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Transcription
00:00 (Générique)
00:16 Bonsoir Mesdames et Messieurs les Sénateurs.
00:19 Alors je vais commencer par quelque chose au risque de ne pas vous choquer.
00:23 Emmanuel Macron n'est certainement pas vacciné lui-même.
00:26 Et ça a été martelé dans les médias par un annexe élu de la République, Jean Lassalle, pour ne pas le citer.
00:32 Moi j'ai eu la démarche d'essayer de faire en sorte que Jean Lassalle donne les preuves,
00:38 puisqu'il disait qu'il avait des preuves et qu'il les donnerait si on lui demandait.
00:41 Je n'ai pas réussi mais en partie quand même un peu,
00:44 puisqu'aujourd'hui j'ai un constat ducier où Jean Lassalle reconnaît qu'il a les preuves
00:49 et qu'il les donnera si le Président de la République porte plainte contre lui.
00:52 Bon, je pense qu'il y a peu de chance que le Président...
00:55 Alors ça peut paraître anodin mais pour moi c'est le plus important,
00:58 je pense que c'est central dans ce que nous vivons aujourd'hui,
01:00 parce que si nous avons vécu toutes ces horreurs, c'est à cause de décisions politiques.
01:06 Et si nous voulons en sortir aujourd'hui, pour retrouver une certaine forme de justice, de liberté,
01:12 ça ne pourra être que par des décisions politiques.
01:15 Donc c'est des décisions que vous pouvez prendre vous, avec notre aide,
01:18 puisque nous bien sûr, associations, différentes associations,
01:21 maintenant on est là, on est sur le terrain, on engage des actions,
01:25 mais ça ne suffira pas si derrière, en fait, ce n'est pas une politique
01:28 qui répare tout ce qui a été détruit dans ce pays depuis des années.
01:31 Là où c'était extrêmement grave, c'est que, en fait, c'est lui qui a décidé de tout,
01:37 et surtout qui a, par exemple, suspendu des femmes et des hommes dans notre pays
01:41 pendant deux ans sans salaire.
01:43 Qui aurait pu croire qu'on pourrait vivre une horreur comme ça ?
01:46 Imaginez de mettre des femmes et des hommes sans salaire.
01:50 Il y a des gens qui se sont suicidés, il y en a qui ont tout perdu.
01:53 Moi j'avoue que je n'ai pas reconnu mon pays quand je me suis rendu compte de ça,
01:57 et que j'aurais aimé qu'il y ait beaucoup plus de gens dans la rue ou ailleurs,
02:01 dans les différentes assemblées, pour dire "mais non, ce n'est juste pas possible".
02:05 Ce que je voulais vous dire, c'est qu'à Verity France, comme Mélodie l'a constaté,
02:12 nous depuis deux ans maintenant on se bat,
02:15 et on a commencé très tôt à dire "écoutez, nous ne sommes pas médecins,
02:19 nous recevons des témoignages",
02:21 et on a commencé par simplement nous traiter de complotistes.
02:25 Je pense à Frédéric Beltra, par exemple, qui a vu son fils mourir dans son salon,
02:29 vacciné le matin, décédé le soir,
02:31 à qui on a commencé à dire que c'était une allergie aux cacahuètes,
02:35 sauf que les médecins avaient l'habitude de gérer ce genre de problèmes,
02:40 qu'il avait déjà eu des problèmes, que lui-même savait ce qu'il devait manger ou pas manger,
02:44 que là les médecins le soir même n'ont rien pu faire,
02:47 c'est-à-dire que tout est emballé,
02:50 et que ce jeune de 23 ans est simplement mort,
02:53 alors que les médecins n'ont rien pu faire pour le sauver.
02:56 Aujourd'hui il y a une décision judiciaire qui a été ordonnée,
03:01 il y aura une expertise médicale,
03:03 c'est-à-dire que les choses évoluent,
03:05 c'est-à-dire qu'il y a deux ans on disait "non, non, circuler il n'y a rien à voir, c'est la cacahuète",
03:08 il y a une décision judiciaire.
03:11 On parle aussi à Eva Musso,
03:14 c'est une femme d'une trentaine d'années qui est décédée,
03:17 c'est pareil, on a traité sa maman, on l'a traînée dans la boue pendant des mois et des mois,
03:22 il y a une autopsie qui vient de conclure que le décès de cette jeune femme de 30 ans est bien lié au vaccin.
03:30 Bien sûr dans les médias personne n'en parle,
03:32 et on entend encore il y a quelques jours le ministre de la Santé vanter le nouveau vaccin,
03:38 dire que c'est un nouveau vaccin, plus sûr que l'ancien,
03:42 qui a trois ans d'année de recul,
03:45 donc vous voyez c'est un nouveau vaccin, dans la même phrase il dit des choses complètement incroyables.
