DB - 14-12-2023
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01:05 Vous n'allez pas vous imaginer qu'il s'agit d'une conspiration ?
01:08 J'avais rendez-vous ce matin chez mon notaire. La chose était convenue.
01:12 Tout de même, vous n'avez pas perdu de temps.
01:15 Vous pensez que je lui ai parlé de vous ?
01:18 C'était, je crois, votre intention.
01:21 Claire de notaire peut-être. Vous êtes si frêle.
01:30 En tout cas, beaucoup trop jeune pour prendre des responsabilités.
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02:31 Bonjour, monsieur Beauvalais.
02:34 Je suis Henri Poinceau, premier clair de maître couturier.
02:41 Si vous voulez vous reposer quelques instants.
02:46 Ce sont des circonstances bien fâcheuses.
02:57 Lesquelles ?
03:00 Vous deviez rejoindre hier dans la soirée.
03:03 Je suis allé vous chercher au train de 21h19.
03:06 Et ce matin, je vous ai attendu à l'autorail de 7h32.
03:10 Vous n'y étiez pas non plus.
03:13 Je suis navré de vous avoir dérangé pour rien.
03:19 Deux fois. Vous avez été retardé.
03:22 Rien de regrettable, j'espère.
03:25 Non.
03:27 Vous avez les yeux battus et le teint planté.
03:30 J'ai fait la fête.
03:32 Ah, vous en avez de la chance.
03:35 L'occasion, j'en ai profité.
03:38 Eh bien tant mieux.
03:40 Voulez-vous m'excuser, je vais prévenir maître couturier de votre présence.
03:56 Maître couturier vous attend.
04:00 Maître couturier vous attend.
04:03 Maître couturier vous attend.
04:06 Alors je vous dis au revoir.
04:29 Et croyez-moi, je ne vous en prie pas.
04:32 Et croyez bien que je suis navré de ne pas avoir eu l'occasion de vous connaître davantage.
04:37 Je vous en prie.
04:40 Je vous en prie.
04:44 Je vous en prie.
05:10 J'ai l'intention d'être engagé par moi pour appartenir à cette étude au titre de second clé.
05:16 Oui maître.
05:17 Laissez-moi parler, je vous en prie.
05:19 Je ne vous cacherai pas mon mécontentement, vous êtes en retard.
05:22 Ceci est de peine importante relativement à un préjugé défavorable que j'entretiens à votre égard.
05:30 On m'a fait sur vous un rapport accablant.
05:34 Vous promenez une femme avec vous ?
05:38 Ce sujet je crois pouvoir me justifier.
05:40 Il n'en est pas question. Asseyez-vous.
05:44 Madame Delors est venue, elle a parlé. Je l'ai écoutée sans l'entendre.
05:49 Mais comprenez-moi bien, je l'ai écoutée par correction.
05:53 Sans l'entendre, c'était préférable.
05:58 Quel âge avez-vous ?
05:59 22 ans.
06:00 Vous êtes jeune, c'est votre excuse.
06:04 Je passe l'éponge, mais je tiens à vous dire de la façon la plus formelle
06:08 que je ne tolérerai pas le moindre écart de conduite par la moindre défaillance.
06:11 C'est le renvoi immédiat, le retour à Paris, avec inscription du motif à votre dossier.
06:16 Et la perte de vos droits en ce qui concerne vos traitements, salaires et indemnité de transport.
06:26 Qu'est-ce que c'est que cette femme ?
06:28 Laquelle ?
06:30 Je vous en prie, monsieur, soyez circonspect dans vos réponses.
06:32 Elle a volé votre voiture, c'est bien fait pour vous.
06:35 Je ne vous félicite pas.
06:37 D'ailleurs, je ne sais rien de votre affaire et je ne veux pas la connaître
06:40 parce que ça ne m'intéresse pas. Levez-vous.
06:45 Monsieur Bonvalet, un notaire doit inspirer la confiance.
