau et de se sentir pas si abattu que ça
29:34 et un peu vainqueur sur cette entreprise qui me semble aujourd'hui fragilisée.
29:41 Donc, il y a un événement majeur et des événements qui l'attendent pour début 2025.
29:51 Et à partir de là, je pense que ces changements-là interviendront d'ici un an, où là, il y a un véritable changement pour lui.
30:00 Et vous verrez que votre fils sera sorti d'affaires et bien sûr que ça va permettre de pouvoir retrouver un meilleur équilibre à tout niveau.
30:08 D'accord ?
30:09 Ok. Un changement peut-être par la vente alors ?
30:13 Oui, complètement. D'ici un an. Voilà, exactement.
30:17 Et je pense qu'il aura envie peut-être de réintégrer une structure pour devenir salarié.
30:24 Merci, merci Justine.
30:27 C'est moi qui vous remercie.
30:29 Merci à vous.
30:30 Au revoir Alexandre.
30:31 Merci.
30:32 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.
30:37 Et la parole est à Yola. Bonjour Yola.
30:40 Oui, bonsoir Alexandre. Ou bonjour plutôt.
30:43 Bonsoir, bonjour, comme vous voulez. À cette période-là de l'année, on dira encore bonjour, mais comme vous voulez.
30:51 Ça ne me dérange pas du tout ma chère Yola. Vous vous appelez de la Gironde ?
30:55 Oui, c'est ça.
30:56 Bien. Alors, pour vous, vous avez une question sur le plan professionnel. Vous êtes thérapeute ?
31:02 Alors, je suis à la base, aide-soignante. J'ai 56 ans.
31:08 Donc, il y a deux ans, je me suis formée en psychologie.
31:13 Donc, en tant que conseillère en psychologie et en tant que praticienne en thérapie de couple.
31:20 Et il y a deux mois de ça, j'ai ouvert un bureau.
31:24 Mais pour l'instant, voilà, je ne démarre pas. J'ai fait beaucoup de... j'ai distribué beaucoup de cartes.
31:32 J'ai fait pas mal de démarches.
31:33 Mais voilà, pour l'instant, je ne démarre pas et je suis un peu frustrée.
31:38 J'ai hâte de pouvoir mettre en application tout ce que j'ai appris.
31:43 C'est vraiment quelque chose qui me tient à cœur.
31:45 Oui. Bon, à la fois, ça fait seulement deux mois que vous avez développé cette activité, que vous mettez en place cette activité.
31:52 Donc, je vais vous dire, soyez un peu patiente.
31:55 Oui.
31:56 Je pense que tout le monde peut vous dire ce genre de choses.
31:59 Oui.
32:00 Pour moi, c'est un peu compliqué. Oui, c'est un peu compliqué.
32:04 Ça ne veut pas dire pour autant qu'il faut lâcher.
32:07 Mais je crois que vous allez revenir à des activités d'avant.
32:11 Parce que cette activité-là ne va pas générer suffisamment de mouvements ou en tous les cas de dynamique.
32:19 Même si vous avez des compétences, même si vous aimez ce que vous faites et même si vous avez envie d'avancer, d'évoluer.
32:29 Alors, ça ne veut pas dire pour autant que ça ne se passera pas ou à un moment donné, vous ne serez pas à même de pouvoir bien vous épanouir dans cette activité-là.
32:38 Mais en attendant, je sens que c'est un peu compliqué pour arriver à trouver un certain rythme et une certaine forme de satisfaction sur ce plan professionnel.
32:51 Donc, ne lâchez pas malgré tout, ne soyez pas défaitiste, ne vous remettez pas en question sur le fait, est-ce que vous êtes fait pour ça ou pas.
33:01 Peut-être qu'il y a des choses à améliorer. On les améliore toujours avec le temps, avec l'expérience, évidemment.
33:06 Parce qu'on apprend tous les jours, ça c'est sûr.
33:09 Après, aussi sur le plan de la communication, il faut peut-être développer plus.
33:15 En termes de communication, on est dans un monde aujourd'hui où la technologie prend le dessus et l'intelligence artificielle.
33:24 Donc, il faut peut-être essayer de se mettre un petit peu à la page de tout ça pour avancer, pour évoluer.
33:31 Et puis, vous êtes aussi dans une zone peut-être où c'est un peu isolé et il y a une petite fragilité à ce niveau-là.
33:39 Oui, je pense.
