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Retrouvez le replay de la 2e période du match Brésil - Bolivie, 1ère journée des qualifications à la Coupe du monde 2026.

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Transcription
00:00 Allez, M. Juan Gabriel Benitez, le Paraguayan qui donne le coup d'envoi de cette seconde
00:06 période en 0 pour le Brésil face à la Bolivie grâce à un but inscrit par Rodrigo Neymar
00:12 titulaire.
00:13 Neymar a manqué un pénalty.
00:14 Neymar a eu l'opportunité de dépasser le roi Pelé en inscrivant l'un des plus beaux
00:20 buts de sa carrière.
00:21 Mais pour l'instant toujours en 0 Didi entre le Brésil et la Bolivie.
00:24 Voilà, j'imagine une équipe brésilienne encore très entreprenante qui va essayer
00:33 de, comme lors de la première période, sur certains moments, d'asphyxier cette équipe
00:38 bolivienne.
00:39 Avec un jeu bien travaillé, posé, on écarte assez sur les ailes avec Rodrigo et Rafinha
00:52 et où plein axe, un joueur à la conduite de balle et au talent merveilleux comme Neymar
01:00 peut transpercer.
01:01 Et puis on ne va même pas vous parler des solutions sur le banc pour le Brésil.
01:26 On va parler de la suite.
01:54 On peut tout de même dire que dans cette position, Rafinha a la possibilité de revenir
02:10 un peu vers le centre, se mettre sur son pied idéal le gauche.
02:14 Il n'a pas besoin d'avoir beaucoup de vitesse pour frapper.
02:19 Et là, une fois de plus, c'est Villamil, il doit lui laisser le couloir à droite.
02:30 Il doit faire en sorte, il doit l'influencer pour lui laisser la possibilité d'aller à
02:34 droite, mais surtout fermer l'axe parce que là, il est très près.
02:39 Et voilà, c'est Neymar qui le trouve.
02:43 Et chaque fois, il le trouve quand même en pleine surface de réparation à quelques
02:48 mètres des buts.
02:49 Ce n'est pas normal qu'il n'y ait pas un marquage très strict de Villamil qui a toujours
02:53 le chic pour eux, alors qu'ils sont quand même cinq défenseurs.
02:57 Il y a quand même trois axiaux.
02:59 C'est le troisième axial, celui côté gauche, qui doit être dans cette zone de jeu.
03:04 Ça ne doit pas être Villamil qui est un joueur de couloir.
03:07 Voilà, Villamil, il doit être sur Rafinha au départ.
03:12 On ne doit pas trouver cette possibilité de passe pour Rafinha.
03:15 Il doit être plus proche que Rafinha.
03:19 Et donc après, pour le Brésilien, en plus, on sent qu'il est en forme, on sent qu'il
03:24 est en confiance.
03:25 On l'a assisté dans la première période.
03:26 Donc, c'est quand même un joueur qu'il faut surveiller de très, très près ce soir.
03:31 Didier Ghem trouvait des circonstances atténuantes, vous le savez.
03:34 C'est vrai qu'il y a Rafinha, mais il y a aussi Neymar, il y a aussi Rodrigo, il y a
03:37 aussi Richard Lisson.
03:38 Ça veut dire que tous les défenseurs sont aussi...
03:40 Oui, il y a de quoi leur donner le tournis.
03:44 Mais quand même, à la base, c'est quand même un joueur qui franchement, sur le côté,
03:49 il y aurait deux axios.
03:50 Je ne dis pas que de temps en temps, il va les aider.
03:52 Il y en a trois.
03:53 Alors il y a quelque chose qui ne va pas.
03:55 Rafinha qui a peut-être lancé sa saison, lui qui a connu des débuts compliqués avec
04:00 le Barça.
04:01 Ça va lui faire du bien.
04:02 Exclu face à Retafe lors de la première journée pour un très, très vilain geste.
04:06 Il avait écopé de deux matchs de suspension.
04:08 Il avait joué tous les minutes face à Osasuna lors de la dernière journée.
04:12 Alors pour la Bolivie, ça se complique sérieusement parce que ce n'était sans doute pas le scénario
04:17 envisagé.
04:18 On peut imaginer que l'entraîneur avait un discours qui était surtout axé sur ce seul
04:28 but de retard et jouer d'une certaine façon en fonction d'un but de retard.
04:34 Maintenant, il y en a deux.
04:35 Ça paraît mission impossible tant il y a un écart entre les deux équipes et tant la
04:42 Bolivie refuse le jeu.
04:43 Le sélectionneur bolivien, l'argentin Gustavo Costas, un homme d'expérience, 60 ans, qui
04:51 connaît parfaitement le continent soudaméricain au-delà de sa nationalité.
04:55 Il a entraîné au Chili, au Paraguay, en Colombie, au Mexique.
04:59 Ce n'est pas l'Amérique du Sud, le Mexique, c'est l'Amérique du Nord, la zone de Cotacaf.
05:01 Mais quand même, c'est un petit peu le secteur.
05:04 Le Pérou aussi, il entraîne en Équateur.
05:06 Il fait quasiment tous les pays.
05:07 Oui, il y a très souvent des entraîneurs argentins comme ça qui se baladent un peu
05:12 plus ou moins dans tous les pays.
05:14 Justement, on en parlait brièvement en première période, Didier, sur les 10 sélections de
05:20 la zone conmebol, donc de l'Amérique du Sud.
05:23 Il y a 7 argentins.
05:24 Si on prend les demi-finalistes aussi bien de Copa Libertadores, l'équivalent de la
05:28 Ligue des champions d'Amérique du Sud, et la Copa Sudamericana, qui est l'équivalent
05:31 de l'Europa League d'Amérique du Sud.
05:33 Il y a 5 argentins sur le banc en tant qu'entraîneur sur les 8 clubs.
05:38 Comment est-ce qu'on peut expliquer cette influence du football argentin sur le banc ?
05:43 Il y a une école quand même d'argentines au niveau des entraîneurs.
05:47 Raphinha la remise de la tête, Richard Lysson le contrôle et derrière l'enchaînement,
05:51 mais superbement pas le crochet !
05:53 Et derrière, Richard Lysson qui voit le cadre se dérober, la frappe profondelée.
05:58 Ah, il fait tout parfaitement, l'attaquant de Tottenham, à l'exception du dernier geste
06:02 le plus important.
06:03 Et là, une fois de plus, ça part dans le dos de notre ami Vila Lim, Vila Mil.
06:09 Oh, le crochet !
06:10 Et derrière, c'est incroyable parce que là, il peut la placer, il choisit la force, alors
06:19 qu'il peut la placer à l'opposé de l'intérieur du pied, tranquillement.
06:22 Alors, s'il y a bien un joueur qui en confiance ce soir, c'est Raphinha.
