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Transféré du PSG à l'OM en 2005, Fabrice Fiorèse avait provoqué le courroux des supporters parisiens. 19 ans après, l'ancien attaquant s'explique sur ce transfert.

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Transcription
00:00 Alors avec Fabrice on va forcément parler de sa carrière.
00:03 Bah de la trahison ou de Fabrice ?
00:05 Bah Jérôme a dit c'est le thread qui nous rejoint.
00:07 Mais Jérôme il a besoin de faire le buzz quand même, c'est normal c'est son émission.
00:12 Donc il faut le laisser un peu parler mais bon, Jérôme il a oublié quand même qu'on était ensemble
00:17 et les choses il les connaît normalement mais après il est passé maintenant de l'autre côté
00:21 donc peut-être qu'il peut pas en parler.
00:23 Pour ceux qui ne se rappellent pas, c'était il y a 20 ans, Fabrice fait deux saisons au PSG,
00:27 de 2002 à 2004 et donc à l'été 2004, quand Jérôme arrive après sa grosse saison à Monaco,
00:33 et bah Fabrice à la fin de l'été, vous partez à Marseille.
00:37 Ouais, ouais en fait c'est ça.
00:39 - Vous êtes les mêmes voisins ? - Exactement.
00:41 Et puis Fabrice, moi j'ai pas oublié du tout, au contraire, quand je parle de trahison, de traite et tout,
00:48 je sais très bien que Vaidali, Lozic et les dirigeants sont aussi responsables de ton départ à Marseille.
00:54 Moi je parlais juste...
00:56 C'est un très plaisir que tu le dises quand même.
00:58 Non, non, de toute façon j'ai rien à cacher et je suis pas là pour faire le buzz comme tu le dis.
01:04 Le seul truc c'est que pour un Parisien comme moi, c'est sûr que j'ai jamais compris,
01:11 et c'est pour ça que c'est bien de t'avoir et que tu nous expliques ce choix,
01:14 parce que je trouve que c'est très compliqué déjà de s'identifier à un des deux clubs,
01:19 que tu sois à Marseille ou que tu sois à Paris, ce qui était ton cas à Paris,
01:22 c'est vrai que les supporters, tout ça, et on avait l'impression que tu t'identifiais vraiment au Paris Saint-Germain,
01:27 et c'était pas une surprise de toute façon, vu les performances que tu faisais,
01:30 mais que c'est très compliqué derrière de retourner l'opinion publique.
01:34 Donc comment tu l'as vécu, toi, ce changement ? Est-ce qu'avec le recul c'est un regret ?
01:38 Non, franchement, non, mais j'ai la chance aujourd'hui, c'est pour ça d'ailleurs que,
01:44 comme vous l'avez dit, je suis pas dans les médias ou je suis nulle part dans le monde du football,
01:47 et d'ailleurs je suis très rarement le foot,
01:50 c'est parce que moi j'ai pas besoin, entre guillemets, de ça,
01:53 et je suis passé à autre chose, et je suis très heureux aujourd'hui.
01:57 Maintenant, je me suis rendu compte d'une chose, certes, c'est que dans le milieu du foot,
02:02 comme peut-être dans d'autres milieux, le problème c'est que l'hypocrisie, les faux-culs,
02:06 en fait, ils ont pas leur place, du moins, malheureusement, ils ont leur place,
02:11 et moi j'avais pas la mienne. Donc voilà, parce que quand on dit les choses,
02:15 c'est pas de la vérité, parce que quand on a un coach de putain, "Coach, merde, Fiorez,
02:21 moi donner valorisation à toi, toi partir, moi vomir, merde, Fiorez",
02:27 ça c'est sûr qu'après c'est…
02:30 - Vous prenez tous l'imitation, c'est magnifique !
02:32 - Mais pourquoi ? C'est lui qui est responsable de votre départ à Marseille ?
02:35 - C'est lui l'hypocrite, je pense. - Racontez-nous, Fabrice.
