• l’année dernière
Retrouvez le replay du set 3 de France - Turquie, premier match de l'Euro masculin du 30/08/2023.

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00 On est de retour à Tel Aviv.
00:05 Premier match de l'équipe de France dans ce championnat d'Europe 2023.
00:10 Les champions olympiques qui disputent leur dernière compétition majeure
00:14 avant les Jeux, même s'il y aura la Ligue des Nations,
00:18 la Volleyball Nation League en préparation des Jeux.
00:21 Celle-là, cette compétition, elle est hyper importante Yannick,
00:26 parce qu'évidemment, il y a les Jeux dans un an,
00:29 mais les Bleus n'ont plus remporté le championnat d'Europe depuis 8 ans maintenant.
00:34 Et ce serait quand même un joli signal.
00:37 Oui, il faut aussi que cette équipe refasse peur.
00:41 Elle faisait peur pendant ces Jeux olympiques et juste après.
00:44 Aujourd'hui, elle fait un petit peu moins peur.
00:46 Et pour en avoir discuté un petit peu avec Karim,
00:48 c'est vrai qu'il faut que cette équipe refasse peur sur le niveau international.
00:58 Et bien bloqué de la part des Turcs,
01:01 parce que c'était plutôt bien géré cette situation par les Français,
01:05 même si dans le tempo, je vois faire des petits signaliques.
01:08 Oui, c'est Trevor qui fait cette feinte d'attaquer.
01:11 C'est bien joué, mais Trevor Clivenau n'est pas Antoine Brizard.
01:15 Et le rythme est toujours différent.
01:17 Il n'est pas Jean-Patrick...
01:19 Hermine N'Gapet qui a un peu inventé cette feinte aussi, non ?
01:21 On est d'accord ? On pense à Hermine qui a inventé ça.
01:23 Je ne sais pas, mais il en a inventé quelques-unes en tout cas.
01:26 Parce que maintenant, on voit beaucoup les Japonais...
01:28 Oh, ça, j'adore !
01:29 Oh, ça, j'adore !
01:31 Exceptionnel !
01:33 Antoine Brizard, on l'a vu tout à l'heure, la petite courbe derrière.
01:36 Cette fois, il la pousse au fond.
01:38 La palette d'Antoine Brizard.
01:40 La palette à Brizou.
01:41 Oui.
01:43 Après, la palette à Doudou.
01:44 La palette...
01:46 Et puis, surtout, il y a de l'efficacité, et j'ai envie de dire de l'élégance.
01:50 C'est surtout que c'est efficace, en fait.
01:52 C'est surtout ça le plus important.
01:54 Le plus important, c'est que ce soit beau, non ?
01:57 Il est beau.
01:58 Il est beau, en plus, il est beau.
02:00 Et voilà.
02:01 Voilà, oui.
02:02 Voilà.
02:03 C'est pas grave, il est beau.
02:05 Il peut s'y avoir devant, il est beau.
02:07 On l'a beaucoup trop augmenté.
02:09 On l'a un peu trop saucé, comme disent les jeunes.
02:12 Allez, 3-2 pour les Turcs.
02:17 Garder cette intensité, c'est toujours compliqué.
02:21 Et bien plongé, ce service devant Gennady Kremlinnikov.
02:24 Il a réussi à le coiffer, là, Kevin De Pierre.
02:27 Retombé, toujours dur, après un gros combat comme ça, Yannick,
02:30 en fin de set, de repartir sur le suivant.
02:32 Surtout que pour les Turcs, c'est leur dernière chance d'accrocher cette équipe française.
02:37 Là, on a vu Genia, c'est très rare de le voir en difficulté en réception,
02:41 mais là, pour le coup, il a été pris sur la trajectoire du service,
02:44 qui a retombé assez vite.
02:46 Ça, c'est pas mal tenu, Yacine Ouati, la petite feinte.
02:51 Cette fois, la Corse, elle est magnifique de la part de Berat Karr.
