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Transcription
00:00 qui ne me viendrait pas à l'idée de faire un tweet pour me plaindre, donner la leçon,
00:04 mettre en valeur ce chien qui a l'air d'être un chien assez...
00:07 Sans jamais être allé voir le propriétaire...
00:09 Je note qu'on a donné la parole que d'un seul bord.
00:13 Ah non, on a dit que la musulmane était obligatoire et d'ailleurs...
00:16 Oui, par ailleurs...
00:17 On n'a pas entendu témoignage de gens... Parce que, pardon, il y a dans cette société...
00:20 En voilà un...
00:21 Des gens qui n'aiment pas les chiens, il y a des gens qui ont peur des chiens...
00:24 Allergiques, ils sont allergiques.
00:25 Il y a des gens qui sont allergiques aussi, etc. Et la priorité dans un espace partagé,
00:30 elle va aux humains et les chiens y passent après.
00:33 Attention, le chien paye son billet, quand même Patrick, il ne gênait personne et le chien paye son billet.
00:37 Je ne parle pas de ce cas-là, je parle en général, voilà, j'explique...
00:41 Trains transport des voyageurs, plutôt.
00:43 Une sorte de priorité de valeur...
00:44 On ne va pas nous interdire alors ?
00:46 Mais non, pas du tout, je dis simplement que quand il y a un problème avec une intolérance
00:50 ou une incompatibilité de présence, la priorité elle va aux humains plutôt qu'aux chiens.
00:53 Mais là, ce n'était pas le cas.
00:55 Là, en l'occurrence, il avait été mis là pour ne pas gêner.
00:58 Pour ne pas gêner dans un wagon vide.
01:00 Il y a un débat.
01:02 Non mais donc ça a fait parler...
01:04 C'est une question de tolérance.
01:06 Mais effectivement, la question a pu se régler de façon aimable, les yeux dans les yeux.
01:13 Il faut prendre une photo et le mettre sur Twitter.
01:15 Ça fait la publicité aussi.
01:17 Ce débat est passionnant, mais c'est l'heure du 5/25 de l'Orient 7.
01:20 Charles qui est de retour.

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