• l’année dernière
Le sénateur LR Philippe Mouiller pourrait prendre la suite de Catherine Deroche à la présidence de la commission des affaires sociales. Elue depuis 2010, la sénatrice LR du Maine-et-Loire a fait le choix de ne pas briguer de nouveau mandat en 2023.

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Transcription
00:00 vice-président du groupe LR au Sénat. Bonsoir Philippe Mouillet.
00:03 Bonsoir.
00:04 Quels sont les enjeux pour vous de ce scrutin sénatorial 2023 ?
00:08 On ne va pas se mentir, la majorité de droite et du centre n'est pas très inquiète ce soir.
00:13 Non, non, tout à fait. Donc pour nous un des enjeux c'était justement de pouvoir confirmer,
00:16 stabiliser civilement cette majorité.
00:19 Et à travers ça, c'est aussi la prise de position politique,
00:22 la façon dont nous traitons les sujets, les textes de loi qui est confirmée par les résultats.
00:27 Justement, quelle doit être la stratégie de la majorité de droite du Sénat ?
00:31 Est-ce qu'elle doit être constructive avec le gouvernement ou vraiment marquer son opposition ?
00:35 Je crois qu'il faut qu'on garde notre marque de Fabrique et ce sera la reconnaissance
00:39 si les choses se déroulent correctement dans les urnes.
00:42 Globalement, on prend les textes au fur et à mesure.
00:44 On a une ligne politique qui est claire.
00:46 Généralement, nos lignes d'opposition sont connues.
00:50 Et donc à chaque texte, nous regardons comment nous pouvons améliorer les textes
00:53 et faire en sorte que nos idées, nos convictions se retrouvent dans les votes qui se traduisent ici au Sénat.
00:58 Donc c'est vraiment un travail texte par texte.
01:00 Alors forcément, de temps en temps avec un lien étroit avec le gouvernement
01:04 et de temps en temps en opposition ferme lorsqu'on n'est pas d'accord sur le fond des textes.
01:08 Donc finalement, vous ne faites pas, selon vous, de politique politicienne,
01:11 vous n'êtes pas dans une opposition systématique ?
01:13 Non, je crois qu'on est surtout dans une démarche de porter nos convictions,
01:16 de porter nos choix politiques et donc ça se traduit par les textes que nous votons.
01:21 Et ça s'est marqué d'autant plus dans cette année,
01:24 dans la première année du quinquennat d'Emmanuel Macron.
01:26 Finalement, il y a une relation qui s'est intensifiée
01:29 entre la droite sénatoriale et le gouvernement, notamment sur la forme des retraites.
01:32 Bien entendu, par la situation de l'Assemblée nationale,
01:34 on voit bien que le dialogue politique se passe en grande partie aujourd'hui au Sénat.
01:38 Et donc en gardant cette ligne, en gardant cette volonté qu'a le président de l'archer
01:42 de pouvoir toujours avoir un intérêt général qui est l'intérêt de la France,
01:46 au fur et à mesure, on travaille sur ces textes-là.
01:48 Et je vous dis, parfois on trouve des désaccords comme pour les retraites,
01:51 et inversement, de temps en temps, on est dans un affrontement,
01:53 ou en tout cas de nos positions claires.
01:55 En quelques mots, Philippe Mouillet, pour finir,
01:57 la présidente de la commission des affaires sociales ici au Sénat,
01:59 Catherine Droch, ne se représente pas.
02:01 Est-ce que vous êtes intéressé par le poste ?
02:03 Oui, clairement, j'ai fait acte de coordinateur pour cette commission,
02:06 mais c'est un deuxième sujet après les élections sénatoriales.
02:08 Oui, la bataille des commissions, ce sera après ces élections sénatoriales ici au Sénat.
02:12 Voilà, chaque chose en son temps, mais il y pense en se rasant, Philippe Mouillet.
02:17 [Musique]

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