Accompagnés au sol par l’activiste Thomas Brail, deux « écureuils » ont délocalisé leur mouvement de contestation de la construction de l’A69 dans le Tarn.
Depuis un mois, les militants défendant l’environnement qui se surnomment les « écureuils » occupent des arbres, destinés à l’abattage, à près de 15 mètres de hauteur dans un bois situé à Saïx, dans le Tarn. Objet de leur colère : la construction de l’autoroute A69, un dossier largement médiatisé ces derniers mois.
Mais ce lundi 18 mars, à l’aube, deux d’entre eux ont délocalisé leur mobilisation contre l’autoroute A69, qui doit relier Toulouse et Castres, à Bruxelles, en Belgique. Selon un communiqué de presse transmis à Ouest-France ce lundi, le Groupe national de surveillance des arbres (GNSA) indique que ces deux « écureuils » ont investi « pour une durée indéterminée » des arbres situés devant les locaux du Parlement européen dans la capitale belge.
Depuis un mois, les militants défendant l’environnement qui se surnomment les « écureuils » occupent des arbres, destinés à l’abattage, à près de 15 mètres de hauteur dans un bois situé à Saïx, dans le Tarn. Objet de leur colère : la construction de l’autoroute A69, un dossier largement médiatisé ces derniers mois.
Mais ce lundi 18 mars, à l’aube, deux d’entre eux ont délocalisé leur mobilisation contre l’autoroute A69, qui doit relier Toulouse et Castres, à Bruxelles, en Belgique. Selon un communiqué de presse transmis à Ouest-France ce lundi, le Groupe national de surveillance des arbres (GNSA) indique que ces deux « écureuils » ont investi « pour une durée indéterminée » des arbres situés devant les locaux du Parlement européen dans la capitale belge.
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