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01:00C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:03C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:06C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:09C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:12C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:16C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:19C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:22C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:25C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie de l'homme.
01:29Merci.
01:42place de la gare la semaine dernière
01:54le jeudi, il y a les incourvents,
01:57Côté des lignes, côté...
02:10Portes de courrières, c'était hier soir.
02:27Vous savez, quand nous voyons ça, tous les jours, nous sommes en colère.
02:42Nous sommes en colère parce que c'est quelque chose de tout simplement inacceptable.
02:47Nous sommes à 13 parce que nous aimons 13.
02:51Certains, quand ils sont nés, d'autres ils viennent
02:55parce qu'ils savent qu'il est fait bon vivre,
02:57parce qu'il y a une dynamique qui a été instaurée,
03:00un apaisement de la population très évolu, très progresse.
03:07Et quand on voit ça, on se dit que les gens ne réfléchissent pas.
03:13Vous savez, ce soir, ça fait plusieurs semaines que je passe cette réunion,
03:19ce temps d'échange, et je me dis de quelle façon s'exprimer.
03:23Est-ce qu'il est acceptable qu'une mère soit grossier ?
03:27Non.
03:28Donc inutile d'envoyer des termes de guerre,
03:31qu'on aurait dû s'être amené à utiliser quand on voit ce genre de choses.
03:37Mais j'utiliserais tout simplement une expression de ma fille qui est ado,
03:43ça me met le démon.
03:45Oui, ça me met le démon quand je vois tout ça dans 13.
03:49Nous sommes à 2,4.
03:51Nous voulons une société moderne, une société civilisée.
03:56Les gens savent tout sur tout.
03:58Ils ont une avis sur tout.
04:00Les gens sont connectés.
04:03Et après, ils font ça.
04:06Ils font ça, mettent des tapis, des aspirateurs,
04:13des matelas, des portes, des meubles.
04:17Mais comment ?
04:20Oui, on peut tous se poser la question, mais comment on peut en arriver là ?
04:26Ne pas se dire, mais ce que je fais, c'est absurde, mais c'est débile.
04:31C'est inutile.
04:33Voilà.
04:35Alors, moi, nous, nous en avons quelques-uns qui travaillent au quotidien dans les rues de 13.
04:47C'est vrai que dans le centre-ville, on parle d'éjections canines,
04:51on parle pigeons, on parle étourneaux, on parle cornets.
04:59Voilà.
05:00Et à côté de ça, il y a tout ce travail, ce surplus,
05:06qui est demandé aujourd'hui aux employés municipaux,
05:10parce que parfois, ils sont critiqués.
05:12Et je vais demander à Jean-François et à Damien de venir me rejoindre.
05:15Ils vont me critiquer. La mairie, elle fait quoi ?
05:17Parce que la mairie, oui, c'est nous, c'est le maire, bien sûr.
05:20C'est le maire.
05:21Venez, venez, les gars, venez.
05:24Et ce sont eux qui font quoi ?
05:27Il n'en veut pas, il n'en veut pas si, il n'en veut pas ça.
05:30Ben oui, en fait, quand ils sont avec le balai,
05:34c'est comme dans le film Feuilleur à tour, c'est le champ des municipaux.
05:38Ils sont là, deux représentants des municipaux.
05:41Mais quand ils sont avec le karcher, avec le balai,
05:44et qu'ils tombent...
05:46Hop, dévoilez-lui.
05:49Dévoilez ça.
05:50Voilà, quand ils tombent sur ça,
05:53ben, ils s'arrêtent.
05:55Ils s'arrêtent, et puis il y a un mec,
05:57qui s'appelle le collègue, qui vient avec le camion.
06:00Et puis, il ramasse ça, et il ramasse le camion tous les jours.
06:05Excusez-moi, ça, c'est juste un cinquième,
06:07parce qu'on ramasse tous les jours.
06:10C'est un cinquième.
06:11C'est un cinquième, parce qu'on ramasse tous les jours.
06:13Dans l'appétition.
06:21Le temps qu'on passe en train de ramasser comme ça,
06:24on perd du temps pour le nettoyage, le déroulement.
06:27Donc, en fait, vous êtes du lycée d'État,
06:30et ça ne va pas vous aider.
06:33Et nous, ça ne nous aide pas non plus.
06:36Dans l'histoire, c'est un peu cher.
06:39Tout le monde est pénalisé.
