Plein Feux sur les services financiers. Comment les autorités assurent la compétitivité de Maurice comme centre financier international et renforcent la position du pays dans une juridiction structurée ? Zoom Extra le jeudi 23 mai à partir de 17 h 30 avec Manisha Jooty qui aura comme invite le ministre des services financiers et de la Bonne gouvernance, Sunil Bholah.
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00:00de la
00:05Azodi Zoom Extra nous vous
00:08fait plein feu, le service
00:10financier euh, comment ben
00:12l'autorité PAC et la
00:14compétitivité Maurice comment
00:15elle s'entre financier
00:16international et grand France
00:18position pays dans une
00:19juridiction euh, structurée.
00:22Madame Missier, bonsoir. Avec
00:24Azodi euh, avec nous dans ce
00:26studio euh, c'est mini-service
00:27d'accueillir Azodi jeudi
00:31vingt-trois mai. Ministre euh,
00:34bonjour, bonsoir. Bon
00:36après-midi Manisha, bon
00:38après-midi à tous les auditeurs
00:40de Top FM. Donc euh, l'économie
00:43mauricienne est en lieu d'une
00:44phase nette reprise après ben
00:46une crise sanitaire euh,
00:48covid-dix-neuf avec ben un test
00:50etc. Service financier donc
00:52service financier qui peut
00:53prendre l'innovation
00:54diversifiqué, diversification
00:56de l'activité pour contribuer
00:57à la croissance économique pays.
00:59Euh, dernier exercice
01:01budgétaire présente ben la
01:02nombreuses mesures pour donner
01:04plus attrait à secteur qui fait
01:06face à Azodi et qu'il y en a
01:08beaucoup ben défis. Donc euh,
01:10ce n'est pas là donc euh, nous
01:12connaît qu'il budget l'île et
01:14c'est déjà donc dans quelques
01:16jours où tient la consultation
01:18avec un ministre des finances
01:20docteur
01:22dialogues donc où en tant qu'il
01:25est qui ben euh, discussion euh,
01:27qui une causée avec avec euh,
01:29ministre Padayatchi et que qui
01:31ben action concrète justement
01:33pour consolider nos centres
01:35financiers. Bon,
01:37rappel qu'il m'a la tête de sa
01:39ministère là maintenant depuis euh,
01:41un peu de plus de trois mois
01:43seulement. Oui. Euh, depuis
01:45décembre deux-mille-quatorze
01:47jusqu'à qui me bouger moi dans
01:49un ministère là me tient la
01:50tête du ministère des petites
01:52et moyennes entreprises, des
01:54petites et moyennes entreprises
01:56et pendant le deuxième mandat
01:58me tient aussi responsable du
02:00développement industriel. Là
02:02à partir euh, mi-février euh,
02:04mou, on joigne sa ministère là
02:06et là m'obtient euh, remercier
02:08aussi mon prédécesseur
02:10l'honorable qui fait un bon
02:12travail surtout avec ben euh,
02:14difficulté qui s'acceptait la
02:16fin de passé euh, peut-être
02:18tout à l'heure et moi me fais
02:20prendre la continuité. Donc euh,
02:22comme chaque année m'en a
02:24l'expérience euh, même euh,
02:26dans l'ancien ministère
02:28Côte-Métier qui à chaque fois
02:30que le budget est approché euh,
02:32mon collègue le ministre des
02:34Finances, il fait c'est que
02:36nous appelons une policy
02:38dialogue. Donc nous quand
02:40l'occasion discute euh, ben
02:42action qui nous faut bien
02:44entreprendre euh, dans chaque
02:46ministère, dans chaque
02:48ministère pour qu'il y ait les
02:50cas incorporés euh, euh, dans
02:52les ministères. Donc, il faut
02:54bien prendre le par exemple la
02:56compétitivité mais aussi sur la
02:58conformité euh, de sa secteur
03:00là. Très important les deux.
03:02Qui fait l'important parce que
03:04euh, conformité nous connaît
03:06ben difficulté euh, nous titre
03:08dans la liste grise, la liste
03:10noire, etc. Et nous prends
03:12combien, combien d'efforts nous
03:14faisons pour qu'elle soit aussi
03:16là-dedans et nous faisons
03:18continuer qui nous parle dans
03:20euh, de vis-à-vis les autres
03:22ben juridictions qui est là.
03:24Euh, notamment à Rwanda et
03:26aussi euh, le international
03:28financial and tech center et
03:30aussi ben euh, euh, centre
03:32financier qui est déjà établi
03:34depuis longtemps, qui est bien
03:36bien solide, c'est-à-dire que
03:38le Dubaï et aussi le Singapour
03:40donc nous devons être
03:42compétitifs. Donc ben action
03:44qui nous finit d'y aller, nous
03:46finit de discuter, il faut
03:49et euh, troisièmement aussi,
03:51euh, euh, les opérateurs, je
03:53finis toujours euh, dire qu'il
03:55y en a un manque de personnel,
03:57de talent et nous bien euh,
03:59donc euh, amène beaucoup de
04:01formation pour nous capables
04:03toujours euh, bien servir nos
04:05clients. Voilà les trois thèmes
04:07qui nous finissent d'aborder
04:09avec le ministre des finances
04:11et à ce jour
04:13qui est très très attentif à
04:15discussion qui nous tient bien
04:17à l'écoute.
04:20Donc euh,
04:23donc euh,
04:26justement, explique-nous qui
04:29était un centre financier et
04:31que comment nous autorités
04:33travail justement une cause
04:35rwanda et que Gift City dans
04:37l'Inde et le centre financier
04:39qui déjà existait comme dans
04:41Dubaï et que Singapour. Est-ce
04:43qu'il demain nous capables de
04:45d'un service financier nous
04:47pour nos nos nos centres
04:49financiers d'Emile
04:52euh, bon, il y en a plusieurs
04:54questions qui me posent dans
04:56la dernière question. Tout
04:58d'abord c'est pour décrire un
05:00centre financier dit un
05:02écosystème hein, qui réunit un
05:04régulateur qui ici c'est le
05:06services commission.
05:09Opérateurs, hein, principalement
05:11dans le management companies,
05:13acteurs globaux. C'est un
05:15pour passe-port là et aussi
05:18ben la banque internationale
05:20parce qu'il y a nos paye-cause
05:22internationale là. C'est pas
05:24nous continuer, parce pas que
05:26nous continuer. C'est seulement
05:28dans le pays. Nous avons une
05:30cabinet d'avocats, une
05:32cabinet de comptable donc tout
05:34ça stakeholder là ensemble et
05:36aussi il y a un produit qui
05:38provenir qui nous pourvu. Donc
05:40tout ça là il fait un un euh
05:42euh, un centre financier. Et
05:44etc. Donc c'est ça qui fait un centre financier pour moi. Si mon métier est simple, comme ça.
05:52Maintenant, deuxième question, c'est ce qu'il y a dans Rwanda, il y a Gujarat qui peut venir.
05:58Bon, ça c'est une bonne compétition. Et tout ça dans le centre financier là,
06:02je peux compter avec des centres financiers existants. Et comment je peux compter,
06:06c'est que je peux donner beaucoup plus de ce que les autres centres financiers peuvent donner.
06:10En termes de facilité, en termes d'ease of doing business, en termes de temps que ça prend pour
06:16procéder à des demandes d'application de licences, etc. Donc il y a toute cette compétition qui va
06:22avec au Rwanda. Mais nous sommes capables de dire qu'il y a 100 centres financiers ici à Lille-Maurice.
