• il y a 11 mois

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Transcription
00:00 Le président Samuel Otho a été reçu ici par un de mes cousins, Augustin Daoué, pour ne pas le nommer,
00:08 qui s'est fait faussement passer pour le chef de canton de Yamoussoukro.
00:13 Je suis au regret de dire que c'est une usurpation de titre.
00:16 Lui, il est descendant de garçons, il ne peut pas être chef chez nous.
00:19 Sans quoi les enfants du président Oufoé Boigny lui-même seraient chefs.
00:23 Donc c'est une usurpation.
00:25 Samuel Otho en a abusé de sa crédulité, lui il ne peut pas savoir.
00:30 J'ai parlé même à Mme l'ambassadrice de Cameroun, elle a adressé une lettre officielle.
00:35 Tout est passé par des canaux officiels.
00:37 Mais à l'époque, moi j'étais à Bidjan, pour autre chose.
00:41 Et mon cousin Augustin a profité avec sa mère pour faire cette petite entourloupe.
00:46 Ce n'est pas de la responsabilité ni de la faute du Cameroun, ni de Samuel Otho.
00:51 Au contraire, nous apprécions, nous saluons le fait qu'il ait voulu aller s'inculner sur la tombe du père fondateur.
00:57 Il y est le bienvenu.
00:59 Mais on a abusé de sa confiance.
01:01 Donc ce n'est pas lui le responsable.
01:03 Je suis disposé à lui réorganiser une autre visite, quand il le veut.
01:06 J'essaye depuis 2-3 jours de le rencontrer.
01:09 Mais quand il le souhaite, je peux réunir mes chefs et on peut retourner au caveau.
01:14 Et cette fois-ci, faire les choses dans les règles.

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