02:56 La feinte encore, ils sont là, ils se bagarrent, les Turcs.
03:00 Genia Kremlnikov, et Belrolan, beaucoup d'applications pour offrir un caviar à Antoine Brézard,
03:07 qui régale Jean-Patrick.
03:10 Il régale, il est très précis dans ses choix.
03:15 Et là, Jean-Patrick, il passe clairement au-dessus du passeur turc.
03:18 Cette place, elle est somptueuse, il y a du volume, il y a de la bonne vitesse, le bon rythme.
03:24 On ne l'a pas dit, mais c'est important aussi pour les Bleus de remporter le plus rapidement cette rencontre,
03:30 puisqu'ils vont enchaîner quand même beaucoup de matchs en peu de jours.
03:32 C'est important de passer le moins de temps possible sur le terrain aujourd'hui.
03:37 À droite, à gauche, Bougouta et Soubasy.
03:45 On l'a dit, un 10 mires, club de Glenoog.
03:49 Et de son fils, Chris, qui évolue désormais sous les ordres de son papa,
03:55 ancien joueur de Tours et du Paris-Voilay, Christopher Pogue.
03:58 Tu veux dire Nicolas, oui.
04:00 Pourquoi je dis Chris ?
04:01 Parce que Chris, c'est le frère, c'est l'autre frère.
04:03 C'est l'autre frère, c'est ça.
04:04 Nicole, la tante aussi.
04:08 Mais Chris était aussi, alors je sais pas,
04:11 aujourd'hui, mais il a été aussi à un moment donné sur Izmir avec son papa.
04:15 Ah c'est ça, il était dans le staff.
04:17 Ouais, exactement.
04:18 C'est pour ça que je le confonds.
04:19 Une famille très attachante, c'est pour ça qu'on a tendance à en parler, on est désolé.
04:24 Parce qu'au-delà d'être des...
04:25 Oh oh oh !
04:26 Qu'est-ce que c'est que cette attache-là ?
04:27 Bon, il y a Antoine qui a décidé d'accélérer un peu.
04:31 Là, c'était un petit peu atypique, on avait une défense de Barthe déjà.
04:35 Je pense que là, on a pas vraiment pu faire de défense.
04:37 On a pas l'air d'avoir le MVP du match, que ce soit Barthe ou Antoine.
04:44 Je verrais bien Antoine Brizard quand même, aujourd'hui, moi.
04:47 Mais bon, c'est vrai que Barthe, s'il est naissé, il peut pas faire beaucoup mieux que ce qu'il fait,
04:54 notamment en attaque.
04:55 Regardez, il est là, il est là, Hervé Dembapé.
04:57 Ton soutien présent.
04:59 L'ambianceur, l'ambianceur.
05:02 C'est ce que disaient les joueurs, au-delà du fait qu'il revient doucement.
05:07 Pour l'instant, c'est évidemment pas le meilleur Herbine.
05:10 Mais quand il est là, il se passe quelque chose.
05:13 Même sa présence sur le banc, elle est importante pour le groupe,
05:16 pour recréer ce groupe qui se prépare vraiment pour les Jeux Olympiques aujourd'hui.
05:21 Et alors, Niko Le Goff.
05:25 Oh, les garçons, là.
05:26 Par contre, les Turcs qui râlent.
05:28 Parce qu'ils estiment que Niko Le Goff a joué les handballeurs.
05:35 C'est ça, un peu, non ?
05:36 Si, oui.
05:37 Mais encore une fois, c'est à l'appréciation de l'arbitre.
05:40 Donc, encore une fois, c'est l'arbitre qui s'est mis dans une situation délicate
05:44 par rapport à ce premier contact, dans le premier set, qui a été sifflé en faveur des Français.
05:49 Et là, c'est ce que doit répéter le passeur et capitaine de la Turquie,
05:53 Arslan Ekci, qui doit répéter qu'au premier set,
05:57 le même genre de ballon avait été sifflé en leur défaveur.
