• il y a 11 mois
Alignement épaule-coude-poignet, genou hanche et épaule dans le même axe, coude à 90°, fouetté du poignet, bras bien allongé, pieds à largeur d’épaules… Vous pouvez ranger les bouquins et oublier tout ce que vous avez appris sur les fondamentaux du shoot au basket. Aujourd’hui, on va parler de ce qui se fait et ce qui s’est fait de pire en matière de mécaniques de tirs dans l’histoire NBA.

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00:00 Alignement épaules, coudes, poignées, genoux, hanches dans le même axe, coudes à 90°, fouettés du poignet, bras bien allongés, pieds à largeur d'épaule.
00:08 Vous pouvez ranger les bouquins et oublier tout ce que vous avez appris sur les fondamentaux du shoot au basket.
00:14 Aujourd'hui on va parler de ce qui se fait et de ce qui s'est fait de pire en matière de mécanique de tir dans l'histoire de la NBA.
00:19 Il y a les joueurs dont la gestuelle, tous au Fortodox, allait de pair avec des pourcentages au tir abyssaux.
00:24 Ce que ça n'a au contraire pas empêché d'être très bon shooter. Et puis ceux qui se situaient un peu entre les deux.
00:29 On va aussi parler des lancers francs bien sûr. Un exercice censé être une formalité pour n'importe quel basketeur, mais qui relevait plutôt du parcours du combattant pour certains.
00:37 Allez on y va, celui qui arrive à ne pas se couvrir les yeux pendant 10 minutes aura gagné.
00:41 Et direct on va se mettre mal à l'aise. Qui se souvient de Chuck Hayes ?
00:45 11 années de carrière, la plupart sous le maillot des Houston Rockets, un joueur efficace près du cercle, bon défenseur et plutôt bon passeur.
00:52 Sa spécialité est l'hésitation shoot, mais sur la ligne des lancers francs.
00:55 On pourrait se dire que ça lui est arrivé une fois en voyant ces images, mais non, c'était réellement son shoot sur la ligne.
01:00 Il bloque totalement son geste au moment de devoir relâcher, puis perd l'équilibre.
01:04 Bon parfois il arrivait quand même à ne pas bloquer la balle trop longtemps en haut, pour plus de fluidité.
01:08 Il a même réussi un 8/8 dans le même match un jour.
01:11 Et puis vu qu'il feintait tout le monde, il obtenait aussi de temps en temps un ou deux lancers à retirer.
01:16 Par miracle son pourcentage en carrière est tout de même de 62%.
01:20 Ronnie Brewer en son temps avait de gros problèmes de timing et de déséquilibre sur la ligne aussi.
01:25 Au début des années 2000, si vous demandiez quel joueur avait la pire mécanique, vous pouviez être sûr de la réponse.
01:30 Sean Marion.
01:30 Position du ballon, non extension du bras, en mode T-Rex ou en mode Cobra comme vous voulez,
01:35 on est plus proche du canot à t-shirt que du jump shoot classique.
01:38 L'avantage c'est que ce shoot, qui partait aussi de très bas, partait très vite.
01:42 Lors de ses neuf années à Phoenix, les meilleurs sur ses 16 ans de carrière, l'Elie était à 34% à 3 points.
01:47 C'est pas mal.
01:47 Puis sur toute sa carrière, son pourcentage au tir est de 48,4.
01:50 Il est donc, comme le prochain joueur dont on va parler, la définition même du "tant que ça rentre, on dira rien".
01:56 Ce prochain joueur, c'est Reggie Miller.
01:58 Un joueur qui était le shooter à 3 points le plus prolifique de l'histoire,
02:01 avant d'être dépassé par Ray Allen en 2011, puis Stephen Curry en 2021.
02:05 La particularité de son shoot, qui peut presque passer inaperçu si on le voit de loin à vitesse réelle,
02:09 c'est que ses deux mains viennent s'entrechoquer à la fin de son mouvement.
02:12 En fait, c'est sa main droite qui dérive complètement à gauche sur le casset du poignet, au sommet du tir.
02:16 C'est comme ça, positionnée en ombre chinoise, que ses deux mains viennent accompagner le ballon vers le cercle.