03:49 Donc moi là j'ai déjà une première question à vous poser,
03:52 c'est-à-dire que je crois que demain il y a des questions au gouvernement,
03:54 donc je ne sais pas si c'est possible,
03:56 mais j'aimerais entendre mes élus, les élus de la République,
03:59 poser la question suivante à ce ministre de la Santé en disant
04:02 comment vous pouvez affirmer devant les français qu'il y a un vaccin et qu'il n'y a pas d'effet secondaire.
04:10 Ça vous montre quand même le niveau d'amateurisme de ces gens,
04:15 qui ont décidé de notre santé depuis des années,
04:17 parce que n'importe quel médecin, personne, aucun médecin se risquerait à vous dire,
04:21 en vous vaccinant ou en vous donnant ne serait-ce que par exemple du Doliprane,
04:25 qu'il n'y a pas d'effet secondaire.
04:27 Donc je trouve que c'est extrêmement grave qu'un ministre de la Santé puisse dire ça.
04:31 Moi je voulais maintenant vous faire part d'une petite expérience que j'ai eue aujourd'hui,
04:36 puisque mon épouse a développé la maladie de Christophe Jacob suite à la vaccination,
04:41 c'est pas moi qui l'ai dit, c'est les médecins qui l'ont eue en charge,
04:44 c'est écrit sur le certificat de décès,
04:46 et donc un tribunal judiciaire aussi a ordonné une expertise médicale.
04:50 J'ai eu aujourd'hui nos premiers rendez-vous face aux experts.
04:53 Il y avait les experts, il y avait l'avocat de Pfizer et le médecin de Pfizer.
04:58 Et des experts assez partagés à dire oui, effectivement,
05:03 on peut pas dire que c'est pas possible, mais on peut pas non plus dire que c'est possible,
05:06 pour finir par me dire la chose terrible,
05:09 peut-être que vous engagez 30 ans trop tôt une action.
05:13 Et là, éclat de rire, des deux experts.
05:17 Là pour le coup, il n'y a pas assez de recul.
05:20 Mais en fait, le recul, il se fait sur votre santé, sur ma santé,
05:24 sur nos proches qui sont disparus.
05:27 J'ai trouvé, alors pourquoi je vous dis ça ?
05:29 Parce que je pense que vous devez absolument, vous en tant qu'élu,
05:33 faire pression sur les experts, sur les médecins, sur les politiques,
05:36 pour que tout simplement, ils se mettent un petit peu à réfléchir,
05:39 à se poser des questions, plutôt que de dire non, c'est pas possible,
05:42 de se dire et si c'était possible ?
05:44 Parce qu'est-ce qu'on va attendre, je sais pas, quelques années
05:48 pour finalement dire, bah oui, comme on le sait maintenant pour l'hémiocardite,
05:52 ah bah oui, vous avez raison, finalement, ça déclenche des maladies à prions.
05:56 Moi, je le pense pas, je pense que le mal est fait, malheureusement.
06:00 Surtout quand on entend un ministre, enfin un ex-président du Conseil scientifique,
06:05 Delphrécy, nous dire aussi il y a quelques semaines,
06:08 et ça, j'aimerais aussi que vous, je sais pas si vous pouvez le faire,
06:11 mais que vous fassiez pression sur les médias pour que les Français soient informés,
06:14 dire on s'est trompé.
06:16 Mais non, nous, famille de victime, on peut pas accepter qu'on nous dise qu'ils se sont trompés.
06:22 Pour finir aussi par vous dire, oui, alors on sait, ça ne protège pas la transmission,
06:29 et j'ai moi-même alerté le ministre de la Santé à l'époque Olivier Véran,
06:33 pour lui dire ça ne protège pas la transmission, et ils ont continué de vacciner.
06:37 Donc finalement, je pense que, tout à l'heure j'ai entendu le terme complotiste,
06:41 je crois que finalement maintenant on commence à découvrir qui sont vraiment les complotistes.
06:47 Tout ça c'est extrêmement grave, parce que, comme l'a dit Mélodie tout à l'heure,
06:53 quand un expert peut se permettre de dire au bout de 100 utérus c'est pas très grave,
06:59 moi j'ai entendu tout à l'heure un des médecins experts me dire,
07:02 "Oh mais vous savez, c'est normal, il y a des effets secondaires,
07:07 mais on ne peut pas tous les connaître maintenant, ça se passe comme ça avec n'importe quel vaccin,
07:12 n'importe quel médicament." Mais non en fait, ça ne se passe pas comme ça.
07:15 Et je crois que vous ne devez plus laisser ces gens-là s'exprimer comme ça n'importe comment.
07:22 Parce que c'est grave. Alors moi je voudrais aussi, j'ai une deuxième question à vous poser,
07:27 où en est la commission de l'OPEPS, pour laquelle nous avons été entendus il y a plusieurs mois ici au Sénat ?
07:34 J'ai moi-même eu une conversation avec Cédric Villani par téléphone, qui a été enregistrée,
07:41 je l'assume totalement parce que je n'ai vraiment pas confiance dans ces gens-là,
07:45 et il m'a dit quand même qu'à l'époque il avait lui-même alerté le gouvernement sur les effets secondaires,
07:53 et que le gouvernement finalement à l'Élysée, ils étaient très embarrassés.