06:00 Et pour le coup, là...
06:01 Non, ouais, d'accord, il a deux...
06:03 Ça ne l'imchoque pas trop.
06:04 Non, mais non, ce n'est pas violent.
06:06 Ce n'est pas violent.
06:09 Ça, par contre, ce n'est pas très beau.
06:11 Complètement déchiré, cette attaque.
06:13 Adis Lagoumziya.
06:15 Après, il a quand même beaucoup de ballons difficiles.
06:18 Il a eu un coup de pied, il a eu un coup de pied.
06:20 Après, il a quand même beaucoup de ballons difficiles.
06:23 Parce que là, c'était quand même une passe qui arrivait de 6, 7, 8 mètres
06:27 sur une trajectoire derrière.
06:29 Ça, c'est une belle passe.
06:39 Ça, c'est une belle passe, très intelligemment faite
06:41 de la part d'Ekci, de jouer en deux temps.
06:43 Et par contre, là, la présence physique de l'intenable Antoine Brida.
06:49 Et puis, il y a quand même le passeur turc qui a tenté de jouer les mains
06:52 à Trevor Klevno et ce n'était pas le joueur sur qui il fallait le faire, je pense.
06:56 Non.
06:57 Il a quand même l'habitude de ce genre de situation.
07:01 Et apprendre les vieux singes à faire un grimace,
07:06 ce n'est pas la meilleure des idées.
07:08 Antoine Brida, il est en Caine.
07:11 On a eu le plaisir, pour ceux qui étaient présents
07:13 au plus grand tournoi français de plage,
07:15 les Estivales de Volet qui accouplent 1500-2000 joueurs tous les ans.
07:19 Du débutant à l'estivant, beaucoup de joueurs de régional, départemental,
07:25 jusqu'aux meilleurs joueurs français.
07:27 Antoine Brida a fait l'honneur d'être présent.
07:31 Il a d'ailleurs disputé un tournoi à l'Attaque et il l'a gagné.
07:35 Et c'est peut-être là, finalement, qu'il s'est trouvé des petites véléités d'Attaque.
07:42 En tout cas, là, il s'exprime magnifiquement,
07:45 notamment dans le domaine offensif.
07:47 C'est pour dire que la grande famille du Volet était ravie aussi
07:51 et a la chance de pouvoir côtoyer ces garçons-là dans des circonstances comme celle-là.
07:56 C'est-à-dire partager le terrain avec les champions olympiques.
07:59 C'est sûr qu'on reste encore un sport familial.
08:02 Comme tu le disais, les professionnels peuvent échanger,
08:06 passer du temps avec les jeunes, les amateurs.
08:09 Et je trouve ça très sympa.
08:11 - Ouais, la bonne défense de Geniak Rebennikoff.
08:15 Le renversement.
08:17 Regardez, qu'est-ce qu'il fait là ?
08:19 Il n'a rien à faire là, Geniak Rebennikoff.
08:22 Et pourtant, il est là et c'est là où il doit être.
08:25 - C'est sur la lecture où il est aussi impressionnant.
08:28 Après, on le répète à chaque fois.
08:30 - Répétons-le.
08:31 - On le répète à chaque fois, mais c'est vrai que, clairement, il pue le Volet.
08:35 Il sent la situation une, deux secondes avant de se faire.
08:40 Avant tout le monde, avant la grande majeure partie des joueurs.
08:43 Et c'est là où il fait la différence.
08:45 - Je crois que c'est ce qui fait sourire Andréa Djani.
08:47 Je ne sais pas si vous avez vu sur la dernière défense,
08:49 où se situe Geniak Rebennikoff.
08:52 C'est à gauche du terrain.
08:54 Et c'est là où il doit être dans le système.
08:56 Et la balle d'avant, finalement, il la défend à l'opposé.
08:59 Il est à 8 mètres, 10 mètres de là où il doit être.
