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00:00 *Musique*
00:13 Génération 2024 épisode 2, séquence de clip !
00:16 *Musique*
00:40 Allez pique ailleurs dessus !
00:42 *Musique*
00:52 Oh là là c'est gros !
00:54 Bon je vais pas aller à l'eau tout de suite, je pense qu'on est sur 3 mètres de vague.
00:57 On est de retour à Osgore pour le Quicksilver Surf Festival Exit, le Quicksilver Pro,
01:02 qui était une étape avant du World Tour, qui avait duré pendant 13 ans ici dans les Landes
01:07 et qui s'est arrêté maintenant il y a 3 ans.
01:09 Ça nous manquait, ça manquait à tout le monde, ça manquait aussi à Jérémy Flores qui a décidé de créer ce festival,
01:14 ce qui nous permet aujourd'hui d'être ici et aussi vous allez voir tout à l'heure de croiser les deux qualifiés pour les Jeux de Paris,
01:20 Kaolivast et Vahiney Fierro, on va aller à leur rencontre,
01:22 histoire de savoir comment ils appréhendent cette compétition, comment ils se préparent pour les Jeux.
01:27 Et puis évidemment on fera un petit mois avec Jérémy et peut-être que j'irai surfer, on va la tenter quand même.
01:33 Evidemment, je suis venu pour ça !
01:35 [Musique]
01:42 C'est pas bien là !
01:44 [Musique]
02:13 [Musique]
02:17 24 hommes et 24 femmes auront le droit de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 dans cette épreuve de surf.
02:24 Et j'ai dit Jeux Olympiques, c'est parce qu'il y a une particularité, c'est qu'il n'y a pas de surf encore chez les paralympiques,
02:29 mais ça ne saurait tarder, on en reparlera justement un petit peu plus tard dans cette émission.
02:34 On ira voir la Fédération Française de Surf, il y a quelque chose qui se prépare pour Los Angeles 2028.
02:39 Revenons-en à nos Jeux Olympiques, ça va se passer à Tioupo, il y a trois Français qui sont à qualifier pour le moment.
02:44 Deux femmes, Joanne Defey, et Vahine Fierro, et un homme, Kao Livast.
02:49 On va revenir sur leurs qualifications et on va commencer avec Joanne Defey.
02:53 Joanne Defey qui s'est qualifiée en avril dernier sur le Rip Curl Pro de Belles Beach,
02:57 quatrième étape du CT et première compétition de la saison pour la numéro 3 mondiale qui était de retour de blessure.
03:02 C'est donc une performance, elle a obtenu son billet pour les Jeux en étant assurée de terminer dans le top 8 mondial.
03:08 De son côté, c'est un peu plus différent pour Vahine Fierro et Kao Livast qui se sont qualifiés grâce au championnat du monde ESA.
03:16 Pour vous la résumer, il y a le World Tour, le WSL, ce sont les pros,
03:20 et à côté de ça le monde amateur avec ces fameux championnats du monde et toutes les compétitions qui sont ESA.
03:26 C'est comme ça que se sont qualifiés nos deux surfers, Vahine Fierro et Kao Livast,
03:31 sur les vagues de Surf City, c'était en juin dernier au Salvador, c'était lors des Mondiaux, qui étaient qualificatifs.
03:37 Joanne De Fey, Vahine Fierro et Kao Livast qui sont qualifiés pour ces Jeux de Paris 2024.
03:44 On pourra avoir encore 1 à 3 billets pour nos français pour ces Jeux.
03:49 On va tout de suite aller voir Jérémy pour qu'il nous explique un petit peu ce qui se passe ici
03:53 et qu'il nous parle aussi de son nouveau rôle au sein de la Fédération Française de Surf.
03:57 Allez on y va !
03:58 Jérémy Flores, superbe droite, oh très gros dessus pour Jérémy Flores !
04:15 Applaudissement s'il vous plaît pour Jérémy Flores, il va aller finir sa vague, il sait qu'il doit faire le front !
04:22 Applaudissement
04:24 Seul sur le sable, les yeux dans l'eau, son rêve était trop beau !
04:34 Jérémy Flores de retour sur les lieux du crime, ça va ?
04:37 Ça va et toi ?
04:38 Oui super, merci déjà pour l'invitation, on est content d'être là.
04:41 Ça fait du bien de revenir ici parce qu'avant il y avait l'étape du World Tour et ça fait depuis 3 ans que ça y est c'est terminé
04:48 et c'est vrai que ça manque quand même à pas mal de gens.
