• il y a 9 mois
13 300 euros récoltés pour le Téléthon

C’est en présence de nombreux bénévoles, de représentants d’associations et d’élus emmenés par leur maire Yves Michel que la présidente de l’association Bleu soleil Cathy Desnautes a eu la satisfaction de pouvoir remettre un chèque d’une valeur de 13 300 euros à Christine Martinez coordinatrice de l’AFM Béziers.

Un chiffre supérieur de 10 % à celui de l’an dernier dans un contexte de crise économique qui démontre une fois encore de la générosité des marseillanais pour les grandes causes et de l’implication constante de chaque association locale.

Cette réussite a été partagée au travers du déroulé d’un diaporama rappelant les plus beaux moments de ce Téléthon 2023 avec notamment : la vente de plats préparés par l’association Ensemble et Partage et sa paella par l’entreprise familiale « Chez Titin » pour sa rouille de seiche, par les chorales proposées par Marseillan et Bessan, le loto des enfants , la randonnée pédestre, les 24 h du Téléthon des cyclistes de l’UCM, les matchs du Crabe Marseillanais, les soirées musicales avec la participation du Groupe Marseillanais MOJITHAU toujours présent dans les grands évènements !  « La dictée du Téléthon ne remplit pas encore le stade de France » mais elle existe et nous la développerons » s’amuse Cathy Desnautes.
Le maire, Yves Michel, a remercié tous les bénévoles, anonymes, associations, partenaires et commerçants, pour leur engagement humain ou financier, et leur implication, afin d’aider la science médicale à vaincre la maladie.

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Transcription
00:00 [Musique]
00:14 Merci d'être venu aussi dans le groupe.
00:16 C'est très plaisant de vous voir tous là comme ça.
00:19 En fait, ce sont des visages qui sont souriants et accueillants.
00:22 C'est vraiment super.
00:23 Alors, il y a le diaporama.
00:25 Merci Jean-Charles.
00:26 Vous allez vous voir tous au fur et à mesure.
00:29 Je ne vais pas commenter les photos, mais vous allez vous reconnaître
00:32 et vous allez voir que tout le monde a bien travaillé.
00:35 Alors, d'abord, je vais vous présenter Christine
00:39 qui est la coordinatrice de Bessie West.
00:42 Elle va parler un petit peu de son travail d'avant.
00:45 Bonsoir tout le monde.
00:51 Oui, bonsoir tout le monde.
00:54 Je suppose que vous m'avez déjà rencontré.
00:56 Plus près encore.
00:57 Bon voilà, je suis la coordinatrice de Bessie West.
01:00 Oui, donc Marseilland fait partie.
01:02 Je viens régulièrement à Marseilland chaque année pour le Téléthon.
01:06 On le sait depuis combien d'années ?
01:08 Je ne sais pas.
01:09 Depuis de très nombreuses années.
01:11 Voilà, voilà.
01:12 Et c'est toujours un grand plaisir de venir à Marseilland.
01:15 Actuellement, il y a une équipe dynamique.
01:19 Cette année, le Téléthon encore a remporté un grand succès avec du beau temps.
01:24 Les années ne sont pas toujours les mêmes.
01:26 Il pleut, il y a autre chose.
01:29 Mais le résultat est toujours là.
01:31 J'ai pris mon petit papier.
01:33 C'est sauf la réunion avec le Covid.
01:36 Et encore, c'était très bien.
01:38 Puisqu'il y avait 8200 et quelques euros.
01:41 Et on tourne toujours.
01:43 Je vous couvre les chiffres ?
01:44 Oui.
01:45 On tourne toujours entre 12 000, 13 000 euros et presque 14 000 euros.
01:50 C'est quand même une commune qui est très dynamique.
01:56 Je remercie toutes les associations pour leur investissement.
02:00 Je remercie aussi Ensemble et Partage qui donne à Bleu Soleil un coup de main.
02:08 C'est vraiment un tandem.
02:15 Et ça marche bien le tandem.
02:20 C'est ce qui fait le succès du Téléthon de Marseille.
02:25 Je remercie bien sûr M. Le Maire qui est toujours fidèle et qui est toujours là.
02:29 Il donne toutes les salles et tout ce qu'il peut pour aider le Téléthon qui est là lors des manifestations.