02:20 Et ça, il l'a fait avec succès, puisqu'en 18 ans de carrière,
02:23 l'ancienne star des Pacers a rentré 39,5% de ses shoots à longue distance.
02:28 Les deux mains de Joachim Noah, elles ne se touchaient pas, non.
02:31 Au contraire même, elles s'écartaient énormément l'une de l'autre, et vers l'extérieur au moment de shooter.
02:36 Sa gestuelle, c'est un peu comme celle de ton pote, qui n'a jamais joué au basket.
02:39 Une main de chaque côté de la gonfle, et advienne que pourra,
02:42 avec en bonus une rotation latérale du ballon, histoire de rajouter encore haut degré de difficulté du tir.
02:48 Alors forcément, il a connu pas mal de grosses briques, et des airballs aussi,
02:51 mais il n'a jamais eu peur de shooter en dehors de sa zone de confort,
02:53 et il rentrait quand même de temps en temps, et à force de persévérance, quelques tirs à mi-distance.
02:58 Son pourcentage au shoot en 13 ans de carrière est de 49,1, avec un surprenant 70% au lancé franc.
03:03 Un véritable exploit avec une telle mécanique.
03:05 On reste chez les pivots, avec un autre ancien des Chicago Bulls,
03:08 dont la mécanique de tir a aussi déboîté quelques mâchoires en son temps, Bill Cartwright.
03:12 Un conseil, évitez à tout prix de devoir tirer des lancés francs avec lui à NBA 2K.
03:16 Imaginez un joueur de 2m16 qui tend les deux mains au ciel comme pour prendre un rebond,
03:20 marquer une pose en haut, et voilà.
03:21 Ça c'est sa position de départ au lancé franc.
03:23 Ah, et avant même d'enclencher le mouvement, fléchissez les jambes,
03:26 et faites comme si vous alliez faire une passe à hauteur poitrine à un coéquipier.
03:29 Après on rigole, on rigole, mais au final, le toucher sur son release était bon,
03:33 et il a tourné à 77,1% au lancé franc en 15 ans de carrière.
03:36 Jamal Wilkes, quadruple champion NBA, et triple All-Star avec les Warriors puis les Lakers
03:40 entre 1975 et 1985, envoyait lui son ballon complètement derrière la tête avant de shooter.
03:46 C'était bizarre, mais finalement pas mal pour éviter les contres
03:48 et créer une trajectoire à l'arc bien prononcé.
03:51 Puis c'est au lancé franc que c'était le plus fou à regarder.
03:53 Il poussait d'abord le ballon vers l'arrière, le coude complètement écarté,
03:56 avant de le ramener devant en le passant préalablement derrière la tête.
03:59 Et tout ça, il le faisait avec beaucoup de fluidité et pas mal de réussite.
04:02 La preuve avec ses plus de 14600 points inscrits à 49,9% au tir
04:07 et 75,9% de réussite sur la ligne des lancés francs en 12 ans de carrière.
04:10 Retour dans les 90's maintenant pour parler d'Anthony Mason.
04:14 Elié athlétique, à l'aise balle en main et dans les airs,
04:16 il l'était en revanche moins sur son jump shoot, avec un coude bien désaxé.
04:20 Il a progressé là-dessus au fil de sa carrière,
04:22 mais là où son tir était vraiment original, c'était au lancé franc.
04:25 Le gaucher, 6ème homme de l'année en 1995, a changé sa routine sur la ligne la même année
04:29 pour ne shooter qu'à une main avec le bras droit levé en l'air vers l'avant tel une antenne.
04:33 Ça, ça donnait un geste assez étrange.
04:35 Là encore, il a bien limité les dégâts avec un 70,9% de réussite au lancé en 13 ans de carrière.
04:41 L'homme-zone-ball aussi a progressé sur son jump shoot au fil des années,
04:44 mais alors quand il a débarqué chez les Lakers en 2017, c'était quelque chose.
04:47 Droitier, il plaçait le ballon à gauche de son visage au moment d'armer son tir.
04:51 Ses pieds pointaient eux aussi à gauche sur son saut, vraiment pas top pour l'équilibre.