04:50 Oui je pense que ça manque à beaucoup de gens, je vois un peu tout le monde ici,
04:54 tout le monde est heureux de revenir faire vraiment profiter de cette fête du surf.
04:59 Donc ça fait du bien pour nous aussi de revenir, de te voir ici,
05:02 est-ce que tu peux juste nous expliquer c'est quoi le Quicksilver Surf Festival ? C'est quoi le concept ?
05:09 Alors le concept c'était de rassembler des surfers de toutes les générations et surfeuses,
05:15 du coup de tous les caractères différents, des free surfers, des légendes absolues, des jeunes, des olympiens,
05:22 et vraiment passer un bon moment et en fait j'ai commencé à poser des questions à tous les surfers
05:28 et ça leur manque vraiment de venir ici.
05:30 Ils adorent venir ici, ils viennent ici du monde entier pour vraiment surfer ces vagues-là, profiter de la culture,
05:36 les gens adorent ici et du coup on a commencé à se dire,
05:39 voilà, le Quicksilver Festival on va faire un format assez innovant, différent, avec de l'action,
05:44 et je pense que la compétition, donc il y aura quand même un vainqueur,
05:48 mais bon, je pense que c'est rien que le fait d'avoir les surfers sur la plage, l'action, le show.
05:54 Oui ça change et c'est vrai que ça fait du bien.
05:56 Moi j'avais envie de prendre aussi de tes nouvelles, parce que j'ai cru te voir sur quelques images ici et là,
06:02 aux côtés de Kaoli, Kaoli Vaz que tu connais depuis qu'il est tout petit et qui s'est qualifié pour les Jeux de Paris.
06:08 Comment ça se passe ? Tu l'accompagnes ? Tu coaches ? C'est quoi alors le truc ?
06:12 On rappelle que tu es à la retraite maintenant.
06:14 Oui, oui, non, moi j'ai décidé d'arrêter l'année dernière officiellement,
06:18 et Kaoli ça a toujours été comme mon petit frère, il est dans mes pattes depuis qu'il est tout petit,
06:25 et du coup c'est vraiment la famille.
06:28 Ensuite la Fédération Française de Surf m'a contacté pour essayer d'aider l'équipe de France,
06:33 pour maximiser les chances de médailles olympiques pour les JO 2024.
06:41 Du coup je suis là, j'essaie d'apporter mon expérience, j'essaie de les mettre à l'aise, ça se passe super bien,
06:50 toute l'équipe assure carrément, je pense qu'il peut vraiment se passer quelque chose de grand sur ces JO,
06:57 dans le surf, il peut vraiment se passer quelque chose d'historique.
07:00 On va aller chercher cette énergie, cette énergie qui est très forte en Polynésie,
07:06 le mana on appelle ça, et d'aller chercher vraiment toute l'énergie de la montagne, de l'océan,
07:12 des fonds marins pour essayer d'avoir vraiment cette énergie pour aller faire quelque chose de grand.
07:19 Et moi c'est ce que j'essaie de leur dire, je leur dis, tous les surfers sont talentueux,
07:24 il y a des surfers talentueux partout, des athlètes de haut niveau talentueux,
07:27 mais je pense que pour gagner à quelque chose d'historique comme ça, il faut aller chercher quelque chose d'encore plus grand.
07:32 Du coup on essaie de travailler là-dessus, mais eux ils ont déjà une connexion naturelle avec l'océan, avec la mer,
07:41 ce qui est beau, et du coup je crois que quoi qu'il arrive, ça va être une expérience inoubliable.
07:48 J'y crois à fond en tout cas, et moi j'essaie vraiment de les booster pour essayer de leur donner un peu cette force,
07:54 qu'ils croient en eux et que c'est possible.
07:58 Je pense qu'ils ont la tête sur les épaules parce que c'est un travail, c'est un travail qui est fait à long terme,
08:03 il y a toutes ces structures autour, ils sont bien entourés, du coup là on essaie vraiment à ce qu'ils soient bien dans leur tête
08:09 pour être prêts le jour J, parce qu'ils sont jeunes.
08:11 Je pense qu'il peut y avoir une voire plusieurs médailles pour ces JO, je ne vais pas m'emballer,
08:18 on va rester la tête sur les épaules, mais j'y crois à fond.
08:20 On l'espère en tout cas, on espère qu'on aura des médailles, mais on espère surtout qu'on va kiffer.
08:25 Je pense qu'on va kiffer.