02:36 - C'est lui qui est responsable, parce que moi je vais vous expliquer,
02:38 je vais essayer de faire court, parce que sinon, Jérôme, tu sais,
02:40 t'es en émission, y'aura pas assez de temps pour moi.
02:42 - Bah ouais, c'est vrai, mais on a le temps, on a le temps, vas-y.
02:44 - Malheureusement, il aurait fallu me donner un peu plus de temps
02:46 pour dire vraiment toutes les vérités. Mais bon, un jour ou l'autre,
02:49 elles sortiront bien, mais faut pas oublier, oui, que ce coach…
02:51 - Non mais tu peux les dire, t'as le temps !
02:53 - Ah non, non, mais ce coach va… Ce qu'il faut pas oublier,
02:56 je pense que Jérôme, tu vas pas me contredire, vu que t'étais avec moi,
02:59 c'est qu'à un moment, il a voulu un capitaine, et il a cherché un capitaine,
03:03 il a commencé par Pedro Paoletta à l'époque, je sais pas si tu te rappelles,
03:06 avec Pedro, à refuser. Après, y'a eu un mec qui s'appelle apparemment
03:09 Fabrice Fiorès, ce qui est moi, et j'ai refusé, mais moi,
03:12 je vais vous dire pourquoi j'ai refusé, parce que, en fait, pour être le capitaine
03:16 du club du Paris Saint-Germain à l'époque de Coach Vahid,
03:20 il fallait lui répéter tout ce qui se passait dans le vestiaire.
03:23 - Ah ! - Donc, le souci, c'est que moi,
03:26 je suis Savoyard, et puis, j'ai pas eu l'habitude de répéter.
03:31 Et donc, malheureusement, j'ai refusé. Et puis, quand j'ai refusé,
03:35 c'est sûr que Coach Vahid, il était pas content, parce que Coach Vahid,
03:38 on peut pas lui refuser quelque chose. Et donc, malheureusement,
03:42 après, il s'est passé ce qui s'est passé, c'est que, moi, il m'a dit
03:46 qu'il fallait que je m'en aille, concrètement, pour résumer l'histoire,
03:49 parce que, bon, on en passe les vertetés pour mûres.
03:52 Et donc, du coup, après, il a évidemment appelé mon agent,
03:54 et puis, concrètement, il m'a fait comprendre que j'allais jouer en CFA.
03:57 Le seul regret, pour répondre à ta question, Jérôme, justement, du regret,
04:01 tu vois, le seul regret que je peux avoir aujourd'hui, peut-être,
04:04 et je dis bien peut-être, parce que pour moi, j'en ai pas,
04:06 c'est que j'aurais dû faire un bras de fer contre lui,
04:09 parce que, moi, j'étais persuadé, de toute façon, qu'il allait pas finir la saison,
04:13 parce que, quand on a affaire à un entraîneur comme ça,
04:15 qui, quand en plus, à l'époque, on gagnait, il disait "j'ai gagné",
04:19 et quand on perdait, je sais pas si tu te rappelles, Jérôme, il disait "ils ont perdu",
04:23 moi, pour moi, c'est pas digne d'être un entraîneur.
04:26 - Alors, là, j'ai deux questions à vous entendre.
04:28 Déjà, qui est devenu capitaine du PSG, cette saison-là ?
04:31 - Bah, c'est Pierre Fanfan. - C'était Pierre Fanfan !
04:34 - Les gars, les gars, ça c'est rigolo ! - Qui a fini syndical UNFP.
04:38 - Pourquoi c'est rigolo, Fabrice ?
04:40 - Non, bah, c'est rigolo, parce que, justement, vous voulez rebondir
04:43 sur le fait que je vous ai dit d'affuser d'être la toupe.
04:46 - Bah, oui, c'est ça ! - Mais Fabrice, tu vois, moi, je vais pas que te laisser parler,
04:52 moi, je confirme tout ce que tu disais,
04:55 et pour preuve, c'est bien déjà que tu dises ta vérité,
04:59 parce que moi, je l'avais expliqué aussi...