06:26Le Mauritius International Financial Centre, nous avons une expérience de 30 ans. Nous avons
06:33un opérateur très solide, nous avons des officiers à tous les niveaux qui sont bien talentueux
06:40aujourd'hui. Et nous avons brillé pendant ces 30 ans. Donc nous étions tout petits mais
06:46aujourd'hui nous sommes capables de dire que tout le temps nous avons une croissance. Même dans la
06:51période de COVID-19, nous avons une croissance d'un pouce. Nous serions un pouce. Et là il y a
06:58à peu près 4,5%. Donc nous avons une bonne réputation en ce qui concerne le centre financier
07:05mauricien. Donc au fait que c'est au Thilène, Maurice offre beaucoup d'opportunités aux
07:11investisseurs. Donc pour les Mauriciens, qu'est-ce que c'est qu'une opportunité comme ça
07:17qu'offre Maurice aux investisseurs qui viennent à Lille-Maurice? Dans Lille-Maurice, nous avons
07:26tout le temps l'habitude d'y aller. Nous avons des minéraux, nous avons de l'eau, nous avons du
07:31charbon, nous avons du pétrole. Nous avons, c'est vrai le paysage mauricien, nous avons la verdure,
07:38nous avons la plage, nous avons l'air pur. D'ailleurs nous faisons une primaire pour cela.
07:43Lille-Maurice fait une primaire pour cela. Mais il y a un atout qui nous reste, c'est nos ressources
07:48humaines et l'éducation aide. Nous avons des jeunes qui tout le temps suivent, qui sont à l'école,
07:58qui s'éduquent eux-mêmes et c'est tout le temps le chemin qu'ils prennent pour arriver dans la vie,
08:06comme on dit en créole. Et quand un secteur comme le service financier est venu, nous pouvons
08:14les qualifier. Donc nous avons aujourd'hui beaucoup de comptables, beaucoup de jeunes qui
08:20finissent leurs cours légaux par exemple, des degree holders dans le légal, des administrateurs,
08:25des ingénieurs, des informaticiens. Et nous avons besoin de l'ensemble de tous ces skills-là pour
08:32être capables de réussir dans le centre financier. Ça c'est une affaire, ça c'est une fortune qu'il
08:37nous est là. Deuxièmement, nos positionnements géographiques, c'est-à-dire nous entre l'Asie et
08:45l'Afrique. L'Afrique aujourd'hui, elle a besoin d'un investissement massif. Elle a demandé à peu
08:51près 350 milliards de dollars l'Afrique a besoin pour les développer. Et ces investissements-là,
08:57ils proviennent d'ailleurs ça. Pas nécessairement ils proviennent de l'Afrique, ils proviennent d'ailleurs
09:01ça. Et un centre financier, c'est important parce qu'il est là, je devine, il y a beaucoup de compagnies
09:07ici et il a besoin d'investir, par exemple, dans l'Afrique. Ajouté à cela, Maurice nous bilingue.
09:15Il y en a dix-moins qui parlent une troisième langue ou même une quatrième langue. Pas mal
09:19de Mauriciens parlent l'allemand, même le hindi qui est important aujourd'hui. Le mandarin, le portugais,
09:26donc ça c'est un atout principal. Et nous avons besoin aussi de reconnaître qu'il nous est là
09:33dans un système, par exemple, un système bancaire bien robuste, bien rodé. Nous avons la connexion,
09:41la télécommunication avec les mondes extérieurs. Lui aussi, il est capable de nous connecter n'importe
09:49quand. Et aussi la connectivité aérienne. Tout ça, Maurice, il a tous ces atouts-là. Maintenant,
09:56dans différents gouvernements, il y a des accords commerciaux avec le monde extérieur. Et là,
10:05je vous ai mentionné le FTA avec l'Inde, le Free Trade Agreement, pardon, le FTA avec la Chine,
10:10le Free Trade Agreement. Là, il y a quelques années, il y a eu deux accords qui nous appelaient
10:14SECPAT avec l'Inde. Nous aussi, il y a eu un parti pour nous deux, c'est l'AFCFTA, l'Africa
10:21Continental Free Trade Agreement. Comme ça, SADEC avec l'Union Européenne avec l'Inde,
10:27Economic Partnership Agreement, AGOA avec l'Amérique. Mais quand on met tout ça-là ensemble,
10:34on peut capturer 70% du marché international. Pas tout le pays est capable de faire ça. Et
10:41les gens ne peuvent pas réaliser les relations qu'ils ont avec les différents blocs, avec
10:45différents pays, l'Asie, l'Afrique, l'Europe. Et tout ça-là, c'est des achats qu'ils viennent
10:52faire aujourd'hui. Donc, tout ça, c'est des achats. Et une des bonnes raisons, c'est qu'il
10:58y a un centre financier qui a réussi. Il y a un centre qui a réussi. Et on peut faire bien. Mais
11:06quand même, il y a de la compétition qui m'obéit. Donc, ajouté à cela, je peux vous dire qu'il y a
11:12une certitude. Il y a un cadre fiscal qui s'est atteint. Et quand un client vient ici,
11:20il vient investir ici. Donc, il y a de la préservérité, il y a une certaine. Donc,
11:26tout ça-là, le fait qu'il y ait un centre financier, il y a une réputation.
11:30Donc, quel est le secteur, justement, que vous venez d'investir dans Maurice, s'il vous plaît?
11:38Écoutez, normalement, comment ça se fait? C'est ce qui, je te mets dix boutons de compas ici.
11:46À travers mon opérateur ici, normalement, il y a mon management company, ce qu'ils ont
11:52été deux autres choix. Et sa management company a les services. Donc, il y a plusieurs licences
11:59qui vont s'appeler auprès du Financial Services Commission. Et je te place toutes les raisons
12:04ici et tu es en train d'investir. Tu es en train d'investir dans ce qu'on appelle
12:09le Portfolio Investment. Mais aussi, tu es en train d'investir dans des projets à l'extérieur,
12:17justement, pour bénéficier de pas mal d'avantages que la juridiction mauricienne offre.
12:22Donc, ça fait trois ans déjà que Maurice est en train de développer la liste Grise,
12:27Groupe d'action financière Grise, Groupe d'action financière Grise, Groupe d'action financière Grise,
12:29Financial Action Task Force FATF. Donc, premières affaires, comment le pays
12:35le retrouve dans sa liste-là? Et à ce stade-là, quels sont les critères pour ne pas le retrouver dans sa liste-là?
12:43Parce qu'il me connaît à l'époque où M. le ministre Mahen Seratan a bien travaillé avec un officier
12:52pour qu'il retrouve son titre dans sa liste-là.
12:55Bon, il y a des gens qui pensent que ça finit d'arriver tout dernièrement, parce qu'on n'a pas fini par l'action.
13:00Eh bien, on finit par le CHC, on finit par le re-CHC.
13:03Ça, vous connaissez, la première évaluation, c'est en 2007.
13:07Donc, à cette époque-là, il y a eu plusieurs bannes d'efficience qui étaient observées.
13:11En 2007, je vous l'ai dit. Et malheureusement, très peu d'actions étaient initiées pour être capables d'adresser ces bannes d'efficience-là.
13:20En 2012, FATEF a fait une revoir sur les recommandations.
13:25Et ils ont demandé aux pays pour qu'ils soient conformes avec 40 recommandations et 11 outcomes immédiats.
13:35Mais encore une fois, malheureusement, en 2012, très peu d'actions étaient initiées.
13:41Alors, en 2018, l'évaluation qui s'est faite, nos ratings étaient très, très minimaux.
13:46Je parle vite là, parce qu'il y a une grosse littérature là.
13:50Et l'évaluation finit par démontrer que Maurice est largement conforme avec seulement 14 ou 40 recommandations.
14:01C'est peu. C'est un tiers.