08:27 Merci Jérémy, on va aller voir Vahiné, on va aller voir Kaoli, on va voir eux comment ils sentent un peu les choses.
08:32 Let's go !
08:43 Je m'appelle Vahiné Fierro, j'ai 23 ans et je suis surfeuse professionnelle.
08:49 Je viens de l'île de Hua Hiné, c'est une île à 30 minutes de l'île de Tahiti.
08:53 Tu as décroché ton billet pour Paris 2024, pour toi est-ce que c'était un peu inattendu ou pas ?
09:00 Est-ce que tu t'attendais à pouvoir participer aux Jeux ?
09:04 Bien évidemment, les Jeux Olympiques se passent à la maison, donc c'était un rêve pour moi de pouvoir y participer.
09:11 Je savais que j'en étais capable, mais il fallait passer à travers le système de qualification.
09:16 Ce n'était pas un claquement de doigts.
09:20 C'était plusieurs qualifications au niveau fédéral, ensuite au niveau mondial.
09:26 Et de pouvoir décrocher le ticket, c'est vraiment un soulagement pour moi.
09:30 Tu as profité justement de Mondiau, ISI, pour décrocher ton billet en même temps que Kaoli Vast.
09:36 J'imagine qu'en plus de partager ça tous les deux, c'est aussi quelque chose d'assez particulier.
09:40 Kaoli et moi, ça remonte à loin, assez longtemps.
09:44 Lui a surfé la vague des Jeux Olympiques beaucoup plus tôt que moi.
09:50 C'est un peu lui qui m'a pris sous son aile, qui m'a poussée, qui m'a aidée à progresser.
09:56 C'était une belle histoire parce que tous les deux, on est les meilleurs dans nos catégories sur terre ou en eau.
10:05 On passe le plus de temps à l'autre.
10:08 Se qualifier ensemble, en même temps, sur la même compétition, c'était vraiment un rêve.
10:13 Beaucoup d'émotions partagées et des rêves réalisés.
10:16 Avec Jérémy, Kaoli, moi, on est un peu des Iliens.
10:19 Jérémy vient de La Réunion et il y a cette énergie un peu spéciale qu'il y a.
10:23 On ne sait pas trop comment l'expliquer, mais on a une belle bande.
10:27 On sait comment communiquer entre nous et je pense qu'il y a beaucoup de respect.
10:32 On a aussi ce respect envers la vague, envers les gens, envers nous-mêmes.
10:37 Il y a cette énergie qui est là et les gens ressentent, sans même qu'on essaie de faire ressentir ça.
10:44 On essaie de notre mieux, on s'entraide, on s'appelle tout le temps pour savoir comment l'autre va,
10:51 pour pouvoir se pousser en même temps.
10:54 C'est une belle bande.
10:56 - Toi, tu as commencé le surf à deux ans, c'est ça ?
10:59 - J'ai commencé le boogie board à deux ans avec mon papa, sur le dos de mon papa.
11:03 Et ensuite, le surf un peu plus tard, vers l'âge de cinq ans,
11:06 où j'ai commencé à aimer un peu ce sentiment de glisse.
11:09 Et je pense que vraiment à partir de 10 ans, 10-11 ans,
11:13 j'ai vraiment commencé à aller tous les jours après l'école.
11:17 - La culture surf, pour toi, elle est présente en France ou pas ? Comment tu l'aperçois ?
11:22 - La culture de surf ici en France, elle est vraiment grande.
11:27 Surtout dans le Pays-Bas, dans le Sud-Ouest, jusqu'à presque la Bretagne.
11:33 - Je te confirme.
11:35 - C'est vraiment des communautés qui sont à fond dans le surf.
11:40 Tout le monde fait -4 degrés et ils sont tous en train d'apprendre à surfer.
11:44 Les gens viennent regarder les compétitions, que ce soit fédérales, locales, internationales.
11:50 Il y a un public de fous et ça ne se retrouve pas partout.
11:55 Pour la première fois aux Jeux olympiques, c'est vraiment un rêve réalisé d'y être
12:00 et de pouvoir représenter mon île, les îles et la France.
12:06 On porte toute une nation sur nous.
12:10 Je pense que juste donner le meilleur de nous-mêmes, qu'on gagne ou pas,
12:15 toute la communauté va être fière de nous, nous aimer pour qui on est.
12:20 Et puis il ne nous reste plus qu'à gagner et c'est la cerise sur le gâteau.
12:24 - C'est tout ce qu'on te souhaite. Merci beaucoup.
12:26 - Merci.
