• il y a 6 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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00:00Je vais vous raconter une histoire qui m'a énormément touché, c'est l'histoire de Yves, un homme de 78 ans qui, depuis 19 mois, dort dans une voiture.
00:06Victime d'une terrible injustice, il a été expulsé de sa propre maison par son propre fils alors qu'il l'hébergait gracieusement.
00:13Son fils et sa compagne ne laisseraient plus Yves y remettre les pieds.
00:17M6 a mis un coup de projecteur sur cette terrible histoire grâce à mon ami Julien Courbet.
00:22Et on va recevoir Yves ce soir, mais aussi, bien sûr, Pascal, le journaliste de Julien Courbet qui était sur les lieux.
00:28Regardez une partie du reportage qui est passé ce matin sur M6, bien entendu, tous les jours.
00:32Sur M6, vous retrouvez Julien Courbet et toute son équipe. J'adore cette émission. Je sais que c'est votre émission préférée.
00:37C'est une de mes émissions préférées. Je l'adore. Moi, c'est mon kiff.
00:41Alors, ce n'est pas Julien Courbet, mais... Il travaille avec. C'est le représentant.
00:46Exactement. C'est le représentant de Julien. Vous l'embrassez de ma part, d'ailleurs.
00:50On fera ça dès demain. Très bien.
00:52Dites-lui que je vais reprendre le tennis. Je sais qu'il joue au tennis, un peu, Julien Courbet.
00:56Oui, mais je vais reprendre un peu le tennis pour lui mettre une tannée.
00:58Merci. C'est parti. Merci.
01:00Yves nous a rejoints. Merci, Yves, d'être avec nous. Merci beaucoup. Yves, c'est un truc de fou, Pascal.
01:06Avant, je te demande à Yves sa réaction. Est-ce que vous pourriez nous raconter cette histoire pour nos téléspectateurs ? Parce qu'elle est folle.
01:13Oui, elle est complètement folle. Bonsoir à tous. Yves a contacté la rédaction et je crois directement Julien Courbet en lui envoyant une lettre manuscrite
01:21parce qu'évidemment, il n'a pas l'ordinateur dans sa voiture dans laquelle il vit depuis 19 mois.
01:27Et en fait, c'est assez rapide à vous expliquer. Il l'a accueilli gentiment parce que vous allez l'entendre, il est très sympathique.
01:32Il a accueilli son fils en 2019 chez lui. Ça devait être provisoire, une cohabitation de trois petits mois parce que son fils, sa compagne et ses deux enfants
01:42ont été expulsés de leur logement social pour impayés. Donc au départ, ça devait durer deux, trois mois.
01:48Finalement, la « plaisanterie » a duré trois ans. Et un soir, vous vous embrouillez avec votre fils et vous prenez l'air parce que vous voulez vous détendre.
01:57Et quelques minutes plus tard, lorsqu'il va revenir chez lui dans sa maison, il va trouver porte close. Alors comme il a un fond gentil, il se dit bon,
02:06il s'est un petit peu énervé, le fiston, c'est pas bien grave. Je vais dormir dans ma voiture pendant une journée. Le lendemain ou quelques jours plus tard...
02:14C'est fou. Mais écoutez, il revient quelques jours plus tard et là, il veut rentrer. Le fils a changé les serrures. Ça va durer 19 mois, 6 ennuis.
02:246 ennuis dans sa voiture. J'y suis allé hier soir pour la rédaction de « Ça peut vous arriver ». Et j'hallucinais parce que je me dis que c'est pas possible
02:31de s'ennuyer dans sa voiture. Des odeurs terribles, de moisissures. Il faisait froid. Et j'ai une anecdote terrible. Il me disait tout à l'heure dans la loge,
02:40on a eu le temps d'échanger encore une fois, les gendarmes du village passaient cet hiver, parce qu'il faisait moins 10 dans la voiture, ils toquaient à ma porte
02:49pour savoir si j'étais en vie. C'est terrible. – Alors, merci Yves d'être avec nous. Mais je comprends pas. Votre fils vient de le dire,
02:58donc c'était quoi la dispute avec votre fils pour que ça prenne des proportions énormes comme ça ?
03:04– Ben, banal, parce qu'il voulait tout diriger. Et puis moi, je lui dis « Non, t'es chez moi, c'est tout ». Parce qu'au début, quand ils sont arrivés,
03:14il n'avait pas de travail. Donc j'ai nourri pendant un certain temps en tous. Il y avait quand même 6 personnes à la maison.
03:19– 6 personnes à la maison, oui. Au début, vous vouliez faire plaisir ? – Oui, pour rendre service, c'est tout.
03:24– Mais comment un fils ? – Ah mais pour moi, c'est plus mon fils. Il n'existe plus.
03:30– Franchement, mais vous aviez de bons rapports avec lui avant ? – Avant, c'était moyen.