04:55 C'est son travail avec l'assistant Fred Vinson à New Orleans qui lui a permis de corriger tout ça.
04:59 Lors de sa dernière saison NBA en date en 2021-2022,
05:02 il avait shooté à 42,3% de loin en moyenne sur 35 matchs disputés,
05:06 contre une moyenne de 31,5% sur ses deux premières saisons en NBA à Los Angeles.
05:10 La progression est tout aussi impressionnante au lancé franc,
05:12 où il est passé d'un tout petit 43,7% de réussite sur ses deux premières saisons
05:16 à 77,2% de réussite sur ses deux dernières années entre Pelicans et Bulls.
05:20 Comme quoi, rien n'est rédhibitoire parfois, il suffit de travailler.
05:23 Techniquement, la mécanique déployée par Michael Keele-Gilchrist sous le maillot des Bobcats
05:26 peut largement prétendre à la pire forme de shoot jamais vue au niveau professionnel outre-Atlantique.
05:31 Les photos prises à l'époque parlent d'elles-mêmes, il n'y a absolument rien qui va, tout part de travers.
05:36 L'épaule dans la poitrine, les deux coudes prêts à se toucher, une main par-dessus le ballon, c'est catastrophique.
05:41 Numéro 2 de la draft derrière Anthony Davis, il a tout de même joué 8 ans en NBA,
05:45 en grande partie grâce à ses qualités de défenseur et de finisseur.
05:48 Malgré une certaine amélioration dans son shoot au fil des années,
05:50 son manque d'adresse mais aussi de multiples blessures ont fini par mettre fin à sa carrière.
05:54 En 448 matchs au total, il aura shooté à 28/103 à 3 points, soit 27,2%.
06:00 Et au lancé, il était à 71,5%.
06:03 Maintenant Michael Adams, son nom ne vous dit peut-être pas grand chose,
06:05 mais vous devriez vous rappeler de lui après avoir vu ses images.
06:08 Meneur des Nuggets à la fin des années 80, puis All-Star avec Washington en 1992,
06:12 il était reconnaissable grâce à un shoot très singulier.
06:15 C'est seulement après un petit bout en l'air qu'il armait son tir,
06:18 avec un coude partant de l'extérieur pour revenir à l'intérieur.
06:21 Il relâchait ensuite la balle à une seule main, l'autre se détachant du mouvement au lieu de l'accompagner.
06:25 Et au lancé, c'était pareil, ou presque, sans le saut,
06:27 avec un coude très très marqué à droite au départ du move.
06:30 Et le truc, c'est que ça a relativement bien fonctionné pour lui,
06:32 avec un joli 85% en carrière sur la ligne,
06:35 mais un pourcentage global de seulement 41,5% sur l'ensemble de sa carrière,
06:39 qui s'est terminée au Hornets en 1996.
06:41 Ensuite, Don Nelson, on le connaît pour sa grande carrière de coach,
06:44 moins pour sa routine au lancé franc qu'on pourrait qualifier de laborieuse.
06:48 Le pied gauche très reculé, il fléchissait les jambes en même temps qu'il armait son tir.
06:52 Et ce tir, il partait à une main dans une sorte de jump shoot complètement déséquilibré.
06:57 Pourtant, rien à dire, ça lui réussissait.
06:59 Il a fini sa carrière de 14 ans à 76,5% de réussite sur la ligne.
07:03 Les lancés francs, c'était le talon d'Achille de Will Chamberlain.
07:05 Installé un bon pas derrière la ligne, il envoyait ça avec nonchalance,
07:08 comme une patate chaude, sans casser le poignet.
07:10 Ouais, beaucoup de force, mais bien peu de toucher.
07:13 Il a même essayé un temps de les tirer à la cuillère, sans plus de succès.
07:16 Au final, sur ses 14 ans de carrière, il en a rentré un peu plus d'un sur deux,
07:20 avec son 51,1% de réussite.
07:22 Dans l'histoire, aucun joueur n'a raté plus de lancés francs que lui,
07:24 avec un total de 5805, un chiffre qui lui permet de devancer Shaquille O'Neal.
