Lors du séminaire "La Chine et le monde : coopération, défis et gagnant-gagnant" organisé par le New Era International Communication Research Institute, Djoomart Otorbaev, ancien Premier ministre du Kirghizistan, a souligné que "lancer des sanctions" équivaut à "admettre un échec". Selon lui, c'est précisément grâce à sa participation active à la concurrence que la Chine a réalisé ses avancées actuelles dans le domaine de la science et de la technologie.
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00:00Récemment, un célèbre groupe de réflexion australien a effectué une analyse et répertorié 43 des technologies les plus avancées de nos jours.
00:13Il y a déclaré que sur 43, la Chine est numéro 1 sur 37, il n'en reste plus que 6.
00:20Mon affirmation est que c'est la concurrence qui a amené la Chine au stade actuel.
00:25Et tout le monde devrait s'inspirer de cet exemple pour savoir comment réussir dans les temps à venir.
00:31Il s'agit d'être compétitif, en particulier dans le domaine de la haute technologie et de la modernisation.
00:38Nous sommes des pays d'Asie centrale avec une population très instruite.
00:42Nous voulons rejoindre la Chine dans les hautes technologies du 21e siècle.
00:47Selon ma définition, la sanction est la reconnaissance d'une défaite.
00:52La défaite de ceux qui introduisent des sanctions.
00:56C'est aussi simple que ça.
00:58Nous avons parlé de plus de concurrence, je voulais maintenant dire quelques mots sur la coopération.
01:04Tout en parlant de l'initiative, la ceinture et la route, nous continuons à dire que la Chine réalise près de 20% du PIB mondial, ce qui signifie que 80% du PIB mondial est ailleurs.
01:17La Chine devrait donc aller travailler avec d'autres pays.
01:21L'initiative, la ceinture et la route est un signal pour sortir et ensuite inviter les autres à venir.