05:01 - Bah, c'est pas ma vérité, c'est la vérité !
05:03 - Non, non, c'est la vérité, c'est la vérité !
05:05 Non, mais c'est la vérité, et c'est aussi la mienne, tu vois,
05:07 donc c'est pour ça que je confirme tout ce que tu as dit,
05:10 et qu'en plus de ça, il faut savoir que, pour te dire que
05:15 José Pierre Fanfan qui a été mis capitaine,
05:17 il y a eu un problème sur cette année-là, sur le premier match du championnat
05:21 où on jouait à Rennes, je me souviens, Rennes-PSG,
05:23 il y a eu des accords qui n'étaient pas passés pour les primes,
05:26 où les joueurs n'étaient pas d'accord,
05:28 et que, comme par hasard, coach Vahid, il nous a dit
05:30 "Ah bah si, le capitaine, il est au courant, il a tout signé,
05:32 et dans notre dos, donc voilà, donc en gros, c'est ce qui s'est passé."
05:35 - Fabrice ?
05:36 - Je te remercie, ça fait plaisir de l'entendre,
05:38 parce que bon, moi, je te cache pas que j'ai été quand même la victime de tout ça,
05:42 et bon, après, c'est vrai que quand on est joueur de foot,
05:44 malheureusement, on n'est peut-être pas prêt à autant de...
05:48 autant, entre guillemets, de haine, de toutes ces choses qui suivent après, quoi.
05:52 - Oui, mais Fabrice, pardon, là, je comprends bien qu'il y a eu clash avec Vahid Aliodic,
05:56 c'est pas possible de continuer, et que le PSG a pas été très clair,
05:58 mais pourquoi être allé à Marseille ?
05:59 - Tu comprends pourquoi je suis arrivé à Marseille, c'est ça ?
06:00 - Eh oui, pourquoi choisir l'ennemi ?
06:02 - Parce que c'était le famille à Marseille, c'était la famille.
06:05 - Fabrice, c'est assez impressionnant.
06:07 - Non, non, mais après, après, moi, Marseille, pourquoi ?
06:10 Parce que, bah, je vais aussi essayer de la faire la plus courte possible,
06:13 c'est que moi, j'étais évidemment en relation avec mon meilleur ami,
06:18 un de mes meilleurs amis, qui était Frédéric Déhu, comme tout le monde le savait,
06:21 parce qu'aujourd'hui, je pense que c'est plus une surprise,
06:24 et lui venait de signer, justement, à l'OM.
06:27 Donc, du coup, on était en contact, évidemment,
06:31 et moi, le problème, c'est qu'on s'appelait pratiquement tous les jours,
06:34 et du coup, moi, qu'est-ce qui s'est passé ?
06:37 C'est que, quand il y a eu l'histoire, justement, avec Vahid,
06:40 j'avais eu Fred au téléphone, et moi, Fred, je lui ai dit,
06:42 je lui ai dit "Oh, putain, je crois que j'aurais jamais dû refuser le Capitana",
06:46 je lui explique l'histoire, comment elle s'est passée, quoi,
06:48 et puis on en est resté là, sauf que le lendemain, après, ça a dû se savoir,
06:52 parce que, comme on sait que dans le milieu, tout se sait,
06:55 et donc, du coup, José, en fait, c'était José Anigo, pardon, à l'époque, l'entraîneur,
07:00 et en fait, ils avaient joué, je crois, à l'époque, Marseille,
07:03 contre, je ne veux pas dire de bêtise, mais si mes souvenirs sont bons,
07:07 c'était contre Metz, et ils jouaient en 3-5-2,
07:11 et je crois que c'était Franck, justement, Ribéry,
07:14 qui jouait, je crois, à l'époque, à Metz,
07:16 et je ne sais pas s'il n'y a pas eu 3-0, je ne veux pas dire de bêtise,
07:20 mais vous me confirmez, je ne me souviens pas,
07:22 mais en tout cas, il y a eu 3-0 à l'OM,
07:25 et notamment, à la fin du festival, et du coup,
07:30 ce qui s'est passé, c'est que José a voulu changer son 3-5-2
07:35 pour, justement, un 4-4-2, et le seul problème,
07:39 et c'est pour ça qu'il faut vraiment remettre,
07:41 ce ne sont que des circonstances, en tout cas, sur les, comment dire,
07:46 les décisions ou les changements qu'il y a eu,
07:50 c'est qu'en fait, donc, il cherchait, évidemment, un milieu droit,
07:53 parce qu'à gauche, ils avaient le pendant, c'était Bruno Cherou,
07:56 je ne sais pas si vous vous rappelez,
07:58 et donc, il cherchait un milieu droit, justement,
08:02 - Pour équilibrer, et donc ça s'est fait, mais est-ce que...
