C’est un montant record de 24 838 € qui a été remis à la Ligue contre le cancer par la section locale présidée par Claude Mallet.
Un montant en hausse de plus de 50 % par rapport à 2023, signe de l’investissement du tissu associatif. Lors de son discours, Claude Mallet a tenu à saluer l’ensemble des bénévoles et des représentants associatifs qui ont largement contribué à la réussite de cette collecte.
L’association des commerçants a été mise en avant pour son implication à l’occasion d’Octobre rose. La municipalité, les ostréiculteurs, les concerts de Christian Bonail et du groupe Mojithau furent également mis à l’honneur tout comme les associations Ensemble et Partage et Bleu Soleil et les bénévoles ayant concocté rouille de seiche, paella et zézette au profit de la Ligue. Un engagement également salué par le professeur Jean-Bernard Dubois, président départemental. Celui-ci a énuméré les nombreuses et nouvelles techniques permettant la lutte contre le cancer : "Nous sommes passés de moins de la moitié de guérison à plus de deux tiers grâce au traitement de tumeurs microscopiques de cancers du sein et du colon." Le maire, Yves Michel, a apporté son soutien en proposant d’initier, en fin d’année, l’organisation d’un événement majeur au bénéfice des œuvres associatives. Une journée qui pourrait rassembler les différentes associations de la commune en conjuguant les énergies et les moyens afin de conjuguer les solidarités.
Un montant en hausse de plus de 50 % par rapport à 2023, signe de l’investissement du tissu associatif. Lors de son discours, Claude Mallet a tenu à saluer l’ensemble des bénévoles et des représentants associatifs qui ont largement contribué à la réussite de cette collecte.
L’association des commerçants a été mise en avant pour son implication à l’occasion d’Octobre rose. La municipalité, les ostréiculteurs, les concerts de Christian Bonail et du groupe Mojithau furent également mis à l’honneur tout comme les associations Ensemble et Partage et Bleu Soleil et les bénévoles ayant concocté rouille de seiche, paella et zézette au profit de la Ligue. Un engagement également salué par le professeur Jean-Bernard Dubois, président départemental. Celui-ci a énuméré les nombreuses et nouvelles techniques permettant la lutte contre le cancer : "Nous sommes passés de moins de la moitié de guérison à plus de deux tiers grâce au traitement de tumeurs microscopiques de cancers du sein et du colon." Le maire, Yves Michel, a apporté son soutien en proposant d’initier, en fin d’année, l’organisation d’un événement majeur au bénéfice des œuvres associatives. Une journée qui pourrait rassembler les différentes associations de la commune en conjuguant les énergies et les moyens afin de conjuguer les solidarités.
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00:00 [Musique]
00:17 Et donc, il est quand même assez bien de marquer le coup,
00:21 et surtout de faire voir la population,
00:24 de faire voir à toutes les personnes qui nous aident.
00:27 Alors j'ai fait une petite liste pour essayer de ne pas oublier,
00:31 parce que cette année on a eu vraiment de l'aide un peu de partout.
00:35 J'ai déjà eu l'association des commerçants,
00:37 alors je le prends dans un ordre comme ça,
00:40 l'association des commerçants avec C.T. Elis, la présidente,
00:44 qui a eu l'idée de faire pour Tom Horos,
00:49 vraiment quelque chose d'impactant.
00:52 Donc ça a été vraiment très bien,
00:55 je veux dire très bien, mais très bien.
00:58 Donc il y a eu le nouveau bureau, ils sont d'accord,
01:01 nous avons eu la nouvelle présidente,
01:03 qui est d'accord pour perdurer le octobre.
01:09 Ensuite il y a les autres écouteurs,
01:10 à chaque fois nous sommes toujours fidèles.
01:14 Il y a Christian Bonnard qui avait fait son concert,
01:20 mais il ne peut pas être là ce soir, donc il s'excuse.
01:23 Et il prépare un concert un peu plus important sur cette,
01:27 pour octobre 11, c'est-à-dire.
01:30 Ensuite il y a Groupama, je vois qu'il n'y a pas la présidente aussi.
01:34 Groupama chaque année c'est nos plus gros importeurs,
01:37 je veux dire au niveau pécuniaire.
01:40 Il y a Morito et l'ensemble des partages,
01:43 et le Téléthon qui nous ont aidés.
01:47 L'ensemble des partages l'année dernière ont fait l'auto-génération des autorités,
01:51 qui ont partagé les gains entre ces cinq associations parlementaires,
01:56 avec la tribune de Marseille à Sûr.
01:58 Donc l'autre c'est...
02:01 Voilà, et on a fait avec Morito, on a fait une soirée,
02:04 on va en faire une autre au mois de...
02:07 Pas de filtre, bon, bien sûr il y a...
02:11 Sandrine Bertier qui nous a fait des ZZ,
02:15 nos spectacles.
