• il y a 7 mois
Les parachutistes du colonel Mathieu cernent, en octobre 1957, la planque d'Ali la Pointe, actif partisan du mouvement indépendantiste algérien. Le militant se remémore son parcours. De petit délinquant, il devient rapidement l'un des chefs de la guérilla urbaine qui déchire Alger en 1954. La bataille qui oppose le FLN aux militaires français sera sans merci, les attentats répondant aux multiples arrestations, assassinats et actes de tortures. La surenchère de la violence tient de longs mois la ville à feu et à sang. Ali la Pointe, poseur de bombes et leader de nombreuses grèves, se retrouve en ce début octobre sur le point de tomber. Trois ans plus tard, l'indépendance du pays est proclamée et semble mettre un terme à cette guerre d'indépendance qui n'a pas dit son nom...
Transcription
00:00Nous sommes arrivés à la moyenne de 4,2 attentats par jour.
00:07Oui, il faut distinguer les attaques individuelles.
00:13Nous disons qu'il y a une minorité qui s'impose par la terreur, la violence.
00:22Nous devons agir sur cette minorité dans le but de l'isoler et de la détruire.
00:27Résistons.
00:54Les gars, revenez !
00:57C'est pas vrai !
01:00Bon sang !
01:27Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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