Patrick Lebreton s'exprime sur l'octroi de mer

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00:03 Nous nous veillons à ce que ça demeure.

00:05 Je veux dire que quand on parle à chaque fois de notre capacité de désendettement,

00:08 c'est-à-dire d'assurer qu'on ne soit pas au-delà de 9 ans

00:12 et qu'on reste entre 20 et 25 % par exemple de taux de désendettement ou d'endettement plutôt.

00:18 Donc sur cette base, il faut que justement on tienne

00:21 et bien évidemment si les demandes de dépenses sont trop importantes, on ne peut pas y parvenir.

00:25 D'autant plus qu'il y a, comme vous le précisez à l'instant,

00:28 un certain nombre de menaces à venir, mais ça c'est pour les années...

00:32 dans 3, 4, 5 ans, mais c'est important. C'est pour ça qu'on a fait

00:35 un programme prévisionnel d'investissement et une programmation prévisionnelle de fonctionnement.

00:40 Les essentiels pour que justement, s'il y a des recettes qui manquent d'ici là,

00:44 on puisse justement les ajuster sur les années qui viendront.

00:47 Donc le ciel s'assombrit quelque peu, en tout cas par les menaces

00:52 de ceux qui tiennent un peu, je dirais, les bulletins météorologiques financiers.

00:56 Qu'ils aillent laisser le gouvernement, puisqu'il y a des menaces très fortes

01:00 aujourd'hui par exemple chez l'Octroi de mer.

01:02 L'Octroi de mer, c'est un quart des recettes qui viennent pour la région,

01:07 mais les trois quarts d'autres, ça va où ça va ?

01:09 Ça va pour les communes.

01:10 Et si demain il n'y a plus ça, il y a une vraie grosse inquiétude.

01:13 Donc c'est un message de mobilisation que nous lançons, sans vouloir l'enlever.

01:18 Mais il est important quand même de le préciser aujourd'hui.

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