Des médicaments plébiscités par les Français jugés "plus dangereux qu'efficaces"

  • l’année dernière
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00:00 On va revenir à une des infos du jour, une info dont je voulais vous parler.
00:04 Je ne sais pas si vous avez vu cette information.
00:06 Il paraît que tous les médicaments que nous avons dans nos pharmacies personnelles,
00:09 beaucoup en tout cas, sont jugés plus dangereux qu'efficaces.
00:14 Il y a de quoi effectivement être interpellé.
00:17 Bien entendu, Bruno Fallouz va être là sur le plateau dans un instant.
00:20 On va lui poser toutes les questions nécessaires.
00:21 La revue médicale Prescrire a publié son classement annuel
00:24 qui épingle d'une centaine, vous le voyez, une centaine de médicaments.
00:28 On va recevoir Bruno, mais avant ça, regardez cette vidéo.
00:31 Tiens, je vous lis tout de suite, parce qu'on a tout ça dans nos pharmacies.
00:35 On trouve ça pharmacie, c'est super.
00:36 On vous dit le spectacle d'olirum vogalen.
00:38 Enfin franchement, on a tout ça et on s'en sert assez facilement.
00:42 D'accord ? On est tous d'accord.
00:44 Faut-il...
00:45 - C'est fini.
00:46 - Quoi ? Non ?
00:46 - On ne peut plus rien utiliser en vérité.
00:47 - Non mais juste, qu'est-ce que vous pensez juste de cette enquête, ce rapport ?
00:51 - De toute façon, chaque année, on nous met des enquêtes et on nous interdit des médicaments.
00:55 Il y a des médicaments qui sont polémiques.
00:56 Donc tous les ans, on a une liste de médicaments plus ou moins dangereux
01:01 et plus ou moins où ils veulent surtout les supprimer.
01:03 On attend.
01:04 C'est une enquête.
01:05 On ne sait pas encore qu'est-ce qui va se passer,
01:07 parce que pour l'instant, ils ne sont absolument pas retirés du marché.
01:10 Et surtout, c'est des médicaments qui ont une vie...
01:14 - Mais ça veut dire quoi qu'ils ont des effets néfastes ?
01:15 Parce qu'excusez-nous, mais on est tous très inquiets.
01:17 - De toute façon, il faut savoir une chose, c'est que les médicaments sont néfastes.
01:20 L'allopathie mal dosée, c'est dangereux.
01:25 Un médicament est dangereux, mal pris.
01:27 La posologie n'est pas bonne, c'est dangereux.
01:30 Donc c'est pour ça que c'est des médicaments qu'on trouve en pharmacie.
01:33 C'est pour ça que s'il y a un professionnel de santé qui les prescrit
01:36 ou un pharmacien qui les conseille...
01:37 - Non mais pardon, excusez-moi, mais d'olérum, on peut l'acheter librement ?
01:40 - Oui, librement, avec l'accord du pharmacien.
01:42 Il n'est pas en vente libre.
01:44 - Mais vous connaissez des pharmaciens qui disent "non, non, vous n'avez pas le droit d'acheter d'olérum" ?
01:47 - Interdit, c'est ça.
01:48 - Bien sûr, moi le premier et tous mes confrères, on est capables de le dire, évidemment.
01:52 - Non mais en fait, en réalité, on se rend compte que les médicaments qui reviennent tout le temps,
01:57 année après année, sont quand même sensiblement les mêmes.
01:59 Et pourquoi on ne les interdit pas ?
02:00 Parce que l'Union Européenne nous interdit de le faire.
02:02 C'est-à-dire qu'il faut déjà une interdiction à l'échelle européenne
02:04 pour que nous, en France, on puisse enfin s'en débarrasser.
02:06 Le problème, c'est que les pays ne sont pas forcément d'accord entre eux.
02:08 Donc ça peut prendre beaucoup de temps.
02:09 - Alors, on a eu beaucoup de suppression de médicaments ces dernières années,
02:13 on en a eu pas mal, et qu'on retrouve dans des pays européens.
