Le professeur d'histoire, Kevin Bossuet, réagit au verdict du procès de l'affaire Théo : «Moi ce qui me choque c'est le contraste entre la dignité de Théo, la dignité du procès, et l'indignité de ces militants qui font beaucoup de bruit et qui ne représentent qu'eux mêmes. Pour certains militants, le fait d'être policier fait qu'on est déjà coupable. Il y a une présomption de culpabilité à partir du moment où on est policier».
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00:00 Moi, ce qui me choque, c'est le contraste
00:03 entre la dignité de Théo,
00:05 la dignité du procès
00:07 et l'indignité de ces militants
00:10 qui font beaucoup de bruit et qui ne représentent qu'eux-mêmes.
00:14 Pour certains militants,
00:15 le fait d'être policier fait qu'on est déjà coupable.
00:19 Il y a une présomption de culpabilité
00:22 à partir du moment où on est policier.
00:24 Et c'est ça qui est inacceptable.
00:26 Et on voit aussi la distorsion
00:29 entre le tribunal médiatique et le tribunal judiciaire.
00:33 Parce que les peines qui ont été prononcées
00:36 sont bien en-dessous de tout ce qu'on aurait pu attendre
00:41 après les cris d'orfraie de la gauche.
00:44 Rappelez-vous quand même François Hollande,
00:46 qui est venu au chevet de Théo,
00:48 nous raconter qu'on était dans des violences policières,
00:51 que c'est la République qui tremblait
00:54 et qui a jeté nos policiers comme ça sur la place publique.
00:58 Sous-titrage ST' 501
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