14:05Et sa efficacité pour être capable d'atteindre ses 11 outcomes immédiats, il était très, très faible.
14:14Bien fait.
14:16Donc, suite à sa évaluation-là, et en lie avec la procédure de FATEF,
14:23Maurice s'est placé en observation pendant un an.
14:28Pendant un an en observation-là, Maurice, avec une détermination politique au plus haut niveau,
14:34finit en Barclays dans un vaste processus pour revoir et aussi pour consolider le cadre AML-CFT.
14:43Il nous a donné tous les moyens.
14:46Et, après une première année d'observation, FATEF a considéré que Maurice pouvait faire de bon progrès.
14:54Mais, il y a toujours quelques déficiences stratégiques pour lesquelles il nous a besoin d'adresser.
15:00Et donc, Maurice s'est placé sur la liste grise de FATEF, mais aussi sur la liste noire de l'Union Européenne.
15:10Donc, nous avons multiplié les efforts et nous avons pris des mesures bien robustes pour consolider son régime d'AML-CFT.
15:18Et, en moins de deux ans après, nous avons sorti avec brio de sa liste grise et de sa liste noire.
15:27Donc, c'était une expérience traumatisante, parce que tu peux mettre en péril un secteur.
15:34Et, je dois te rappeler que ce secteur financier est un pilier de notre économie.
15:43Il y a environ plus de 15 000 personnes qui travaillent là-dedans, avec une croissance extraordinaire ces derniers temps.
15:50Donc, nous n'avons pas été capables de nous assiser, croiser et nous assiser.
15:55Toutes les stakeholders travaillent, les différentes institutions travaillent.
16:00Et, nous faisons gagner le guide et aussi le support de nos premiers ministres.
16:07Et, pour qu'ils nous sortent d'un temps record de sa liste grise.
16:11Donc, c'est là qu'il y a des critères, par exemple, bien concrets du système financier, qui ne sont pas retrouvés dans cette liste-là.
16:21Ah oui, nous devons continuer.
16:22C'est ce qu'on nous a dit, nous devons toujours compléter.
16:24À part la compétitivité, nous devons toujours compléter pour ne pas retourner là-dedans.
16:28On a raison de dire ça.
16:29Donc, nous devons prendre des actions pour qu'on puisse améliorer le cadre législatif et l'AML-CFT.
16:35La deuxième évaluation sera en 2027.
16:38Donc, nous devons nous préparer pour ça.
16:40Donc, la formation doit continuer.
16:44Nous devons toujours prendre la formation.
16:48Par exemple, la semaine prochaine, il y aura l'officier de l'ESAMLAG, Pévin Morris,
16:54pour qu'on puisse équiper le personnel qui pourra faire l'évaluation et aussi juger les différentes choses qu'il va faire.
17:04Donc, on a une mid-term review qui va débuter prochainement pour évaluer le système en place.
17:09Et, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, la prochaine évaluation de FATF va se faire en 2025.
17:15Donc, nous pourrons bien finir d'initier les actions dès maintenant et ne pas attendre dernier lien.
17:21Donc, tout cela nous peut suivre au niveau de nos ministères.
17:24Donc, qui est l'organisation, M. le ministre, qui travaille pour ces critères-là?
17:30Comme si pour accueillir l'ESAMLAG et FATF et tout ça?
17:34Ici à l'île Maurice.
17:35Donc, il n'y en a pas non plus.
17:37Il y en a la police, il y en a FAYO, il y en a FCC maintenant, il y en a nos ministères, il y en a FSI.
17:43Tout cela se joue ensemble.
17:46Il y en a le ministère des Finances, il y en a mon ministère aussi.
17:48Donc, c'est une grande machinerie.
17:49Oui, oui.
17:50Moi, je vous ai dit qu'on est conduit dans le problème de toute cette institution-là.
17:53Enfin, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, je veux tout mettre la tête ensemble
17:56pour qu'on soit capable de sortir et, comme je vous l'ai dit, de sortir avec succès.
18:00Donc, quels sont les enjeux que nos systèmes financiers feront face, justement, dès 2025?
18:07Eh bien, on a la compétition qui peut venir.
18:10On a un centre financier, comme on dit, dans Gujarat, mais aussi à Rwanda.
18:14Et les banques nous disent qu'il y a une contribution au PIB.
18:20En 2023, il s'est chiffré à 1,7 milliard d'euros.
18:25Donc, 14,1 % du PIB.
18:28Et on a à peu près 15 200 emplois directs.
18:33Et même pendant les années COVID, nous finissons par réaliser une croissance positive.
18:40Donc, nous tenons une croissance positive.
18:43Et là, nous pouvons adopter de la technologie.
18:46Nous pouvons encourager.
18:47On dirait que chaque opérateur peut adopter de la technologie.
18:51Et aussi, quand nous parlons de technologie, là, c'est l'intelligence artificielle.
18:57Justement, il y a un sommet où tu as fait un discours, la semaine dernière.
19:05Donc, comment l'intelligence artificielle et le secteur financier?
19:09Est-ce que vous trouvez un robot, un GIA, dans ce secteur financier-là?
19:18Ça, l'IA, l'intelligence artificielle, il y en a besoin en ce moment-ci.
19:22Oui.
19:23Les jeunes qui accruent de la technologie en ce moment-ci.
19:27Donc, ils finiront dans le business.
19:30Et d'après les statistiques, les chiffres, 40 % de grandes corporations, de grandes compagnies
19:37ont déjà adopté l'IA dans le business.
19:4240 %.
19:44Et le reste, c'est sérieusement considéré pour l'IA.
19:49Parce que ça, il est pallié principalement à manque de skills, talent devant le personnel.
19:55Mon collègue Nathalie Maurice m'a proposé ce nom.
19:58Cette société-là, elle a même fait ce qu'on appelle Bank Reconciliation à travers l'IA.
20:04Vous réalisez ce que j'ai dit?
20:06Bank Reconciliation en adoptant l'IA.
20:09Est-ce qu'il est sécuritaire?
20:10Vous me demandez cette question-là.
20:12Vous me demandez comment c'est précis, comment c'est précis.
20:15C'est-à-dire, comment est-ce qu'il est slim?
20:18Bon, il peut travailler pour son client.
20:21Vous comprenez?
20:23Le business donne un service efficace, reliable.
20:28Il a amené l'IA pour remplacer les gens.
20:30Donc, le business est aussi performant.
20:33Donc, je pense qu'il n'y a pas de problème.
20:35L'IA est capable de faire le travail qu'une personne peut faire.
20:39Pourquoi pensez-vous que l'IA va remplacer les gens pour qu'ils puissent travailler?
20:46Le paradoxe, c'est ce qui...
20:48Bon, j'ai fait une cause avec mon opérateur.
20:50Depuis mon arrivée, j'ai fait plusieurs réunions.
20:53Réunions de travail.
20:54J'ai fait une cause avec mon opérateur dans le secteur.
20:57La semaine dernière, nous étions dans une table ronde qui était organisée par mon opérateur.
21:06Mauritius Finance.
21:08Ils m'ont invité.
21:10Ils m'ont dit qu'ils manquaient.
21:12Ils travaillaient.
21:14Des gens compétents.
21:16Ils étaient à peu près combien?
21:17Je dirais presque 2 000.
21:18Et je crois en eux.
21:19Je crois en eux.
21:21Il y a certaines personnes qui travaillent dans certaines compagnies.
21:24Elles ont de l'expérience.
21:25Beaucoup de jeunes.
21:26Contre l'aventure aussi.
21:27Ils ont un travail d'hier.
21:28Ils sont allés.
21:29Il y en a d'autres qui sont venus.