06:26 Et s'il y en a un qui en manque et qui force à l'image de ce geste, qui le force en quelque
06:33 sorte, c'est Richard Lysson, qui a des soucis quand même avec Tottenham.
06:38 Et ça se répercute en sélection alors que Raphinha, lui, arrive à passer out.
06:46 C'est le plus déboire à l'Arsenal.
06:49 Il a une chance inouïe, Richard Lysson, c'est que pour l'instant, le manque de concurrent
06:55 est à la pointe.
06:56 On sait que Gabriel Jesus a un temps été éclaté, il n'avait pas été sélectionné
06:59 par l'ancien entraîneur, sélectionneur intérimaire Roberto Meneses.
07:02 Là, il fait son retour, mais il fait son retour parce qu'il y a le cas, Anthony, on évoquera
07:07 cette situation tout à l'heure.
07:09 Mais c'est une balle au 3-0 et ça fait 3-0 !
07:11 C'est une balle au 3-0 et ça fait 3-0, le doublé pour Rodrigo.
07:15 Fervi, Parsno d'excellence, Parmus, Leymar.
07:18 Le Brésil a trouvé la clé pour venir embêter, pour venir tromper à de multiples reprises.
07:26 Guilherme Ovispara, 3-0 pour le Brésil.
07:29 La machine est lancée.
07:30 Oui, il est plus que lancé.
07:32 Ça risque de tourner à la catastrophe pour la Bolivie qui prend deux buts en 6-7 minutes
07:39 dans l'intervalle de la super occasion de Richard Lysson.
07:42 Cette fois, c'est plein axe qu'on a fait la différence.
07:46 On voit que les défenseurs ne se font pas aligner.
07:51 Il y en a un qui sort mais il n'est pas couvert.
07:54 Est-ce que cette pichinette, cette grosse erreur quand même de Quinteros,
08:00 eh bien il a le champ libre, c'est facile pour Rodrigo.
08:05 Ça c'est un peu le jeu de Diniz, on insiste un peu sur cet entraîneur.
08:13 Par exemple, Rodrigo qui est un joueur plutôt sur le côté,
08:18 on l'a vu souvent sur le côté mais il peut aussi se rapprocher de l'axe.
08:24 Et là, ils étaient en position de force dans l'axe.
08:28 Il n'y avait quasiment pas grand monde sur les côtés et les Brésiliens étaient en surnombre,
08:34 ce qui a pu permettre cette passe de Neymar qui avait plusieurs possibilités.
08:40 Mais la barre peut entrer en action, est-ce qu'il y aurait un petit hors-jeu ?
08:45 Ça serait bien de nous remettre tout cela en plan large.
08:50 J'ai l'impression qu'il partait bien de derrière.
08:53 Le 3 de Marquigno, c'est bizarre.
08:56 C'est le flocage de l'équipementier.
08:59 Devant ça passe, derrière c'est un petit peu curieux.
09:03 Si on prend le temps, c'est que ça ne joue pas grand-chose.
09:05 Oui, ça c'est une affaire de centimètres.
09:09 Casimiro a le sourire, 2-0 ou 3-0, je ne pense pas que ça change fondamentalement les choses.
09:16 Ce qui serait bien et ce qui est dommage, c'est que nous ne puissions pas en profiter un petit peu.
09:23 Nous le montrerons probablement après la décision.
09:25 Le but sera...
09:27 S'il va vérifier, c'est que ce n'est pas hors-jeu.
09:30 S'il va vérifier, c'est probablement effectivement...
09:33 On l'a appelé, on lui dit qu'il y a une situation litigieuse.
09:36 Peut-être que ce n'est pas hors-jeu, peut-être qu'il y a quelque chose qui est litigieux.
09:39 Parce que Quinteros, à un moment, il disparaît sur l'action.
09:44 Alors là, il n'y a pas hors-jeu.
09:47 Tu vois qu'il y a les deux verts et celui qui est plein axe ne participe pas à l'action.
09:52 En revanche, il y a un joueur de la Bolivie qui...
09:58 La... Non ?
10:00 Le pépé gauche de Casimiro, est-ce qu'il n'est pas en train d'écraser...
10:02 On est en train de découvrir les images en même temps que vous.
10:04 Là, la main ne va pas être... Enfin, il n'y a pas de main de toute façon.
10:06 Mais même Rodrigo Marques, je ne vois pas ce qu'il...
10:09 Contre deux mains...
10:10 Est-ce qu'après...
10:11 Qu'est-ce qui se passe ? Alors là...
10:12 Là, non, le ballon est à terre.
10:14 Il n'y a pas eu main avant.
10:16 C'est très curieux.
10:18 Si l'arbitre va, ce n'est pas pour hors-jeu.
10:20 Parce qu'hors-jeu, il le voit d'en haut.
10:21 Ce n'est pas hors-jeu.
10:22 Là, bon... Contrôle de l'extérieur.
10:24 Ah ! Attends, Richard Lisson, il retient peut-être le numéro 6.
10:28 Regarde Richard Lisson.
10:29 Il faut oublier un peu Rodrigo et le ballon.
10:32 Et peut-être, voilà, il le retient.
10:34 Regardez la position de Richard Lisson qui, lui, n'influence pas le jeu.
10:38 Donc, on ne joue pas sur lui.
10:40 En revanche, il va bloquer, mais avec les bras.
10:44 Ce n'est même pas flagrant.
10:46 Enfin, pas sur cette action, au niveau de la perspective.
10:48 J'avais raison.
10:49 Peut-être qu'avec le pied, il touche Suárez.
10:55 Et il empêche Suárez de véritablement intervenir.
10:58 Ça ne peut être que ça.
11:00 C'est la seule position.
11:02 Là, tu vois, avec le bras, il bloque Suárez.
11:07 Il profite de sa situation, de sa position initiale.
11:09 Et là, ça veut dire qu'il n'influençait pas le jeu.
11:12 Mais là, en se bloquant devant Suárez, il influence le jeu.
11:16 Ça n'a rien à voir avec Rodrigo.
11:18 Ça a à voir entre Richard Lisson et Suárez.
11:20 Et moi, je pense qu'effectivement, ça a son influence.
11:26 Et qu'il peut tout à fait...
11:29 Est-ce qu'il gêne fondamentalement Suárez ?
11:32 L'assistance vidéo, normalement, nous parle d'erreur manifeste.
11:35 Est-ce qu'il y a une erreur manifeste ?
11:36 Je pense qu'il y a un mouvement du corps de Richard Lisson.
11:39 La question n'est pas de savoir s'il le gêne.
11:41 À partir du moment où il court à côté de lui, il met son bras.
11:43 Même s'il ne le gêne pas, finalement, il fait action de jeu.
11:45 Oui, au départ de la passe, il ne faisait pas action de jeu.
