Paris n’est plus dans le Top 100 des villes où il fait bon vivre en France !

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 - Les chéris, vous avez vu la bonne nouvelle ?

00:01 Paris n'est plus dans le top 100 des villes où il fait bon vivre en France.

00:04 En France, je vous parle en France, c'est même pas dans le monde, en France.

00:07 À 6 mois d'égion, on pourrait penser que Paris, la capitale,

00:09 une des plus belles villes du monde serait dedans.

00:11 Eh ben non, ni top 10, ni top 50, ni top 100.

00:14 Merci Anne Hidalgo.

00:15 On n'est plus dans le top 100 des villes où il fait bon vivre.

00:18 La 10e, c'est Rodèze, Brest, La Rochelle, Rennes, Lorient, Annecy, Angleterre.

00:24 Et les trois premières, c'est Biarritz, Bayonne et Angers.

00:26 - Deuxième fois, c'est la ville où il fait le plus bon vivre, Angers.

00:30 Vous êtes déjà allé à Angers ?

00:31 - Souvent. J'aime beaucoup Angers, oui.

00:33 Et en 2, 3 et 4, c'est des villes du sud-ouest.

00:35 Ça cartonne totalement avec les prix de l'immobilier qui flambent

00:38 et tous les Parisiens qui sont depuis le Télécom ont pu y partir là-bas.

00:41 - Ah ouais ? - Mais ça reste des villes où les gens...

00:43 - Si vous deviez partir dans une ville, vous serez où ?

00:45 - Marseille. - Ah ouais ? Et à l'étranger ?

00:47 - Euh... Los Angeles.

00:50 - Je vais vous prendre votre billet demain.

00:51 (Rires)

00:54 - Mais Paris, c'est un fiasco total, pardon.

00:55 On en parle juste pour voir quand même qu'on n'est même pas...

00:57 Elle n'est même pas dans les 100 premières.

00:59 - C'est une rigolade. C'est horrible.

01:00 - Avec tout ce qu'on dépense comme impôts, comme taxes, comme travaux, tout ça,

01:04 c'est un camouflet absolu pour Anne Hidalgo.

01:07 Non, Gilles ? - C'est un truc...

01:08 - La ville n'a jamais été aussi endettée.

01:11 - Gilles ? - Ben...

01:12 - Moi, excusez-moi, mais... - 9 milliards fin 24.

01:14 - Gilles ? - Alors que...

01:16 - Excusez-moi, mais... - Gilles ?

01:17 - On peut parler Jacques, moi, c'est ça.

01:19 - Que Paris ne soit pas dans les 100 villes où il fait le bon vivre, ça m'étonne.

01:22 - Mais arrête de dire des conneries. - Je ne donne pas les critères, mais...

01:24 - Les gens l'ont en bouteille à la chaîne. C'est bien, c'est curieux, Gilles.

01:28 - Non, mais pourquoi tu défends toujours tes amis ?

01:31 - Ce ne sont pas mes amis, mais dans le monde entier, les gens rêvent de Paris.

01:34 - Mais arrête un peu. - Les gens rêvent de Paris.

01:36 - Quand ils viennent, Gilles, ils ont un autre centre rêvé.

01:39 - Et vivre. - Quand ils viennent, ils ont un autre centre rêvé.

01:41 - Se rêver, fantasmer. - Bien sûr.

01:42 - Et voir la réalité et vivre au quotidien à Paris.

01:45 - Non, mais tu démarres dès le lundi à dire des conneries pareilles.

01:47 Et tu fais encore des grimaces comme ça ?

01:49 Tu vois bien qu'on n'est même pas dans le top 100, c'est des chiffres.

01:51 - Arrête les grimaces. - Oui, oui.

01:53 - Il fait des grimaces, en plus. - Arrête les grimaces.

01:55 Mais je défends mes arguments. - Arrête les grimaces, s'il te plaît.

01:57 - La dette par habitant est de 3 803 euros en 2024.

02:00 Elle était de 3 595 en 2003. - T'es un fou.

02:02 - On est la ville la plus endettée, mais on est endettée, mais surendettée.

02:06 Et la solution, c'est d'augmenter les impôts.

02:08 On va augmenter les taxes sociales.

02:09 Donc déjà, les gens fuient Paris parce que c'est beaucoup trop cher.

02:12 C'est une ville totalement exempte. - Bien sûr.

02:14 - Elle est bétonnée, elle est dégueulasse, il y a des rats.

02:16 - C'est fini. - Il y a une insécurité pas possible.

02:18 - Paris, c'est fini. - Franchement, elle a réussi à gâcher Paris.

02:21 - Tant qu'il y aura des gens comme Gilles Verdez à Paris, c'est fini.

