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00:00 90 minutes, 120 peut-être, pour atteindre la finale de la Ligue Europa.
00:05 Avec une semaine où vous n'avez pas eu de match, entre le match aller et le match retour,
00:09 comment vous êtes préparés ?
00:11 Et surtout, je dirais dans les têtes, est-ce que vous êtes prêts à réaliser la grosse performance demain soir ici ?
00:17 Bonsoir.
00:19 Bien sûr, bien sûr, on est prêts.
00:22 Le repos du week-end a fait du bien.
00:26 Je pense qu'on a pu bien se reposer, bien travailler.
00:29 On a pu voir avec le coach les petits détails qui n'allaient pas au match aller.
00:35 Mais on est prêts, on est prêts.
00:37 On sait qu'on a un match de jouer une finale de Coupe d'Europe.
00:41 Donc voilà, on va tout donner demain pour l'emporter.
00:44 Fabrice.
00:47 Bonsoir.
00:50 A l'adresse, vous avez vraiment donné à la série ski, malgré le résultat nul.
00:55 Est-ce que tu penses, en premier temps, qu'ils nous ont sous-estimés ? Et à quel type de défi t'attends demain ?
01:00 Non, je ne pense pas qu'ils nous ont sous-estimés.
01:04 Il faut le dire aussi, on a fait le match qu'on voulait faire, presque parfait.
01:11 Il manquait cette victoire.
01:13 On est l'Olympique de Marseille.
01:16 On a montré au cours de cette campagne européenne qu'on pouvait mettre de nombreuses équipes en difficulté.
01:26 Mais c'est sûr qu'on a fait le match qu'on voulait faire.
01:32 Et il va falloir faire le même encore mieux demain si on veut l'emporter ici.
01:37 Jordan, enlève le casque là.
01:41 Pousse-le.
01:42 Allez, Ludo.
01:47 On peut enchaîner s'il vous plaît ? Ludo, vas-y.
01:56 Bonsoir Jordan. Dans votre effectif, il y a un joueur qui a l'habitude de jouer ce genre de match,
02:01 le PRM Rico Bameyan. Il a raté une grosse occasion à l'aller.
02:05 Qu'est-ce qu'il vous apporte à l'entame de ces matchs européens ?
02:10 Pierre Aubin est un joueur exceptionnel.
02:15 Un coéquipier formidable aussi. Il nous conseille par son expérience.
02:21 Déjà, on ne lui en veut pas du tout sur l'occasion.
02:25 Je pense que sur toute l'année, il nous a montré de quoi il était capable.
02:30 Il nous a mis des buts qui nous ont fait du bien.
02:35 Je sais que demain, s'il a cette occasion-là, il la mettra au fond.
02:40 On a confiance en lui. Il nous apporte beaucoup.
02:44 Demain, il fera le match parfait pour nous emmener en finale.
02:48 Je sais que tu aimes beaucoup le foot. Est-ce que lundi soir, tu t'es regardé un petit Salernitana à Talanta ?
03:00 Est-ce que tu as pu en tirer des enseignements si tel est le cas ?
03:04 Bien sûr. Je pense que pas mal de l'effectif a regardé le match.
03:09 On est tous des amateurs de football. On kiffe le foot.
03:16 Déjà, on a regardé le match qu'on a fait contre eux la semaine dernière.
03:22 Ensuite, on a regardé le match de lundi.
03:24 C'est une équipe qui est dangereuse.
03:27 À tout moment, ils peuvent mettre en difficulté l'adversaire. Il faudra faire attention.
03:33 Maintenant, on a aussi la capacité pour les mettre en difficulté.
03:38 On l'a démontré jeudi dernier.
03:40 Je me répète, il faudra faire le match parfait, comme la semaine dernière,
03:47 mais encore mieux avec cette efficacité pour l'emporter.
03:51 Jordan, bonsoir.
03:54 Tu parlais de petits détails à corriger du match à l'éleve.
03:58 Tu peux nous expliquer quels sont ces petits détails qu'il faut corriger pour continuer la victoire ?