12:27 - On est toujours bien posés. On est bien là.
12:49 - On est bien.
12:51 - Caoli, si vous ne vous souvenez pas de Caoli, on va quand même rappeler celui qui a surfé
12:58 cette vague incroyable chez lui à la maison, à Tiaupo.
13:01 C'était en août 2021 ?
13:04 - C'est ça.
13:05 - L'un de tes meilleurs souvenirs et je pense que pour nous encore notre meilleur souvenir.
13:09 - C'est vrai que c'était il y a deux ans déjà et c'était un sacré souvenir.
13:14 - Tu as décroché ton billet pour les Jeux de Paris 2024 et en plus,
13:18 ça va se passer au même endroit, là où tu as surfé cette vague énorme et chez toi.
13:22 C'est évident en fait que tu te retrouves là-bas.
13:25 - Lorsqu'on a appris que les JO allaient être à Tahiti, ça a été incroyable.
13:28 C'est devenu un objectif et un rêve surtout de pouvoir y participer.
13:32 Déjà premièrement, participer aux JO, pour moi, pour un athlète,
13:36 c'est la compétition la plus importante.
13:38 Et là, le fait que ce soit à la maison, c'était primordial de tout donner
13:43 pour essayer de se qualifier.
13:45 Les JO à la maison, tout le monde est derrière.
13:48 On voit bien qu'il y a du bon monde qui est derrière et qui soutient
13:53 et qui a hâte de pouvoir voir ces JO.
13:57 Et donc, c'est pour ça qu'il ne reste que dix mois à partir de maintenant
14:02 pour pouvoir être vraiment préparé, être au point pour ces JO.
14:07 Mais il va falloir tourner cette pression en bonne pression.
14:10 Et essayer d'être le plus prêt possible mentalement, physiquement
14:15 et être un guerrier le jour des JO.
14:19 - Là, je viens de te mettre la pression de fou en te disant tout ça.
14:22 - Non, ça motive, justement. C'est bien, c'est comme ça.
14:24 Il y a beaucoup de choses encore à travailler, à revoir et à progresser surtout.
14:28 Et surtout, comme il a dit Jérémy, il y a plein de choses encore à apprendre.
14:31 Et voilà, il va falloir se donner à 2000% et pouvoir vraiment être prêt ce jour-là.
14:37 C'est ce qui donne envie, c'est ce qui fait rêver.
14:40 Et voilà, on va tout donner pour essayer d'avoir cette première place.
14:43 - Et ce qui est bien, c'est que justement, Jérémy vous accompagne, Jérémy Flores.
14:46 Lui, il a été l'un des premiers Français à vivre tout ça, à vivre cette pression-là.
14:52 Il a gagné beaucoup d'expérience, il a fait des erreurs.
14:54 Et finalement, il est là aujourd'hui pour vous conseiller et vous dire
14:57 "Attention, ça n'y va pas, il vaut mieux faire ça".
15:00 - Exactement, Jérémy en plus, c'est comme mon grand frère, c'est mon mentor,
15:03 c'est mon idole aussi depuis que je suis petit.
15:05 J'ai eu la chance de pouvoir faire en plus une série contre lui à 17 ans à Tejopo.
15:10 Du coup, c'est une personne qui compte énormément pour moi.
15:15 J'ai de la chance de l'avoir de mon côté et qui m'aide beaucoup.
15:19 Et moi, j'ai regardé les premiers JO avec des paillettes dans les yeux,
15:24 des étoiles dans les yeux aussi parce que voilà, c'est Jérémy en premier et Michel Bourrès.
15:29 Les deux ont fait les premiers JO de surf au Japon.
15:34 Donc moi, j'ai regardé ça avec émerveillement et c'est magnifique.
15:38 Ça m'a motivé, ça donnait vraiment envie de faire pareil.
15:41 - C'est vrai que ce sera la deuxième fois que le surf va figurer au jeu.
15:44 Est-ce que pour toi, ça serait inscrire la France sur la carte du surf mondial ?
15:50 - Exactement, voilà, c'est le but.
15:52 C'est le but, c'est pour ça qu'on est dans l'équipe de France.
15:55 C'est représenter la France et représenter aussi Tahiti dans le cœur
15:58 parce que voilà, ça va être à la maison.
16:00 Mais ouais, le but, c'est de remporter une médaille.
16:05 Et je sais qu'il y a beaucoup de monde ici qui serait fier et représenter la France et Tahiti.
16:10 - Merci beaucoup Kaoli. - Merci à vous.