03:34– Mais bon, vous l'avez quand même accueilli chez vous, parce qu'il vous a fait de la peine.
03:37– Ben oui, parce que moi, c'est pour les enfants que je l'ai pris. – Bien sûr.
03:40– Parce que les enfants, la chirurgie était là et qui disait « Si vous ne les prenez pas, moi je les emmène ».
03:46– Et quand vous le voyez sortir, vous ne l'interpellez pas, il sort bien de chez lui ? Enfin, il sort bien de chez vous.
03:51– De chez lui. – Ah mais il ne me cause pas. – De chez vous. – Il ne me cause pas.
03:54– Quand il passe, il ne vous parle même pas. – Ah non, il ne me cause pas. Il m'ignore totalement.
03:58Aussi bien lui que elle. – Et ça s'accompagne aussi ?
04:01– C'est pareil, c'est encore pire. – C'est quoi ce genre ?
04:05– Et les enfants, ils ont quel âge ? – Les enfants, il y a ma petite-fille qui a 20 ans
04:08et l'autre qui a 17 ans. – Et vous les voyez quand même ?
04:13– Il y en avait un troisième et l'autre on l'a retiré. – Ah ouais ? Et les petits-enfants, ils disent quoi ?
04:19– Ma petite-fille, elle se dispute souvent avec son père. – Elle lui dit quoi ?
04:23– Parce que dernièrement, il y a eu encore une affaire, il lui a dit « Si tu continues à me m'emmerder,
04:27je te fous dehors ». Elle lui dit « Attention, je ne suis pas chez toi, je suis chez mon grand-père ».
04:33– Alors regardez les images que Pascal a faites des conditions de vie d'Yves dans sa voiture,
04:37regardez, c'est déplorable, regardez, c'est ça.
04:58– C'est fou cette histoire Yves. Alors Yves, ça dure depuis énormément de temps.
05:02– Bah oui, 19 mois. – Et je comprends, vous ne pouvez rien faire.
05:05– Bah moi, j'ai fait tout ce que j'ai pu faire, mais j'ai trouvé le procureur, j'ai trouvé le préfet,
05:09et puis il y a le préfet qui m'a répondu en me donnant un foyer, j'ai dit « Je ne veux pas de foyer »,
05:13puisque si il y a quelqu'un qui doit partir de la maison, c'est à mes enfants de partir.
05:17– C'est chez vous le propriétaire ? – Oui.
05:18– Chez vous, vous êtes propriétaire de la maison ? – Oui.
05:20– Mais je ne comprends pas, comment ça se fait ? C'est un truc de fou, encore une fois, on marche sur la tête.
05:24– Parce que les lois sont mal faites, parce que la loi actuelle qui est sortie, c'est mon fils,
05:28il ne squatte pas la maison. – Ah, comme c'est votre fils, il ne squatte pas la maison.
05:31– Ah bah non, et voilà, et voilà, il ne squatte pas la maison.
05:35Avec la nouvelle loi qu'ils ont faite, c'est de la famille, ça ne compte pas.
05:38– Non mais je vous jure, vous savez, on devient fou ici, on devient fou.
05:42Après bon, c'est rare quand même qu'un fils ait un tel comportement.
05:45Aussi, c'est un truc de fou. – Je ne comptais pas.
05:48– Mais votre fils, il vous dit quoi ?
05:51– Ce matin, il m'a encore, il m'a dit, tu te rends compte un peu de ce que tu fais, machin ?
05:55Il dit, ça va, depuis le temps que ça dure, c'est parti, maintenant, on n'en parle plus, t'engueules en plus.
06:00– Ah, il vous reprochait ? – Ah oui, bien sûr, il est sorti avec une barre de fer.
06:03– Ah, c'est un homme. – Il m'a accueilli avec une barre de fer, ce patron.
06:06– C'est un vrai homme.
06:08– Alors, Pascal a filmé aussi des images des démolosses se battant dans le jardin de la maison,
06:13parce qu'il y a énormément de chiens dans la maison, c'est ça le problème en fait.
06:15– Il y en a 20. – C'est ça, il y a une vingtaine de chiens,
06:18des staffs américains et des bergers malinois.
06:22– Qu'est-ce qu'il en fait, en élevage ?
06:23– Alors, au départ, il devait être trois ou quatre, et bon…
06:26– Bon, ben, c'est ce qui a produit avec…
06:29– Ils se sont reproduits de manière illégale, et théoriquement, ce matin,
06:33j'étais avec la brigade de protection animale, au-delà de neuf chiens,
06:37vous devez évidemment les déclarer auprès de la préfecture.
06:41Les images que j'ai récupérées ce matin sont exclusives,
06:45elles ont été tournées, il y a un an environ,
06:47il y avait déjà, a priori, une dizaine de chiens.