04:05 On ne va pas vous dévoiler ce qu'on a travaillé cette semaine,
04:09 mais c'est sûr qu'on a toujours à s'améliorer.
04:13 Il faudra corriger ces petits détails.
04:18 Ce qu'on a fait de bien, c'est encore faire un peu plus pour les mettre en difficulté,
04:24 pour les faire reculer aussi et aller gagner ce match.
04:30 Bonsoir, je suis Arthur Magy, de Sport.
04:34 C'est un avantage pour l'OM de ne pas jouer un seul match pendant une semaine ?
04:39 Oui, c'est sûr que pour l'organisme, ça fait du bien.
04:43 On a pu se reposer.
04:45 Je pense que c'est une saison où on joue beaucoup de matchs.
04:48 L'organisme prend cher aussi.
04:50 On joue tous les trois jours.
04:52 On aime jouer tous les trois jours, mais il y a eu beaucoup de matchs cette saison.
04:56 C'est sûr que la Ligue française nous a permis de pouvoir se reposer ce week-end.
05:01 Je pense que c'est bien pour le football français.
05:04 Deux dernières questions.
05:07 Michel et Bruno.
05:09 Jordan, tu étais dans le groupe de finale de Coupe du Monde.
05:12 Tu as joué une finale de Ligue Europa Conférence.
05:15 Ce match-là, tu le places où dans les matchs les plus importants de ta carrière ?
05:19 Il n'y a pas de match.
05:27 C'est le rêve d'un footballeur de jouer des matchs comme ça.
05:33 C'est le rêve d'un footballeur de gagner des titres.
05:36 On est là pour ça.
05:38 On est à l'OM.
05:40 Je pense que de les amener déjà à Dublin, ça sera énorme.
05:45 On verra.
05:49 Ce sont des matchs que nous rêvons tous de jouer.
05:52 Ce n'est pas tous les jours qu'on peut jouer une demi-finale de Coupe d'Europe.
05:57 On va tout donner.
05:59 On a envie de nous faire plaisir, de faire plaisir au club,
06:04 mais surtout à nos supporters qui ne nous ont pas lâché cette saison.
06:09 Allez Bruno, on finit avec toi.
06:11 Oui, Jordan, bonsoir.
06:12 On regrettait peut-être au match d'aller de ne pas avoir mis le deuxième ou le troisième but,
06:15 mais au final, ce 1 partout, est-ce qu'il ne vous oblige pas à être vraiment concentré, concerné ?
06:21 Il va falloir défendre, attaquer, marquer aussi,
06:23 ne pas défendre un avantage comme vous auriez pu en bénéficier lors du match d'aller.
06:27 Est-ce que tu es d'accord avec ça ?
06:30 On aurait pris la victoire la semaine dernière.
06:33 Maintenant, on est 1-1.
06:35 Il reste un match.
06:36 On a 90 voire 120 minutes d'une finale.
06:39 On va tout donner.
06:40 On ne va rien lâcher.
06:41 Ça a été notre force cette saison de ne rien lâcher, d'être tous ensemble.
06:47 Dans les moments compliqués, on a su tout le temps se relever.
06:53 C'est notre force, c'est le groupe.
06:56 Je pense que demain, il faudra faire le match parfait avec l'état d'esprit qu'on montre depuis un bon moment.
07:05 Merci beaucoup, Jordan.
07:07 Merci.
07:08 Merci à vous.
07:09 Allez, on y va.
07:20 Karim.
07:21 Coach, bonsoir.
07:23 Avec une semaine où vous n'avez pas joué, comment vous sentez votre groupe ?
07:28 Est-ce que vous pouvez nous donner quelques petits détails sur la préparation
07:33 et la récupération de certains joueurs qui étaient un peu fatigués la semaine dernière ?
07:38 Au niveau du groupe, on est pour une fois au complet.
07:42 On a monté le physique de certains pour arriver à un bon niveau.
07:50 Les dernières semaines ont été pénibles pour que tout le monde soit prêt physiquement le jour J, c'est-à-dire pour demain.
08:00 Là, on est bien.
08:02 Michel.
08:04 Là.
