Le sélectionneur de l'équipe de France, Didier Deschamps faisait face à la presse à quatre jour du coup d'envoi de la rencontre face aux Pays-Bas, pour le compte des qualifications pour l'Euro.
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00:00 Il a un souci chronique, déjà il l'avait un petit peu le mois dernier avec nous et ça ne va pas en s'arrangeant,
00:10 même si ça ne l'a pas empêché de jouer,
00:15 mais il a des soins spécifiques à faire pour lui permettre d'enlever cette douleur importante qu'il a,
00:26 donc pour avoir échangé avec lui, post-liste bien évidemment,
00:33 j'ai pris la décision qui allait dans son sens aussi,
00:39 il peut jouer, il l'a joué en n'étant pas à 100% et sous certaines conditions bien évidemment,
00:46 l'option de pouvoir avoir ses soins spécifiques cette semaine doit lui permettre d'enrayer ce problème qui date depuis plusieurs semaines, plusieurs mois.
01:01 Je ne pense pas pour avoir entendu Aligri qui parle au passé, il est surtout, comme je le suis moi aussi, très triste pour Paul, ce qui lui arrive,
01:12 c'est vrai qu'il lui tombe beaucoup de choses sur la tête ces derniers temps,
01:17 il se retrouve dans une situation bien évidemment compliquée,
01:23 où il va se défendre, il aura besoin de se défendre, mais ça rentre dans une longue procédure,
01:31 donc aujourd'hui, elle a commencé depuis un bon moment avec l'expertise de l'échantillon B,
01:41 et évidemment la relation importante que j'ai avec Paul et le fait de soutenir les joueurs lorsqu'ils sont en difficulté,
01:52 oui je suis à tristerie, après je ne sais pas de quoi sera fait demain après demain,
01:57 le temps que ça prendra, mais forcément c'est triste pour lui tout ce qui lui arrive.
02:07 Je ne peux pas y répondre, je ne vais pas avoir de position catégorique ou radicale,
02:13 je ne sais pas de quoi sera fait son avenir, évidemment ça va prendre du temps,
02:24 même si ça fait un petit moment qu'il n'est plus avec nous, c'est mis entre parenthèses,
02:30 j'espère pour lui qu'il retrouvera le sourire, la pleine possession de ses manières,
02:36 et qu'il puisse retrouver le terrain, mais ça prendra certainement un certain temps.
02:43 Par rapport au mois hiérarchie, la hiérarchie de septembre, d'octobre, de novembre, de mars, de juin, elle est évolutive,
02:53 c'est pas parce qu'il y en a un, vous citez les trois joueurs, un qui va marquer trois buts, l'autre qui ne marque pas,
03:01 donc c'est celui qui marque trois buts qui va devenir numéro un,
03:04 mais c'est plus dans la réflexion par rapport au profil des joueurs,
03:09 même si ça n'empêche pas de continuer à être performant.
03:13 Olivier a quand même 37 ans aussi, et ça amène son entraîneur en club à le gérer,
03:21 les entraîneurs comme les sélectionneurs peuvent gérer les joueurs de manière différente,
03:25 parce qu'il y a de la concurrence, mais là il y a un temps de jeu où il joue,
03:29 mais forcément il joue peu de matchs entiers, il peut certains matchs être mis au repos, rentrer une demi-heure,
03:37 après le choix c'est plus le profil et par rapport à l'adversaire,
03:43 il y a un petit deux matchs auxquels on peut être confronté, parce qu'ils ne sont pas...
03:49 Olivier avec Marcus, profil qui se rapproche un petit peu, Colo a un profil un peu différent,
04:00 donc évidemment c'est toujours dans l'optique d'être plus dangereux pour l'adversaire,
04:06 par rapport à un scénario, une situation et l'adversaire qu'on a rencontré.
04:15 Si on a un adversaire forcément bloc très bas dans la surface, ça peut amener un choix différent de ma part,
04:24 s'il y a un peu plus d'espace, forcément ça peut amener un autre choix.
04:30 merci à bientôt