06:50 Il est le dépositaire du secret des familles et il entrepose dans ses coffres des sommes considérables.
06:56 Je passe l'éponge une seconde fois et je vous remets entre les mains de mon premier cahier, Henri Poinceau,
07:02 à charge pour lui d'entreprendre votre formation professionnelle.
07:08 Monsieur Poinceau est un collaborateur dévoué de dire toute ma confiance.
07:11 J'espère que vous ferez bon ménage.
07:13 Naturellement, vous couchez à l'étude, vous prenez vos repas chez Mimiche,
07:18 qui vous accordera le bénéfice de la pension.
07:22 Et maintenant, suivez-moi, je vais vous installer.
07:27 Monsieur le principal, je vous présente Monsieur Bonvalet, qui vous secondera désormais dans vos travaux.
07:42 Alors, installez-le près de vous et donnez-lui tout de suite un cuivre, les fournitures, le petit matériel.
07:47 J'ai déjà fait la connaissance de Monsieur Bonvalet et j'ai pu me rendre compte...
07:52 De quoi avez-vous pu vous rendre compte ?
07:55 Vous ne manquez pas d'un certain humour,
07:57 ce dont je ne saurais trop vous féliciter dans la situation de second clair où vous allez vous trouver désormais.
08:05 Joli bagage. J'aime les cuirs pour le toucher et surtout pour l'odeur.
08:11 Vous permettez que je sorte ?
08:15 Pourquoi O-M ?
08:19 Vous vous appelez Charles-Auguste Bonvalet ? On m'a prêté une valise.
08:23 Ah, je me disais aussi, là n'est pas le bagage d'un second clair.
08:28 Voulez-vous boire quelque chose ? Vous l'avez les mains, merci.
08:33 J'ai préparé pour vous, un petit déjeuner.
08:43 J'ai préparé pour vous, le dossier Foisse.
08:47 Vous commencez.
08:54 Vous connaissez la rue du Capitaine Commander ?
09:01 Ce n'est pas très loin d'ici, je vous expliquerai.
09:04 Foisse le père est mort cet hiver.
09:06 Il laisse trois enfants, dont un mineur.
09:08 Ça se complique d'un sequestre de l'administration des hostesses.
09:11 Ailleurs, Fosse était l'époux divorcé d'Isabelle Laforêt qui avait la garde du mineur.
09:15 C'est une affaire qui peut t'intéresser un jeune homme.
09:18 Je vais m'y mettre.
09:22 Qu'attendez-vous ?
09:28 - Je voudrais sortir. - Pourquoi ?
09:30 - J'ai affaire en ville. - Rue du Capitaine Commander ?
09:33 On la trouverait du côté du marché. C'est un endroit mal fréquenté.
09:37 Évitez de demander votre chemin, on pourrait vous erroner.
09:41 À ce point-là ?
09:43 Je crois devoir vous rappeler qu'en principe,
09:50 pendant les heures d'ouverture de l'étude, notre présence est requise.
09:54 Bien sûr, quelques fois nous sortons.
09:57 Mais toujours pour le service.
10:00 Je suis chargé de votre surveillance, je m'en excuse, c'est une tâche ingrate.
10:06 Je voudrais une permission de fin de matinée.
10:09 Vous arrivez, c'est différent.
10:13 Je comprendrais bien que vous ayez des visites de courtoisie à rendre.
10:17 Vous connaissez quelqu'un à l'aide ?
10:20 - Je suis curieux, n'est-ce pas ? - Un peu, oui.
10:25 C'est parce que je m'ennuie.
10:28 Je vous laisse.
10:31 Je vous laisse.
10:34 Je vous laisse.
10:36 Je vous laisse.
10:38 Je vous laisse.
10:40 Je vous laisse.
10:42 Je vous laisse.
11:11 Il y a longtemps que cette maison est démolie ?
11:13 Depuis toujours. C'est ruine à abattre.