09:01 Parce qu'il a senti avant tout le monde.
09:03 Et ça, honnêtement, je ne vois aucun joueur au monde faire ça.
09:07 Même les plus grands libéraux dans d'autres pays.
09:09 Je n'ai jamais vu d'autres joueurs vraiment dépasser sa fonction à ce point-là.
09:14 - Oui, c'est assez impressionnant.
09:17 Et c'est en dehors de ses qualités, je veux dire, intrasects.
09:20 C'est quelqu'un qui a toujours été très régulier dans toutes ses performances.
09:23 On a vu Erwin, parfois, passer au travers de certains matchs.
09:26 On a vu Jean Patry aussi.
09:28 En fait, il fait partie des joueurs, vraiment,
09:30 où il ne descend jamais en dessous d'un certain niveau.
09:33 Et il apporte aussi cette joie de vivre.
09:36 On voit toujours sourire, toujours prendre du plaisir sur le terrain.
09:39 Et c'est hyper communicatif, je trouve, pour le reste de l'équipe
09:42 et le reste du groupe d'avoir un joueur comme ça sur le terrain.
09:44 - Et l'équipe de France a pris les commandes de ce troisième set.
09:51 Et ça, c'est important, parce que c'est vrai, on rappelle le début de compétition.
09:57 On a entendu tout à l'heure le capitaine Benjamin Tenutti le dire.
10:00 Toujours dur de rentrer dans une compétition après une longue préparation.
10:03 Et les entames de set, jamais évident aussi d'être devant,
10:08 de ne pas laisser l'adversaire espérer.
10:11 Et je trouve qu'en termes d'attitude, je ne sais pas ce que t'en penses Yannick,
10:14 mais je les trouve particulièrement justes les Français.
10:17 Ils ne sont plus dans l'euphorie, ils ne sont pas complètement extatiques,
10:21 mais ils sont là, dans l'intensité, dans l'aggravation.
10:24 - Ils ont besoin de retrouver cette énergie.
10:26 Cette équipe, elle ne peut pas bien fonctionner sans cette énergie
10:30 qu'ils mettent au quotidien pendant les matchs, pendant l'entraînement.
10:33 Et je trouve qu'on l'avait un petit peu perdue ces derniers mois,
10:36 voire dernières années, après les Jeux Olympiques.
10:39 Et c'est quelque chose qu'on attend d'eux.
10:41 C'est quelque chose qui est normalement naturel.
10:43 Et c'est vrai que pour ça, il faut être performant, il faut être prêt physiquement.
10:46 Et là, aujourd'hui, je trouve qu'ils montrent un beau visage,
10:49 surtout dans l'énergie ensemble.
10:51 - Derrière une bulle, bulle.
10:56 Oh, la défense de l'épaule. Il est courageux, là, Mibéral.
10:59 Il est courageux, Arslan Eksi,
11:02 avec cette défense de l'épaule un peu miracle.
11:05 - Oui, miracle, ça va baisser un petit peu les statistiques de Barthe.
11:10 - Il n'a pas peur, c'est un guerrier.
11:17 Parce que là, il faut se mettre sur ce poste 1,
11:20 là où le passeur turc est en défense, pour aller...
11:24 - Celle-là ! Tu ne la défends pas, celle-là !
11:28 - Oui, c'est dur pour le central, malgré qu'il le sait, qu'Antoine...
11:32 Là, on le voit s'aligner quasiment à Matic.
11:35 Mais Barthe, il laisse vraiment passer ce ballon sur l'épaule gauche.
11:39 Et c'est vraiment sa force d'avoir vraiment ces deux angles vraiment très prononcés.
11:42 - 12-10 pour l'équipe de France, avec Antoine Brizard au service.
11:46 - Oh, super ! - Super !
11:48 Sans frapper très, très fort, mais en trouvant une zone exceptionnelle.
11:53 - On a le MVP, je crois.
11:55 - Oui, je crois qu'il est en train de tuer le débat.