21:31Puis, ils ont travaillé dans le gouvernement.
21:32Donc, là où tu trouves ces opérateurs, ils manquent personnellement.
21:37Heureusement, on est arrivé au bon moment.
21:39Il y en a.
21:40Vous comprenez.
21:41Donc, ce n'est pas qu'il y en a qui peut mettre en difficulté.
21:44On dirait qu'il peut mettre en péril votre travail.
21:46Non.
21:47Non.
21:48Au contraire.
21:49Il y en a qui peuvent nous aider.
21:50Qui peuvent nous aider, nos opérateurs.
21:52Si ce n'est pas ce qu'il y a aujourd'hui, vraiment, nous ne pouvons pas avoir de clients.
21:55Mon opérateur ne peut pas avoir de clients.
21:56Moi, j'étais dans cette façon-là.
21:58Donc, toujours, nous avons besoin d'un humain dans notre bureau.
22:03Mais aussi d'être capable d'utiliser les applications.
22:06Par exemple, moi, comme petit débité.
22:09J'ai une expérience comptable.
22:10Comme moi, petit débité.
22:11Donc, comptabilité.
22:12Parce qu'il y a même un ordinateur.
22:14C'est une petite calculatrice.
22:15Après ça, vous faites tout ce que vous faites aujourd'hui.
22:17Mais aujourd'hui, on finit par avoir des applications.
22:20Des packages d'accounting, aujourd'hui.
22:22Donc, on fait beaucoup de reconciliations.
22:24Comme je vous l'ai dit tout à l'heure.
22:25Il y a pas mal de choses qui se font.
22:27Excel, l'autisme de toit, tout ça.
22:30Sinon, tu mets tous les bons chiffres.
22:32Après, tu as tout calculé après.
22:33Donc, finalement, il y a une évolution.
22:35Ça, ça m'a fait mettre en péril mon job.
22:37Dans ma firme comptable.
22:39Ou bien dans mon département comptabilité.
22:41Dans mes différentes sociétés.
22:42Au contraire.
22:43Les fins amènent beaucoup plus de productivité.
22:46Et les fins amènent aussi beaucoup de sûreté.
22:51Donc, AI, pour rentrer dans l'humeur.
22:55Les gens rentrent dans l'humeur.
22:57Et on peut bien travailler avec ça dans l'avenir.
23:00Donc, les jeunes aussi.
23:04Par exemple, pour faire fonctionner un système AI.
23:08Les jeunes aussi sont-ils formés pour ça?
23:11Certainement.
23:12Ils ont besoin de la formation.
23:14Nous les traînons.
23:17Et chaque société qui peut adopter AI
23:20peut assurer que le personnel qui peut servir AI
23:23soit bien formé.
23:25Pour qu'il soit capable d'obtenir un bon résultat.
23:29Donc, ça, je peux le faire.
23:30Parce qu'il peut travailler pour un client.
23:33Il ne faut pas que ce client,
23:34parce qu'il a adopté AI,
23:36gagne un résultat moins fiable qu'il avait auparavant.
23:43Donc, Thalela, nous parlons de différents lacons
23:47qui sont signés avec différents pays.
23:51Donc, pour nous être bien clair,
23:54M. le ministre,
23:55explique-nous, par exemple,
23:57qu'il n'y a pas de double taxation,
24:01de double imposition,
24:02par exemple, de cause agro,
24:03une cause secte.
24:04Donc, comment est-ce qu'il s'agit justement
24:07d'un commerce entre Maurice,
24:12par exemple, l'Inde,
24:13ou bien l'Ouganda,
24:15ou bien la Chine?
24:18Bon.
24:19Il y a un double taxation avoidance
24:24traité qui est signé par un pays
24:26avec un autre traité.
24:28C'est-à-dire une transaction qui est là,
24:31entre ces deux pays-là,
24:33à travers un centre financier,
24:35le fait de sorte qu'elle n'est pas taxée
24:37dans les deux pays.
24:38Principalement, c'est comme ça.
24:40Principalement.
24:41C'est beaucoup plus sophistiqué que ça.
24:43Donc, dans ce traité-là,
24:45ici, c'est le ministère des Finances
24:47qui signe ce traité-là,
24:49parce que c'est le ministère des Finances
24:50qui est responsable des taxes imposées
24:52aux bonnes personnes,
24:54aux bonnes fonctionnaires,
24:55aux bonnes sociétés,
24:56aux bonnes compagnies.
24:57Donc, comment dire,
24:59c'est beaucoup plus compliqué.
25:02Et c'est ça qui nous aide
25:04pour qui est un opérateur,
25:06pour adopter ce traité-là,
25:09mais aussi pour les clients,
25:10pour choisir
25:12qui propice pour eux,
25:15qui est capable d'installer eux.
25:17Donc, il y a plusieurs traités
25:18que nous signons,
25:19avec plusieurs pays.
25:20Et là, vous avez une mention,
25:21par exemple, l'Inde.
25:22Il y a plusieurs pays aussi
25:23qui nous signent un traité.
25:24Donc, monsieur le ministre,
25:25nous pourrions...
25:26Non, l'imposition.
25:27Donc, nous pourrions venir
25:28nous vous présenter
25:29le double avoidance treaty,
25:31surtout avec l'Inde
25:33et les autres pays,
25:35un petit moment après.
25:41Sous-titrage Société Radio-Canada
26:11Sous-titrage Société Radio-Canada
26:41Sous-titrage Société Radio-Canada
27:11Sous-titrage Société Radio-Canada
27:41Sous-titrage Société Radio-Canada
28:11Sous-titrage Société Radio-Canada
28:41Sous-titrage Société Radio-Canada
29:11Sous-titrage Société Radio-Canada
29:41Sous-titrage Société Radio-Canada
30:11Sous-titrage Société Radio-Canada
30:12Sous-titrage Société Radio-Canada
30:41Sous-titrage Société Radio-Canada
30:42Sous-titrage Société Radio-Canada
31:12Sous-titrage Société Radio-Canada
31:13Sous-titrage Société Radio-Canada
31:14Sous-titrage Société Radio-Canada
31:15Donc, aujourd'hui,
31:16c'est le service financier
31:17qui nous précoce avec le ministre
31:18des services financiers
31:19et le gouvernement
31:20de Sonil Bhola.
31:21Donc, Monsieur le ministre,
31:22vous étiez récemment en Inde,
31:23donc justement,
31:24je voudrais vous parler
31:25de Maitre Maurice,
31:26de Van Maurice,
31:27qui a une réputation
31:28comme un centre financier
31:29international.
31:30Je pense que vous avez
31:31été à quatre villes,
31:32au Chennai, au Delhi,
31:33au Mumbai,
31:34au Hyderabad.
31:35Donc, vous avez été
31:36à trois villes,
31:37au Chennai, au Delhi,
31:38au Mumbai,
31:39au Hyderabad.
31:40Donc, de toute façon,
31:41il y a des médias
31:42internationaux aussi
31:43qui l'ont interviewé.
31:44Donc, justement,
31:45il arrive presque
31:46quatre semaines,
31:47si je ne me trompe pas,
31:48qui aurait trompé
31:49sa visite-là?
31:50Est-ce qu'il y a
31:51un positif?
31:52Vous savez,
31:53j'ai besoin de dire
31:54que comme on est
31:55dans sa ministère-là,
31:56on dirait qu'il est
31:57là-bas en mi-février,
31:58sa mission-là
31:59s'est déjà préparée.
32:00Donc,
32:01si ce n'est pas moi,
32:02mon prédécesseur,
32:03l'Égypte
32:04a sa mission-là.