11:16 Où se trouve la police ?
11:18 - Les gendarmes ? - Oui, c'est ça, les gendarmes.
11:20 Vous descendez tout droit, vous tournez à la main gauche,
11:22 vous verrez, c'est marqué "Gendarmerie nationale".
11:24 Merci, monsieur.
11:27 "Gendarmerie nationale"
11:31 "Gendarmerie nationale"
11:35 "Gendarmerie nationale"
11:39 "Gendarmerie nationale"
11:43 "Gendarmerie nationale"
11:47 "Gendarmerie nationale"
11:51 "Gendarmerie nationale"
11:54 "Gendarmerie nationale"
12:23 Ainsi vous alliez à la gendarmerie.
12:26 Oh, je m'imaginais tout autre chose.
12:29 Quoi ?
12:31 Je ne vous connais pas encore, monsieur Bourvalet.
12:33 Excusez-moi, mais vous venez de Paris.
12:36 De Paris.
12:38 La ville des plaisirs.
12:40 Je ne comprends pas très bien.
12:42 Je pensais que vous alliez saluer une dame.
12:46 Dites-moi, monsieur Poinceau,
12:48 il vous faut un motif de service pour quitter l'étude ?
12:51 Je suis sans service.
12:53 Maître Couturier m'a prié de vous suivre.
12:56 Pourquoi ?
12:58 Sans doute pour savoir où vous alliez.
13:00 Votre réputation, mon cher collègue, n'est plus à faire.
13:04 C'est le lieutenant que vous attendiez ?
13:07 Oui.
13:08 Vous ne le verrez pas ce matin.
13:10 Il est au puits, à la conférence des gradés.
13:12 Oui, tous les lundis matins, conférence des gradés.
13:15 Mais le lieutenant Fallenpain est mon camarade.
13:17 Si vous voulez le connaître, je puis vous présenter.
13:20 Tous les lundis, nous allons au dancing.
13:23 Venez avec nous.
13:25 On rit beaucoup, on fait des blagues.
13:27 C'est aimable à vous de m'inviter.
13:29 Surtout, n'en parlez pas aux notaires.
13:36 Vous verrez, je suis assez amusant, société.
13:39 Nous rentrons à l'étude.
13:41 On ne peut rien appeler ici, n'est-ce pas ?
13:46 Dès que vous voyez, monsieur Bourvalet, je suis un verseur.
13:50 J'ai fait la brin, mais maintenant, c'est fini.
13:54 D'ailleurs, ne suis-je pas fiancé ?
13:57 Vous allez vous marier ?
13:59 Il y a promesse de mariage.
14:01 Ce n'est pas pour tout de suite.
14:04 Vous la voyez-je ? Je suis très amoureux.
14:09 Dix minutes.
14:11 Monsieur Bourvalet, nous attendons pour cet après-midi.
14:25 A la première heure, la visite du fils Poisse.
14:28 Je vous demanderai de bien vouloir le recevoir.
14:36 Excusez-moi d'insister, mais il est urgent que vous soyez informé de l'affaire.
14:40 Je vous prie de prendre connaissance du dossier.
15:04 Je vous en prie.
15:06 Quelle est cette photo ?
15:27 Une photo ?
15:29 Où l'avez-vous prise ?
15:31 La première page.
15:33 Mon Dieu, quelle inconvénience.
15:36 Voyez-vous, monsieur Bourvalet, je suis brouillon.
15:39 Vous allez m'excuser pour cette négligence parfaitement choquante.
15:43 Rendez-moi la photo, s'il vous plaît.
15:47 Vous connaissez cette femme-là ?
15:49 Je vais bien sûr vous présenter.
15:52 Mais c'est pour vous l'occasion de faire sa connaissance.
15:55 Voici ma fiancée.
16:00 Votre fiancée ?
16:02 Elle est, comme vous pouvez le constater, extrêmement charmante.