06:41Ça nous fait perdre notre temps,
06:43et nous devons le sortir au prochain.
06:46Ce que je veux dire en ce moment,
06:48c'est que tout le monde est pénalisé dans cette histoire.
06:51Moi, je pense qu'il faut prendre conscience
06:54de tout ce qu'il fait,
06:56et vous, vous êtes victime,
06:58mais nous, on en a marre.
07:00Le monde en a marre, il y est.
07:02Donc, si vous me respectez,
07:05mettez vos déchets dans les endroits prévus.
07:08Nous, on doit nous tourner d'équipe
07:11qui répond aux problèmes,
07:13mais pour nous aider à cela,
07:15il faut que vous jouiez le jeu.
07:17Tout simplement.
07:19Je sais qu'il n'y a que vous,
07:21personne d'autre.
07:23Si nous, on était d'accord de gagner,
07:25et bien, ça sera super,
07:27et nous, on pourra bâtir un peu plus aussi.
07:30Notre travail, il ne faut pas gommer à force.
07:33Vous êtes tous pénalisés,
07:35mais nous aussi, on en a marre.
07:37Voilà. Merci.
07:39Je vous remercie.
07:47C'est vrai que le jeu humain
07:49est essentiel pour ça,
07:51et ça rejoint un petit peu
07:53une incarnation
07:55de début de réunion
07:57sur les effectifs.
07:59Ben oui, c'est comme tout le monde.
08:01Quand tous les jours,
08:03vous vous levez, vous vous portez,
08:05vous vous déplacez,
08:07n'importe qui,
08:09les meurtrières d'un meurtre d'eau
08:11du deuxième domaine,
08:13ça provoque de l'insanitéisme.
08:15Parce que c'est d'eau, les jours.
08:17Ce n'est pas au personnel.
08:19Alors, oui, nous avons confiance
08:21en nos vocations personnelles
08:23à la rue municipale,
08:25qui est à l'autre.
08:27La ville,
08:29c'est modernisé également
08:31en matériel
08:33pour les aider à intervenir.
08:35Mais malgré tout,
08:37on se rend compte que
08:39ce n'est pas suffisant.
08:41Que ce n'est pas suffisant.
08:43Justement, il y a d'autres choses
08:45à mettre en place,
08:47et les autres, ce sont
08:49les sanctions.
08:51C'est également les équipements
08:53que je vise de dire,
08:55mais ce sont les sanctions
08:57pour taper,
08:59comme vous dites, au bord de rue.
09:01Il y a des règles.
09:03En France, il y a des lois,
09:05il y a des règlements,
09:07il y a des règles.
09:09Mais je crois que la corrélation
09:11doit s'habituer à savoir
09:13que ça existe,
09:15et que quand tu te détournes
09:17de la loi, tu sanctionnes.
09:1935 euros sans 35 euros,
09:21ça fait mal.
09:23Il y a besoin pour tout ce qui est
09:25une incivilité.
09:27En cassée municipale,
09:29j'avais mis
09:31des amendes administratives
09:33à 250 euros.
09:35Fait compte,
09:37j'avais
09:39une épaisseur comme ça
09:41de demande d'indulgence,
09:43parce que c'est un processus
09:45réglementaire, de demande d'indulgence,
09:47que les gens trouvaient
09:49250 euros.
09:51Ça fait mal.
09:53Alors, après l'indulgence,
09:55on a tout.
09:57On peut reconnaître, ben oui,
09:59j'ai voté, je n'en ferai plus,
10:01je l'ai fait, mais en fait,
10:03j'ai laissé mes toilettes là,
10:05que si ça me sert bien à quelqu'un,
10:07parce qu'il m'a bien parlé,
10:09il m'a parlé un petit peu,
10:11donc en fait, ça, ça devient une tonne.
10:13Voilà, c'est ouvert.
10:15Je me suis dit, on va s'y pousser,
10:17parce qu'à 250 euros,
10:19j'attends l'effort,
10:21on va récevoir.
10:23Mais finalement,
10:25les gens se rendent compte
10:27que ça a un coût
10:29pour la collectivité,
10:31quand je dis la collectivité,
10:33c'est un coût pour le personnel,
10:35un coût physique, un coût de l'investissement,
10:37et un coût pour la collectivité,
10:39l'institution,
10:41justement, qui va réutiliser
10:43l'argent n'ayant pas besoin
10:45des impôts.
10:47Voilà.