Emmanuel Macron : «Nous devons jouer notre rôle et aider les Italiens, on ne peut pas les laisser seuls»

Prisca Thevenot : «Nous ne devons rien laisser passer»

Gabriel Attal : «L'hôpital tient, mais nous devons l'aider à continuer à tenir»

Prisca Thévenot : «Nous devons continuer à aider la classe moyenne»

François Braun : «Nous devons aider les soignants»

Louis de Raguenel : «On est les Italiens des Anglais. Les Anglais nous reprochent exactement ce que nous, on reproche aux Italiens sur l’Ocean Viking»

Prisca Thevenot : «Nous devons continuer à regarder là où nous pouvons économiser et où nous devons continuer à invertir»

Coronavirus : les Italiens craignent une pénurie alimentaire

Pierre Conesa : «Arrêtons de faire comme si on allait expulser des Italiens ou des Espagnols»

Euro 2021 : le retour des champions Italiens

Gérald Darmanin : « Jordan Bardella fait de la politique politicienne sur le dos des italiens»

A Marseille, les épiceries et restaurants italiens aussi victimes de la crise du coronavirus

La défiance des Italiens vis à vis de la politique est considérable - 06/06/2016 à 13h15

Charlotte d’Ornellas : «Salvini a été élu avec la même campagne, avec les même ressorts, c’est exactement la même histoire que Meloni et on voit que c’est ce que les Italiens redemandent»

Judith Waintraub : «Les Italiens ont voté pour une alliance qui paraissait stable après avoir vécu des années et des années d’instabilité»

Pape François: "Nous devons protéger l'homme contre sa propre destruction"

Emmanuel Macron à propos des hôpitaux : «Nous devons investir plus fortement que nous avions envisagé»

Éric Ciotti sur les tensions russo-ukrainiennes : «Nous devons éviter cette forme de nouvelle Guerre Froide»

Nicolas Sarkozy : "La guerre que nous devons livrer doit être totale"

Eric Zemmour : «Nous devons sortir du marché européen de l’énergie»

Alexis Tsipras : "Nous devons trouver des solutions ensemble"

L'Heure des Pros 2 Week-End (Émission du 17/05/2024)

Face à Philippe de Villiers (Émission du 17/05/2024)

Philippe de Villiers : «Cela consiste à confier à la médecine et aux médecins le choix d’administrer la mort»

Philippe de Villiers : «La préférence nationale, pour l’islamo-gauchisme, cela convient en Nouvelle-Calédonie, mais pas en Métropole»

Punchline Week-End (Émission du 17/05/2024)

Philippe de Villiers : «La vérité, c’est qu’ils sont les premiers témoins de l’État qui s’effondre. La vérité, c’est aussi qu’on aurait pu éviter ça»