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00:00 [Musique]
00:16 Ce moment de politique citoyenne, j'ai envie de dire, en quelque sorte.
00:21 Donc je suis Tiffany Lainsole et j'étais microbiologiste hospitalière à la PHB.
00:29 J'ai refusé cette obligation vaccinale parce que c'était un non-sens scientifique absolu.
00:36 Et cela était tout à fait établi et pouvait être compris et visible dès le départ.
00:47 J'ai pu observer très tôt des choses inhabituelles suite à une injection à l'hôpital.
00:52 Et ma mère ayant reçu cette injection contre son gré est décédée le 22 mai 2021, c'est-à-dire très tôt.
01:01 Si je prends la parole aujourd'hui, c'est en tant que scientifique.
01:05 Pourquoi ? Parce que ce sont bien les scientifiques et je vais y ajouter les vétérinaires,
01:11 qui sont ceux qui connaissent le mieux le coronavirus, qui ont la plus grande expérience.
01:17 Autrement dit, tous ceux qui ont été écartés à dessein du fameux conseil scientifique,
01:24 il n'y avait aucun microbiologiste, aucun biologiste, aucun vétérinaire,
01:30 qui dès le début ont alerté sur tout ce qui était malheureusement scientifiquement prévisible.
01:38 Quand je parle de scientifiquement, c'est-à-dire au niveau moléculaire, au niveau génétique.
01:45 Et en particulier, l'inefficacité était prévisible et beaucoup des effets indésirables graves étaient prévisibles.
01:55 En basant ces injections géniques sur la seule protéine Spike, tout ou presque était prévisible.
02:03 Cette protéine depuis le SARS-CoV-1, ses effets délétères sont connus depuis 2005.
02:11 Cette protéine est la pire du virus, c'est celle qui mutule le plus.
02:17 C'est la plus toxique, en particulier pour l'endothélium des vaisseaux.
02:23 Et il était tout à fait inédit de vouloir baser un vaccin uniquement sur cette protéine.
02:31 On allait dans le mur, c'était sûr.
02:34 Plus récemment, la découverte d'ADN plasmidique dans ces injections rend les choses encore pires.
02:43 C'est-à-dire qu'on ne se pose même plus la question d'une potentielle rétro-transcription pour une intégration au génome.
02:49 Là, il n'y en a même plus besoin.
02:52 Sommes-nous en train de toucher au patrimoine génétique humain ?
03:00 Ce qui m'a marquée depuis le début, c'est que la science, la vraie,
03:04 puisque comme l'a rappelé Sénateur Hooper tout à l'heure, la médecine n'est pas une science,
03:09 les médecins ont plus souvent besoin des scientifiques que l'inverse,
03:13 la science, la vraie, elle a été confisquée, baïonnée, ignorée.
03:20 Et tous les scientifiques du monde entier vous le diront, censurée,
03:24 y compris dans les publications, dans les revues scientifiques accompagnées de lecture.
03:30 Et ce depuis le début.
03:34 Alors j'ai un énorme regret en fait, ce soir.
03:38 Celui que, pour certains d'entre vous qui nous connaissiez, qui nous connaissiez depuis le début,
03:44 vous ne soyez pas venus nous chercher,
03:46 pour vous aider de façon totalement gratuite et désintéressée à développer des arguments factuels et solides,
03:53 pour répondre aux coups violents que nous savons que vous prenez de la part de vos contradicteurs dans l'hémicycle.
04:01 Je regrette que cette collaboration n'ait pas eu lieu et que l'impardonnable ait été commis.
04:07 L'obligation vaccinale pour les soignants, mais pas que, beaucoup d'autres,
04:12 et les sanctions inhumaines qui l'ont accompagné, puis le pass,
04:16 chantage, chantage au maintien de la vie quotidienne des Français.
04:21 Tout ceci avec un produit expérimental.
04:25 Or les textes sont là pour nous rappeler qu'on ne peut pas imposer un produit expérimental en population générale.
04:33 De la même façon que les textes nous rappellent que normalement on ne peut pas non plus développer un vaccin lorsqu'il existe des traitements.
04:42 C'était donc en fait parfaitement illégal.
04:46 C'est pourquoi aujourd'hui je m'associe à cette demande urgente d'examen par le Sénat de la PPM 919,
04:53 pour abroger cette loi du 5 août 2021, votée en première lecture depuis plus de 6 mois à l'Assemblée.
