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00:00 - Même lorsque Jean-Félix Laplante est en vacances,
00:03 le joueur de pickleball en lui n'est jamais bien loin.
00:06 - On a décidé de les jouer une petite heure comme ça
00:09 pour le plaisir, puis les terrains étaient occupés.
00:12 Ça démontre la popularité du sport en soi.
00:15 - Si le calibre varie d'un pays à l'autre...
00:18 - Un joueur de niveau 4 de Boston, c'est pas un même
00:21 niveau 4 que quelqu'un qui est de la Floride.
00:24 - Ça lui a fait constater que ce sport est en pleine
00:27 effervescence partout.
00:29 - Le principe de base reste le même mondialement.
00:32 Le lien commun, c'est la communauté pickleball parce
00:35 qu'on était à côté des gens qu'on connaissait pas du tout.
00:38 Il y avait deux personnes des États-Unis, deux personnes
00:41 de Lisbonne. Ils se sont communiqués là-bas, ils ont
00:44 joué.
00:45 - Ça lui rappelle aussi qu'à Rivière-du-Loup, l'offre ne
00:48 suffit plus à la demande tellement celle-ci est grande.
00:51 - Pour deux terrains, des fois, il y était 22, 24 joueurs.
00:54 Pour une région comme la nôtre, il est rendu au point où
00:58 il faut avoir des terrains supplémentaires. Il faut
01:01 embarquer dans le train pendant qu'ils passent.
01:04 - L'an prochain, un tournoi canadien pourrait se tenir
01:07 ici, à Rivière-du-Loup.
01:08 Le club s'est fait approcher par Elite Pickleball.
01:11 Alison Dubé, CIMT-TVA, Rivière-du-Loup.
01:14 et valide.
01:15 [Bruit de moteur]