16:06 Aussi est-je la meilleure raison du monde pour en être jaloux.
16:11 Votre fiancée ?
16:21 Elle s'appelle Barbara. C'est original, n'est-ce pas ?
16:24 Un bien joli prénom.
16:26 Elle vous plaît, ma fiancée ?
16:29 Je la trouve charmante.
16:31 Et bien tant mieux.
16:33 Elle est peut-être un peu, comment dire, sophistiquée.
16:37 Je trouve que cette robe du soir, par exemple, n'est pas de mon coup.
16:42 Elle ne convient pas à la modestie d'une jeune fille.
16:45 Qu'en pensez-vous, cher Auguste Bourvalet ?
16:48 Oui, peut-être. Mais enfin, il faut être de son époque.
16:51 Voilà ! Vous avez trouvé la formule exacte.
16:54 Barbara est à la mode.
16:57 Par contre, ce que je ne comprends pas très bien, c'est ce sabre.
17:01 Qu'est-ce qu'elle fait avec ça ?
17:03 Cette photo a été prise à l'occasion d'une fête de charité.
17:07 C'était un jeu.
17:09 Oui, il fallait taper sur des boîtes de conserve, je ne sais quoi.
17:13 Barbara gagne. Elle est toujours forte à droite dans tous ses gestes.
17:18 C'est une jeune fille extrêmement séduisante.
17:22 Voulez-vous m'en rendre la photo, s'il vous plaît ?
17:27 Vous l'avez vue il y a longtemps ?
17:29 Voilà le mot de la question. Je suis ma fiancée. On se voit tout le temps.
17:33 Et pourtant, vous avez raison.
17:36 Ça fait plus d'une semaine que je ne l'ai vue.
17:39 Mais elle rentre ce soir.
17:42 Et je vous la présenterai.
17:44 Ma jolie fiancée.
17:46 Depuis ?
17:47 Certainement.
17:49 Alors ce soir, au dancing, avec votre amie, le lieutenant.
17:53 Voilà. Nous allons sortir ce soir avec Barbara et le gendarme.
17:58 Mais en attendant, je vous en supplie, Charles-Auguste Beauvalais,
18:02 consultez le dossier Froisse.
18:06 C'est parti.
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18:56 Prenez la commande, monsieur.
19:00 Du champagne.
19:01 Du quoi ?
19:03 Une bouteille de champagne.
19:05 Je ne pense pas.
19:07 Vous voulez boire du champagne ?
19:10 Oh, est-ce tout à fait raisonnable ?
19:13 En l'honneur de votre fiancée.
19:15 Ah, c'est une attention touchante.
19:17 Barbara adore le champagne.
19:20 Elle n'est pas encore là ?
19:25 Elle se fait toujours attendre.
19:27 Faut qu'il trite, je ne peux plus.
19:29 Elle est en retard.
19:30 Elle va venir, assurez-vous.
19:32 Mais je ne suis pas inquiet.
19:34 Si.
19:35 Vous avez peur.
19:36 Peur ? Mais pourquoi aurais-je peur ?
19:38 Parce que vous êtes timide.
19:40 Je l'ai compris.
19:41 Et pourtant, parfois tout est facile, je vous assure.
19:44 Tenez, c'est à l'occasion d'une soirée comme celle-là que j'ai rencontré Barbara.
19:49 Elle dansait là sur la piste.
19:51 Si gracieusement que je n'ai pu résister au désir d'aller lui dire toute mon admiration.
19:55 Et bien un mois plus tard, ils étaient une fiancée.
19:58 Mademoiselle Barbara vit dans sa famille ?
20:03 Hélas, non. Elle est orpheline.
20:06 Ni père, ni mère ?
20:08 Elle est seule dans la vie.
20:09 Pas de mère, personne.
20:11 Moi.
20:13 Puis-je vous parler en toute liberté ?
20:20 Je voudrais connaître votre avis sur Madame de Lévesque.