02:16 Bon, Monsieur le maire, la mairie et tous les services,
02:19 parce que je suis en outerlingue, c'est vrai que...
02:22 ça se passe très bien.
02:24 Il y a juste le petit démol, c'est maintenant pour rouler les salles.
02:29 Parce que...
02:31 Demain, il va rencontrer Marilou.
02:34 Il va rencontrer Marilou.
02:36 Marilou m'a répondu, elle a dit "je vous ai envoyé le lait,
02:39 boire un lait", mais elle m'a pas répondu.
02:41 Alors j'ai entendu sa réponse.
02:42 Marilou nous a convoqués demain soir.
02:44 Oui, mais demain on ira voir Marilou.
02:46 D'accord.
02:48 Bon, sinon, c'est une...
02:51 une bouteille.
02:53 Et ensuite, il y a Pascal Marquis et son frère qui viennent
02:56 nous inviter à aller travailler là.
02:58 Et on a éventuellement quelque chose en cours pour cette année.
03:02 Voilà.
03:03 Au nom de...
03:05 de Martien Caudette, quand même.
03:06 C'est Pascal et son frère, mais c'est...
03:09 Martien Caudette.
03:11 Donc, bien sûr...
03:13 Ce qu'il faut remercier, c'est les gens,
03:16 c'est les gens qui donnent.
03:18 Il y a les martianés, mais aussi cette année, pour Octobre,
03:20 il y a eu pas mal de gens qui ont fait des promenades
03:23 en bateau, qui ont très bien marché,
03:26 à la Maison Noailly, chez les restaurants du port.
03:29 Ça, c'est des gens qui étaient de passage sur Marseille.
03:33 C'est des gens qui ont répondu favorablement à...
03:38 à nos appels.
03:39 Voilà.
03:40 Et encore une fois, je vous remercie, surtout à vous,
03:44 d'être toujours présents, d'être toujours à nos côtés.
03:47 Peut-être que cette année, puisque je parle d'Octobre,
03:50 je pense qu'il faut chaque année...
03:52 Ça me fait aussi un peu plus du tout.
03:54 Et suivant ce que vous déciderez,
03:58 je me rappelle qu'il faudrait que l'on soit impliqués,
04:01 parce que cette année, il y avait même plus de prévues.
04:03 Même que le port, le seul jour où il faut mourir,
04:06 le 17 octobre, le préfet a tout annulé.
04:11 Il n'y en a pas pu faire l'autre journée.
04:13 Donc, voilà.
04:14 Et ça, personne ne peut y arriver.
04:17 Je vais passer la parole, je parle au professeur Dubois,
04:21 président de la Ligue de l'Etat.
04:23 Très bien.
04:24 Mesdames, Messieurs, Monsieur Vallée,
04:26 Pierre, très heureux d'être ici pour la 1e fois.
04:31 Oui.
04:32 On va vous acheter un petit appartement.
04:36 Très heureux donc de venir vous rencontrer.
04:41 C'est l'occasion de se voir une fois par an.
04:43 Nous sommes très volontiers avec Michel,
04:45 qui est à la tête, vous le savez,
04:48 des soixantentaines pour tous les départements du bureau.
04:51 Cette année 2023,
04:53 je dis en fait, puisque ce matin,
04:55 nous avons eu un conseil d'administration,
04:57 et on a vu les comptes de l'année 2023,
04:59 que les prix pour les politiques du bureau
05:02 ne les recouvrent jamais,
05:04 dans les deux années,
05:05 dans les deux états d'émergence.
05:07 Bien entendu, nous en réjouissons,
05:10 et vous avec, parce que c'est vous,
05:12 le premier partisan de ces succès,
05:14 qui s'additionne, qui compte.
05:16 Cette année, nous avons eu 2,8 millions de sous.
05:20 On a bien entendu augmenté
05:24 les contributions,
05:26 les contributions de la limite,
05:28 en fonction des postages, des patients,
05:30 avec des escales,
05:32 vous le savez très bien,
05:33 avec des lieux,
05:34 des lieux, des lieux,
05:35 et des barrières,
05:36 avec une augmentation de la fréquentation
05:38 de ces escales,
05:40 et puis surtout,
05:41 nous avons augmenté de manière considérable
05:43 notre contribution à la recherche,
05:45 recherche au niveau local,
05:47 régional,
05:48 et recherche au niveau national.
05:50 Et le Comité de l'héros est un des plus gros contributeurs,
05:53 en tout cas, en fonction de sa théorie,
05:55 en tout cas, en fonction de sa théorie,
05:57 de la terre potentielle,
05:59 le Comité de l'héros est un des plus gros contributeurs
06:01 à la limite nationale.