32:05Sa mission-là,
32:06c'est aussi
32:07qu'on prend
32:08les officiers
32:09de EDB,
32:10Economic Development Board,
32:11Financial Services Commission,
32:12un opérateur,
32:13quelques opérateurs,
32:14quelques officiers
32:15de mon ministère aussi.
32:16Donc,
32:17c'est déjà préparé,
32:18rendez-vous,
32:19ce n'est fini pas.
32:20D'un premier temps,
32:21moi,
32:22je me tiens en vie
32:23à aller voir.
32:24Je me tiens en vie
32:25à saisir qu'on prend
32:26l'élan
32:27de ce confinement
32:28qu'on prend
32:29qui est bien important
32:30pour qu'il nous
32:31reconnecte avec l'Inde
32:32en ce qui concerne
32:33le financial services.
32:34Donc,
32:35c'est déjà préparé,
32:36rendez-vous,
32:37on se rencontre
32:38avec le financial services.
32:39Et,
32:40comme on le fait bien dire,
32:41on se rencontre
32:42à Delhi,
32:43Chennai,
32:44Hyderabad
32:45et Mumbai,
32:46dans l'autre
32:47qu'on me fait dire.
32:48On a une rencontre
32:49avec plusieurs institutions
32:50prestigieuses,
32:51et,
32:52maintenant,
32:53dis-moi,
32:54est-ce que c'est vérifiable,
32:55ça?
32:56S'il y a une mission
32:57à l'abri à la tête
32:58qu'il y a un ministre,
32:59donc,
33:00ça ne l'attire pas
33:01tout simplement
33:02sa gratte de personnel-là.
33:03Par contre,
33:04quand je me suis dit
33:05qu'il y avait un ministre
33:06et,
33:07je me suis fait témoigner,
33:08donc,
33:09l'assistance,
33:10c'est énorme,
33:11maintenant,
33:12la salle s'est remplie.
33:13Et,
33:14comme on me l'a dit,
33:15maintenant,
33:16je suis tombé dans la banque,
33:17top-notch,
33:18dans l'assurance,
33:19dans l'association
33:20d'experts comptables,
33:21entre autres.
33:22Retomber les positifs.
33:23Et,
33:24en même temps,
33:25on a eu l'occasion
33:26pour causer
33:27sur les centres financiers
33:28mauriciens,
33:29tous les avantages
33:30qu'ils nous donnaient
33:31et aussi,
33:32les derniers produits
33:33qu'ils nous ont fait développer.
33:34Donc,
33:35c'est important
33:36que nous vendions
33:37ces produits-là.
33:38Tels que,
33:39par exemple,
33:40VCC,
33:41Variable Capital Companies,
33:42nous avons Viteux,
33:43pour mouvoir
33:44le Wealth Management,
33:45FinTech,
33:46etc.
33:47Mais aussi,
33:48les familles officieuses.
33:49Donc,
33:50finalement,
33:51il y a un intérêt grandissant.
33:52Je suis très à l'écoute
33:53et,
33:54moi,
33:55qui suis là pendant
33:56quatre semaines
33:57dans un ministère là,
33:58donc,
33:59je me filme bizarre.
34:00Je passe pas mal
34:01d'interviews
34:02avec les journalistes là-bas.
34:03Donc,
34:04il y a des gens
34:05qui nous parlent.
34:06Mais,
34:07le retombé,
34:08c'est ce qu'il y a à peu près,
34:09là,
34:10il y a à peu près
34:1130 compagnies indiennes
34:12qui finissent de manifester
34:13l'intention,
34:14l'intérêt
34:15pour Ville-Maurice
34:16et les derniers chiffres
34:17montrent
34:18qu'il y a dix
34:19après deux mois là,
34:20il y a dix
34:21qui ont déjà
34:22commencé à faire
34:23des démarches
34:24pour qu'ils se concrétisent.
34:25Des démarches,
34:26je dirais,
34:27moi,
34:28je dis ça
34:29pour parler avec
34:30le régulateur
34:31ici à Ville-Maurice.
34:32Il y a les officiers
34:33qui nous accompagnent
34:34pour qu'ils suivent
34:35ce dossier-là.
34:36Mais, moi aussi,
34:37comme je dis ça
34:38pour...
34:39Il y a des questions
34:40qui me viennent.
34:41Je peux poser des questions
34:42qui,
34:43comme je dis à Ville-Maurice,
34:44c'était inconnu.
34:45Quelle est la saison
34:46qu'il y a ici
34:47l'été, l'hiver ?
34:48Combien il y a
34:49de vols ?
34:50Est-ce qu'ils amènent
34:51des vols ?
34:52Incroyable !
34:53Et ça,
34:54c'était à Tchénaï.
34:55Même en face
34:56de la compétition,
34:57par exemple,
34:58Gif-Cité, etc.,
34:59même Singapour, etc.,
35:00nous avons
35:01beaucoup,
35:02beaucoup d'opportunités
35:03qui amènent
35:04les investisseurs
35:05dans Ville-Maurice.
35:06Je pense que Singapour,
35:07si ce n'est pas
35:08chaque mois,
35:09chaque deux mois,
35:10je parle d'online
35:11pour attirer
35:12les investisseurs
35:13dans d'autres centres
35:14financiers à Singapour.
35:15La dernière fois
35:16que la partie mauricienne
35:17était là-bas,
35:18ça faisait plus
35:19qu'un an.
35:20Il y avait
35:21beaucoup de chiffres
35:22qui démontraient
35:23qu'il y avait
35:24beaucoup de retombées
35:25positives.
35:26C'était l'année
35:27dernière.
35:28Donc,
35:29les grands temps
35:30qui nous allaient,
35:31toutes les parties
35:32concernées allaient
35:33et aussi
35:34vantillent
35:35les bonnes informations,
35:36vulgarisent
35:37les bonnes informations
35:38à chaque classe
35:39de bons investisseurs.
35:40Donc,
35:41je pense
35:42que c'est une mission
35:43réussie
35:44et en même temps
35:45une mission prometteuse.
35:46Donc,
35:47nous avons
35:48une finition
35:49qui a
35:50presque
35:5130 compagnies
35:52qui signifient
35:53cette intention.
35:54Donc,
35:5510 de ces compagnies
35:56peuvent faire
35:57des marches
35:58dans la ville
35:59de Singapour.
36:01Donc,
36:02justement,
36:03nous restons
36:04en système
36:05même.
36:06C'est l'accord
36:07de non-double
36:08imposition entre
36:09Maurice et Glenn.
36:10Donc,
36:11il y a
36:12des amendements
36:13qui sont là.
36:14Donc,
36:15les investisseurs
36:16ne peuvent pas
36:17être trop satisfaits
36:18de ces amendements-là.
36:19Donc,
36:20il y a
36:21des opérateurs
36:22dans Maurice
36:23et aussi
36:24des investisseurs
36:25indiens.
36:26Qu'est-ce que ça fait,
36:27M. le ministre?
36:28Bon,
36:29c'est compliqué.
36:30Il est beaucoup plus
36:31technique et légal aussi.
36:32Donc,
36:33nous visons
36:34à dire
36:35ce qui finit
36:36d'arriver depuis
36:372017.
36:38Nous avons
36:39une convention
36:40multilatérale
36:41qui est signée
36:42pour
36:43qu'il n'y ait
36:44pas
36:45double imposition
36:46avec Glenn.
36:47Bon,
36:48c'est existé.
36:49En 2017,
36:50il y a ça.
36:51Vous vous rappelez,
36:52en 2017,
36:53il s'est signé ça.
36:54Il y a eu un peu de tapas,
36:55etc.
