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00:00 ... à Marseille. - Dans quel quartier ? - A la Plaine. - A la Plaine. - A la Plaine du Jean-Jaurès. - Moi aussi, moi j'habite à la Plaine du Jean-Jaurès à Trest.
00:14 - Et à l'enchaînement, qu'est-ce que vous faisiez ? - Un couillon. - Et plus grand ? - Plus grand, oui. J'avais beaucoup de vontade, beaucoup de vélo. Et ma foi, c'est ce que tous les docteurs me le disent, c'est ce qui me tient un peu fort maintenant.
00:39 - Oui, effectivement, on m'a dit que vous aviez été un grand sportif et un amoureux de la nature. Alors, qu'est-ce que vous avez fait comme métier ?
00:49 - Alors, je n'étais plus simplement de vélo. Je faisais marcher une grande imprimerie et je dîtais une revue que nous envoyions à tout le monde, c'était la chambre patronale de la métallurgie.
01:08 Voilà, qui groupait tous les métallurgistes qui travaillaient dans les bouches du Rhône, le Var, le Vaucluse. Et c'est de grandes machines, on va arrêter de faire un journal, qu'on a payé tous les mois à nos...
01:23 - Zodérane ? - Non, Zodérane, voilà. Et j'ai fait ça pendant... Je suis rentré là, cette boîte, en 47 et je suis parti en 84. Et j'étais béni par mon patron.
01:44 - Et ça, j'avais un patron comme ça. Et il est mort, il est parti. - Très bien. Alors, de maintenant, je crois que je vais passer un peu la parole aux enfants.
01:56 Pour dire un petit mot à leurs pères et grands-pères, parce que c'est vraiment un moment exceptionnel.
02:08 Oh, vous savez, on peut toujours improviser, mais en tout cas, avant d'être des mots d'amour, d'affection de votre famille, moi, c'est au nom de la ville, des mots et un passage avec beaucoup d'amitié.
02:22 - Merci. - Est-ce que je vous ai dit un truc ?
02:28 Je vous remercie tout le monde d'être venu là, pour mon père, pour les Saint-Anne, mon père, voilà. Et j'espère qu'il y aura encore...
02:38 - Saint-Anne ? - Pas de fois Saint-Anne, mais après, de longue vie. - Oui, oui, oui, je crois.
02:46 Voilà. Je vous remercie.
02:53 Pour me rappeler, je suis le bébé de Simon, alors oui, c'est mon papy.
02:59 Voilà, mon papy, tu as senti aujourd'hui, et je suis fier d'être avec toi ce jour-là.
03:05 Et sache que je t'aime très fort. Je t'ai toujours aimé. Je me souviens de ce qu'on a fait ensemble, et j'espère que ça continuera.
03:14 Et voilà, je t'aime très fort.
03:19 Merci.
03:21 Bonjour à tous. Moi c'est Antonin, du coup, le plus petit des petits-fils.
03:31 Aujourd'hui, maintenant, il y a Caïm aussi, en arrière, petit-fils, ainsi que Léa.
03:38 Ça c'est très bien de se entendre, c'est pas évident, je suis désolé.
03:44 Je suis fier de ce que tu m'as appris aussi. Moi j'ai de grands souvenirs de ma Louise.
03:48 - Merci. - Et pour moi, tu avais été un modèle sportif.
03:52 Et c'est pour ça qu'aujourd'hui je suis très sportif, et je pense que c'est grâce à toi aussi.
03:56 - C'est ce qui nous reste, quoi.
03:59 - Merci beaucoup papy pour tout. - Merci à toi.
04:02 - Je t'aime.
04:04 - Merci.
04:06 - Merci.
04:09 - Joyeux anniversaire.
04:12 - Joyeux anniversaire.
04:15 - On recommence.
04:17 - Joyeux anniversaire.
04:19 - C'est lourd, hein.
04:21 - Joyeux anniversaire.
04:23 - Joyeux anniversaire.
04:25 - Joyeux anniversaire.
04:27 - Joyeux anniversaire.
04:29 - Joyeux anniversaire.
04:31 - Joyeux anniversaire.
04:33 - Joyeux anniversaire.
04:35 - Bravo.
04:37 - Bravo.
04:39 - Il y a pas de stratégie, hein.
04:41 - C'est dur, hein.
04:43 - C'est dur, hein.
04:45 - C'est dur, hein.
04:47 - C'est un sportif, hein.
04:49 - C'est un sportif, hein.
04:51 - Un petit cadeau à M. Arbona pour son anniversaire.
04:55 - Avec ?
04:57 - Avec M. Arbona.
04:59 - Avec M. Arbona.
05:01 - Voilà, je suis venu accompagner cet après-midi
05:05 de Karine, de Richard, de Jacques-Eugène,
05:09 des élus au pôle Solidarité, au Seigneur,
05:13 et également de Samia, la responsable du pôle,
05:17 et de Christelle, de la communication qui nous suit régulièrement
05:21 pour prendre les photos et pouvoir réaliser les articles de la ville.
05:25 Voilà.
05:27 Nous sommes très heureux à l'occasion de votre anniversaire
05:30 et de vous remettre un petit cadeau.
05:33 - Merci.
05:35 (Applaudissements)
05:37 (...)
05:47 - Ah !
05:49 (Rires)
05:54 - L'émotion, l'émotion !
05:56 Les cadeaux, ça, c'est la vie, la vie !
05:59 (...)
06:02 - Voilà, c'est un petit clin d'œil à votre passion.
06:06 (...)
06:23 - Les élus à tous côtés !
06:25 (Rires)
06:31 (...)
06:45 - Oh, c'est une toroise !
06:47 (Rires)
06:52 - Vous pouvez le mettre dans votre chambre.
06:55 - C'est la ligne ?
06:57 - Voilà. C'est la ligne de la Sainte-Vérité.
07:00 (...)
07:03 - Alors, merci.
07:05 (...)
07:08 - Vous pouvez le tourner ?
07:10 - Je peux le tourner, oui.
07:12 (...)
07:14 - On le revient ? - Oui.
07:16 (Musique)
07:19 - Les filles et les bébés !
07:21 (...)
07:25 - Les élus populaires !
07:27 (...)
07:30 - Allez, les filles !
07:32 (Musique)
07:34 - Les femmes et les garçons !
07:36 (...)
07:43 - Les élus sages !
07:45 (...)
07:47 - Les élus populaires !
07:49 (...)
07:52 - Les garçons !
07:54 (...)
08:02 - C'est bon, là.
08:04 (...)
08:05 - Allez, les garçons !
08:07 (...)
08:14 - Les garçons !
08:16 (...)
08:26 - Dans cette ville que j'aime,
08:30 dans le chenou, les anges,
08:34 je suis en vie de courir dans les larmes
08:39 et de crier sous le ciel de ta mère,
08:43 qui est à la bonnice du dérocher,
08:46 la majesté des tenues au milieu des gilets d'arbre.
08:50 (...)
08:52 Car dans les duches où le feu les clame,
08:55 radie ma dame dans le cœur des femmes.
08:59 Quand tu les trices, les dames y se violent au nid,
09:03 c'est toujours là pour jouer du bagarabe.
09:06 (...)
09:08 Elle veut rejoindre la ligne et ton cadre,
09:11 car tu sais bien que ton frère te regarde
09:15 et qu'il t'a jugé
09:18 un danger pour les tranchées.
09:21 (...)
09:22 Mais tes mamies, elles me
09:26 m'aiment jusqu'au sourire.
09:30 Parlez dans la plaine
09:34 aux saintes mamies que j'aime.
09:37 *Bruit de la musique*
09:39 Merci à tous !