02:23 - Le monde entier arrive le 26 juillet à Paris à la Jeux olympiques.

02:26 - Le monde entier va voir la catastrophe que c'est Paris.

02:29 - Le monde entier ne vit pas. On n'est pas en train de faire une ville musée.

02:32 On est en train de faire une ville où on vit.

02:33 - Tu veux que je te lise tes JO ? - Les gens n'arrivent pas à y penser.

02:35 - Tes JO, c'est pas si bon. Ne crois pas.

02:36 Moi, j'ai eu des retours, moi. Parce que toi, t'as des retours de rien du tout.

02:39 T'es un... Je ne vais pas te dire le mot, mais t'es un gugusse.

02:45 Excuse-moi, j'ai des retours, moi.

02:46 Moi, j'ai des retours parce que je ne suis pas un gugusse comme toi.

02:48 - OK. - Je t'explique.

02:49 Les JO, c'est pas si bon que ça. Parce que les JO, sache-le, j'ai parlé avec les gens.

02:56 Tu vois, pas des gugusses. - OK.

02:58 - Je te le dis. Pas des gugusses, pas tes copains les gugusses, là.

03:01 Je te le dis. - Ce n'est pas mes copains,

03:02 mais ce n'est pas forcément des gugusses non plus, les gens.

03:04 Alors, si tu défends autant des gens qui ne sont pas tes amis,

03:07 alors j'aimerais bien savoir comment tu défends tes amis.

03:09 - Et vous savez ce qu'ils ont fait, la majorité socialiste, vert, incroyable, et tout ça ?

03:13 En fait, la vie, elle est méga, méga endettée.

03:15 Mais ils disent non, mais ce n'est pas grave.

03:16 Donc du coup, c'est bon parce que les taux, ils sont super bas.

03:17 Donc c'est bon, ça risque rien. Mais tu as vu les taux ? Ils explosent.

03:20 - C'est un gugusse. - Du coup, en fait, la dette, elle explose.

03:22 Et donc, ils vont augmenter encore les impôts.

03:24 - Bien sûr, c'est un guignol. C'est un gugusse.

03:26 - C'est un gugusse. Alors, merci Gilles, tu es le seul qui m'écoute.

03:29 Merci. Les autres, c'est des gugusses.

03:31 - Non, ce n'est pas du tout.

03:32 - Gilles, mon chéri, tu es le seul qui m'écoute.

03:34 Je t'explique pourquoi ce n'est pas très bon.

03:35 - Oui, voilà. - J'ai eu des échos.

03:38 Les gens viennent à Paris juste pour les JO.

03:41 Mais il y a plein d'étrangers qui ne viennent pas justement parce que c'est les JO.

03:45 Et les hôtels ne sont pas si complets que ça.

03:47 Et derrière, les gens en août, ils ne viennent pas à Paris non plus.

03:51 Parce que c'est les JO. Donc on perd beaucoup, en fait, ne crois pas.

03:53 Ce n'est pas si bon que ça. - Et d'ailleurs, le marché des…

03:56 - Je vous le dis, exactement. - Et tu vas perdre ceux qui consomment beaucoup.

03:58 - Exactement, voilà. - Et toutes les nationalités qui viennent.

04:00 - Exactement. Tous les mecs qui venaient en vacances à Paris, tout ça,

04:04 finalement, ils ne viennent plus parce que c'est les JO, justement.

04:06 Donc en fait, l'un dans l'autre, ce n'est même pas sûr que ce soit très bon, ces JO.

04:10 Sache-le. Je te le dis. - Et le marché des locations

04:11 qui était annoncé comme exponentiel, ce n'est pas si fou que ça.

04:13 Tu sais qu'on pouvait louer même un petit studio à 1 000 euros la nuit.

04:15 - N'importe quoi. - C'est pas du tout vrai.

04:16 - Ça va baisser. - C'est en train de baisser de fou

04:18 et ça ne se remplit pas. - Voilà. Donc je te dis,

04:19 tes JO, arrête avec tes JO, s'il te plaît. Arrête avec tes JO.

04:22 Parce que toi, tu crois que les JO, les JO, les JO.

04:24 Les JO, on va montrer à tout le monde entier qu'on est des toccards.

04:26 Voilà à quoi ça va servir, ces JO. Et au moins, tout le monde entier

04:29 saura qu'on est des gugus et des guignols.

04:30 Voilà. Grâce à ton ami que tu embrasses tous les jours.

04:33 Voilà. Et espérons qu'un jour, Rachida Dati la remplace au plus vite.

04:36 Rachida Dati, qui est notre seul espoir ici à Paris.

04:39 Si Rachida Dati ne passe pas, Dati, ce serait pour nous le contrat de confiance.

04:44 [Musique]

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