11:48 Mais maintenant, est-ce qu'il est hors jeu quand il fait action de jeu ?
11:51 Parce qu'il n'est peut-être plus hors jeu quand il fait action de jeu.
11:53 Au moment de la passe, il est hors jeu.
11:56 Le but semble validé.
11:59 Ça fait 3-0 pour le Brésil.
12:01 Le doublé de Rodrigo.
12:03 C'était effectivement très discutable.
12:05 C'est pour ça que ça a tardé.
12:07 Mais c'était bien quand même.
12:09 Pour avoir une chance de comprendre, on a les images.
12:12 Changement, la sortie de Roberto Fernandez.
12:23 Et la sortie de Boris Espedes.
12:26 Remplacé par Hector Cuéllar, le numéro 21.
12:29 Et par Luciano Ursino, le numéro 19.
12:35 Et la sortie aussi.
12:39 Il y a trois changements.
12:41 Diego Bejarano, le numéro 8.
12:43 Et remplacé.
12:45 Donc on a vu Ursino.
12:47 On a vu Boris Espedes.
12:49 Et on a vu Boris Espedes.
12:51 Donc on a vu Ursino.
12:53 On a vu Cuéllar.
12:55 Il en manque un.
12:57 Il n'est pas fit, Cuéllar.
12:59 Je me trompe peut-être.
13:01 Est-ce qu'on a besoin d'être fit pour manier le ballon avec les pieds ?
13:04 Pour courir, oui.
13:06 Devant des Brésiliens comme ça, qui vont à 1 000 à l'heure.
13:09 C'est préférable.
13:11 C'est Carlos Roca qui est entré.
13:13 Le latéral gauche.
13:15 Mais à la place de Roberto Fernandez.
13:20 Il était au milieu de terrain.
13:22 Quel numéro, Roca ?
13:24 22.
13:26 On va voir comment il se positionne.
13:28 On entend les Neymars qui descendent des tribunes de Bellem.
13:36 Et la première implantation pour Luciano Ursino.
13:46 Sur Guimaraes.
13:48 Là, c'est un grand pont joué de la semelle.
13:52 La fois, on ne la verra pas.
13:56 Neymar.
14:00 Roca, c'est un beau bébé aussi.
14:08 Il ne fait pas le voyage pour rien.
14:14 Il a un côté...
14:16 On ne va pas le croiser au coin d'une rue mal éclairée.
14:27 Du côté de La Paz.
14:31 Nouvelle balle de but, l'heure de jeu. 3-0 pour le Brésil.
14:39 Qui est en train de préparer aussi tranquillement son déplacement compliqué du côté du Pérou.
14:43 Mercredi, 4h du matin, Lima, les Stadios Nationales.
14:46 Le Brésil qui reste sur 34 et ça fera 35 matchs d'invincibilité lors des qualif' Coupes du Monde.
14:53 Ce qui est un record dans l'histoire des qualifications aux zones Amériques du Sud.
14:58 Dernier défi en 2015 face au Chili.
15:01 Le Neymar s'est frappé au second poteau.
15:04 Zimero fait l'effort.
15:12 Et là ça va être compliqué.
15:14 Est-ce qu'il y a fraude de Guimaraes ? Non, dit l'arbitre.
15:17 Le Brésil maintenant devant une équipe qui a abdiqué je pense, va jouer à son rythme.
15:40 J'espère que le spectacle ne va pas trop s'en ressentir.
15:43 On voyait des belles choses.
15:45 Pour Fernando Diniz de lancer quelques joueurs, pourquoi pas, de leur offrir des premières minutes en sélection.
15:50 Ou pas, ou pas parce que ça continue de jouer.
15:53 Côté brésilien avec Rafinha.
15:55 Ah oui, rien ne se passe.
15:59 Et le voilà !
16:02 Le but pour le Brésil, est-ce qu'ils seront bons les jeunes ?
16:06 Dans l'histoire du football brésilien, Neymar surpasse le roi Pelé.
16:11 Neymar devient le meilleur buteur de l'histoire de la sélection brésilienne
16:16 avec ce 78ème but pour devenir seul le meilleur buteur de la Célestin au 4-0 pour le Brésil face à la Poulilly.
16:30 Et cette fois, c'est bien signé Neymar.
16:33 Eh oui, décisif au niveau des passes.
16:37 Et cette fois, pour un but, la passe laser de Rafinha a fait beaucoup de dégâts.
16:45 Et après il s'est bien intercalé Neymar pour solliciter une nouvelle passe.
16:51 C'était assez facile pour lui de l'intérieur du pied, plein acte.
16:58 Il n'a pas donné l'ombre d'une chance à Vizcarra.
17:02 En y mettant une certaine puissance, on va voir toute l'action, tout l'enchaînement.
17:09 On combine avec Martínez, avec Gabriel, Lodi, Rodrigo et on va se retrouver à l'opposé.
17:17 Il y a quand même du jeu.
17:19 Alors là, Richarlison est un petit peu court.
17:21 Rafinha récupère le ballon, sa passe est très bonne.
17:25 Et derrière, c'est Rodrigo qui bouge beaucoup quand même.
17:30 Parce qu'il était un peu sur le côté gauche.
17:33 Il fait ce que droite-gauche du pied.
17:36 Il ne fait pas de passe en fait.
17:38 Il perd le ballon, mais l'arbitre laisse jouer.
17:43 Et Neymar arrive à Poinômé.
17:46 Ça veut dire quand même que sur cette action, les Brésiliens,
17:50 et c'était intéressant de la voir de son début,
17:53 on est parti de Martínez à Gabriel, Lodi, Rodrigo, etc.
17:59 Richarlison court, Rafinha, encore Rodrigo, Neymar.
18:05 Ça montre la fluidité quand même et le jeu en mouvement de cette Seleção
18:10 qui est vraiment, j'insiste, très séduisante.
18:14 Et la première frappe enfin bolivienne dangereuse.
18:17 Hector Cuellar passe à côté du premier endroit des Bersones.
18:20 Effectivement, il n'y a pas une position de premier ordre.
18:25 Mais les joueurs sont toujours trouvés, alors qu'ils sont en mouvement,
18:29 dans les 30 derniers mètres.
18:32 Neymar avec 78, record man, débuteur.
18:41 Alors je ne vais certainement pas vous faire l'affront de vous poser la question,
18:46 Neymar, Pelé, qui a le plus marqué l'histoire du football brésilien.
18:50 Mais on est sur des footballeurs de générations différentes.
18:55 Oui, oui, alors oui, Neymar n'a pas encore, encore peut-être qu'il la gagnera en 2026,
18:59 mais n'a pas encore remporté la Coupe du Monde.
19:02 Il n'a pas remporté la Coupe Américaine puisqu'il était blessé en 2019.
19:07 Il a pour lui le titre olympique, les Jeux Olympiques remportés à Rio,
19:11 en finale face à l'Allemagne.