07:29 Et le Shaq, parlons-en.
07:30 Comme Wilt, ses mains gigantesques constituaient plus un handicap qu'un avantage pour shooter.
07:35 Alors, il se retrouvait à tirer du bout des doigts, fébrilement, d'où la naissance du hacke-Shaq.
07:39 Tant bien que mal, il a bouclé sa carrière au-dessus des 50%, lui aussi.
07:42 52,7% pour être précis.
07:43 À ce jour, il détient toujours un record NBA avec son 0/11 au lancé,
07:47 lors d'un match de la saison 2000-2001.
07:49 Mais lié au 15 saison NBA, Bo Outlaw prenait très peu de shoots en match.
07:53 Et quand on voit sa routine au lancé, on comprend pourquoi.
07:56 C'est une kata du début à la fin.
07:58 Un ballon totalement décalé à droite, un coude très bas, le long du corps,
08:01 et qui change de direction pendant qu'il monte, le tout dans un geste lent, mais très lent.
08:06 Tout ça pour finir sur un fouetté de poignée bien violent.
08:08 Ça pique les yeux.
08:09 C'est avec cette gestuelle qu'en carrière, il a rentré 52,1% de ses tentatives.
08:14 Et en parlant de lenteur d'ailleurs, jetons un oeil rapide au jump shoot de ce bon vieux Kyle Anderson,
08:19 qui passe en mode slow motion une fois le ballon réceptionné, à chaque fois.
08:22 Desmond Mason était un grand dunker, mais il avait un geste très particulier au lancé.
08:26 Il semblait être victime d'un ballon possédé, tout d'un coup attiré vers une force inconnue devant lui,
08:31 entraînant ses deux mains vers l'avant.
08:32 Il remontait ensuite le ballon toujours bras tendus, avant de shooter très loin de son corps,
08:36 comme s'il voulait absolument garder ce dangereux ballon à distance.
08:38 Sur ses 643 matchs en NBA, en carrière, tout de même, il a rentré 74% de ses tentatives,
08:43 plutôt honnête compte tenu de cette gestuelle.
08:45 Avec son shoot catapulte signature, Manute Ball, 2m31,
08:49 a un jour rentré 6 tirs à 3 points en une seule mi-temps.
08:52 C'était un petit miracle, puisqu'en carrière, il est à 21,6% de loin, et 56,1% au lancé franc.
08:58 Alors Ford aussi a déjà rentré 6 tirs à 3 points dans un match.
09:01 Encouragé par les Hawks à se tourner vers le shoot de loin,
09:03 le big man s'est transformé en réelle menace à 3 points au fil des années.
09:06 En revanche, sa mécanique fait encore grimacer avec une main gauche qui fait office de couvercle imaginaire sur le ballon.
09:11 Mais bon, encore une fois, ça va.
09:13 Le pivot des Celtics est à 37,4% à 3 points en carrière, et 76% sur la ligne des lancés francs.
09:18 Après, si l'on devait définir l'inverse du mot coordination, on parlerait de Chris Dudley.
09:23 Le journeyman faisait peine à voir sur la ligne, mais ça ne l'a pas empêché de rester 16 ans dans la ligue,
09:27 en terminant tout de même sa carrière avec un des pires pourcentages de l'histoire au lancé, 45,8%.
09:32 Lors d'un match en 1990, l'ancien pivot de 2m11 passé par les New Jersey Nets avait raté 17 de ses 18 tentatives au lancé.
09:39 Mais le pire de l'histoire dans l'exercice, c'est l'ancienne star des Pistons, Ben Wallace, avec 41,4% seulement.
09:45 Restons d'ailleurs à Détroit, à la même époque, pour évoquer le shoot de Tayshaun Prince.
09:49 Il était gaucher, et son coude était désaxé, mais il n'était pas maladroit, avec 75,6% au lancé, et 36,7% à 3 points en carrière.
09:57 Derek Fisher a lui tourné à 81,7% au lancé, et 37,4% de loin, malgré sa mécanique très particulière,
10:03 avec le ballon sur le côté, et le bras droit devant les yeux.