02:16 C'est vraiment... Il n'y a qu'en France où on supprime certains médicaments.
02:19 Il y a eu, je ne sais pas si vous vous rappelez, de l'hercéfuryl à l'époque.
02:22 C'était pour la gastro, ça traitait, c'est un antibactérien.
02:25 Il a été supprimé il y a quelques années.
02:27 Vous en trouvez en Italie, en Belgique, vous pouvez en retrouver dans d'autres pays.
02:31 Donc après, c'est la France qui gère et qui estime si on doit l'arrêter ou pas.
02:36 - Qu'est-ce que vous recommandez pour...
02:38 - Je ne recommande rien, en réalité.
02:40 - Merci beaucoup d'être venu.
02:42 - Merci beaucoup, franchement, c'est un plaisir.
02:46 - Vous avez un sirop comme le maxilaz ou le toplexil.
02:49 Ce sont des sirops qu'on utilisait, qu'on donnait à des nourrissons,
02:52 à des femmes enceintes, le maxilaz.
02:54 Aujourd'hui, on nous dit qu'il est contre-indiqué.
02:56 Je pense que c'est une manière comment le prendre.
02:58 J'aimerais bien connaître aussi l'étude.
03:00 C'est important de savoir qu'est-ce qu'ils ont fait pour prouver ce côté néfaste du médicament.
03:05 Après, s'il y a eu un problème sur les 30 dernières années...
03:09 Je ne connais pas l'étude, c'est pour ça que je vous dis, je suis aussi étonné.
03:13 Chaque année, je m'étonne.
03:16 - Pourquoi ces études sont publiées ?
03:18 Pourquoi sont-elles publiées, à votre avis ?
03:21 - On ne déplacerait pas un problème pour un autre problème.
03:24 Aujourd'hui, le vrai problème en pharmacie, c'est qu'il n'y a pas de médicament.
03:27 - La rupture de stock.
03:28 - Rupture d'antibiotiques, rupture de cortisone.
03:30 Je suis venu le dire la dernière fois, là, ça devient encore plus sensible.
03:35 Est-ce que le fait de dire qu'il y a trop de médicaments,
03:37 on va en enlever encore, peut-être pour les bons trucs, je n'en sais rien.
03:41 - Cette étude-là, on en a souvent chaque année.
03:44 Je m'étonne de voir des médicaments qui sont quand même vraiment,
03:47 je ne vais pas dire inoffensifs, parce que ça reste quand même des médicaments,
03:50 mais je n'ai jamais vu des personnes ou même des prescriptions
03:54 qui paraissaient dangereuses sur ce type de médicament.
03:57 - Bruno Velouse, on a souvent parlé de certains médicaments,
03:59 comme l'Actifed, avec ces risques-là.
04:01 Les médicaments, ce qu'on appelle des médicaments contre les rhumes.
04:04 Est-ce que ces risques sont avérés ?
04:06 De quelle manière ils sont avérés ?
04:08 Et comment faut-il consommer ce type de médicament ?
04:10 - Il y a une posologie dedans.
04:12 On ne finit pas une boîte en une journée.
04:15 Il y a la notice d'un médicament.
04:17 - Ça, il n'est pas question de surdose.
04:19 - Mais il est là, le problème.
04:20 Est-ce qu'on a fait des tests sur ce type de médicament en surdosage ?
04:23 Est-ce qu'on nous prend peut-être, pour des gens qui sont novices,
04:26 on prend n'importe quoi ?
04:27 Le Doliprane est très dangereux aussi pour la santé.
04:30 Et pourtant, on en prend tous.
04:32 - Oui, Francesca, pardon.
04:34 - Non, mais le Doliprane, pour le coup, c'est marqué sur la boîte.
04:37 Moi, ce qui me fait un peu peur, c'est qu'il y a eu...
04:38 - C'est marqué sur toutes les boîtes.
04:39 - Oui, c'est qu'il y a eu de la publicité, du marketing.