19:13 Il lui manque quelque chose niveau palmarès.
19:15 Il lui manque quelque chose niveau palmarès, mais après niveau talent.
19:19 Alors évidemment, on parle de deux grandes pyramides,
19:23 mais celle de Pelé, de toi à moi, Hamza, elle est bien plus haute.
19:32 Elle est bien plus haute, tu ne peux pas lutter.
19:35 Il avait des qualités fantastiques.
19:40 Après, il y a eu d'autres grands joueurs, bien sûr.
19:43 On ne peut pas lutter avec Pelé, mais est-ce que quelqu'un aurait pu imaginer lutter avec Maradona ?
19:48 Attention, il va d'abord tirer cette attaque, balle de 1 0.
19:51 Et peut-être jusqu'au bout de Charliesson.
19:53 Non, il est maudit. Pour l'instant, il est maudit l'attaquant de Tottenham.
19:56 Ce n'est pas sur soi.
19:58 Oui, effectivement, on pensera qu'un joueur pourrait devenir sensiblement l'égal de Maradona.
20:06 Un petit peu en retrait pour certains, un peu plus haut pour d'autres.
20:10 Mais quoi qu'il en soit, c'est en se rapprochant terriblement.
20:14 Et en plus, le même pied gauche, la même orthologie, le même poste, etc.
20:19 Il y a beaucoup de similitudes entre Messi et Maradona, puisqu'on parle de Messi.
20:23 Mais Pelé, c'est trop fort, c'est trop fort.
20:27 Mais peut-être un jour, au Brésil, il y aura un joueur supérieur à Pelé.
20:32 Allez, le corner pour le Brésil, 66e minute. Neymar.
20:37 C'est un footballeur en confiance.
20:41 C'est fou à quel point, et on l'a souvent constaté plus facilement avec Messi que Neymar.
20:47 Mais Messi, on ne va pas revenir sur ces phrases de Neymar.
20:52 Ce n'est pas le Messi que l'on connaît, que l'on a vu au Paris Saint-Germain.
20:55 On a vu un Messi triste et qui avait une sorte de bouffée d'oxygène lorsqu'il rejoignait sa sélection.
21:01 Même pour disputer des matchs parfois amicaux, pas sans antennas, mais face à des adversaires.
21:05 C'est sûr, mais après, ce n'est plus le Messi de Barcelone non plus.
21:09 Et là, on le voit avec Neymar aujourd'hui.
21:11 C'était très compliqué.
21:12 Neymar, c'est clair qu'avec leur sélection, c'est leur pays, c'est leur culture.
21:19 Tu es chez toi, les gens n'imaginent pas.
21:22 Il va y aller.
21:23 Raphinha.
21:24 Danilo, Raphinha, Raphinha, Raphinha.
21:27 Il y a du monde au sable, plutôt à l'extérieur pour Richard Lisson.
21:31 Ils veulent le faire marquer.
21:33 Il fait tout, Raphinha, même de l'extérieur, sans élan.
21:37 Oh là là, Casemiro avec Neymar.
21:41 Casemiro à l'entrée de la surface de réparation.
21:43 C'était Bruno Guimares plutôt.
21:45 C'est un bon joueur avec Guimares aussi, Casemiro.
21:48 Oh oui, Rodrigo, avec derrière, la possibilité pour Casemiro, mais pas de penalty.
21:54 Les gens n'imaginent pas quand même que ce sont des gens profondément brésiliens pour l'un,
22:04 profondément argentins pour l'autre.
22:06 Il y en a un qui est parti à l'âge de 13 ans.
22:09 L'autre, Neymar, il devait avoir 21 ans.
22:12 Dans ces eaux-là, quand il part à Barcelone, c'est compliqué pour eux.
22:18 Même si en l'occurrence, à Barcelone, il y a des similitudes au niveau du climat,
22:24 de la chaleur des gens.
22:26 Mais leurs racines sont là.
22:32 Ils revivent en quelques slots chaque fois qu'ils retrouvent leur sélection.
22:39 Messi a fait ce qu'il a pu au PSG.
22:41 Il n'était pas en capacité de faire plus.
22:44 C'était très compliqué.
22:46 Ce n'est pas la faute de Messi.
22:48 Ce n'est pas la faute du PSG aussi, qui a essayé de faire un slot, de le mettre dans les bonnes conditions.
22:54 Ce n'est pas la faute des entraîneurs successifs aussi, qui mettaient Messi dans de bonnes conditions.
22:58 C'est dommage.
23:01 C'est comme ça.
23:03 Et donc, Neymar, si vous venez de nous rejoindre, meilleur buteur de l'histoire de la Célé Sant-Anton,
23:11 en devançant désormais un certain Pelé.
23:16 Après, pour Neymar, il y aura toujours plus de regrets aussi.
23:20 Parce que Messi, au niveau palmarès, c'est tout ce qu'il a réussi.
23:24 Au-delà peut-être du nonchalance et un manque de professionnalisme parfois,
23:30 c'est qu'il n'a pas été dans des équipes si fortes que ça.
23:34 C'était des bonnes équipes du Brésil, mais il n'y avait pas non plus...
23:40 Tu vois, bon, il y avait des bons joueurs, mais ils portaient trop de choses sur les épaules.
23:46 Mais à contrario, il a eu la chance, alors qu'il a un nouveau carton,
23:49 il a eu la chance, c'est Luciano Ursino qui vient d'entrer en jeu.
23:54 Il a eu quand même l'opportunité, Neymar, on ne le signale pas assez, en sélection,
23:57 de jouer quasiment beaucoup de compétitions à domicile.
24:00 Tout à l'heure, je citais les Jeux Olympiques, il y a la Coupe des Confédérations aussi,
24:03 qui remporte à domicile, même si ce n'est entre guillemets que la Coupe des Confédérations.
24:07 La Coupe du Monde 2014, malheureusement, il est blessé, c'est à domicile.
24:10 La Copa America 2019, il est absent.
24:12 Copa America 2021, qui devait se jouer en Colombie et en Argentine, a été rebasculé au Brésil.
24:18 Et il perd en finale face à l'Argentine de Neymar.
24:22 Oui, c'est vrai, il a eu ce luxe, il n'a pas pu en profiter.
24:26 Après, tu l'as dit, en Coupe du Monde au Brésil, et là, tout bascule.
24:31 Il y a cette agression terrible avec les genoux qui reçoivent, au niveau des reins des vertèbres.
24:38 Tout basculait aussi.
24:42 Alors, l'apparition de Kajun Ritt et le latéral.
24:45 Et Charles Hisson, il a laissé quand même 10 minutes.
24:49 Il a laissé, je ne sais pas, 70 minutes.
24:51 Mais bon, à un moment, il faut faire tourner aussi.