08:05 Jean-Louis, deux petites questions.
08:09 Une, entre nous, est-ce que vous avez préparé la séance des tirs au but ?
08:12 Et deuxièmement, même question qu'à Jordan, avec l'énorme expérience que vous avez,
08:18 vous le mettez où ce match dans votre carrière ?
08:21 Alors oui, on a travaillé les tirs au but, comme on a travaillé beaucoup de choses.
08:29 Jordan vous l'a dit, on a décortiqué le match qu'on avait fait parce qu'on était bien dans ce match.
08:38 On regardait les yeux dans les yeux une équipe qui était impressionnante à l'extérieur.
08:44 Il fallait faire un match spécial à domicile, ce qu'on a fait.
08:49 Si on avait ajouté les deux, trois petits détails pour gagner le match, on l'aurait fait.
08:58 On n'a pas pu, donc on est à la mi-temps.
09:00 On est un à un et demain c'est un autre match qui va débuter dans un stade, je pense, difficile.
09:08 Où on va axer sur le combat, sur les duels de départ.
09:17 Il va falloir qu'on soit prêts, qu'on défende aussi bien que ce qu'on a fait au Vélodrome
09:25 en y ajoutant le petit plus de l'efficacité.
09:29 Et dans votre carrière, vous allez passer ?
09:32 J'ai jamais joué une demi-finale de quoi que ce soit.
09:39 Une finale encore moins.
09:41 Donc à mon âge, je pense qu'on peut rêver.
09:48 Mathieu ?
09:50 Bonjour, je m'éloigne un tout petit peu du match de demain,
09:53 mais pour parler de votre capitaine qui lui portera la flamme olympique demain, c'est Valentin Rongier.
09:58 Comment il se sent et vous, en tant que coach, comment vous essayez de l'intégrer à l'aventure ?
10:03 Parce que c'est vrai qu'il y a une épopée européenne de votre vestiaire en ce moment.
10:06 Et son capitaine qui lui est un peu en marge et qu'on peut imaginer peut-être un peu frustré.
10:10 Alors comment vous l'intégrez un peu dans ce projet-là, vous coach ?
10:14 Je suis très content que vous me parliez de Valentin.
10:19 Parce que ça va être le seul joueur de l'effectif avec qui je n'aurai pas à travailler.
10:25 Mais sachez que tous les matins à 8 heures, je bois le café avec lui.
10:31 Il m'aide du mieux possible.
10:34 Il me donne des petits détails sur l'habit de groupe, sur le ressenti.
10:39 Il est dans les vestiaires avant le match, il est dans les vestiaires après le match.
10:43 Il a un discours de capitaine parce qu'il est respecté.
10:50 Sa blessure a été un peu retardée par rapport à un diagnostic un peu précoce.
11:02 Mais aujourd'hui, comme c'est un garçon qui a un mental de fer, il s'est fait une raison.
11:11 Il sait qu'il va falloir qu'il attende un mois ou deux mois de plus.
11:15 Et il redeviendra le grand capitaine qu'il a toujours été.
11:21 Flo ?
11:23 Jean-Louis, au fond.
11:25 Est-ce que le groupe est ressorti plus fort de cette saison compliquée, galère en interne ou en Ligue 1 ?
11:32 Parce qu'en Ligue 1 c'est plus compliqué.
11:34 Est-ce que vous sentez le groupe plus fort ?
11:36 Et est-ce que amener les supporters à Dublin, amener ce groupe à Dublin, ça sauverait définitivement la saison ?
11:43 Le groupe a souffert, bien sûr.
11:48 Il y a eu des hauts et des bas, il y a eu des bonnes périodes, des mauvaises périodes, des périodes de doute.
11:55 Ils ont sûrement souffert aujourd'hui.
11:59 Ils sont conscients qu'ils sont à un match, un match historique.
12:06 Et je pense que dans cet effectif, il y a beaucoup de joueurs d'expérience qui ont joué dans des grands clubs,
12:14 qui ont joué dans des grands matchs, qui sont internationaux pour la plupart,
12:19 et qui savent très bien que jouer un match comme ça, ce n'est pas tous les jours.