36:56Donc,
36:57il y a une affaire
36:58entre
36:59les chefs
37:00qui étaient là
37:01avant 2017
37:02et qui s'est fait
37:03avant 2017.
37:04Donc,
37:05il n'y a pas
37:06d'imposition
37:07dans Glenn,
37:08etc.
37:09C'est assez compliqué.
37:10Mais là,
37:11on dirait
37:12qu'on est capable
37:13d'être compliant
37:14avec l'OECD.
37:15Le cabinet
37:16approuve
37:17ce protocole-là.
37:18Mais,
37:19on peut dire
37:20qu'on ne peut
37:21pas notifier
37:22et aussi
37:23qu'on ne peut
37:24pas
37:25signer
37:26ce protocole-là.
37:27Donc,
37:28il faut ratifier ça.
37:29Et tant qu'il n'est pas notifié,
37:30il n'est pas ratifié,
37:31il n'est pas pour
37:32effectif ça.
37:33OK.
37:34Donc,
37:35ce n'est pas notifié
37:36ni ratifié.
37:37Non.
37:38Pour le moment,
37:39il n'est pas ratifié,
37:40il n'est pas notifié.
37:41Mais seulement,
37:42quand le cabinet
37:43approuve ça,
37:44ça fait une vie publique
37:45et ça fait
37:46créer une certaine
37:47appréhension
37:48et à Maurice
37:49et à Glenn.
37:50Et à tel point
37:51que Glenn,
37:52le département
37:53de l'Income Tax,
37:54nous a fait
37:55communiquer
37:56et ça a été
37:57suivi par
37:58le M.
37:59Chevenu Authority
38:00à Maurice
38:01qui n'est pas
38:02effectif en ce moment.
38:03C'est justement
38:04pour calmer.
38:05Mais seulement,
38:06un jour,
38:07il peut venir.
38:08Quand nous pouvons
38:09bien ratifier,
38:10peut-être nous
38:11pouvons notifier.
38:12Donc,
38:13c'est l'accord-là
38:14qui m'a été,
38:15nous faisons
38:16pas mal
38:17d'éclaircissements.
38:18Nous allons pouvoir
38:19parler,
38:20nous allons
38:21négocier
38:22avec tous
38:23nos opérateurs
38:24ici à l'île Maurice.
38:25Qui appréhension
38:26par exemple ?
38:27Donc,
38:28nous faisons
38:29clarité.
38:30Nous faisons
38:31certainty.
38:32Il y a pas mal
38:33de choses qui partent
38:34claires.
38:35Et nous faisons
38:36certainty.
38:37Parce qu'il y a
38:38un investisseur
38:39qui est venu.
38:40Il est venu
38:41pour investir
38:42dans l'aide.
38:43Les biens
38:44connaissent
38:45qui taxe
38:46les biens
38:47payés.
38:48Les taxables
38:49et les pas taxables.
38:50Donc,
38:51à ce moment-là,
38:52il y a quelques points,
38:53quelque part,
38:54qui sont importants.
38:55Donc,
38:56nous avons besoin
38:57de connaître
38:58la situation
38:59en Inde
39:00en ce moment-ci.
39:01Donc,
39:02une fois qu'il est possible,
39:03nous avons besoin
39:04de connaître
39:05cette certainty-là.
39:06Mais parce que là,
39:07vous êtes à l'élection.
39:08Exactement.
39:09Donc,
39:10mais il y a
39:11un des points
39:12qui est important
39:13et prioritaire
39:14en ce qui concerne
39:15le gouvernement
39:16mauricien.
39:17Donc,
39:18je fais une cause
39:19avec mon collègue
39:20le ministre des Finances.
39:21Je fais aussi une cause
39:22à haut niveau.
39:23Donc,
39:24nous avons besoin
39:25de temps
39:26pour amener
39:27ce secteur
39:28à la quotidité
39:29aujourd'hui.
39:30Nous avons 30 ans
39:31d'expérience.
39:32Nous avons autant
39:33de personnes
39:34qui peuvent travailler.
39:35Et nous avons besoin
39:36de maintenir le cap
39:37et aussi le rythme
39:38avec lequel
39:39nous travaillons.
39:40Donc,
39:41il y a un problème.
39:42Il y a une clarté-là
39:43que nous avons besoin
39:44d'amener.
39:45Comment nous le faire?
39:46Ça,
39:47nous pouvons discuter.
39:48D'ailleurs,
39:49je vais faire une réunion
39:50encore une fois
39:51avec mon opérateur
39:53pour faire tout
39:54ce qu'il est capable
39:55pour, une fois,
39:56nous trancher l'eau là
39:57et à la satisfaction
39:58de tout le monde.
39:59Donc,
40:00il y a ces techniques.
40:01Nous pouvons parler
40:02dans tout le monde
40:03sur comment ça fait
40:04de passer.
40:05Par exemple,
40:06y a-t-il un monde
40:07qui est trop content?
40:08Non.
40:09Comment dire?
40:10OK, ça,
40:11nous avons besoin
40:12de faire ça.
40:13Sinon,
40:14pour faire
40:15cette action-là,
40:16nous avons besoin
40:17encore une fois
40:18d'un non-compliant.
40:19OK.
40:20Vous comprenez?
40:21C'est eux
40:22qui guident
40:23tout ce qui appelle
40:24la taxe.
40:25Nous avons besoin
40:26de faire ça.
40:27Tout autant,
40:28nous avons besoin
40:29de faire ça.
40:30Maintenant,
40:31quand nous faisons ça
40:32avec l'un,
40:33il y en a
40:34certains qui l'ont admis
40:35qui l'ont léqué
40:36et qui ne sont pas
40:37définis,
40:38qui ne sont pas clairs.
40:39Pour me dire ça,
40:40pour me rendre
40:41techniquement,
40:42pas pour dire ça.
40:43Comment dire ça?
40:44Ils ne sont pas clairs.
40:45Donc,
40:46nous avons besoin
40:47de trouver
40:48une explication.
40:49Nous avons besoin
40:50de trouver
40:51une explication.
40:52C'est ça que je veux dire.
40:53Parce que s'ils sont
40:54économiques,
40:55ils peuvent mettre
40:56des casses,
40:57ils peuvent investir
40:58dans l'un,
40:59mais il faut
41:00qu'ils payent.
41:01Moi, je l'ai dit
41:02plus simple
41:03qu'ils peuvent
41:04dire à la radio.
41:05Bien sûr.
41:06Il y a beaucoup
41:07de littérature.
41:08Nous passons
41:09beaucoup de temps
41:10avec les opérateurs
41:11de l'eau-là.
41:12Mais nous pouvons
41:13attendre le moment
41:14propice pour nous
41:15pouvoir souligner
41:16la question
41:17avec la partie indienne.
41:18Et là,
41:19nous pouvons
41:20travailler ensemble.
41:21Il y a des choses
41:22qu'ils peuvent faire,
41:23tous les mouvements
41:24qu'ils peuvent faire,
41:25nous pouvons les faire
41:26avec consultation
41:27avec les opérateurs
41:28pour qu'ils nous bougent
41:29ensemble dans cette direction-là.
41:30Écoutez,
41:31l'Inde, c'est un pays ami.
41:32Oui, oui.
41:33On connaît
41:34plusieurs affaires
41:35de fin d'année.
41:36Nous,
41:37nous avons un problème
41:38en ce qui concerne
41:39ce traité-là
41:40et nous,
41:41nous l'avons garanti
41:42qu'ils nous
41:43pourront trouver
41:44une solution
41:45pour toutes les parties,
41:46comme je l'ai dit.
41:47Donc,
41:48dans ce pays,
41:49il y a encore
41:50un seuil,
41:51une alternative
41:52à la monnaie courante-là.