24:56 Richard Hisson ne gardera pas un immense souvenir de ce match, c'est évident.
25:02 Donc, apparition de Mateusz Kunia à la place de Richard Hisson.
25:06 Apparition de Kajun Ritt et le monégasque, le latéral gauche.
25:09 On pensait à la place de Renan Lodi.
25:11 Mais on a vu Danilo se rapprocher du banc.
25:15 Non, c'est bien Renan Lodi qui va traverser le terrain.
25:17 Ce qui semble plus logique, sorti d'un latéral de Ligue 1, de l'Olympique de Marseille.
25:22 Renan Lodi remplacé par un autre latéral de Ligue 1.
25:25 Voilà, Diniz qui est très affectueux avec Richard Hisson.
25:28 C'est un peu de le réconforter.
25:35 Guimares qui a été très bon.
25:36 Remplacé par Joe Linton qui a relancé sa carrière.
25:40 Qui était complètement, on ne va pas dire horrible, mais presque à Newcastle au poste d'attaquant.
25:46 Qui désormais évolue au milieu de terrain.
25:48 Et qui se retrouve en sélection, Joe Linton.
25:51 Donc poste pour poste là aussi à la place de Bruno Guimares.
25:54 Kayo Henrique qui réalise un bon début de saison avec Monaco.
25:57 Il y a les deux van der Sonne aussi qui peuvent rentrer à droite.
26:02 Qui a été sélectionné aussi.
26:04 Première sélection pour Kayo Henrique et la sortie de Marcelo Moreno-Martins.
26:14 Placé par Abreu.
26:16 La tête n'est pas cadrée.
26:18 Abreu, quel numéro ?
26:22 18, Victor.
26:23 Ce pauvre Martins.
26:25 Match particulier en plus, c'est vrai qu'on n'a pas trop parlé de ce joueur.
26:29 Qui a joué en équipe, en sélection de jeunes pour le Brésil.
26:33 Marcelo Martins qui a évolué dans sa jeune carrière au Brésil.
26:37 Au Victoria, du côté de Cruzero également.
26:39 Tenter sa chance en Europe, au Shakhtar, au Berdère.
26:42 Revenir au Brésil, au Grémio. Partir en Asie.
26:45 Désormais, on le disait tout à l'heure, attaquant l'indépendiente d'El Valle.
26:48 Et oui, c'est le meilleur buteur de l'histoire de la sélection bolivienne.
26:52 C'est le joueur désormais tout seul le plus capé de l'histoire de la sélection.
26:55 C'est aussi un joueur qui marque lors des qualifs.
26:57 Parce qu'avec la modeste sélection de Bolivie, c'est quand même le troisième meilleur buteur de l'histoire des qualifs.
27:02 Derrière Suárez et derrière Léo Messi.
27:06 Ce qui n'est pas rien. Alors là, il y a eu 4 ou 5 changements.
27:10 Et ça a duré évidemment 2 minutes, 2 minutes 30.
27:13 Et derrière, on joue 30 secondes et on te met une pause fraîcheur.
27:16 Alors, il a face à la pause fraîcheur.
27:18 Mais peut-être, en même temps, tu vois.
27:20 C'était peut-être dédicat à faire.
27:22 Mais je pense que de toute manière, avec 4-0 au compteur maintenant, à 20 minutes de lapin,
27:28 même ce qu'a dit Nice, évidemment ce qu'on rôle, c'est de continuer à les motiver.
27:34 Et que jusqu'à la dernière seconde de cette partie, le Brésil donne le maximum et continue sur sa lancée.
27:41 Est-ce qu'il peut en mettre un cinquième, un sixième, un septième ?
27:44 Il ne faudra pas hésiter.
27:46 Mais après, il faudra confirmer à Lima, évidemment, contre le Pérou prochainement.
27:54 Un élément que l'on n'a pas vraiment évoqué concernant, alors qu'on va d'abord revoir le but de Neymar.
27:58 Voilà, ce n'est pas une passe.
28:01 Mais il a eu l'intelligence de sentir que le jeu se passait là et qu'il avait une chance de récupérer le ballon.
28:08 Un élément que l'on n'a pas évoqué avec Fernando Diniz, c'est qu'aujourd'hui, entraîneur de Fulham United,
28:13 il a lancé très jeune, il avait 35 ans lorsqu'il avait débuté sa carrière d'entraîneur.
28:17 Il connaît pas mal de joueurs aujourd'hui en sélection.
28:21 Il y a huit joueurs qui sont passés par un jeu où ont été entraînés par Fernando Diniz,
28:27 qui sont passés sous ses ordres. Parmi les joueurs aujourd'hui que l'on a vus,
28:32 Renan Nody, effectivement, à l'Asietico Paralens.
28:35 Caio Henrique, qu'il a connu du côté de Fluminense.
28:38 Bruno Guimares, du côté d'Odax.
28:41 Et puis, les joueurs que l'on n'a pas vus, mais qui sont sous ses ordres aujourd'hui à Fluminense,
28:45 André, l'un des milieux de terrain à suivre, et El Hino.
28:48 Et pour la première, Rafinha Lacalona.
28:51 Il était en avance sur le ballon, il ne pouvait pas le récupérer.
28:54 Je pensais qu'il était même un petit peu hors-jeu, mais bon.
28:57 Et donc, la connaissance du football local, ça peut aussi permettre à Diniz de gagner du temps.
29:02 Attention à Rodrigo.
29:04 Il fait un sacré match quand même, Rodrigo.
29:08 La cheville, sans doute, qui a tourné un petit peu.
29:18 Et là, on voit effectivement, après le contact, les crampons se bloquent et la cheville tourne un peu.
29:25 Nouvelle récupération, ce ballon, ce court-poteau, il ne peut pas faire de miracle.
29:30 Guimares sur cette passe.
29:34 Danilo.
29:36 Caio Henrique a failli toucher son premier ballon, pas encore.
29:47 Ca joue encore dans les petits espaces.
29:50 Kounia a été recherché.
29:54 Il y a tous Kounia qui doit absolument profiter de cette rêve internationale pour s'installer dans la rotation.
30:00 Le joueur de Riverhampton désormais.
30:03 Ca y est, Caio Henrique, c'était bon.
30:07 On a parlé tout à l'heure de Richard Lisson, Gabriel Jesus sur le banc.
30:13 Kounia, parce qu'il y a...
30:17 Gabriel Jesus, il revient de blessure un peu.
30:19 Il est entré en cours de jeu et il marque ce deuxième but dans les arrêts de jeu contre Manchester United pour récemment avec Arsenal.
30:25 Mais il n'est peut-être pas à 120%, on va dire.
30:29 Il y a un quatrième Brésilien expérimenté que l'on a vu ces dernières semaines, ces derniers mois en sélection.
30:35 C'est Pedro, le joueur de Flamengo.