12:25 Donc il y a eu une concentration extrême.
12:29 Bonjour coach. Justement, vous avez une semaine pour travailler.
12:34 Quel a été votre discours auprès des joueurs alors que vous allez être la dernière équipe française aussi en Lice, en Coupe d'Europe ?
12:41 Le discours c'est de montrer le positif, être positif déjà sur le match qu'on avait joué contre eux.
12:53 Parce que c'était quand même impressionnant les résultats que la Talente avait fait à l'extérieur.
13:01 De gagner 3-0 à Empire Road, ça écartillait les yeux.
13:09 Nous, on a fait notre match chez nous, en sachant le match parfait qu'il fallait faire.
13:16 On n'était pas loin, à part le premier quart d'heure où on a un peu bégayé la technique.
13:25 Mais après, à partir du moment où on s'est mis en route, on a fait les jeux égaux avec eux.
13:32 Et à des moments, on était plus dangereux qu'eux en ayant les plus belles occasions.
13:37 C'était déjà le premier point. Après, il faut analyser le match retour, comment il va se passer.
13:47 Dans un stade plus petit, mais peut-être encore chaud, comme l'a été le Vélodrome.
13:56 Il faut se préparer à l'aspect psychologique et au match qu'il faut faire demain.
14:03 Chaque match a un scénario, et il faut essayer de dire à ses joueurs comment on voit le scénario de celui qui va arriver demain.
14:14 Avec, à mon avis, une entame de match qui va être décisive.
14:18 La question est simple, est-ce que ça reste du 55 ans, d'après vous ?
14:24 Ou est-ce qu'il y a une équipe qui a pris un petit avantage ?
14:27 Vous parliez de l'allée où vous avez été bon, ici c'est une réception de la Talenta désormais.
14:33 Quel est votre avis, s'il vous plaît ?
14:35 Les statistiques, je ne suis pas un grand mathématicien, mais les statistiques restent les statistiques.
14:42 L'équipe qui fait un match d'une allée extérieure, même si le but ne compte pas double, a un petit avantage.
14:49 Mais là, on est à un match de la finale.
14:52 Donc, on sait ce qu'on doit faire.
14:56 Si on menait d'un but, on sait que nul ne suffirait, là non.
15:00 Mais on est prêt à aller, comme contre Benfica, au bout de la nuit pour rendre tout le monde heureux.
15:09 Anthony.
15:12 Il y a Chancel, qui a été décisif au match d'allée.
15:16 Comment vous jugez ses prestations récentes ?
15:19 Qu'est-ce qui vous impressionne le plus chez lui ?
15:21 Et comment vous gérez son genou qui était douloureux ces dernières semaines ?
15:25 Au quotidien, avec le staff médical, on est sur la même longueur d'onde.
15:32 Lui aussi se connaît très bien.
15:37 C'est sûrement un des matchs les plus importants de sa carrière.
15:42 Donc, il voulait y participer.
15:45 Il a eu le bonheur d'égaliser de suite, après le but de la Talente,
15:52 ce qui nous a fait beaucoup de bien.
15:55 C'est un soldat, c'est un homme sur qui vous pouvez compter.
16:00 Même s'il est un peu diminué, il va au bout des choses.
16:07 C'est un joueur qu'on a un grand plaisir à entraîner.
16:10 Jean-Claude.
16:13 Bonsoir, coach.
16:15 Vous évoquiez l'ambiance et le stade qui vous attendent demain pour cette rencontre.
16:19 Vu la configuration de l'enceinte et les travaux, vous pourrez compter sur quelques centaines de supporters.
16:24 Est-ce que c'est un inconvénient pour vous, sachant l'importance qu'ils ont dans cette saison ?
16:28 Est-ce que c'est un objectif supplémentaire, une raison supplémentaire de performer pour leur faire plaisir ?
16:34 Obligatoirement.
16:40 Si on avait joué dans un stade de 5 ou 4 000 places, on aurait eu droit à 5%, je crois.
16:48 Plus on a de supporters avec nous, plus on est content.