10:05 Il faisait ça un peu à la manière d'un Michael Redd, à la différence près que l'ancien arrière des Bucks placait lui son ballon plus haut, et derrière la tête.
10:12 All-star en 2004, il a été une nouvelle preuve vivante qui montre que ce n'est pas toujours la mécanique qui fait le shooter,
10:17 avec son 83,8% au lancé franc, et 38% de réussite à 3 points en 12 années de carrière.
10:22 S'il n'était pas un as des lancés francs, Matt Bonner, avec sa mécanique robotique, partant de l'épaule,
10:26 a shooté à 41,4% à 3 points en carrière, avec une pointe à 45,4% lors de la saison 2010-2011 avec les Spurs.
10:34 Les deux mains sur le ballon, Marcus Kemby rentrait lui lentement son épaule vers l'intérieur, le coude à 90°,
10:39 avant de monter la balle jusqu'au sommet de son crâne, voire derrière.
10:42 C'était bizarre, mais au moins c'était fluide, et en carrière, elle a été longue, 17 saisons dans la grande ligue,
10:48 l'ancien pivot était à 67% au lancé franc.
10:50 Depuis son arrivée en NBA il y a 3 ans, Tyree Zaliburton n'est jamais descendu sous les 40% de réussite à 3 points sur une saison,
10:56 pour une moyenne de 41,1% de réussite.
10:59 Il a aussi planté 31 points en concours à 3 points durant le All-Star Weekend de 2023.
11:03 Tout ça c'est bien, et pourtant, à première vue, son shoot est loin d'être celui d'un gars très à l'aise à longue distance du panier.
11:08 Plus jeune, n'arrivant pas à tirer en montant le ballon au-dessus de sa tête,
11:11 il a pris l'habitude de propulser la gonfle de plus bas, et c'est quelque chose qu'il a conservé par la suite.
11:16 Sa main droite est également positionnée sur le côté de la balle, plutôt qu'en dessous.
11:19 Et puis, il y a aussi ses petits piétinements avant de shooter, ce qui donne une impression de déséquilibre sur le départ du tir.
11:25 Le shoot est original, mais pas unique, vu qu'il rappelle un petit peu ceux de Kevin Martin ou de Eric Gordon.
11:30 On aurait pu également citer Andris Bidren, Stoney Allen, Jaren Jackson Jr, Markel Fultz, Ben Simmons, Cameron Payne,
11:37 Dylan Brooks ou encore Tadeusz Yang. Puis mention spéciale, évidemment, à Mason Plumlee et Tristan Thompson,
11:42 qui ont carrément changé de main pour shooter, dans l'espoir de progresser.
11:45 Et puis, il y avait Dave Mayers aussi, qui prenait ses lancers francs comme des jump-shoots.
11:48 Évidemment, n'oublions pas Rick Barry, avec ses fameux lancers à la cuillère, légendaires.
11:53 Des noms, on pourrait en citer à l'appel, alors terminons avec quelques chiffres concernant les pires shooters de lancers francs,
11:58 et à trois points de l'histoire, en termes de pourcentage.
12:00 Côté lancers, et pour 1200 tirs tentés au minimum en carrière, c'est Ben Wallace qui décroche la palme du pire shooter,
12:06 avec son 41,4% en carrière. Il devance D'André Jordan, 47,4%, et André Drummond, 47,7%.
12:13 Côté trois points, et pour un minimum de 250 ratés, c'est Dennis Johnson, qui avec ses 17,2% de loin,
12:19 termine premier des derniers, devant André Miller, 21,7%, et Michael Ray Richardson, 22%.
12:24 Quant au pire pourcentage en carrière chez les joueurs ayant manqué au moins 2000 tirs,
12:27 c'est l'ancien pivot des Boston Celtics, John Mankin, le numéro 1, avec seulement 27,2% de réussite.
12:34 Morale de l'histoire, quelle que soit votre mécanique, n'ayez pas peur de shooter, ni de travailler.
12:39 Ça c'est le double All-Star des Warriors, Joe Foulkes, qui vous le dit.
12:41 42 tirs ratés sur 55 tentés, lors d'un match de la saison 1947-1948.
12:47 Prenez-en de la graine.
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