07:57 Vous voyez en fait, ils étaient juste très embarrassés.
08:00 Il m'a expliqué aussi qu'il se se rendu compte très vite qu'il y avait des problèmes sur la vaccination pour les femmes enceintes.
08:07 Mais que finalement, la NSM dans un premier temps a dit "oui mais c'est mineur, il n'y en a pas beaucoup."
08:12 Pour finalement quelques mois plus tard se rendre compte que c'était finalement plus grave que ça,
08:17 et faire un signalement. Combien de femmes enceintes ont été vaccinées et ont eu des effets secondaires ?
08:23 Combien de bébés sont peut-être certainement décédés à cause de ces vaccinations ?
08:28 Donc aujourd'hui je vous parle de vie humaine.
08:30 J'aimerais enfin, c'est ce que j'ai dit moi aujourd'hui aux experts et à Pfizer qui étaient là,
08:34 parce qu'il faut aussi quand même que je vous dise que l'amateurisme du médecin de Pfizer que j'avais en face de moi et de l'avocat,
08:39 ça laisse rêveur parce que quand l'expert, ils ont commencé à m'annoncer plein de chiffres,
08:45 nous parler du fameux bénéfice risque, qu'eux ils avaient regardé dans la documentation scientifique,
08:51 qu'ils n'avaient pas trouvé grand chose sur un lien possible entre la maladie de Crohn-Syndrome et le vaccin.
08:57 Mais aussi le médecin avançait certains chiffres, c'est-à-dire qu'il a quand même eu le culot de me dire qu'il n'y a eu pour aucun Crohn-Syndrome,
09:06 les dernières, ni aux États-Unis ni au Canada. On est dans un délire total, c'est impossible.
09:13 Et en France, ils m'ont dit qu'ils avaient regardé, qu'ils avaient trouvé 6 cas.
09:18 Alors moi j'ai à votre disposition, messieurs les sénateurs et mesdames les sénératrices,
09:23 j'ai 23 cas qui ont fait l'objet d'une étude par le professeur Luc Montagnier, qui a été décrié comme étant quelqu'un de sénile.
09:31 Je peux vous dire qu'il était tout sauf sénile parce que lui a réussi à enrayer la maladie de ma femme.
09:34 Et quand ce soir, j'ai dit à l'expert, est-ce que c'est possible d'enrayer la maladie de Crohn-Syndrome, il a été obligé de me dire non.
09:40 Donc il était loin d'être sénile et je pense qu'il avait raison sur beaucoup de choses concernant les maladies à prions.
09:45 Et en fait, je voudrais que ces 23 cas, vous puissiez les regarder parce que c'est donc des dossiers que nous avons eus.
09:54 Le dossier médical de chaque patient et chaque patient a développé la maladie de Crohn-Syndrome 15 jours environ après la vaccination.
10:02 Là, je vous parle d'une maladie où il y a 1,5 cas sur un million.
10:06 Quand j'ai expliqué ça ce soir à l'expert, pour donner le niveau du médecin de Pfizer.
10:11 C'est important que je vous dise ça parce que je pense que nous ne devons absolument pas avoir confiance dans ce genre là.
10:16 Parce que les chiffres ne les intéressent pas, les études ne les intéressent pas parce que ça va révéler de toute façon qu'ils se sont trompés.
10:23 Mais ça va bien au-delà de se tromper puisque je pense qu'ils ont fait sciemment des choses uniquement par intérêt économique, juste pour gagner de l'argent.
10:31 Dans ces 23 cas, statistiquement, je vous alerte parce que c'est juste impossible que 23 personnes puissent déclarer une maladie de Crohn-Syndrome qui est aussi rare,
10:44 tous pratiquement 15 jours après la vaccination.
10:47 Et le médecin expert qui était là me dit "Ah oui, mais vous savez, on a vacciné des millions de personnes en France, donc il y a environ 15 cas de Crohn-Syndrome par mois.
10:57 Bon, bah, c'est certainement un coup de malchance. Il y a un petit peu le niveau d'expertise de ce genre là. Donc voilà qu'est-ce que je pourrais rajouter à tout ça.
11:08 Moi, je reçois régulièrement des témoignages à VéritiFrance. On reçoit énormément de témoignages d'effets secondaires.
11:15 On peut bien sûr pas vous dire parce que ce serait pas responsable de notre part que tout vient du vaccin.
11:20 Mais on le voit bien, il y a quand même beaucoup de jeunes qui décèdent de crise cardiaque inexpliquée.
11:27 Quand on entend, encore une fois, M. Wilfresty qui dit "Oh bah on s'est trompé", je crois qu'il serait temps maintenant qu'élus, journalistes, responsables politiques
11:38 se mettent autour d'une table et que vous arriviez à nous obtenir une commission d'enquête sur ce qui s'est passé dans ce pays pendant deux ans. Voilà.
11:48 (Applaudissements)
11:51 (Musique)
11:53 (Musique)
12:09 (Musique)

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