02:41 Je crois que je vous dis, je laisse un coup d'oeil à vous.
02:48 Ce soir, je vous présente Evelyne.
02:52 Je vais chercher de nouveaux équipiers.
03:02 On est peu nombreux.
03:05 Je prends de la bouteille et on a besoin de renfort parce qu'on a cinq communes sur la coordination.
03:12 Il nous faut de main du monde et du renfort.
03:14 Avant, je passais un peu plus de temps sur Marseille.
03:17 Mais vu que je coordonne beaucoup de communes, je suis obligée de me déplacer un peu plus.
03:24 Donc il me fallait quelqu'un qui puisse venir un peu plus longtemps sur Marseille.
03:29 Je vous présente Evelyne qui l'année prochaine, vous la verrez peut-être dans les manifestations.
03:34 Je viendrai aussi.
03:36 Mais c'est vrai que ça va me soulager un petit peu.
03:41 Elle est pinétoise, comme moi.
03:46 Donc c'est plus facile d'avoir des gens à côté de nos communes.
03:53 Pour venir vous voir sur Téléthon.
03:56 Cette année, j'ai été au départ du vélo.
03:59 Je ne sais pas s'il y a des gens qui sont là.
04:02 Je suis à l'enfer.
04:05 Je vois quelques messieurs.
04:09 Il y a des femmes.
04:13 Je ne sais pas si je vais pouvoir les voir.
04:16 Je sais que les ventes de paella, de sèche, du spectacle à l'église a été un très gros succès.
04:27 Il y a beaucoup de gens, je ne peux pas les citer.
04:32 Je laisse la parole à Evelyne.
04:37 Elle va compléter.
04:40 Merci.
04:42 [Applaudissements]
04:45 Le chiffre, je pense que vous l'avez vu passer.
04:48 C'est un gros chiffre par rapport à l'année dernière.
04:51 On a récolté 13 300 euros.
04:54 L'année dernière, c'était le tout nouveau record.
04:57 [Applaudissements]
05:00 Je vous annonce ce chiffre avec énormément de fierté.
05:03 Merci parce que c'est vous qui avez fait tout ça.
05:06 On a commencé pour l'ouverture du Téléthon ici.
05:09 On a bouclé la boucle.
05:12 Elle était super la boucle.
05:15 On a découvert des personnes aujourd'hui qui nous ont aidées.
05:19 C'est un groupe musical qu'on ne connaissait pas.
05:23 On a eu la chorale, les chorales.
05:26 Elles étaient trois chorales.
05:29 Je pense qu'elles étaient à peu près une centaine.
05:32 Ça a été assez impressionnant.
05:35 Je pense que les chanteurs m'ont dit qu'ils avaient été plein d'émotion à ce moment-là.
05:38 Parce que c'était vraiment beau.
05:41 En fait, la médecine maintenant, elle ne dit plus aux parents
05:46 "Votre enfant, il ne marche pas, on ne sait pas, on ne peut rien faire.
05:50 Il n'y a rien à faire."
05:53 Maintenant, les parents se sont révoltés.
05:56 Les parents qui se révoltent, c'est quand même quelque chose d'énorme.
05:59 Depuis 1987, le Téléthon existe.
06:02 Les parents se sont battus.
06:05 Il y a des bénévoles, des gens qui, petit à petit,
06:08 ont dit "Nous, on va les aider.
06:11 On ne les connaît pas, mais on va les aider.
06:14 Et ça, c'est ce qui va permettre à la médecine de faire du progrès.
06:19 Donc aujourd'hui, la médecine, elle soigne ses enfants.
06:22 Il y a des enfants qui ne marchaient pas depuis 3-4 ans.
06:26 Avec une injection, ils arrivent à lever les bras.
06:31 Ça paraît extraordinaire. Un enfant qui lève les bras, c'est normal.
06:34 Et puis, ils arrivent à se lever.
06:37 Là, franchement, le Téléthon, c'est ça. C'est vraiment quelque chose de super.
06:40 Et ce qui est super aussi, c'est que c'est très convivial.
06:44 On rigole bien. On voit des gens qu'on ne connaît pas,
06:47 mais tout de suite, ça se passe bien.
06:50 Alors, l'invente de rouleaux de zèche qui a été fabriquée chez Titan,
06:54 comme chaque année, c'est un grand succès.