06:50Ce que je peux vous dire également, c'est qu'ils sont tous à l'intérieur de la maison,
06:54et ils font leurs excréments à l'intérieur de la maison,
06:57c'est ce qu'on a vérifié ce matin avec la brigade de protection animale,
07:01parce que depuis la rue, on sent les odeurs, c'est catastrophique.
07:04– Il ne faut pas vérifier rien.
07:06– Il saigne, vous avez flouté, moi, j'ai vu les images.
07:29– Parce qu'il y a du sang.
07:30– Parce qu'il y a du sang, moi, je vous ai envoyé les images non floutées,
07:33c'est terrible, on ne peut pas regarder plus de deux secondes.
07:36– Alors Yves, là aujourd'hui, vous faites quoi ?
07:39Alors aujourd'hui, c'est quoi la solution ?
07:42– La solution, j'espère qu'on va trouver une, maintenant, je ne sais pas.
07:46– Il n'y avait aucune solution juridique en tout cas ?
07:47– Oui, ah ben non, la preuve, même le procureur ne m'a même pas répondu.
07:52Il y a une secrétaire, il peut faire répondre par une secrétaire quand même.
07:56– Non mais là, c'est un problème insoluble.
07:57– Aucun des deux ne travaille, votre fils ni lui ni sa femme, ils ne travaillent pas ?
08:01– Si, si, ils travaillent, ils ont un boulot,
08:03elles ne travaillent pas, elle est handicapée, elle est encore subtile, en plus, elle est subtile.
08:08– Yves, continuez à payer les factures, c'est ça, les factures d'eau,
08:13et vous ne voulez pas arrêter parce qu'il y a vos petits-enfants, c'est ça ?
08:15– Non, oui, il y a ça, mais il y a une chose,
08:17c'est que moi, j'ai un ancien avocat qui est en retraite,
08:20il m'a dit, surtout ne lui donne pas tous les droits parce qu'après, il sera chez lui.
08:24– Ah oui, c'est ça, il a raison, pourquoi vous continuez à payer, il a raison,
08:29parce que s'il ne paye plus l'eau, etc. à son nom, il a raison,
08:32c'est chez lui après, bien sûr, donc il est obligé, c'est un cercle vicieux,
08:35c'est vraiment un truc de fou, il a complètement raison, Yves.
08:38Mais votre avocat, il vous a dit, juridiquement, il n'y a rien à faire ?
08:42– Il n'y a aucun recours.
08:42– Non, avec la nouvelle loi qu'il a dit, il est considéré comme,
08:45non pas comme squatteur, parce que c'est mon fils, il n'est pas squatteur.
08:48– Mais même s'il a changé les serrures et qu'il vous empêche de rentrer ?
08:51– Oui, il a même mis des caméras,
08:52il a même mis un code pour rentrer dans la maison, maintenant, pourquoi pas, pourquoi pas.
08:59– Même lui, il doit se regarder dans une glace, quand même.
09:02– J'ai des amis qui me proposent de vous aider, mais ce n'est pas la solution,
09:04on va le dire, arrêtez de m'envoyer des SMS, non, mais c'est vrai.
09:07– Pardon, mais là, c'est clairement la solution.
09:09– Oui, mais non, c'est à l'état de le faire, c'est à l'état de le rendre à la maison.
09:12– Ils ne le font jamais, il faut que l'après vous évacuez.
09:14– Ce n'est pas la solution, parce qu'après, voilà.
09:17– Tu ne laisses pas dormir un mec de 78 ans, un homme dormir dans sa voiture.
09:20– Non, mais c'est incroyable, Yves, aujourd'hui,
09:22je sais que vous avez essayé de l'aider un petit peu.
09:24– Oui, on a trouvé des solutions, alors une solution provisoire,
09:28aujourd'hui, avant de trouver une solution plus pérenne,
09:32la rédaction d'RTL et de M6 s'est mobilisée,
09:34Olivier Dauvert a été exceptionnel, il était ému aux larmes ce matin,
09:38donc ce soir et toute cette semaine, Yves va dormir à l'hôtel à Beauvais,
09:42et puis on a eu une très bonne nouvelle, alors ce n'est pas pour se lancer des lauriers,
09:46mais vous savez qu'il y a des négociateurs, des enquêteurs dans l'émission,
09:49et l'un des négociateurs, Hervé Pouchol, m'a envoyé un message cet après-midi,
09:53dans lequel il m'explique que votre fils va vous laisser la maison ce week-end,
09:59ce qu'il faut vous dire, ce qui s'est passé aujourd'hui,
10:01c'est que votre fils a été contacté par son employeur qui a vu l'émission,
10:06et qu'il l'aurait, je mets des guillemets, menacé, voilà,
10:09ce n'est pas bien ce que tu fais à ton papa, donc laisse la maison,
10:12donc ça devrait a priori se décanter, en attendant,
10:15il y a une solution provisoire à l'hôtel d'une quinzaine de jours,
10:18et puis la ville également va faire le nécessaire.