08:06 - Non, non, mais attendez, attendez, et donc, pour équilibrer,
08:08 et tout ça pour finir, c'est que Fred dit, justement, à José,
08:12 Fred dit à José, je crois qu'il y a le bordel à Paris,
08:17 et Fio, ils sont en train de le pousser par la sortie,
08:19 voilà comment le début s'est passé,
08:21 donc il n'y a aucune préméditation, laissez-moi juste finir,
08:25 il n'y a aucune préméditation, il n'y a rien,
08:29 et je n'ai pas pris un euro de plus en partant de Paris à Marseille,
08:34 donc ça, il faut bien le préciser aussi, parce que beaucoup ont dit...
08:37 - Et est-ce que ça a été ta plus grosse erreur, Fio ?
08:39 - De ne pas avoir pris plus d'un euro, oui, c'est clair, ça c'est clair !
08:42 - Non, non, non, si, ça je te le dis, ça je te le dis,
08:45 non mais moi je te le dis, ça oui, parce que vu comment ils m'ont accepté,
08:49 comment ils m'ont intégré, je peux te dire que franchement,
08:54 j'aurais dû prendre tout ce que j'aurais dû prendre,
08:57 et là je me serais dit, vous savez quoi,
08:59 - Mais pourquoi, ça s'est mal passé à Marseille ?
09:01 - Non, ça s'est super bien passé, je crois que j'ai fini en équipe de France, quoi !
09:04 - Non, non, mais au départ, non, mais pourquoi ça s'est mal passé,
09:06 ils t'ont mal intégré, tu dis ?
09:08 - Bah non, mais moi ils m'ont laissé, en fait, ils m'ont jeté dans la gueule du loup,
09:11 ils m'ont laissé, ils m'ont, moi le problème c'est que j'ai atterri là-bas,
09:16 alors attention, je ne donne pas la faute qu'à eux,
09:19 moi j'ai été peut-être maladroit aussi, mon numéro de prédilection c'était le 11,
09:23 donc c'est sûr que moi, têtu comme j'étais, j'ai voulu prendre le 11,
09:26 bon, malheureusement, ou en tout cas, je veux dire,
09:31 celui qui avait le 11 et qui a une statue à l'OM, c'était Didier Drogba,
09:36 donc Didier que j'adore aussi, et donc c'est vrai que prendre après son maillot,
09:40 c'est compliqué, quoi ! - Vous faites 6 mois en gros,
09:43 comme titulaire à Marseille, après ça se dégrade, des prêts et tout,
09:45 et dans ces 6 mois, il y a ce fameux match… - Ouais, mais après moi c'était compliqué,
09:47 ils étaient obligés de me faire jouer qu'à l'extérieur,
09:50 je ne pouvais plus jouer à domicile tellement que c'était compliqué,
09:53 et que je déstabilisais l'équipe parce qu'à chaque toucher de balle,
09:56 même au vélodrome, on me sifflait !