06:57 Dans le concert, j'ai parlé, mais c'est Anne Le Sueur
07:01 qui est cheffe de chœur et qui a vraiment fait une soirée magnifique.
07:05 Dans les chorales, c'était Arpège de Marseille.
07:08 Dans les chorales, c'était la Tukarela de Bessin et le Chœur des hommes de Bessin.
07:12 Et puis, je ne sais pas où elle est partie. Elle s'est cachée là-bas.
07:15 C'est Annie qui a écrit un livre. C'est une Marseillaise qui écrit.
07:19 Elle adore écrire un livre.
07:21 Et elle a redonné une partie de ses ventes pour le Téléthon.
07:24 Merci Annie. C'était super. Et puis, dans le livre, il y a eu la radio, comme d'habitude,
07:29 parce que les sportifs sont là. Il y a eu l'auto des enfants.
07:34 Il y a eu un vrai lettre 4 heures avec des tout-d'un de vélo.
07:38 Je ne sais pas comment ils font, mais ils font des relais tous les 4 heures,
07:41 mais ils tiennent un lettre 4 heures.
07:44 Alors cette année, c'est vrai que c'était meilleur. Il n'a pas plu, mais enfin bon.
07:48 Il y a la réa aussi. C'est la patrie qui fait le tombola.
07:52 Il y a eu l'auto des enfants.
07:55 Je voulais vous dire aussi que pour le vélo, la nuit, il y a eu un tandem
08:00 avec un monsieur qui est un avocat et qui a pénalisé maman les 4 heures.
08:05 Alors le fitness, les fidèles, les pré-fidèles aussi.
08:10 On a le volet. Le volet peut-être l'année prochaine, si c'est possible.
08:16 Daphine reviendra faire son tournée de volet ici.
08:21 La boule lyonnaise aussi, qui a fait une jolie cagnotte, c'est bien.
08:25 Le paella, on a nos chefs cuisiniers qui sont là un peu partout.
08:30 Ils ont fait une paella très très bonne.
08:33 C'est Dominique Delmer, Bernard Brunet, Gerard Quelle, nos sacrés cuisiniers.
08:38 Le pescado des Angoulous aussi, qui ont fait une pêche virtuelle.
08:42 Il faudrait s'entraîner un peu plus souvent pour être moins ridicule.
08:48 La soirée cabaret, c'était plus difficile. C'était le soir de l'ouverture des chalets.
08:54 Je pense qu'il faudra revoir ça pour l'année prochaine.
08:58 Parce qu'on a déjà des projets pour l'année prochaine.
09:01 Les commerçants, ils ont été super.
09:03 Babette, qui est notre hôteuse intitrée, elle a coupé partout.
09:07 Elle a remis plein de l'eau. Les commerçants ont été vraiment généreux.
09:10 Les caves ont été généreuses.
09:13 La Vendelaine Saint-Jean, Richemere, L'Ormarine, qui est déjà n'oublie une.
09:18 Et la cave de Bessin.
09:22 Alors, les projets, on va continuer comme ça.
09:25 On va essayer de faire venir d'autres sportifs.
09:28 On va demander à d'autres associations.
09:30 Vous, si vous voulez être bénévole, c'est un grand, grand plaisir.
09:33 On a la fête de printemps, pour être mariés avec ensemble et partage.
09:38 La dictée, bon la dictée, c'est pas encore le Béninisme pour moi, c'est sûr.
09:43 Mais il arrive petit à petit.
09:46 Moi, très horrible, on va vous parler des comptes.
09:50 On va vous les montrer, si vous voulez vous voir.
09:52 Elle est capable de vous en parler.
09:55 On a des projets, parce qu'on a des projets, on a des idées.
10:00 Mais en fait, on ne peut les concrétiser que si on a une équipe.
10:03 Et l'équipe d'ensemble et partage, c'est une équipe rapprochée.
10:06 C'est vraiment des gens qui sont super.
10:08 Ils sont toujours là. Merci les filles, merci les gars.
10:12 Voilà. Monsieur le maire, merci de nous permettre tout ça.
10:15 Merci les élus, tous vos services, la logistique, la communication, tout le monde est là.
10:20 Et on demande, et puis ça marche, c'est vraiment super bien.
10:24 Merci.
10:25 [Applaudissements]
10:35 Mesdames et Messieurs, bonsoir à tout le monde.