06:03 Il ne faut pas s'imaginer que ça part à Paris,
06:06 mais c'est la seule équipe qui part à Paris,
06:08 et c'est réparti sur différentes équipes de recherche
06:12 qui sont réparties sur le territoire.
06:15 Et ce sont ces fameuses équipes labellisées,
06:18 nous en avons sept, en héros,
06:20 elles sont toutes en hétérie,
06:22 et ces équipes labellisées sont jugées scientifiquement,
06:26 dans des moyens extrêmement agressifs,
06:29 dans les bons sens du terme,
06:32 avec un sérieux et une objectivité,
06:34 qui est apportée par des experts extérieurs,
06:36 objectifs, qui n'ont rien à voir avec les partenaires héros,
06:39 parfois même qui n'ont rien à voir avec la France,
06:41 ou avec les autres pays,
06:43 et c'est vraiment une sélection
06:45 qui vise à mettre en priorité des aides pour les milieux.
06:50 Parce que c'est de cela, bien entendu,
06:52 qu'on a le plus à attendre des résultats,
06:55 et vous savez probablement,
06:57 et on en parle dans la presse,
06:59 que les résultats thérapeutiques
07:01 sont extrêmement encourageants à l'heure actuelle.
07:05 Il y a encore malheureusement beaucoup d'échecs,
07:07 et là, on perd à peu près un tiers des patients,
07:11 mais c'est beaucoup mieux que ce qu'il y avait il y a quelques années,
07:15 on dirigeait moins de la moitié,
07:17 on dirigeait deux tiers.
07:19 Il y a encore beaucoup de progrès à faire,
07:21 et on a quand même des résultats
07:23 qui viennent de la recherche très directement,
07:25 aussi bien dans l'accumulation de connaissances théoriques
07:28 par la recherche fondamentale,
07:30 que dans la constatation d'effets objectifs,
07:34 pratiques, concrets,
07:37 en clinique, ça marche sur le patient.
07:39 Vous allez peut-être entendre me parler des essais thérapeutiques
07:43 qui ont conduit à s'apercevoir que le cancer du sein évoluait.
07:47 On a actuellement les moyens,
07:49 par des combinaisons de chimiothérapie et d'immunothérapie,
07:52 on a les moyens de doubler la survie à 5 ans,
07:57 de multiplier par 2 la survie à 5 ans du cancer du sein de l'épastéthique,
08:01 grâce à ces chimiothérapies.
08:03 On a actuellement des protocoles thérapeutiques
08:06 qui permettent d'envisager des guérisons
08:08 dans des cas très importants
08:10 quand le tumeur est extrêmement évolué,
08:12 comme le cancer du poumon,
08:14 le cancer de l'ovaire,
08:16 et le survie.
08:18 Le chèque de l'as,
08:20 il est passé par l'immunothérapie actuellement,
08:23 pas par tous les cancers du poumon,
08:25 mais par un certain nombre de cancer du poumon,
08:27 et on a une survie de 106-107 ans,
08:29 sans opérations, sans rayons,
08:31 sans chimiothérapie, pas une simple immunothérapie.
08:33 Ce sont des progrès considérables,
08:35 et si nous avons fait des progrès dans le passé récent,
08:38 nous sommes capables de faire des projets encore plus importants dans la vie de la prochaine.
08:42 Il y a beaucoup à espérer de la génétique,
08:45 de l'expérience génétique,
08:47 avec un contributeur majeur
08:50 pour les études génétiques,
08:52 et l'intelligence artificielle.
08:54 Parmi les autres,
08:56 l'intelligence artificielle,
08:58 ce n'est pas fait pour remplacer l'intelligence naturelle.
09:01 C'était pour aider,
09:04 et pour apporter des moyens
09:06 de l'investigation,
09:08 qui sont extrêmement puissants,
09:10 en matière de données,
09:13 qu'un cerveau humain ne peut pas,
09:15 ou que l'humain,
09:17 ou l'humain,
09:18 un cerveau ne peut pas réaliser.
09:20 Donc cet outil-là, l'intelligence artificielle,
09:23 on le voit déjà,
09:24 il nous a fait faire des progrès considérables
09:26 dès le début de ce siècle,
09:28 le 21e siècle.
09:29 Au début de ce siècle, on pensait que le génome,
09:32 c'est-à-dire la constitution,
09:33 la carte génétique du tout et du tout,
09:36 serait connue probablement
09:38 à la fin du 21e siècle.
09:40 Ce qu'on pensait devoir faire en 100 ans,
09:44 on l'a fait en 3 ans.
09:46 C'est dire la puissance de qualité
09:48 de l'intelligence artificielle,
09:50 qui, bien sûr, ne résoudra pas tout.
09:53 Et bien sûr, on lui pose aussi des questions.
09:55 C'est très simple.
09:57 La question c'est quoi ?
09:59 C'est l'interprétation des données.
10:00 C'est tellement multiple que,
10:02 si des données arrivent,
10:03 on ne sait plus trop quoi faire.