33:41 Mais je crois que vous pouvez peut-être le faire de manière aléatoire ou de manière secondaire et puis reprendre des activités ou des anciennes activités pour compléter et permettre d'avancer et d'évoluer.
33:55 C'est plutôt de cette manière-là que je vous vois avancer.
33:59 Oui, mais de toute façon, je n'ai pas arrêté mon activité.
34:03 Ah oui, oui, oui.
34:05 Donc, ça maintient ce que je perçois dans ces cas-là.
34:11 D'accord, d'accord.
34:13 Allez, ne lâchez pas, ne perdez pas espoir et ce que je vous ai dit est quand même assez optimiste.
34:20 D'accord, merci beaucoup Alexandre.
34:23 Merci à vous.
34:24 Au revoir, merci.
34:25 Et c'est peut-être à votre tour pour passer à l'antenne de Sud Radio.
34:29 Vous savez ce qu'il faut faire, il faut juste composer le 0826 300 300.
34:35 Aude au standard vous attend.
34:37 Nous, on se retrouve dans quelques instants ou dans quelques minutes peut-être avec Lucie.
34:41 À la suite de problèmes de santé, elle a décidé de faire un bilan de compétences pour éventuellement devenir géobiologue ou animatrice auprès de personnes âgées.
34:51 Elle doute de ses choix.
34:53 Alors, vous, dans quel métier l'avirez-vous ?
34:57 Je vous dirai mon ressenti juste après. Ne bougez pas.
35:00 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
35:05 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:11 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.
35:18 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer dans votre émission à votre écoute.
35:22 Je rappelle le numéro le 0826 300 300. La parole est à Lucie. Bonjour Lucie.
35:29 Bonjour Alexandre, ravi d'être parmi vous, voilà pour votre éclaircissement sur ma vie.
35:37 Moi, je suis ravi aussi de vous accueillir à l'antenne.
35:40 Alors Lucie, vous avez 58 ans. Vous vous appelez du Tarn-et-Garonne.
35:46 Oui.
35:47 Et actuellement, vous êtes en arrêt de maladie. C'est une longue convalescence ?
35:52 Oui, ça fait un an que je suis arrêtée. Ça a été beaucoup d'épreuves qui ont succédé durant tout l'année 2023.
36:02 Donc de là, j'ai beaucoup de douleurs.
36:05 Et en fait, je ne me vois pas reprendre le travail que j'avais en amont.
36:09 Et ça faisait un moment que je pensais refaire autre chose de ma vie.
36:13 Et finalement, cette période compliquée m'a permis de faire le point et de prendre d'autres directives
36:20 qui seront peut-être plus adaptées à ce que je suis aujourd'hui et à mon propre caractère.
36:24 Donc la géobiologie, c'est quelque chose auquel je pense parce qu'en fait, je suis quelqu'un qui aime être à l'extérieur.
36:31 Et j'aime beaucoup le contact avec la nature, les énergies extérieures.
36:35 Et comme on est dans un monde, effectivement, comme vous disiez, où on vit beaucoup avec du numérique, de l'informatique,
36:41 je pense qu'il faut reprendre la racine avec les sols et avec le vivant.
36:45 Donc par ce métier, c'est ma manière aussi à moi d'expliquer aux gens qu'il faut se redécoller, reconnecter au vrai.
36:52 Et après, pour les animatrices, pour les personnes âgées, c'est parce que je m'intéresse à tout ce qui touche à la créativité.
37:00 Donc je pensais que je pouvais aussi l'utiliser pour restimuler des personnes un petit peu dans des lieux où elles sont éteintes.
37:11 Voilà, c'est un peu, voilà, voir ce que votre ressenti par rapport à tout ça.
37:15 - D'accord. Alors je rappelle que vous avez fait un bilan de compétences.
37:17 Et dans ce bilan de compétences, la géobiologie et le métier en tant qu'animatrice pour personnes âgées est ressorti réellement ?
37:26 - Alors ce n'est pas ressorti parce qu'en fait, sur le bilan de compétences, on vous fait vos grandes lignes de caractère.
37:32 Mais en fait, ce n'est pas très précis. Mais à force, je n'ai pas tout à fait fini, à force d'éliminer les choses qui ne me convenaient plus,
37:40 j'ai fini par, comment dire, je finis par admettre ce que j'étais.
37:48 Parce qu'en fait, on est une société où si vous ne rentrez pas dans une certaine ligne de comportement,
37:54 vous allez m'embaucher d'être un petit peu à contre-courant.