10:38 Merci à vous toutes et tous.
10:42 À Calti qui porte effectivement pour Marseilla le Téléthon depuis quelques années.
10:49 Je le disais tout à l'heure, effectivement nous ça fait, je ne sais plus combien d'années,
10:55 mais très nombreuses années.
10:57 Le Téléthon existe aussi, vous l'avez dit, il y a pratiquement 40 années.
11:02 37.
11:04 37e année du Téléthon.
11:09 Pour autant, cette ancienneté doit être synonyme de tomber un petit peu dans la routine ou les habitudes.
11:19 Parce que, malheureusement pour ceux qui souffrent de ces maladies pour lesquelles la recherche se mobilise,
11:28 on voit bien qu'il y a des résultats aujourd'hui, mais il n'y a pas de routine pour eux.
11:32 Malheureusement de la souffrance tous les jours.
11:35 Et on doit aider au travers le côté plutôt festif, on le voit, au travers du petit reportage photo.
11:44 On voit bien qu'il y a du plaisir à se mobiliser pour les personnes qui souffrent.
11:50 Et tout ça pour aussi leur donner de l'espoir.
11:53 Je crois que c'est ce qui est très important quand on est, quelles que soient les maladies d'ailleurs,
11:58 il faut arriver à, par ce combat, par ce moral qu'il faut que l'on conserve,
12:04 autant pour ceux qui sont malades que pour ceux qui les accompagnent,
12:08 que ce soit de leur famille, quand on parle des enfants, bien sûr on pense aux parents, aux grands-parents,
12:12 qui souffrent énormément, il faut leur donner le moral parce qu'il y a des jours où on baisse les bras.
12:18 Il y a des jours aussi, quand on voit cette mobilisation qui ne s'est pas arrêtée depuis ces nombreuses années,
12:26 on se dit qu'on est chacun, on apporte un petit quelque chose à toutes ces personnes,
12:32 au-delà même des aides financières de ceux qui sont récoltés par le Téléthon chaque année.
12:39 Alors, moi je suis, bien sûr, je parle au nom du conseil municipal et sûrement des martiales et des martiales,
12:49 pour remercier tous ceux qui se mobilisent, ceux qui organisent, parce que c'est une organisation, c'est une préparation.
12:55 On voit bien qu'on essaie d'innover un petit peu, de trouver des nouveautés chaque année,
13:01 d'améliorer cette organisation que l'on a pour mobiliser, sensibiliser les gens au Téléthon et mobiliser,
13:09 en fait c'est quelque chose de nouveau. Et malgré tout, parfois on peut se tromper un petit peu,
13:14 et bien ce n'est pas grave, ce n'est pas grave du tout. On se trompe, on se trompe collectivement,
13:20 parce qu'on essaie de bien faire, et comme on dit, il n'y a que ceux qui ne font rien et qui ne se trompent jamais.
13:25 Donc il faut continuer dans cet état d'esprit. La mobilisation martiale, elle fonctionne, puisqu'on voit qu'on est assez régulier dans les dons.
13:37 Ça, on est régulier dans les dons, quand je dis martial, c'est tous ceux qui participent, et quand il les a nommés,
13:44 c'est les associations, parce que c'est elles qui touchent le plus grand nombre. Ces associations, parce qu'ils sont bénévoles toute l'année,
13:53 et ils ne rajoutent non pas pour leur activité propre, pour laquelle ils sont passionnés, mais ils vont au-delà.
13:59 Et là, moi ce que je voudrais, c'est qu'on continue, c'est notre rôle à tous, à nous et bien sûr en tant qu'élus,
14:05 de dire à ces associations qui le peuvent, je pense aux associations sportives,
14:11 associations sportives, normalement, elles sont vaillantes, donc elles peuvent organiser un peu plus facilement des choses, des animations, des événements.
14:21 Elles peuvent aussi venir donner un coup de main, quand elles peuvent, selon leur disponibilité.