20:23 C'est une grande dame qui ne manque pas d'un certain piquant.
20:26 Elle est très mal mariée. Il faut la plaindre.
20:29 Mais voici notre ami le lieutenant.
20:32 Je vous présente Charles-Auguste Beauvalet.
20:36 Claire. René Fallonpin, officier de gendarmerie.
20:40 Alors, cher René, quoi de neuf ?
20:45 Rien.
20:46 Oh, la ravissante personne.
20:50 Je vais faire danser cette demoiselle.
20:53 Je vous prie de m'excuser, M. Beauval.
20:55 Je... Bon.
20:57 Ce matin, je suis passé à la gendarmerie.
20:59 Je souhaitais avoir avec vous un entretien.
21:02 Ah, c'était vous ?
21:03 Oui. Je me suis un peu emballé.
21:05 J'ai été victime d'une mésaventure.
21:08 Vous avez été victime d'une désespoir.
21:13 Je vous ai dit que vous étiez un peu déçu.
21:16 Je vous ai dit que vous étiez un peu déçu.
21:19 Je vous ai dit que vous étiez un peu déçu.
21:22 J'ai été victime d'une mésaventure.
21:25 Vous connaissez les deux les plus chers danseurs ?
21:29 Surtout par leur réputation.
21:31 Et ils ont bonne réputation ?
21:34 Les gens en disent du mal.
21:37 Personnellement, j'en pense du bien.
21:41 Vous ne dansez pas ?
21:46 Non.
21:47 Entre nous, avec qui ?
21:51 Le lundi, c'est un jour cruel.
21:54 Vous aimez aller au dancing ?
22:07 Si je savais danser, j'aimerais peut-être.
22:10 Vous ne savez pas danser ?
22:13 Non.
22:14 Moi non plus, d'ailleurs.
22:19 Je ne sais pas.
22:21 Regardez.
22:26 On s'en va aussi ?
22:35 Vous connaissez Barbara ?
22:37 Qui ça ?
22:38 Barbara, la fiancée de Poinsot.
22:40 Poinsot est fiancée ? Depuis quand ?
22:43 Il faut que je vous parle.
22:45 Demain, dans votre bureau à la gendarmerie.
22:48 Je vous ai donné votre disposition.
22:51 On s'en va.
22:52 Vous partiez ?
22:59 Si je comprends bien, Mlle Barbara n'était pas au rendez-vous.
23:02 Elle est venue.
23:04 Elle est venue, mais elle est repartie.
23:06 Tout de suite ?
23:07 Elle semblait pourtant d'excellente humeur.
23:10 Je lui ai dit, "Venez, Barbara, je vais vous présenter deux charmants amis."
23:14 C'est alors qu'elle vous a vu, M. Beauvalet.
23:17 Vous allez rire.
23:19 Je ne vois pas pourquoi.
23:21 Il conviendrait que vous me fournissiez quelques éclaircissements.
23:24 Bon.
23:25 Alors je vais me coucher.
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23:47 Bonjour, Maître.
24:12 Je m'occupe de l'affaire Foisse.
24:15 Vous n'êtes pas d'une constitution robuste.
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24:23 [Bourdonnement]
24:27 Il n'est pas encore là ?
24:40 Ah.
24:41 Alors, ça marche ?
24:44 M. Poinceau est un confrère très agréable.
24:47 [Bourdonnement]
24:49 Celle-ci est à remettre en main propre ou à toute personne à son service souplie d'acheter
24:55 à M. Diodonat, agent de poursuite à Roya.
25:00 Voilà, vous trouverez facilement, en cas d'hésitation ou d'incertitude,
25:04 vous déposerez cette lettre chez mon confrère, Maître Blomet.
25:08 Allez-y.
25:09 À Roya ?
25:10 Tout de suite ! Vous prenez le garde de votre homme. Allez, oui.
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25:46 Nous attendons toujours vos explications.
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26:41 Le fantasme