• il y a 2 ans
La chapelle médiévale de Maraden, choisie par Miklos Bokor, peintre d'origine hongroise et rescapé des camps, pour y abriter une fresque monumentale sur la Shoah, est menacée par les intempéries. Les héritiers du peintre cherchent un acquéreur qui puisse sauver l'édifice.

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Transcription
00:00 [bruit de moteur]
00:06 [bruit de pas]
00:13 [bruit de moteur]
00:18 [bruit de pas]
00:31 Quand Miklos a franchi, non pas la porte, mais l'ouverture qui n'existait plus,
00:38 il a vu se dérouler autour de lui tout un support de fresques.
00:46 Alors qu'il n'avait jamais peint un fresque, il s'est dit "c'est une toile magnifique".
00:52 Il n'a pas réfléchi en fait, il a été séduit par l'endroit.
00:56 [bruit de pas]
01:06 [bruit de moteur]
01:10 [bruit de pas]
01:32 Je pense qu'il faut impérativement que ce soit une institution qui en fasse l'acquisition,
01:36 de manière à le préserver durablement, à garantir que les travaux seront faits, d'entretien, de suivi aussi.
01:44 Et donc je me suis mis en quête depuis de nombreux mois, chercher un repreneur.
01:49 On a eu des contacts avec la DRAC, on a eu des contacts avec le département du Lot.
01:53 J'ai écrit également à des fondations pour la mémoire de la Shoah notamment.
01:57 Mais jusqu'à présent je n'ai pas réussi à trouver l'institution capable de faire cette acquisition.
02:04 -Au revoir.
02:05 Au revoir.
02:06 Au revoir.

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