14:27 C'est aussi notre rôle de les mobiliser un peu plus en l'envers. Il y a tous ceux que Cathy a cités, qui sont présents dans la salle,
14:35 il y a ceux qui, j'espère, pourront venir, parce que quand je vois mon élu, Jean-Claude Aragon, qui est en charge des associations,
14:44 le mal qu'il se donne pour trouver des pièces, pour trouver des bâtiments, pour trouver des salles pour les associations,
14:54 tellement on a de demandes, mais si on n'a tant de demandes que ça, j'espère que toutes ces personnes aussi,
15:00 elles auront un demande, non pas de salles, mais un demande d'être efficaces et d'être partenaires avec le Téléthon,
15:06 parce que là, on voit bien, c'est un phénomène qui est majeur en France, qui nous sensibilise tous face à toutes les maladies.
15:12 La Commune de Marseille aide, bien sûr, le Téléthon, on aide, on accompagne les autres, que ce soit la Ligue contre le Cancer,
15:22 je sais qu'on avait également organisé un peu une nouveauté, on s'était engagé à trouver, à favoriser les dons pour trouver 10 000 euros sur Marseille.
15:34 Jean-Claude, on avait travaillé de ça avec des partenaires, des entreprises, je pense que là aussi, il y a des possibilités de les mobiliser,
15:43 parce que parfois, pour eux, participer, ils sont dans notre ville, mais aussi, ils ne sont pas toujours que sur Marseille,
15:50 je pense à toutes les entreprises qui travaillent pour la collectivité, il faut les sensibiliser, et peut-être que là, il y a quelque chose à créer aussi.
15:58 Ça fait partie des projets, vous allez le regarder, vous allez le travailler, vous pouvez compter sur la Commune de Marseille
16:05 et sur l'engagement de tous les élus pour essayer de trouver des choses nouvelles et améliorer, parce qu'on est régulier dans les dons,
16:15 il faudrait essayer de ne pas être régulier en n'obtentant que les dons. Je sais bien qu'on est en sommatisme pour ça.
16:22 Voilà, donc des partenariats avec le groupe Morito, qui est un groupe de musiciens marseillais qui participent et qui donnent aussi un petit peu de leur temps,
16:35 également, pour animer les soirées. Voilà, c'est tous ces gens qui se mobilisent au niveau de la ville, on va essayer de faire en sorte d'avoir un mental un peu plus élevé.
16:49 Puis, comme vous avez renforcé les équipes au niveau de l'Etat, bienvenue à vous, vous serez toujours, je l'espère, bien accueillis à Marseille.
16:58 En tout cas, on fera tout pour, on a besoin de vous. Et au travers de tout ça, derrière, c'est les résultats qui sont importants aussi à mettre en exergué.
17:09 Cathy l'a dit un petit peu généralement, mais du concret, de ce qu'on voit, des résultats de la recherche.
17:16 Parce que 37 ans de mobilisation, des sommes importantes qui sont récoltées, chacun avec ses moyens.
17:23 Quand on n'a pas beaucoup d'argent, on peut donner un peu de son temps. Quand on a un peu plus d'argent, on peut faciliter, on peut donner les deux, le son de temps et de l'argent.
17:31 Voilà, on essaie de faire en sorte que derrière, les résultats soient là. Et je crois que ce qu'il faut aussi bien présenter, parce que la télé qui relève évidemment tout cela,
17:45 quand on s'y intéresse. Mais si on veut vraiment sensibiliser, moi je me souviens, vous vous rappelez, quand Uniford avait fait une réception dans cette même salle,
17:55 avec une personne qui était atteinte d'une maladie rare, elle était venue. Et ça change tout.
18:02 Quand vous voyez les personnes, c'est plus de la télé. C'est pas qu'on y croit pas, la télé on le sait bien, mais la sensibilité elle est pas la même.
18:11 Quand vous parlez à quelqu'un qui en plus montre aussi sa joie de vivre, son remerciement qu'il peut avoir pour toutes les personnes qui se mougent,
18:21 je crois que c'est la meilleure façon de sensibiliser, de mobiliser les gens et de se battre, c'est quand on voit concrètement quelqu'un qui est malade,
18:29 les succès et les améliorations qui ont été apportées grâce à cette mobilisation générale en France.