09:58 - Ah ouais, donc siffler au vélodrome, et il y a ces retrouvailles avec le PSG,
10:01 donc en novembre, ce fameux match où donc c'est Sylvain Armand
10:04 qui vous découpe complètement lors de PSG Marseille…
10:07 - C'est pas très malin de Sylvain, c'est-à-dire que ce n'était pas le plus méchant,
10:10 - Vous ne l'avez pas connu à Paris non plus… - Non, mais en plus, moi, justement,
10:13 où j'en ai voulu, c'est que Sylvain, je le connaissais aussi,
10:16 et justement, Jérôme, c'est ce que tu viens de dire,
10:19 c'est vraiment pas la personne… En tout cas, il avait beaucoup de qualités,
10:22 mais il n'avait justement pas cette qualité-là de tacle,
10:25 il avait beaucoup d'autres qualités, et il pouvait jouer
10:28 sans justement faire ce qu'il a fait, et malheureusement,
10:31 je pense que c'est vrai que Sylvain est venu aussi avec Wahid,
10:39 donc peut-être qu'il voulait faire plaisir à coach Wahid, je ne sais pas,
10:42 mais en tout cas, ce qui est regrettable, c'est qu'il y a un moment
10:46 où il ne faut pas oublier, et puis ça ne sert à rien de faire ce genre de gestes,
10:50 parce que je pense que ça avait déjà pris des proportions
10:54 dans les médias ou à l'extérieur, et donc c'est pour ça que j'en ai voulu à Sylvain,
10:57 parce que je sais que justement, c'était quelqu'un, en tout cas,
11:00 il avait beaucoup de qualités, mais pas celles du tacle,
11:03 donc c'était dommage de le faire selon…
11:05 - Tu lui as reparlé depuis ? - Non, franchement…
11:08 - Pardon ? - Non, pardon, mais même le petit tacle à Sylvain Armand,
11:11 je l'ai noté tout à l'heure. - Il a raison sur les qualités,
11:14 mais tu ne l'as jamais reparlé depuis ?
11:16 - Non, mais malheureusement, on ne s'est jamais revu,
11:18 pourtant on dit qu'il y a Clémentin qui ne se rencontre pas,
11:21 mais on ne s'est jamais revu, mais…
11:24 Après, je ne sais pas, peut-être qu'au bout de 20 ans,
11:27 il reconnaîtra son erreur, moi c'est vrai que je lui en ai voulu,
11:30 et je lui en veux encore, pas encore, parce qu'au bout de 20 ans,
11:33 ça serait quand même vieux d'en vouloir encore à quelqu'un,
11:36 mais voilà, moi ce que je retiens de tout ça, c'est que malheureusement,
11:40 il y a beaucoup de gens qui ont parlé à mon sujet,
11:43 et qui ont raconté tout et n'importe quoi,
11:45 et là, j'ai essayé de la faire courte, mais voilà,
11:48 la vérité, elle s'est passée exactement comme ça,
11:51 c'est-à-dire que j'ai fait une préméditation, j'ai jamais voulu partir,
11:54 parce que je venais de re-signer 4 ans, sauf qu'on m'a fait comprendre,
11:57 parce que j'avais refusé d'être la taupe du club,
12:00 qu'il fallait que je m'en aille, et puis concours de circonstances,
12:03 comme tu l'as dit Jérôme, c'est vrai que j'avais eu la chance
12:06 de faire une saison honorable, et donc, j'avais comme club à l'époque,
12:10 Nice-Sochaux, parce que c'était, comment il s'appelle, Guy Lacombe,
12:16 que j'avais eu à l'époque à Guingamp, qui m'a appelé,
12:19 qui voulait que j'aille à Sochaux, mais bon, moi, c'est vrai que
12:22 Marseille, ce qu'il ne faut pas oublier aussi, c'est que moi,
12:25 je suis né en 1975, et moi, j'ai vécu avec les popées
12:29 Chris Waddell, Jean-Pierre Papin, Carlos Mozart,
12:33 voilà, et Pascal Olméta !
12:35 - Non mais Fion, c'est bien, t'as rétabli ta vérité, et merci, merci,
12:39 t'es bienvenu quand tu veux dans l'émission, parce que...

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