30:37 Et surtout, c'est la pépite alors que l'on va voir le dernier changement.
30:40 La sortie du numéro 13, Jaime Aras-Kaïta, remplacé par Coelhar.
30:44 Il y a la pépite, c'est peut-être l'avenir du football brésilien au poste d'attaquant,
30:50 l'attaquant de l'Atlético Paranaense.
30:53 En certains, Vitor Roque qui va signer, c'est fait, c'est acté, qui va rejoindre le Parsa dans les prochains mois.
31:01 Il a 18 ans et il plante but sur but, aussi bien en sélection de jeunes
31:07 qu'avec son club de l'Atlético Paranaense qui a été laissé à la disposition de l'équipe U23 de la sélection olympique
31:15 qui prépare les Jeux olympiques.
31:17 Il va falloir se qualifier d'abord, mais à suivre ce jeune joueur, Vitor Roque.
31:22 Rodrigo a peut-être été touché au départ de l'action au moment où il prenait sa course.
31:28 Il a enclenché sa course.
31:30 Oui, hors-jeu. Match tranquille, ils ont fait le boulot proprement,
31:37 mais pour Gabriel et Marquinhos, ce sera sans doute plus compliqué contre le Pérou.
31:42 Gabriel, première sélection, on imagine plutôt pour se mettre en confiance.
31:47 C'est l'idéal, oui, effectivement.
31:57 Il est allé à Lille, qui est maintenant à Arsenal.
32:00 Il progresse un peu, mais je pense que ça reste l'un des maillons faibles.
32:05 Heureusement, il y a Saliba.
32:07 Attention, Marquinhos temporise.
32:09 Il attend précisément le retour de Gabriel.
32:11 Oh, quel but !
32:13 Quel but pour la Bonavie.
32:16 C'est lui qui a remplacé Marcelo Moreno-Martins.
32:20 Victor Abrego qui va aller allumer la lucarne des Dersplandes.
32:24 Quel frappe exceptionnelle de l'attaquant de l'Universitario.
32:29 Il est vraiment seul, tu vois, quand je te disais, Gabriel, qui ne peut pas intervenir.
32:35 Et Marquinhos a trop tardé peut-être.
32:39 Il pensait que le joueur d'Arsenal avait une chance.
32:46 Marquinhos aurait dû aller de manière un peu plus incisive,
32:49 mais après il n'avait personne dans son dos.
32:51 Il est passé, il fait faute derrière le carton rouge.
32:54 Il ne veut pas l'accabler, mais peut-être qu'il a manqué de promptitude sur cette action.
33:00 Parce que Gabriel était battu de toute manière.
33:03 Il était difficile qu'il revienne sur Abrego.
33:06 C'est bien, c'est sympa pour la Bolivie, parce qu'ils n'ont quasiment pas eu une attaque.
33:11 Même ça, c'est un peu inespéré.
33:13 C'est un but curieux, mais une superbe frappe.
33:15 Le deuxième but en sélection de Victor Abrego.
33:18 Il va de nouveau solliciter le ballon.
33:25 Oui, c'est trois.
33:26 Marquinhos n'est plus prêt.
33:28 Il y a un petit moment de déconcentration.
33:33 On le soulignait, un match un peu tranquille, facile, mais un peu trop.
33:40 À 4-0.
33:42 Il y en a assez, mais il y avait hors-jeu.
33:45 C'est rapidement joué.
33:49 Manu Senor, sinon avec Abrego.
33:52 Abrego, il aura fait du bien.
33:56 Il aura fait plus que Martins.
33:59 Dans un moment où le Brésil desserre son étreinte, ça joue aussi.
34:05 Mais quand même.
34:08 Peut-être si tu es un peu plus audacieux.
34:11 Si tu assistes aussi à Martins et Abrego, ça peut donner des idées aux sélectionneurs.
34:16 Dans un futur proche.
34:18 Parce que Martins était vraiment trop seul.
34:21 Rimar.
34:29 Vascochet, Cunha.
34:39 Abrego, encore.
34:42 Cunha, Caio Nereke.
34:45 Qui profite de cette première sélection pour trouver Neymar.
34:49 Qu'est-ce qu'il va faire ?
34:51 La barre !
34:53 Le miss de Neymar.
34:55 Pas loin de surprendre Guillermo Vizcarra.
34:59 L'inspiration géniale de l'attaquant d'Almilar.
35:01 Abrego, Marquinhos, il prend le dessus, mais dans des circonstances difficiles.
35:07 Il a l'art de faire des appels de balles tranchants.
35:12 Et effectivement, la frappe de Neymar quasiment sans élan.
35:15 Il cherchait la lucarne opposée.
35:18 C'était magnifique.
35:20 On a une fin de match un peu débridée.
35:25 Ça s'explique par le résultat qui est acquis depuis longtemps maintenant.
35:28 Mais aussi tous ces changements.
35:30 Je trouve que c'est ça le changement de part et d'autre autorisé maintenant.
35:35 Et là, il y en a eu une multitude.
35:38 Donc ce n'est plus la même équipe du Brésil quelque part.
35:40 Ce n'est pas évident.
35:42 Ensuite, je veux bien...
35:44 C'est sûr qu'il fait tourner.
35:45 Il y a un match dans quelques jours au Pérou.
35:47 C'est tout à fait normal.
35:49 Il y a 4 buts d'avance.
35:50 Ce n'est pas de problème.
35:51 Il n'y en a plus que 3, mais ce n'est pas grave.
35:52 Il va encore frapper.
35:54 La frappe montaine allait signer Gabriel Villamil.
35:57 Elle est captée par Ederson.
36:00 Ce n'est pas évident.
36:03 On le dit souvent, Escaloni le répétait hier, le sélectionneur argentin,
36:06 après la victoire face à l'Équateur.
36:08 Il n'y a pas une zone plus compliquée que la zone amérique du Sud
36:13 pour les qualifications Coupe du Monde.
36:14 Alors, c'est peut-être moins vrai maintenant,
36:16 comme il y a 6 qualifiés directs, plus un barragiste intercontinental.
36:21 C'est vrai que c'est l'enfer.
36:23 Tous les déplacements sont longs.
36:27 Déjà parce qu'on est un pays comme le Brésil ou comme l'Argentine.
36:31 On a un peu de placement dans toutes les vidéos.
36:33 La météo, l'altitude, les conditions sont forcément changeantes.
36:40 Le public est féroce.
36:42 Le jeu peut être très dur pour les arbitres.
36:46 À l'intérieur du pied, cette balle flottante qui met un peu trop de temps
36:50 à redescendre finalement.
36:53 Il a beau se détendre, je pense que c'est vraiment l'ucarne, l'ucarne.
36:58 Il est battu.
37:00 Il est en larmes, Richard Lisson.
37:02 Non, Richard Lisson, ça va être difficile.