37:57 Et en fait, ça a fini par me permettre de comprendre qu'il y a des choses qui ont de la valeur pour moi
38:02 et qu'il fallait essayer de vivre avec mes propres valeurs en fait.
38:05 - Je suis d'accord avec vous. Mais vous savez, le contre-courant, parfois, permet de créer sa propre identité.
38:11 Ce n'est pas négligeable. Après, bien sûr, il faut respecter l'individu, il faut respecter certaines règles de la société,
38:19 parce que je crois que c'est important, mais d'avoir soi-même sa propre personnalité,
38:24 d'avoir, je dirais, à développer son propre talent, et bien, ce n'est pas très grave de prendre un contre-courant.
38:32 Enfin, je vous parle en connaissance de cause.
38:34 - Ok.
38:35 - Alors, dans ce que vous avez évoqué en termes de métier, ne serait-ce que par rapport à la géobiologie
38:44 et aussi en tant qu'animatrice pour les personnes âgées, oui, effectivement, parce que j'ai un petit peu étudié,
38:51 j'ai un peu regardé par rapport à votre date de naissance, effectivement, ce sont ces deux aspects,
38:57 et vous avez ces traits de personnalité qui correspondent bien à tout ça.
39:02 La seule chose, c'est d'avoir confiance en vous.
39:06 Et ne serait-ce que par rapport à la géobiologie, il y a une peur, il y a une crainte de ne pas pouvoir être au bon niveau d'études
39:15 ou d'apprentissage, vous voyez, il y a cette peur et cette crainte,
39:20 donc ne vous mettez pas la pression et essayez justement d'y aller tranquillement avec confiance.
39:27 Et pour moi, je vous vois faire ces deux activités-là,
39:32 parce que la géobiologie, parfois, elle ressortait un peu avec un déséquilibre
39:38 ou avec peut-être un manque de travail, un manque de clientèle,
39:44 un manque de possibilités de trouver une certaine forme d'épanouissement,
39:50 et à côté de ça, il y a la relation humaine qui est importante chez vous, sur laquelle vous avez besoin de vibrer,
39:56 et c'est pour ça que pour moi, je pense que vous ferez les deux, mais ne doutez pas de vos capacités et de la possibilité d'apprendre.
40:04 D'accord ?
40:05 - Oui, c'est tout à fait moi, c'est exactement le problème que j'ai,
40:08 je doute beaucoup de mes compétences sur le fait d'apprendre les choses et sur mes forces.
40:14 - Bien sûr, ça ne va pas être évident, mais vous pouvez y arriver, et vous pouvez y arriver, tout simplement.
40:20 - D'accord. - Merci à vous.
40:22 - Merci, merci Alexandre. - Merci Lucie.
40:24 - Et pour conclure, je dirais, l'amour inconditionnel de la famille nous rend plus forts et garde en mémoire des souvenirs éternels.
40:32 Nous, on se retrouve demain pour créer des nouveaux souvenirs, en tous les cas, et la place est au Vrai Voix.
40:39 Bonsoir Philippe David.
40:40 - Bonsoir Alexandre Delovade.
40:42 Au menu des Vrais Voix, pour les JO de Paris 2024, la campagne de désinformation russe prend de l'ampleur,
40:49 et on vous pose cette question, ingérence, manipulation, la Russie peut-elle déstabiliser la France ?
40:55 On a parlé des cercueils à la tour Eiffel, il y avait eu les étoiles de David il y a quelques temps,
40:59 est-ce que vous pensez que la Russie veut nous déstabiliser ou pas ?
41:03 Appelez-nous au 0 826 300 300.
41:06 Selon le paramètre ifop fiducial pour Sud Radio, le Premier ministre Gabriel Attal s'effondre, il perd 5 points,
41:13 alors l'embargo est à 18h, mais on peut le dire comme c'est un sondage pour Sud Radio,
41:17 et on vous pose cette question, est-ce la fin de l'état de grâce pour Gabriel Attal ?
41:22 Est-ce que pour vous, Gabriel Attal est déjà en grande difficulté,
41:26 surtout avec des européennes qui ne s'annoncent pas très bonnes pour la majorité,
41:30 ou c'est juste un petit coup de vent et ça va s'arranger ?
41:33 Venez nous dire également au 0 826 300 300.
41:37 Nos 3 Vrais Voix du jour, Philippe Biliger, Françoise Degoy et Tom Conan.
41:41 - Une bonne émission.
41:43 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Deloval.