10:20– Alors Yves, sachez-le, on va aussi, je sais qu'ils ont fait un geste bien sûr,
10:26Julien et les équipes d'M6, on va faire aussi un test,
10:28bien entendu on ne vous laissera pas dans la voiture tant que ce ne sera pas réglé,
10:32mais en tout cas, on va aussi prendre en charge l'hôtel ensuite après,
10:36après nos amis, pour que vous soyez quand même à l'hôtel,
10:39parce que vous n'allez pas rester comme ça dans la rue,
10:41et je vais vous dire, le seul moyen c'est de raisonner,
10:45ce garçon comment il peut se regarder dans une glace,
10:47comment il peut vivre comme tous les jours et soigner mon père,
10:50mon père dort dans une voiture, je suis désolé,
10:53là pour moi, si la justice ne peut rien faire,
10:55et je suis désolé, c'est à lui de se dire,
10:58je suis franchement, comment il peut vivre,
11:01comment il peut se dire, je ne sais pas, c'est horrible,
11:04comment sa femme peut vivre dans la maison,
11:05comment ils peuvent vivre tranquillement alors que leur père,
11:07alors que son père est dans la voiture,
11:09c'est franchement, à un moment, il faut qu'ils se disent,
11:12j'ai envie d'être un homme.
11:13– C'est inhumain, c'est ça.
11:15– Ses chiens sont dans la maison, son père dort dans la voiture,
11:17c'est franchement un bonheur, oui.
11:18– Et en plus, le fils a, en tout cas sa belle-fille,
11:22a un appartement dont elle est locataire, qui est inoccupé.
11:26– Foyer. – C'est fou.
11:27– Donc on est vraiment là dans une histoire…
11:30– Non mais c'est dingue.
11:31– En tout cas, elle touche 300 euros de femme isolée,
11:34alors qu'elle n'est pas isolée, elle est à vie neuve, elle n'est pas isolée.
11:37– Les niches dont on parlait l'autre fois, ça c'est pas vrai.
11:40– Si la tutelle elle contrôlait, elle s'en rendait compte, c'est tout.
11:43– La bonne nouvelle, c'est l'employeur, l'employeur qui a été très bon.
11:46– Bravo, qui a été très bon, l'employeur qui a vu ça,
11:48et grâce à vous encore, et grâce à Julien, et grâce à la mission,
11:50vous avez pu faire bouger les choses.
11:52– Oui, tout à fait, si je peux rajouter, Cyril,
11:55Julien et RTLM6 ont lancé une cagnotte sur le pot commun,
12:00donc ça commence à arriver, ça s'appelle soutien à Yves,
12:04et le pot commun, on peut les remercier, renonce à ses commissions.
12:07Donc tout ira pour Yves, et il s'agit de refaire la maison.
12:10– Si vous voulez aider Yves, également chez vous,
12:13parce qu'il y a beaucoup de gens qui me disent on veut aider Yves,
12:15et nous on va s'occuper de l'hôtel aussi, Yves avec nos amis d'M6 et d'RTL,
12:18on va se coordonner avec mon Julien, je l'appellerai ce week-end.
12:21– Pour nettoyer la maison.
12:22– Merci, et Yves, vous nous tenez au courant,
12:25et vous aussi vous nous tenez au courant,
12:27et on espère vraiment que ça va s'arranger,
12:28mais vous avez raison, la pression de l'employeur peut être très bénéfique,
12:32et vraiment bravo à ce monsieur, parce que lui au moins c'est un homme,
12:36lui au moins il a du cœur, parce que c'est inadmissible ce qu'a fait votre fils.
12:39Merci Yves d'avoir été avec nous, est-ce que vous avez un dernier mot à lui dire ?
12:42– Merci à tout le monde surtout.
12:44– On espère que ça va s'arranger,
12:45mais en tout cas vous avez bien fait de faire bouger les choses,
12:47et de contacter les équipes de Julien Courbet, ça peut vous arriver,
12:50et d'RTL et d'M6, et nous aussi également,
12:53comme ça au moins on va essayer de faire bouger les choses.
12:55Merci Yves d'avoir été avec nous.
12:57Allez, gardez le moral, je sens que ça va s'arranger,
12:59vous allez voir, je suis sûr.
13:00Déjà, il nous a annoncé, Pascal nous a annoncé des très bonnes nouvelles,
13:04merci beaucoup et bravo pour ce que vous faites,
13:06et vous embrassez fort mon Julien, il sait que je l'adore.
13:08– Oui, oui, je sais bien, et puis la partie de tennis bientôt, je disais même.
13:11– Bien sûr, continue, voilà, merci.
13:13Sous-titrage ST' 501

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