41:53Et en ce qui concerne
41:54la législation,
41:55il n'y a pas trop
41:56un petit peu
41:57d'honneur
41:58derrière
41:59comparé
42:00avec un pays
42:01comme El Salvador
42:02qui finit
42:03avec Bitcoin,
42:04cette common currency.
42:05Oui,
42:06Salvador
42:07est bien mentionné.
42:08Donc,
42:09comment
42:10nous pouvons
42:11gérer
42:12cette crypto-monnaie-là?
42:13Est-ce qu'on peut
42:14venir de l'avant
42:15avec une loi
42:16et une législation
42:17pour avoir
42:18sa mouvance
42:19vers un service
42:20financier
42:21qui peut être innové
42:22après AI
42:23et tout ça?
42:24Oui,
42:25tu as raison.
42:26Tu peux faire référence
42:27à un workshop
42:28qui est organisé
42:29par une compagnie
42:30qui s'appelle
42:31Wakanda 4.0.
42:32Donc,
42:33c'est un sommet
42:34de crypto-monnaies
42:35qui m'ont
42:36intervenu,
42:37m'ont assisté,
42:38m'ont intervenu.
42:39Mais,
42:40moi-même,
42:41j'ai appris beaucoup
42:42de cette intervention
42:43de haut niveau
42:44et je dirais
42:45qu'elle est bien
42:46parce qu'elle est
42:47l'une des premières
42:48pays qui fait
42:49introduire un cadre
42:50légal autour
42:51d'un actif
42:52actuel tel que
42:53la crypto-monnaie
42:54à travers
42:55Virtual Asset
42:56and Initial Token
42:57Offering Services Act
42:58qui est passé
42:59dans le Parlement
43:00en 2022.
43:01D'ailleurs,
43:02j'ai encore rappelé
43:03que j'ai intervenu
43:04dans la salle de la loi.
43:05La salle de la loi
43:06a terminé
43:07par mon prédécesseur
43:08l'honorable Sirotin.
43:09Et d'ailleurs,
43:10il y a un produit
43:11innovant
43:12dans lequel nous
43:13faisons,
43:14par exemple,
43:15les transactions
43:16en exchange
43:17de l'intelligence
43:18électronique à la société.
43:19Donc,
43:20dans ce cas-là,
43:21il nous faut
43:22un gouvernement.
43:23Au fini du mois,
43:24El Salvador.
43:25Bon,
43:26nous nous bouge
43:27avec précaution,
43:28avec prudence
43:29pour éliminer
43:30les problèmes
43:31dans ce secteur-là.
43:32Donc,
43:33il nous faut
43:34un gouvernement
43:35et nous devons
43:36éduquer,
43:37il nous faut
43:38mettre l'éducation,
43:39nous devons mettre
43:40en place l'éducation
43:41pour la consommation
43:42et à travers
43:43le Financial Services
43:44et tout ce qui va avec. Encore une fois, il est bien technique, il est bien complexe,
43:51mais il nous a besoin de l'éducation. Il nous a besoin d'un know-how là pour nous
43:54capables de s'assurer de sa secteur-là bien et de la direction-là parce qu'il ne veut
43:59pas que personne perde de l'argent aussi. Après, en même temps, il nous a besoin de
44:02créer de la confiance pour que le monde puisse l'adopter. Vous savez, il y a plein de choses
44:07pareilles. Mais est-ce qu'il y a beaucoup d'hommes d'affaires qui peuvent aller vers
44:12sa crypto-monnaie là? On ne peut pas vous dire beaucoup, mais ils peuvent venir dans
44:17les moeuses maintenant. Ils peuvent venir dans les moeuses, oui, mais aussi longtemps
44:22qu'il y a un opérateur qui a une confiance ou qui a donné une garantie de sécurité
44:27ou qui a un cadre légal qui est bien rôdé, il n'y a personne qui peut prendre de l'argent.
44:31Il peut toujours rester au traditionnel. Donc, il nous a besoin de faire de l'éducation.
44:35Il nous a besoin de donner cette garantie-là. Il nous a besoin d'être à ceux qui veulent
44:38ou pas pour payer un dit ou l'argent tel des affaires. Les avantages aussi, il nous
44:42a besoin de vendre les avantages en ce qui concerne l'adoption de crypto-monnaie, etc.
44:47Donc, il y a un travail qui peut être fait à ce niveau-là. Mais on reconnaît qu'il
44:50est lent. Alain Maurice est lent, mais seulement une fois qu'il nous comprend, il obtient
44:54cette activité, c'est-à-dire qu'il peut y aller.
44:56Donc, un remarque que je voudrais faire, M. le ministre. À Maurice, par exemple, il y
45:01avait l'innovation AI, crypto-monnaie, bitcoin. Il est bien un petit peu lent, comme un tortueux.
45:10Oui, c'est une observation juste et exacte. Je ne veux pas dire que je suis bien en réponse
45:18à ça. Non, non, je ne sais pas si c'est moi. Parfois, nous restons dans le confort
45:24zone. En anglais, on appelle ça risque averse, pas risque neutral. Quand il y a un risque
45:32là, on dirait que nous perdons. Nous perdons pour penser à un risque là. Alors qu'il
45:37y en a de multiples avantages si on adopte des choses pareilles. C'est une culture,
45:42je dirais. C'est une culture. Donc, avec les jeunes qui vont monter maintenant, qui
45:49sont très accros avec la technologie, vous pensez qu'ils y pourront vite. Mais aussi,
45:55nous avons besoin d'une personne qui est rodée, d'une personne qui est bien formée
45:58là-dedans. Donc, l'interaction avec le monde extérieur, c'est important aussi, ça.
46:02Donc, assister à des conférences internationales, que tu gagnes beaucoup d'enseignements, d'informations,
46:08c'est important. Il faut qu'il y ait des officiers, des opérateurs dans le secteur.
46:13Mais il y a le public, il y a beaucoup plus dans le privé. Voyager. Et s'il y a beaucoup
46:17de voyages, finalement, il y a beaucoup d'échanges d'informations. Aujourd'hui,
46:20au virtuel aussi. Au virtuel aussi, on peut avoir un certain nombre d'informations, pas
46:24nécessairement qu'ils soient déplacés. Donc, les pays venus, petit à petit. Mais
46:27en même temps, n'importe quelle manière, l'État a besoin de mettre un cadre légal
46:32aussi. Parce qu'encore une fois, on peut dire que personne ne peut prendre le risque
46:36pour adopter des choses pareilles, quand il y a un risque qui arrive et il dit tout.
46:41Vous comprenez? Donc, il y a un peu de temps, mais c'est sûr, les pays venus. Et moi-même,
46:45quand j'ai assisté à mon atelier de travail, à ma conférence ici, qui est organisée
46:50par Maurice, moi-même, j'ai fait, agréablement, sur la plupart du progrès, je ne sais pas
46:56comment je maîtrise ça. Je connais cette matière-là au bout des ongles. Mais c'est
47:01vrai qu'il y a besoin de ventiler et de vulgariser encore plus pour qu'il y ait encore plus
47:05de personnes qui rentrent dans le secteur-là. Parce qu'il nous connaît, après, un small
47:09and medium PME qui nous fait beaucoup, qui nous aide beaucoup sur notre compagnie-là,
47:14aujourd'hui, on trouvait dans le service financier, donc, ou dans la mouvance-là.
47:19Donc...
47:20Vous connaissez, hein? Bon, vous pouvez vraiment faire appel à ça. Nous sortons dans l'extrême
47:24pour rendre notre extrême, OK?
47:25Oui, nous sortons dans l'extrême, oui. Nous sortons dans l'extrême, OK?