16:53 Mais on sait que les autres seront dans leur canapé, dans la télévision, et qu'ils vont nous pousser aussi.
17:01 On sait que demain, ça va être chaud.
17:07 Il faut qu'on se prépare à ça.
17:09 Mais on sait aussi l'attente de beaucoup de nos supporters.
17:15 On va essayer de leur faire plaisir.
17:20 Jean-Louis, bonsoir.
17:24 Le club fait bloc avant ce match-là.
17:26 Est-ce que vous pouvez nous expliquer quel est le rôle que tient le président Pablo Longoria auprès de vous et auprès de l'effectif ?
17:33 Il a toujours été, depuis le départ, à nos côtés.
17:42 Il est toujours avec nous, il nous encourage, il a confiance en nous.
17:51 Il dit aux joueurs, il parle des fois avec les joueurs, des fois il vient me voir dans mon bureau.
17:55 Il souhaite qu'on finisse la saison le mieux possible, parce que lui aussi il est passé par des hauts et des bas.
18:05 Et si on pouvait finir en apothéose, ça lui ferait grandement plaisir.
18:11 Mourad.
18:13 Bonsoir coach.
18:15 Entre le Shakhtar, Villareal et le Benfica, c'est à domicile que vous avez été chercher cette qualification.
18:21 Demain, il faut aller la chercher à l'extérieur.
18:23 Comment vous expliquez que vos joueurs ont peut-être plus de mal, peut-être que c'est tout naturel de moins se motiver à l'extérieur.
18:29 Est-ce que vous les sentez capables d'aller faire les matchs qu'ils ont fait pour se qualifier, mais à l'extérieur cette fois-ci ?
18:34 Est-ce que vous sentez que vous pouvez transcender ce facteur stade sur lequel on réduit parfois l'équipe ?
18:39 Ils ont gagné parce que le stade Vélodrome c'est exceptionnel, etc.
18:42 Quand on se transcende au stade Vélodrome, tout le monde le sait, là c'est le match.
18:50 C'est le match qu'il faut réussir.
18:53 Donc tout le monde est conscient.
18:56 Tous les joueurs sont conscients que peut-être ils ne joueront plus jamais une demi-finale de Coupe d'Europe et éventuellement une finale.
19:05 Donc ils sont prêts à tout donner.
19:10 Ils me le disent tout le temps, je leur dis, l'état d'esprit qu'il faut avoir, celui du match à aller, ne suffira pas.
19:16 Il faut encore ce brin d'efficacité en plus pour pouvoir faire cet exploit parce que ce sera un exploit.
19:28 Quand je parlais de pourcentage tout à l'heure, c'est la vérité que l'équipe qui fait nul à l'extérieur est avantagée.
19:35 Elle a fait le bon résultat.
19:37 Nous on aurait aimé avoir un but ou deux buts d'avance, on ne les a pas.
19:41 Mais demain il faut qu'on fasse le match idéal.
19:44 Coach, j'avais juste une petite question sur Gianluca Scamacca.
19:52 Le buteur a 10 buts pour lui en 12 matchs pour Scamacca.
19:56 Le buteur à l'aller aussi.
19:58 Comment on fait justement pour contrôler un tel attaquant qui peut être décisif à tout moment ?
20:03 On fait confiance à ses défenseurs.
20:07 On fait confiance, on a une bonne défense.
20:12 Il ne faut pas lui laisser le moindre espace.
20:18 Lui plus que les autres puisqu'il est costaud.
20:24 Il est grand, il peut bagarrer, il est bonne de la tête.
20:27 Il a prouvé qu'il était à droit avec les pieds aussi.
20:30 Donc c'est un marquage de tous les instants.
20:36 Il ne faut pas lui laisser une minute là et là il s'est déplacé, on n'a pas suivi.
20:41 Ça a été fatal.
20:43 Fatal parce que quand il fait le contrôle et qu'il rentre dans les 16, là c'est des attaquants qui vous foutront.
20:52 Merci beaucoup. Entraînement 19h, 15 minutes ouverte à la prête.
20:56 Merci.
20:58 Merci.