04:41 On parlait d'un médicament avec les matins, midi et soir.
04:44 On a l'impression que c'était un peu du matraquage,
04:46 que c'était vraiment la solution pour se soigner.
04:49 Est-ce que, justement, en tant que pharmacien, il ne faut pas dire aux gens
04:52 "Vous n'avez peut-être pas besoin de certains médicaments.
04:54 Peut-être qu'on peut utiliser d'autres choses."
04:55 Moi, par exemple, pour me soigner du rhume, je prends les oignons et l'ail.
04:57 Je me gonfle et ça va.
04:58 - Oui, ça se sent, ça se sent.
05:00 - Ce n'est pas forcément facile pour les gens autour de moi, mais ça aide.
05:03 Est-ce que ce n'est pas ça, la solution ?
05:05 - Nous, quand on a des produits, on connaît l'hapsodophébrine.
05:07 On sait ce que ça fait.
05:09 S'il y a des personnes qui ont des problèmes prostatiques ou des glaucomes,
05:11 on va les prévenir.
05:12 On va leur dire "Attention, l'hapsodophébrine, c'est mauvais
05:14 parce que c'est des vasoconstricteurs."
05:16 Maintenant, sur un traitement de 2-3 jours,
05:19 je ne vois pas en quoi ça peut être dangereux.
05:22 Mais, bien sûr, suivre l'observance, suivre la vraie pause agile
05:26 et suivre ces conseils du pharmacien ou de son médecin.
05:29 - Mais est-ce qu'on n'a pas un peu tendance en France à...
05:31 - A avoir peur.
05:32 - Alors, avoir peur, c'est une chose,
05:33 mais surtout à aller prendre un médicament.
05:35 Dès qu'on a un peu mal, aller prendre un médicament.
05:37 - De moins en moins.
05:38 - Et de moins en moins, on met les médicaments.
05:40 - Les personnes qui viennent à la pharmacie pour voir leur médecin
05:43 sont prêtes à prendre d'autres produits,
05:45 comme de l'homéopathie ou de la phytothérapie, de l'aromathérapie.
05:49 Et de plus en plus, d'ailleurs, à force de supprimer beaucoup de choses
05:52 et les ruptures, on se retrouve à substituer ce genre de produit
05:56 pour des sirops homéopathiques ou des sirops, comme tu disais, aromathérapie.
06:00 Est-ce qu'il marche aussi ?
06:02 - Pas trop, en réalité. C'est mieux.
06:04 Mais voilà, on arrive à substituer et à trouver d'autres choses pour soigner.
06:08 L'ail et l'oignon, peut-être. Il y a des gélules d'ail et d'oignon.
06:12 - L'ail et l'oignon, vous validez.
06:14 - Bon, non.
06:15 - Déborah, tu voulais dire un truc.
06:17 - Non, je voulais dire que vous êtes d'accord quand même
06:19 qu'il y a pas mal de médicaments qui sont un peu effet placebo, on va dire.
06:22 Qu'on parle de ceux pour la gorge ou qu'on parle de...
06:27 Je peux pas dire la marque, mais de spray pour...
06:29 Spray de la nasale, etc.
06:31 Tout ça, c'est un peu du marketing.
06:33 Mais en vrai, vous mettez du sérum physiologique ou un type de...
06:35 - Mais pas du tout. Un spray pour le nez, si ça vous débouche,
06:37 il y a un vasoconstricteur qui peut être le calyptus ou un autre produit
06:41 comme l'absodéphéronine, si ça vous débouche le nez, c'est pas placebo.
06:44 S'il y a une action sur la prise du médicament,
06:47 s'il se passe quelque chose, c'est pas placebo.
06:49 Placebo, c'est il se passe rien, c'est psychologique.
06:52 Aujourd'hui, quand vous avez mal à la gorge,
06:54 vous prenez une pastille avec un anesthésiant local...
06:56 - Ça marche vraiment ?
06:57 - Ça marche, un anesthésiant local, ça vous enlève la douleur.
