• il y a 7 mois

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Transcription
00:00 Je suis déjà venu plusieurs fois. La première fois que je suis venu, c'était en 1987. J'étais jeune inspecteur des finances.
00:10 Et j'avais été envoyé pour une mission de 3 mois, à la fois pour vérifier la caisse régionale de Clé des agricoles
00:15 et surveiller aussi l'état de ce qui étaient à l'époque les 3 usines sucrières de l'île de la Réunion.
00:21 Donc c'est à cette occasion que j'y avais quand même passé 3 mois. Et puis j'y suis revenu à différents titres,
00:25 et notamment en 2015, en prévision de l'élection présidentielle de 2017.
00:31 Donc nous, on se présente là pour faire exactement ce que Nigel Farage a fait au Royaume-Uni, c'est-à-dire qu'une fois
00:41 qu'il a eu des députés européens, britanniques, il a pu profiter de la tribune du Parlement européen pour développer
00:48 les idées du Brexit, de la sortie de l'UE. Ça a fait connaître son parti politique. Les gens ont pu en débattre
00:54 au Royaume-Uni, jusque – vous le savez – au référendum de 2016, qui s'est conclu par la victoire du Brexit.
01:01 Donc nous, notre objectif, en étant candidats à ces élections européennes, c'est imposer un débat qui est en fait
01:08 interdit dans les grands médias mainstream.
01:10 Par exemple, il y a des réunionnais qui disent « Oui, mais on a plein de subventions européennes ». À quoi nous, nous répondons ?
01:19 Mais ces subventions européennes, c'est en fait une arnaque, puisque c'est notre argent. La France, chaque année,
01:23 nos contribuables français donnent de l'argent à l'UE. Et l'UE nous en restitue. Mais elle nous en restitue
01:30 toujours moins que ce que l'on lui donne. Nous sommes un pays – comme on dit – contributeur net et pas de rien,
01:35 puisque en gros, chaque année, on verse 10 à 12 milliards d'euros de plus à l'UE que nous nous recevons.

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