47:26Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:27OK?
47:28Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:29Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:30Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:31Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:32Oui, nous sortons dans l'extrême, oui.
47:33C'est vrai, c'est dans une transition abrupte, si vous voulez.
47:36Abrupte, oui.
47:37Abrupte et dans très peu de temps. Et bon, il faut faire avec, mais quand même, on peut
47:42faire le maximum pour être capable de satisfaire l'industrie, satisfaire les opérateurs,
47:50et je vous le dis, je suis toujours là, je peux toujours pratiquer une politique de porte
47:55ouverte. Moi, à l'écoute de tous mes opérateurs, je réponds présent à mes sollicitations.
48:01Quand il y en a, par exemple, Moïseus Finance, qui regroupe mon opérateur dans sa secteur-là,
48:06à chaque fois qu'ils sollicitent une rencontre ou bien ils appellent mon point d'attention,
48:09ils travaillent pour une conférence ou n'importe quoi, ils me répondent présent, ils me donnent
48:12l'occasion pour aussi me mettre à jour avec l'évolution qu'il y a dans sa secteur-là.
48:18Donc, ministre, vous l'avez dit avant, donc, le budget, les 7 juin, on a eu l'occasion
48:25d'indiquer l'année des services financiers pour 2023-2024. Bien sûr, bien sûr, quand
48:33on peut préparer pour dialoguer avec le ministre des Finances, moi, je ne finis pas son revue,
48:38le budget là, 23-24, c'est-à-dire qu'il peut terminer là en juin de cette année-ci.
48:42Il y a beaucoup de mesures qu'il finit d'adopter. Oui, oui, pas mal de mesures, mais il y en
48:46a certainement des mesures qui prennent du temps. Par exemple, setting up of FinTech
48:48City, il prend un peu du temps, ça, parce qu'il n'est pas facile. Il faut encore une
48:51fois amener la loi, la loi CAD, on faisait la formation, etc. Il n'est pas fait d'un
48:57mois dans deux mois, ça. Donc, il implique pas mal de choses, de bonnes actions qu'il
49:01ne peut plus s'imprendre. Mais c'est vraiment qu'il y a eu l'occasion avec le CIT qui
49:04nous a fait bouger dans la bonne direction, et ça, ça lui provient d'une réalité.
49:10Donc, le FinTech City, là, il provient d'une réalité.
49:13Donc, nous, on peut dire qu'il y a des jeunes qui ont l'avenir dans le service financier.
49:17Ah, certainement. Aujourd'hui, vous savez, pendant des mois, moi, je finis de travailler
49:19pour lui. Aujourd'hui, quand on est dans l'ébène, aujourd'hui, il y a tout ce monde
49:24qui travaille, tout ce monde qui est là, tout ce monde jeune, tout ce monde cadre qui peut
49:27travailler là. Il a vraiment réalisé qu'il ne peut pas s'y mettre. C'est ce qu'on appelle
49:30la cyber city en ébène aujourd'hui. Tout ce monde qui est là, tout ce monde compagnon.
49:34Donc, ça, on dirait qu'il y a une vision extraordinaire, quand il y a un an après
49:41ce qu'on a fait la première mission, l'année 2000. Mais au début de ça, il y a aujourd'hui,
49:46des milliers et des milliers de jeunes qui peuvent travailler là-bas, dans un cadre
49:50idéal, avec tout le confort qui va avec, avec la technologie, avec la connectivité
49:56qu'il y a aujourd'hui. Donc, je me dis, chapeau à ça, Nero Diagnan, qui finit de
50:00faire autant. Donc, il se trouve loin, lui.
50:03Donc, où entend-t-il que le ministère des Financiers ait une bonne gouvernance ou vision
50:08pour l'avenir?
50:10C'est très simple. Nous devons faire déjà un pilier de l'économie, du secteur financier,
50:15nos juridictions. Nous devons augmenter nos contributions au PIB. Nous devons faire de
50:22sorte qu'il y a une plus grosse croissance dans l'économie mauricienne. Nous devons
50:28adopter les dernières technologies. Nous devons toujours former le personnel qui est
50:36affecté dans ce secteur-là, le service financier. La formation, c'est important.
50:40Nous devons faire ça. Quand je dis coopérative, je ne veux pas dire que nous devons faire
50:43ouvrir le National Cooperative College, qui fait une forme de centaines, sinon des milliers
50:47de... Surtout madame. Surtout madame. Nous devons révolutionner le secteur des petites
50:52et moyennes entreprises. Nous devons créer un système mauricien avec quatre centaines,
50:56Rosebill, Belair, Goodlands et Cormandale. Et dans chaque centaine, il y a un bureau
51:01qui est dédié à la formation. Donc, tout le temps à la formation. Et dans ce secteur
51:06aujourd'hui-là, le plus important, c'est de former tous les gens qui travaillent là-dedans.
51:11Nous devons attirer les jeunes là-dedans parce qu'il y en a. Il y a énormément d'opportunités
51:15et de prospects là-dedans. Et nous devons être au service de nos clients. Ce ne sont
51:20pas seulement des clients mauriciens, mais des clients qui sont sortis d'où? De l'Asie,
51:24de l'Amérique, de l'Inde, de Japon. Et nous devons toujours être présents pour
51:30répondre à nos aspirations. Parce que c'est un monde très important, nous devons beaucoup
51:34d'argent et nous devons faire confiance à nos juridictions. Et donc, nous devons être
51:40là pour répondre et donner une satisfaction totale à nos investisseurs. Donc, notre mission
51:46est d'aller dans ce sens-là, pour qu'il nous fasse ce secteur-là, ce pilier qu'il
51:50était là, et doubler sa productivité. C'est ça qui m'intéresse d'un premier
51:55point de vue.
51:56Merci M. le ministre. Donc, nous avons dit Zoom Extra, services financiers, nous allons
52:02faire un tour de table, qui était services financiers, budget qui est pourvenu, donc
52:07FinTech qui est pour une réalité. Bientôt, nous allons accorder une double imposition
52:13avec l'Inde. Donc, nous allons gagner un pays nouvel. Donc, M. le ministre, en primaire…
52:19Oui, écoutez, je le rappelle pour la première fois, en ce qui concerne l'industrie là,
52:22nous avons fait une évitation dans la technicalité aussi, toutes les techniques qu'il y a là,
52:26nous avons fait une cause en langage qui est simple, et nous avons fait une table de ce
52:30secteur-là.
52:31Parce que ce secteur-là, il est vraiment bien technique. Donc, si vous voulez comprendre,
52:37il est bien simple. Par exemple, il y a un secteur aussi, l'intelligence artificielle,
52:43il y en a beaucoup, du monoxyme, pas pour comprendre.
52:46Pas pour comprendre, exactement.
52:47Vous croyez qu'il y a une computer qui vous fait un tour.
52:49J'espère que vous le respectez.
52:50Oui, bien sûr, bien sûr.
52:51Vous respectez mon auditeur.
52:52Bien sûr.
52:53Je vous dis à vous que moi-même, il est bien technique, il est bien légal aussi, tout
52:55ce qu'il nous peut aborder, c'est un secteur qui est bien technique, légal en même temps.
52:59Et nous devons garder aussi ça en conversation, qui me fait énormément de plaisir.
53:03C'est avec beaucoup de plaisir qu'il nous fait une cause pendant presque 50 ans.
53:06Oui.
53:07Donc, je vous dis merci.
53:08Merci.
53:09Donc, Mme Amissier, bonsoir.
53:10On se retrouve la semaine prochaine.
53:19Au revoir.
53:20Au revoir.
53:49❤️ par SousTitreur.com
54:19❤️ par SousTitreur.com