06:59 - Ça m'a jamais marché.
07:01 - Les pastilles pour la gorge, ça marche jamais.
07:03 - Pascal...
07:04 - On prend la pastille, ok, c'est un bon aller-retour.
07:06 - Pascal, les pastilles, ou collutoires pour la gorge.
07:08 Si vous avez mal à la gorge, vous mettez un collutoire
07:10 avec un anesthésiant à l'intérieur.
07:11 - Ça, oui.
07:12 - Ça marche.
07:13 - C'est sur ordonnance, ça.
07:14 - Non, pas du tout. Vous avez plein de collutoires, de pastilles.
07:16 - Exasprès.
07:17 - Exasprès, il n'y a pas d'anesthésiant à l'intérieur,
07:19 mais vous avez Coludol, Strepsilidocaïne, des pastilles, des drills,
07:23 avec un anesthésiant à l'intérieur, et ça marche, ça anesthésie votre gêne.
07:28 Ça ne traite pas le mal de gorge, mais au moins, ça vous anesthésie
07:31 et ça enlève la gêne. Donc, ce n'est pas placebo.
07:34 - Moi, c'est vrai que quand j'entends ce genre de choses,
07:36 je suis très inquiet et en même temps en colère.
07:38 Parce que c'est vrai que chaque année, vous l'avez bien rappelé,
07:40 on nous martèle des études, on nous dit que c'est très dangereux,
07:43 que si on prend tel ou tel médicament, on va avoir un AVC,
07:45 et malgré tout, ça reste sur le marché.
07:47 Et il se trouve qu'à titre très personnel, lorsque je suis enrhumé,
07:50 je vais aller vers ces médicaments-là, parce que pour moi,
07:52 je ne sais pas si c'est un effet placebo ou pas, mais ça fonctionne.
07:54 C'est-à-dire que ces espèces de médicaments, matin, midi, soir, nuit,
07:57 ça marche. Et quand je les prends, je n'ai pas la conscience tranquille,
07:59 parce que je me dis que peut-être je ne me réveillerai pas le lendemain.
08:01 - Non, non, non. - Je suis peut-être un peu hypochondriaque.
08:03 - On ne doit pas, quand même. - Non, non.
08:05 Je suis peut-être un peu hypochondriaque. Mais c'est vrai,
08:06 parce qu'on vous donne ça à longueur de journaux télévisés,
08:08 on vous en parle sur les chaînes d'information en continu,
08:10 il y a une espèce de climat anxiogène autour de ça.
08:12 Mais soit vous l'interdisez, soit vous vous taisez.
08:15 Mais à un moment donné, il va falloir trancher.
08:16 - Mais c'est pour ça que derrière la délivrance, il y a un pharmacien,
08:20 il y a un médecin qui vous prescrit ou qui vous conseille ce médicament.
08:23 - Vous prescrivez encore, Bruno ? Vous, vous prescrivez encore ?
08:25 - On ne prescrit pas. Nous, on conseille.
08:27 - Vous conseillez, pardon, effectivement, les médicaments.
08:29 - Évidemment. Mais bien sûr. - Vous n'avez pas le temps.
08:31 - Mais à l'instant, je viens du conseiller incollutoire pour la gorge.
08:33 Vous ne l'avez pas remarqué ? - Mais on est d'accord,
08:35 vous n'avez pas le temps pour chaque patient de connaître
08:37 ses antécédents médicaux, etc. - Mais c'est nos clients, on les connaît,
08:40 on a des ordonnances, on voit, il y a des croisements
08:42 sur les logiciels informatiques qu'on a aujourd'hui.
08:45 Ça nous permet que quand on est sur la fiche du client,
08:47 s'il y a une contre-indication ou un effet contre-indiqué
08:50 par rapport aux médicaments qu'il prend, on le sait.
08:52 Et puis, un pharmacien, quand il voit de l'hapsodéphédrine,
08:55 il pose la bonne question, il peut conseiller d'autres choses.