16:12 - On te souhaite le meilleur. - Merci beaucoup.
16:14 - Ah, j'ai mis du sable partout !
16:17 - Bah c'est ça, faire des interviews.
16:22 - C'est le seul surfeur qui n'aime pas le sable.
16:25 - Non, mais là c'est chaud, il y a trop de sable.
16:28 - Je vais me mettre dans les souffles après.
16:31 - C'est bon.
16:32 - Je me trouve maintenant à Cap Breton, je suis avec Jean-Marc.
16:47 Jean-Marc, est-ce que vous pouvez nous expliquer un petit peu ce que vous faites ?
16:50 - On s'occupe des personnes en situation de handicap qu'on accueille tout au long de l'année
16:54 dans des structures labellisées en e-surf.
16:57 On forme les éducateurs de surf sur toute la France et en Europe
17:02 et ensuite on labellise les structures.
17:04 Donc du coup, ce réseau qui compte 170 structures
17:08 nous permet de pouvoir accueillir des personnes en situation de handicap
17:13 pour faire de la compétition en parasurf.
17:15 - Comment vous voyez l'avenir du parasurf en France et dans le monde ?
17:18 - Soit on le voit par le biais de la démocratisation du sport
17:22 pour les personnes en situation de handicap
17:24 et là c'est vraiment ouvert parce qu'il y a de plus en plus de gens formés
17:28 donc il y a de plus en plus de gens qu'accueillent partout dans le monde entier.
17:31 Et si on le voit par le prisme de la compétition,
17:34 on a la chance depuis 2015 d'accompagner des équipes de France parasurf.
17:38 La première compétition était à La Roya en 2015.
17:42 On repart là maintenant à Los Angeles en novembre pour les championnats du monde.
17:49 Il y a une grosse dynamique, il y a 33 pays, il y a 180 compétiteurs.
17:53 Donc il y a une grosse dynamique autour de ça, donc ça va matcher.
17:57 Maintenant, la cerise sur le gâteau, c'est l'annonce des paralympiques pour 2028
18:02 pendant les championnats du monde à Los Angeles.
18:05 - Donc les JOP, vous me dites qu'il y aura du surf pour les paras à Los Angeles ?
18:10 - J'espère qu'il y aura du surf pour les paras à Los Angeles, mais on le saura en novembre.
18:16 - En tout cas ça c'est votre combat ?
18:17 - Ça c'est notre combat, on veut y arriver.
18:19 - Si demain je suis en situation de handicap et je veux aller faire du surf, comment je fais ?
18:25 - C'est très simple, tu tapes Andy Surf, tu vas avoir une carte virtuelle sur le site d'Andy Surf
18:32 et tu vas pouvoir aller cocher l'endroit vers chez toi où il y a une école, une structure labellisée Andy Surf.
18:39 - Super, merci beaucoup !
18:40 - Merci à toi !
18:42 - Évidemment !
18:43 - C'est pas dur !
18:45 - Super !
18:46 - Comment ça se passe l'initiation ?
18:49 - C'est une première, donc elle découvre des sensations qu'elle ne connaissait pas
18:55 et puis physiquement ce n'est pas facile.
18:57 - Le surf c'est compliqué déjà à la base.
18:59 - Mais de toute façon !
19:00 - C'est la passion, il faut en faire.
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21:44 - Bon bah fin de ce Génération 2024, avec cette info on saura dans quelques semaines
21:52 si le surf sera aux Jeux Paralympiques de Los Angeles en 2028, c'est tout ce qu'on
21:57 leur souhaite en tout cas et on va continuer à suivre évidemment leurs résultats avec
22:00 ces championnats du monde qui arrivent donc dans pas très longtemps.
22:03 Écoutez, en surf on dit la compétition est on, ça veut dire ça surf, et puis c'est
22:08 off c'est quand ça surf pas.
22:09 Alors moi là je suis off mais par contre c'est on, je veux aller surfer, ça vous dérange
22:13 pas ? Non ? Bon bah c'est bon alors, allez bisous.
22:17 Tiens je tourne en surf ?
22:18 - Oui.
22:19 - C'est bon ?
22:20 - Oui.
22:21 - C'est bon ?
22:22 - Oui.
22:23 - C'est bon ?
22:24 - Oui.
22:25 - C'est bon ?
22:26 - Oui.
22:27 - C'est bon ?
22:28 - Oui.
22:29 - C'est bon ?
22:30 - Oui.
22:31 - C'est bon ?

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