• l’année dernière

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Petivier, ça vient d'un mot gaulois.
00:02 Il y avait ce fameux gâteau, ces galettes d'amandes, dont le secret, le marchand de chaussures, il avait son nom encore,
00:08 c'était pas aujourd'hui automatiquement une franchise, c'était pour l'histoire.
00:11 J'ai regardé la dernière séance, on s'en remandait à Emmanuel Emmanuel, c'est lui qui note ce genre de détails.
00:16 Et puis, il y a une semaine, les Marseillais ont vécu un rollercoaster d'émotions
00:23 avec la venue, le même jour dans leur ville, du Pape et de Laurent Sénéchal.
00:27 On peut pas tout avoir dans la vie.
00:29 Laurent qui s'est très rapidement intégré dans notre équipe, selon lui.
00:32 Regardez ce ping-pong et cette complicité entre Laurent depuis Marseille et l'équipe restée à Paris juste avant l'antenne.
00:39 - Je suis dispo, si vous voulez, si Babette veut me parler.
00:42 - Non, elle ne veut pas.
00:43 - J'entends plus rien.
00:45 - C'est parce qu'on parle pas.
00:46 - J'ai l'impression que vous parlez mais que je ne vous entends pas.
00:49 - Il se coiffe.
00:50 - C'est un peu confus.
00:51 - On ne te parle pas.
00:53 - L'appel est toujours là.
00:55 - Non mais parce que je pense qu'il ne vous parle pas vraiment.
00:58 - Et c'était exactement ce qu'il faisait, Laurent.
01:02 - Ça suffit là, Bertrand.
01:04 Au bout d'un moment, les attaques perfides.
01:06 - Déjà là ?
01:07 - Il va falloir tenir jusqu'au mois de juin.
01:09 - Ça fait des jours qu'il me tacle dans ses chroniques.
01:11 Moi je suis journaliste, j'ai noté.
01:13 Regardez si on pouvait revoir toutes les attaques perfides.
01:15 - On ne parle pas.
01:16 J'ai un souvenir marrant.
01:17 Ça se termine par un truc vraiment consternant.
01:19 Il suffit d'être à la machine à café avec Laurent.
01:21 - Laurent Sénéchal que je...
01:23 - Ah oui, d'accord.
01:25 - Oh, oh, oh.

Recommandations