08:58 Et c'est vrai que quand on conseille du toplexide ou du maxilaz,
09:01 toplexide par exemple, on leur dit "faites attention, ça fait dormir,
09:04 prenez-le le soir". - Oui, ça, c'est vrai que vous le dites.
09:06 - Oui, c'est vrai. - Ah oui ?
09:08 - Je voudrais juste un mot quand même, un mot sur le Smecta,
09:11 parce qu'il est quand même particulièrement pointé du doigt,
09:13 utilisé pour les troubles intestinaux. Il apparaît sur la liste noire,
09:17 il contiendrait du plomb de ce médicament et serait extrêmement dangereux.
09:21 Liste noire, qu'est-ce que vous dites ? - Qu'est-ce que la liste noire ?
09:25 - La liste noire, c'est les plus méchants. - Ça sent pas bon déjà.
09:28 - C'est ceux qu'il faudrait éviter à tout prix.
09:31 Non, mais le Smecta, qui est un vieux médicament, quoi.
09:34 - Ah oui, c'est dégueu d'ailleurs. Enfin, c'est pas très vieux.
09:36 - Ça a plusieurs années, ça a des dizaines d'années.
09:39 Après, comment ils ont fait le test ? Est-ce que le Smecta,
09:42 ça se prend sur combien de temps, quand vous avez une gastro ?
09:44 Ça se prend sur maximum 2 jours. - Ça dépend de ta gastro, après.
09:47 - Oui, mais bon, si le Smecta ne marche pas, il faut changer.
09:49 En réalité, un traitement comme ça, si vous le prenez pendant 24-48 heures,
09:52 si ça ne va pas, le pharmacien sera à vous, même à vous dire
09:55 "Allez voir votre médecin", et derrière, vous lui dites ce que vous avez pris,
09:58 et il vous changera le traitement pour un traitement plus fort.
10:00 Maintenant, le Smecta, si vous en prenez peut-être pendant...
10:03 Je sais pas, s'ils ont fait un test pendant un mois, tous les jours,
10:06 une dose, oui, peut-être que vous allez avoir du plomb...
10:10 - Vous êtes rassurant. - Heureusement.
10:12 - Oui, oui, oui, vous êtes rassurant, Bruno.
10:14 - Vous trouvez pas qu'il est rassurant, Bruno ?
10:16 On a eu peur, on a cru qu'on pouvait plus rien prendre.
10:18 - Non, mais quand je vois des médicaments, quand je vois tout ça...
10:21 En réalité, il va rester plus loin. Je ne sais pas comment on va se soigner.
10:24 - Parce que ça, c'est notre pharmacie. Tous les médicaments qu'on va citer...
10:27 - De toute façon, tout médicament à haute dose est mauvais.
10:30 Vous suivez la posologie que le pharmacien ou le médecin vous a donnée.
10:34 Voilà, si en 48 heures, 72 heures, ça ne marche pas, vous changez.
10:38 On va pas se droguer au Smecta, au Réalib.
10:41 - C'est sympa de nous avoir rassurés. Moi, j'ai eu une petite angoisse
10:43 quand j'ai lu l'enquête ce matin. Je me suis dit, voilà, maintenant...
10:45 On va se soigner avec de la tisane. Ça n'a pas d'impact.
10:47 - Non, mais il faut quand même essayer l'oignon.
10:49 Vraiment, essayez-le, parce que vraiment, ça débouche le nez.
10:51 - Mais cru ou cuit, parce que...
10:52 - Vous pouvez le... Cru, couper en deux, sous le lit ou sur la table de nuit.
10:55 Ça marche aussi pour les enfants. - Avec du girofle.
10:57 - Et vous pouvez en manger comme ça aussi. D'ailleurs, c'est très bon.
10:59 Mais franchement, ça fait du bien.
11:00 - Et tu fais chambre à pain avec ton mec, hein.
11:02 - Oui, ou tu divorces, oui. C'est sûr. C'est pas top, mais...
11:04 - Merci beaucoup, Merle.
11:05 [Musique]

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