10:04 Il faut du temps pour interpréter cela.
10:08 Là, on revient sur l'intérieur du cerveau.
10:10 Voilà.
10:12 - Vous l'avez dit, on s'y associe,
10:14 évidemment, avec la Fédération.
10:16 Fait ce qu'elle peut pour essayer d'aider la Ligue,
10:22 comme d'ailleurs quand il y a le Téléthon,
10:25 puisque personne ne représente pas le Téléthon.
10:27 Voilà.
10:28 On est sollicité,
10:30 dans la mesure de nos moyens,
10:31 on essaie toujours d'apporter la logistique,
10:34 souvent, qui est nécessaire pour les organisations,
10:37 que ce soit pour les prêts de salles,
10:39 que ce soit pour les autorisations administratives,
10:41 que ce soit également pour toute la logistique,
10:44 des fois, nécessaire pour l'organisation des événements,
10:48 des manifestations que vous faites.
10:52 Quand même, quelques points sur lesquels je souhaitais vous parler,
11:00 notamment, il y a de la recherche.
11:04 Il y a des progrès considérables.
11:05 Vous l'avez expliqué, on ne peut que s'en réjouir.
11:09 Par contre, quand même, on voit dans quel état est notre médecine,
11:13 l'hôpital.
11:14 La médecine, c'est quand même un élément primordial
11:18 sur lequel on est tous attachés,
11:20 avec une population amartienne qui est,
11:22 de nage, moyen, supérieur à ce que l'on peut retrouver
11:26 dans d'autres communes,
11:27 parce qu'on n'est pas dans le périurbain des zones
11:29 où il y a beaucoup d'actifs,
11:31 plutôt des retraités, des gens qui viennent chez nous,
11:33 et qui se trouvent confrontés à ce qui est,
11:36 pour nous, un élément essentiel,
11:38 c'est de voir ce médecin de proximité,
11:40 avoir la possibilité d'aller chez des spécialistes,
11:43 parce que c'est aussi là que l'on veut,
11:46 par anticipation,
11:48 déceler certaines maladies,
11:52 et bien évidemment, malheureusement, le cancer.
11:56 C'est un élément important.
11:58 Je regardais à la télé, je crois qu'il disait que
12:00 6 Français sur 10 n'avaient pas suivi un protocole,
12:05 ou n'étaient pas allés voir le médecin,
12:06 parce que c'est difficile aujourd'hui
12:08 d'avoir un rendez-vous,
12:11 c'est difficile parce que c'est loin,
12:13 parce que c'est long,
12:15 et je pense que c'est la santé qui doit être portée
12:21 de manière identique à tout le monde.
12:23 Aujourd'hui, ce n'est pas le cas.
12:25 Et ça, c'est quand même un élément
12:27 qui est un peu regrettable.
12:29 On essaie tous, par le moyen d'aider,
12:32 les bénévoles, les mairies, les collectivités,
12:34 les associations, les commerçants, vous l'avez dit aussi,
12:37 ou les professionnels, les industriels,
12:39 qui peuvent aider, il y a des mesures d'incitation.
12:42 Il y a tous ces gens qui se mobilisent,
12:44 et en même temps, on a l'impression
12:46 qu'il y a tout qui se délite de notre côté.
12:49 Vous en parleriez sûrement bien mieux que moi là-dessus,
12:53 mais enfin, c'est ce que l'on entend aujourd'hui,
12:55 et c'est ce qu'on peut constater, nous,
12:57 de la demande que l'on a de la part de nos citoyens.
13:00 Prochainement, on va ouvrir, enfin, construire,
13:06 rénover un bâtiment pour avoir un bâtiment
13:09 qui accueillera des professionnels de la médecine,
13:13 des généralistes, mais également d'autres professions,
13:16 parce que les charges administratives des médecins,
13:19 aujourd'hui, quand ils sont seuls,
13:21 on voit bien qu'ils ont de la difficulté
13:23 à faire leur travail, passer du temps
13:25 à faire de l'administratif, et quand on fait de l'administratif,
13:28 évidemment, on a moins de temps pour recevoir la patientelle,
13:34 ça, ça fait partie des éléments sur lesquels
13:36 je crois qu'il y a une politique aussi locale
13:38 qui doit être mise en œuvre, et ne pas tout attendre
13:40 de l'État, bien entendu, on le voit bien,
13:42 avec toutes ces actions de bénévolat,
13:44 ou les actions que l'on peut faire les uns et les autres,
13:47 on se substitue un peu à ce qui doit être
13:49 un des devoirs, pour nous, qu'on considère
13:51 un devoir régulier de l'État, c'est-à-dire
13:53 d'apporter tout le soin nécessaire
13:55 pour que la médecine soit de qualité
13:57 et soit accessible à tout le monde.
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