05:00 Parce que cette loi ne fait que suspendre l'obligation vaccinale COVID-19 pour les soignants et assimilés,
05:06 et que celle-ci peut être rétablie par simple décret en une nuit.
05:11 Mais également parce que cette loi permet le retour de tout un cortège de mesures liberticides et délétères.
05:18 Donc ce n'est pas un caprice égoïste de soignants.
05:23 C'est voir beaucoup plus loin, et c'est voir pour tous les citoyens,
05:28 dont la santé, c'est-à-dire ce qu'ils ont de plus précieux, est à nos sens aujourd'hui en danger.
05:38 En danger parce que l'hôpital va mal, en danger parce que les médecins sont de moins en moins nombreux,
05:45 en danger parce que la loi ne les protège plus non plus.
05:51 C'est aussi parce que je garde dans un coin de ma tête les dernières recommandations vaccinales de la HAS pour les soignants,
05:58 juillet 2023, et dont la liste s'est considérablement allongée.
06:04 Le Conseil Consultatif National d'Ethique n'a pas encore donné son avis,
06:09 mais on sait souvent que les recommandations de la HAS deviennent souvent des obligations.
06:15 Et là, la liste est hallucinante.
06:19 C'est enfin parce que je vois de nouvelles injections promues chez les enfants,
06:25 le Bifortus, anticorps monoclonal, contre, soit disant, le VRS, la bronchiolite,
06:33 les anticorps monoclonaux n'ont jamais été utilisés dans autre chose que des traitements,
06:38 c'est-à-dire pas pour la vaccination, et encore moins chez les enfants.
06:42 Mais également le Bexero, nouveau vaccin contre le ménamococ B,
06:48 alors que nos enfants, dans les 11 vaccins obligatoires, ont déjà un vaccin contre le ménamococ C.
06:57 Mais également chez les jeunes adolescents, avec le forcing qui est fait pour le garde-asile des 11 ans.
07:06 Je vous invite à toujours garder en tête que les obligations vaccinales arrivent toujours via les enfants,
07:15 dont les parents sont souvent culpabilisés, apeurés,
07:20 et via les soignants, qui servent alors de caution à ceux qui ont imposé ces vaccinations.
07:28 Et enfin, je voudrais parler ce soir des grands oubliés, de ceux dont personne ne parle.
07:35 Je voudrais parler, mon militaire, de la grande muette.
07:42 Aujourd'hui, nos opex et nos gendarmes au contact de la population
07:48 sont toujours soumis à cette obligation vaccinale.
07:51 Ils en sont à leur cinquième dose.
07:57 Ce soir, je peux vous dire, et vous devez probablement le savoir, si moi, petite Tiffaine, je le sais,
08:05 qu'à ce jour, ce sont 67 opex qui ont été rapatriées pour effet indésirable grave,
08:12 et en sont décédées, moyenne d'âge 27 ans.
08:18 C'était des jeunes soldats, en pleine santé, jeunes mariés, jeunes pères ou futurs pères,
08:24 morts dans un silence assourdissant.
08:29 Des soldats qui n'auront droit à aucune cérémonie nationale, aucune médaille,
08:33 car ils ne sont pas morts pour la France, ils sont morts sur l'autel du Dieu vaccin,
08:39 qui n'en était même pas un.
08:42 Alors, pour que tout ceci cesse rapidement, et pour que plus jamais ça,
08:46 je vous exhorte à agir vite, avec les pouvoirs qui vous ont été confiés par le vote des citoyens.
08:53 Vous avez été courageux de dénoncer, et je vous dis merci.
08:58 Mais ce n'est plus le temps de dire, c'est le temps de faire.
09:02 Et nous, scientifiques, nous restons vraiment humblement à votre disposition
09:06 pour vous y aider si vous le souhaitez.
09:09 Travaillons ensemble, en bonne intelligence, dans l'intérêt commun.
09:13 Qui sait, peut-être est-ce la conception d'une nouvelle politique,
09:17 une politique collaborative citoyenne.
09:21 Nous comptons sur vous. Encore merci.
09:24 (Applaudissements)
09:33 (...)
09:47 (Générique)
09:52 (...)
09:53 [SILENCE]