18:36 Je crois que ça donne du bon cœur, de l'envie pour tout le monde d'aller continuer à se battre pour que la recherche ait les meilleurs résultats possibles,
18:49 et puis pour aider tous ces chercheurs. Parce qu'au-delà des malades, il y a les chercheurs. On a tous, on se bat dans nos vies, on est tous confrontés,
18:59 soit directement, soit indirectement, par des amis, la famille, soi-même, par des maladies, et quand on voit le dévouement,
19:05 même si on peut voir que la médecine ou le système hospitalier donne souffrance, et la médecine aussi, quand on voit le dévouement de ces personnes-là,
19:17 quand ils travaillent aux urgences, quand ils travaillent dans des services où les gens malheureusement n'ont plus beaucoup d'espoir d'être guéris,
19:25 mais souvent d'arriver, de les accompagner à la fin de vie, je crois que ces gens-là aussi, ils doivent être satisfaits et heureux que la population se mobilise
19:34 pour aider la recherche, pour montrer qu'on est tous solidaires, parce que malheureusement, la maladie, ce n'est pas une histoire d'être riche, d'être pauvre, d'être jeune, d'être vieux,
19:44 ça peut toucher tout le monde, on est tous confrontés un jour ou l'autre, et je crois qu'il faut continuer à se battre, à aller là-dessus pour avoir les bons résultats.
19:54 Donc, merci, les résultats, ils y sont, on va essayer de mieux les faire reconnaître. À mon avis, dans chaque manifestation qui est faite,
20:02 quand les associations, je m'adresse à vous, au-delà de la manifestation que vous faites, il faut qu'il y ait un support, il faut qu'il y ait un message de passé,
20:12 pour bien dire, bien montrer les résultats. Ce n'est pas de l'argent qu'on donne pour se donner moins de conscience, on donne parce qu'il y a des résultats derrière,
20:22 et que ça qui justifie cette mobilisation. S'il n'y a pas de résultats, on se dirait pourquoi se mobiliser autant, si ce n'est pour montrer notre solidarité et notre empathie sur la souffrance des gens.
20:34 Non, c'est qu'il y a des résultats et on doit encourager tout ça. Voilà, donc, merci une nouvelle fois, merci, on l'a dit, au service municipal, mais également
20:42 au représentant local de MediLibre, M. Didier, qui est là, qui relait toutes ces informations, parce que c'est par la communication générale, témédia,
20:54 de la municipalité, ou en tout cas, toutes les communications qu'on peut faire également par les associations, que l'on arrive à le faire savoir, et le faire savoir,
21:03 c'est aussi un moyen de mobiliser, de sensibiliser les gens d'avoir les résultats. Merci à vous tous, merci à vous, bienvenue à notre nouvelle coordonnatrice,
21:16 comment on dit ? - Épée Pépine, directeur du secteur dans le secteur Marseillat. - Secteur, voilà, qui est responsable du secteur.
21:24 Donc merci, merci à vous, puis nous, on continue bien sûr à se voir dans les années à venir, et je vous propose, sans cécative,
21:34 tout le monde, il y a quelque chose à faire. - Je voudrais l'ajouter. - Ah, mais le chef, bien sûr.
21:39 Bon, voilà, merci à Margaret, et le chef, et le directeur de la partie. - Merci, merci.
21:46 - Alors, petit moment, quand vous parlez, c'est bien, vous avez bien vu la bonne mécanique. Je vous ai dit le nom de Jordan, qui était venu.
21:53 Il avait 18 ans ou 17 ans avec ses parents. Aujourd'hui, il en a 25. Il travaille à l'admission locale à Béziers.
22:01 - D'accord. - Et maintenant, il fait partie de l'association amambulée pour sa maladie, bien sûr. Et là, je le rencontre tous les jours,
22:16 assez souvent, avec grand plaisir, parce que dans son travail, son employeur a mis à disposition des éléments qui font qu'il peut travailler correctement,
22:25 parce qu'il est sur un fauteuil toute la journée. Mais dans la journée, on lui a acheté un vertical dateur pour qu'il reste debout.
22:35 Il peut rester debout, travailler debout, parce qu'il ne peut pas, lui. Donc, ça l'aide dans son travail. Il est épanoui.
22:43 Voilà, et je pense qu'il reviendra. Je lui dirais de revenir à Marseilla, parce qu'il se souvient de Marseilla.
22:50 - C'est son évolution. - C'est le concret. - Ça, c'est le concret. - C'est le concret. - Voilà.
23:00 - Bravo. - Merci.
23:03 - C'est vraiment un pilier.
23:05 - Merci.
23:08 - Merci.
23:11 - Merci.
23:13 (Musique)
23:42 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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