37:04 Il traverse une mauvaise passe à Londres.
37:08 On le sait depuis un certain temps.
37:11 Cunha, avec Rodrigo, balle de 5-1, le ballon pour Cunha.
37:16 La tête n'est pas cadrée pour l'attaquant de Wengeram.
37:21 Rodrigo, il a marqué beaucoup de points.
37:28 On va dire qu'avec le retour de Vinicius.
37:31 Ok, Vinicius sera titulaire, mais à droite, entre Rafinha et Rodrigo,
37:37 c'est un bon choix quand même.
37:40 Et puis il y a un cas forcément épineux, c'est Anthony,
37:44 qui a été convoqué pour cette trêve internationale
37:46 et qui a été écarté pour des soupçons de violences conjugales,
37:49 ouverture d'une enquête du côté de Manchester.
37:52 Violences conjugales sur son ex-compagne Gabriela Gavalin,
37:56 qui l'aurait frappé à plusieurs reprises cette année,
37:58 en faisant même une intervention chirurgicale.
38:01 Anthony a des qualités, mais on voit bien qu'au niveau de l'état d'esprit,
38:06 même sur le terrain, il exagère beaucoup.
38:12 Et depuis, il y a deux nouvelles femmes qui ont publiquement accusé Anthony de violences.
38:19 Ça va être difficile pour lui.
38:21 Manchester aussi qui a pris la décision de l'écarter.
38:23 C'est Gabriel qui a une fin de match difficile.
38:27 Cette première sélection, il n'y avait pas encore le but et l'action d'Abrego,
38:31 au moment où on disait que c'était bien pour se mettre en confiance, etc.
38:35 Je pense que l'action d'Abrego et son placement à ses moyens,
38:42 il fait perdre un petit peu quelques points.
38:49 La sortie de Gabriel pour sa première sélection, l'ancien Lillois,
38:52 remplacée par un autre joueur qui évolue en Arabie Saoudite, Roger Ibañez.
38:56 C'est un romaniste qui a connu le sac européen de la Conférence League
39:02 avec la Roma de José Mourinho.
39:05 Ibañez qui évolue désormais à l'Ahli,
39:08 qui est le club notamment de Bobby Firmino, de Riyad Mahrez, de Saint-Maximin.
39:16 Il aura dans son secteur Neymar quand il jouera contre Alilhal.
39:21 Donc il tacle l'Arabie avec des pinces.
39:25 Il y a un absent aussi que l'on n'a pas évoqué en défense centrale,
39:40 c'est quand même Eder Militant, qui est le patron et l'autonomie.
39:44 Pas d'inquiétude à son sujet, mais c'est vrai que c'est l'opportunité pour certains de se montrer.
39:48 Des images pas rassurantes, surtout pour un déplacement comme ça qui arrive à Lima.
39:59 Compliqué de ramener un joueur d'Europe si jamais il y a la volonté d'aller chercher...
40:03 C'est Gabriel ça ?
40:04 C'est Gabriel, comme on l'a vu.
40:05 Si Arteta regarde le match, il ne peut pas être avis.
40:09 Donc aller chercher Thiago Silva ou Bremer qui évolue à Chelsea ou à la Juve, c'est peut-être compliqué.
40:16 Donc si jamais il touche du bois, si Gabriel devait déclarer forfait pour le déplacement à Lima,
40:21 est-ce que Guinis fait appel à un défenseur du championnat brésilien ?
40:26 Parce qu'il partirait avec trois centros.
40:30 Danilo.
40:32 Neymar.
40:42 On le rappelle, c'est l'information principale de la soirée.
40:47 Neymar qui devient le meilleur buteur de l'histoire de la sélection brésilienne en devant Sampele.
40:56 Quelques records pelmels. C'est d'ailleurs le Brésilien qui a porté le plus de vols numéro 10 devant Pelé.
41:01 De peu, désormais, 94 à 83.
41:05 Et voilà Gabriel Jesus.
41:07 Le grand retour. Il n'a plus été convoqué depuis la Coupe du Monde au Qatar.
41:14 Il va faire son apparition. Je mettrais peut-être un petit biais sur Neymar.
41:18 Oui, quand même, qui bénéficie du nouveau but de la sélection brésilienne.
41:23 Oui, quand même, qui bénéficie d'une ovation comme cela a été le cas de Messi hier à Buenos Aires en sortant à quelques minutes de la fin.
41:32 Il y avait un zéro quand Messi est sorti. Le score n'était pas complètement acquis.
41:38 Là, 4 à 1, ça ira.
41:40 Danilo.
41:44 C'est Rafinha, autant pour moi.
41:48 C'est un peu compliqué.
41:50 C'est un peu compliqué.
41:52 Kayuanriqui.
42:02 Danilo.
42:17 Le but proposé. Kayuanriqui propose, mais on reste dans l'axe.
42:22 Pour faire plaisir au public, Neymar.
42:24 Le public n'est pas aussi...
42:26 Pour un joueur qui n'était pas à 100%, ce n'est pas mal.
42:34 Ça promet. Je n'aimerais pas être péruvien, si vous voyez ce que je veux dire.
42:38 Est-ce qu'on le fait sortir maintenant ?
42:44 Il faut le laisser tirer. Ce n'est pas un pénalty, mais je pense qu'il ne la laissera pas, Rafinha.
42:54 C'est son bréro.
42:59 Made in Brazil.
43:01 Il est capable. On le sait.
43:05 Il a été nettement moins performant dans ce domaine qu'au début de sa carrière.
43:11 Ce n'est pas Neymar.
43:12 J'ai l'impression que c'est le 23e changement.
43:16 Rodrigo, c'est le dernier.
43:18 Depuis 10 minutes, c'était infernal.
43:21 Un jour, ils feront comme le hockey sur glace. Ils vont nous tuer le football.
43:24 On vous laisse vivre l'ondation pour Rodrigo.
43:28 Il la mérite, cette ovation.
43:30 Il a été avec Neymar et Rafinha aussi.
43:37 Il a un doublé pour Neymar, peut-être dans quelques secondes.
43:42 La satisfaction de Diniz et de Rodrigo.
43:54 Neymar jouera 90 minutes ce soir.
43:57 Comme lors de son seul match depuis février dernier, le match amical avec le PSG.
44:02 C'était son dernier face à Youngblood.
44:04 Il va répondre à son grand ami Messi.
44:07 Messi était un peu plus loin.
44:09 Curieusement, quand c'est trop près comme ça, il y a un peu moins d'angle.
44:14 Des fois, les joueurs aiment reculer habilement le ballon d'un mètre.
44:19 Il faut qu'il ait le temps de redescendre ce ballon.
44:22 Neymar a la capacité quand même à travailler ses ballons feuille morte.
44:28 La feuille morte inventée par Didi, un prestigieux Brésilien.
44:34 Elle ne redescend vraiment pas.
44:38 Dans cet exercice, il a beaucoup perdu Neymar.
44:43 Là, on n'a même pas frémi.
44:50 Il a forcé le geste un petit peu.
44:54 On vous rappelle les prochains rendez-vous.
44:56 Le Brésil qui se rendra au Pérou mercredi à 4h du matin heure française.
44:59 La Bolivie qui accueillera l'Argentine mardi à 22h heure française du côté de La Paz.
45:05 De matchs forcément importants et à suivre.
45:08 Et puis nous, on se retrouvera pour la rencontre entre l'Équateur et l'Uruguay.
45:14 On vous rappelle sur les chaînes du groupe L'Équipe,
45:17 tous les matchs du Brésil, de l'Argentine et de l'Équateur à domicile seront diffusés
45:21 en exclusivité sur ces qualifications Coupe du Monde.
45:25 Équateur - Uruguay.
45:27 Mardi, 23h coup d'envoi.
45:30 L'Uruguay de Marcelo Bielsa qui a dominé le Chili.
45:34 Et qui se sait très attendu face à l'Équateur et sa génération dorée
45:40 que l'on a vu face à l'Argentine il y a quelques heures maintenant.
45:44 (Bruit de moteur de voiture)
45:55 - Et si la Bolivie revenait à 4-2 ?
45:57 (Bruit de sifflet)
46:00 - Ça ne reflèterait pas vraiment ce qu'on a vu ce soir mais...
46:04 (Bruit de moteur de voiture)
46:06 - Ouh ! Elle est belle ! Elle est belle !
46:08 - Il ne la relâche pas et elle est mieux.
46:10 - C'est un peu comme les deux Brésiliens mais un Bolivien.
46:12 - Un sacré frappe quand même !
46:14 - Oui. L'Équateur Puella a vérifié au ralenti.
46:18 - Mais superbe frappe ! Franchement il ne s'est pas posé de question.
46:21 (Bruit de moteur de voiture)
46:33 (Bruit de sifflet)
46:43 - Mbellem qui espère retrouver le Brésil assez vite.
46:47 Pourquoi pas, il y a beaucoup de stades au Brésil avec la Coupe du Monde 2014
46:50 qui ont été rénovés ou reconstruits ou totalement construits.
46:54 Celui-là ne faisait même pas partie pour le Mondial.
46:58 D'ailleurs le prochain match à domicile du Brésil qui sera à suivre
47:01 dans la matinée du groupe L'Equipe en octobre prochain
47:04 face au Venezuela se déroulera à Chihuahua.
47:08 (Bruits de match)
47:14 - Rafinha !
47:16 Le ballon au retrait ! Derrière la reprise de Neymar !
47:21 - Encore Neymar ! Toujours à point de vue.
47:24 - Ça fait 5 le doublé pour Neymar. 79 du coup désormais but de Neymar
47:29 en sélection. Là, il peut peut-être se reprocher quelque chose
47:33 d'Hervé Obisparra mais qu'importe, ça fait 5-1, la fête est complète.
47:37 - Oui, oui, là le gardien n'est pas exact de reproche, c'est vrai.
47:41 Neymar émanque les ballons sur ce genre de stade.
47:46 Il a l'air de se trouver au bon endroit au bon moment.
47:50 Rafinha pour une fois, demain je crois qu'il neigera ou il grêlera
47:54 à utiliser son pied droit et Neymar qui arrive avec de la vitesse.
48:02 Et effectivement Vizcarra qui met du temps à aller au sol,
48:07 qui commet une faute de main, on le voit. Il est pourtant sûr de ce ballon.
48:12 Et bien même s'il a raté la pénalty, doublé de Neymar,
48:15 Fernando Diniz est aux anges. On a retrouvé le nez
48:21 avec sa petite grimace et sa langoune.
48:26 Et derrière, on a son jumeau, au niveau de la grimace en tout cas.
48:33 On a bien fait de le laisser jusqu'à la dernière seconde de ce match.
48:37 Ce n'était pas son soir pour les coups de pied arrêtés,
48:40 que ce soit le couffant ou le pénalty, mais pour le reste,
48:44 il y a quelqu'un qui est... - Il faut supporter un petit balai.
48:47 - Oui, mais... - Neymar qui dit à la sécurité tranquille de se calmer.
48:54 Ah, il y en a deux. Je pensais qu'il y en avait un qui était massé.
48:57 - Oui, mais il n'y a aucune sécurité parce que la personne a couru sur 100 mètres.
49:03 En plus, il y a la piste. La sécurité, c'est pas des nerveux.
49:11 - Allô le cerveau ? Ça fait chaque 80 mètres qu'il y a deux personnes qui sont sur la pelouse.
49:18 Ah, OK, on y va. Très bien.
49:23 Le public se marre un peu. Bon, c'est beau d'enfin. C'est vrai, mais...
49:40 - Oui, moi, je pensais qu'un des deux faisait partie de la sécurité,
49:43 mais comme il n'intervenait pas et qu'il courait à côté de lui,
49:46 je me disais, mais à un moment, retiens-le quand même, je sais pas.
49:49 Mais là, c'est plus logique et les deux étaient de mèche.
49:54 Tout s'explique. - Allez, les dernières secondes.
50:00 - Ils sont un peu confus quand même, parce que...
50:03 - On a eu un match à six buts. Souvent des matchs spectaculaires avec la Bolivie,
50:06 qui est une équipe qui marque peu, mais qui en encaisse beaucoup.
50:11 - Le deuxième but juste à la reprise leur a fait beaucoup de mal.
50:15 - Parce qu'ils font une belle première période. - Oui, oui, ils s'accrochent en première période,
50:18 même s'il y a quand même des exploits du gardien.
50:21 - Oh, et peut-être six. Le mec Neymar, il n'a pas fait le bon choix.
50:25 Il n'est pas content d'Anilho à droite.
50:29 - Ah, l'arbitre a touché le ballon.
50:49 - Donc il la redonne à qui ? Aux Brésiliens ?
50:53 - Qui l'avait à ce moment-là ? C'était les Brésiliens, oui.
50:59 - Oui, il n'est pas obligé d'être à 15 mètres.
51:02 - Voilà, on ne va pas y passer la nuit non plus.
51:06 - Marc Niaussi, on en restera là. - Tout ça pour ça.
51:09 - Le Brésil se souviendra de ce 8 septembre dans les livres d'histoire.
51:13 C'est le jour où Neymar da Silva Santos Junior a surpassé le Roi Pelé
51:17 au classement débuteur dans l'histoire de la Sélecence.
51:20 79 buts marqués grâce à un doublé. Victoire du Brésil.
51:24 5-1 face à la Bolivie en lancement des éliminatoires de la Coupe du Monde 2027.

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