11:58 Il est en train de tuer le débat, parce qu'au-delà d'être bon, là,
12:02 depuis que la France... Antoine Arthur Fabien Brizard fait un bon match.
12:07 - Et puis, être à 7 points pour un passeur au milieu du deuxième set, du troisième set, pardon.
12:16 - C'est correct. - C'est plutôt correct pour un passeur.
12:19 Ça me plaît, ça. Pour un passeur offensif.
12:23 - Ça vous parle.
12:25 Yannick Bazin.
12:30 Allez ! Ouais, magnifique.
12:34 Geniavia Pénicauf et la pipe envoyée par Trevor Clévenod.
12:42 Mais quelle réception au départ de Genia, parce qu'il arrivait très, très vite, ce service.
12:48 - Ouais, et le bon choix à la passe, là, qui démarque complètement Trevor.
12:55 Marc, il lui dit de taper un peu plus fort, parce qu'il était pas loin de se faire défendre.
12:59 - Mais surtout, il lui dit "ça va, ça a l'air d'aller, les poules", hein.
13:01 Parce qu'on rappelle que les poules de Trevor, c'est un peu son souci.
13:04 Et on peut lui dire "écoute, ça a l'air d'aller bien, là. Ça marche bien, les anti-inf'.
13:08 Et alors, il nous a inventé deux fentes main gauche tout à l'heure.
13:12 Et là, la petite femme derrière la tête.
13:14 - Là, ils sont en train de dégoûter, les Turcs.
13:16 - Les Turcs, ils sont un peu déboussolés, parce qu'ils leur font un petit peu tout.
13:19 Là, ils poussent à droite, à gauche.
13:21 C'est ça, le jeu de l'équipe de France.
13:25 C'est ça, d'arriver à reconstruire derrière une défense, d'arriver à remettre le ballon au filet.
13:29 - C'est magnifique. - Et ça pousse à droite, à gauche.
13:31 - Regardez Andréa Djani.
13:33 Qui se régale à voir ses garçons jouer comme ça.
13:42 - Ils en rigolent, mais je pense que ça doit l'agacer de faire ces petites fautes sur les services flottants.
13:49 - Ils ont envie de se faire plaisir aussi.
13:54 Ça se sent pour trouver la limite entre se régaler et évidemment être sérieux, comme ici, sur cette réception.
14:02 La pêche de Yacine Nwati, voilà.
14:04 Il a raté son service juste avant. Il est sollicité sur la pêche.
14:06 C'est défendu par les Turcs.
14:08 La relance est parfaite.
14:11 Et l'attaque est intouchable.
14:13 Ça déroule.
14:15 C'est du très très haut niveau proposé par les Français.
14:18 - Ouais, pour un entame de championnat d'Europe, c'est pour l'instant une belle qualité de jeu que nous proposent les Français dans tous les compartiments.
14:27 Il n'y a pas un joueur vraiment...
14:29 On sent vraiment une régularité à tous les postes.
14:32 Vraiment tout le monde en forme au bon moment.
14:40 - Même si on peut commencer déjà à anticiper l'éventuel, même si c'est dans un bout de temps, des duels face aux meilleures nations que sont l'Italie et la Pologne.
14:50 On l'a dit en débutant de transmission, ce sont les grands favoris.
14:53 Il va falloir certainement faire ça en mieux.
14:57 Et notamment au service.
15:00 Le petit soutien du pied.
15:04 Oh, qui va sortir.
15:07 Il n'était pas loin Antoine Brézard de soutenir ce ballon au pied.
15:11 Parce qu'on rappelle que le volerieur a le droit de toucher le ballon avec toutes les parties de son corps.
15:17 Et ça n'a pas toujours été le cas.
15:20 Il y a même eu un moment, si je ne dis pas de bêtises, on avait le droit de toucher une fois de la tête par 7.
15:26 - Ça remonte.
15:28 - Non, ça c'est mieux.
15:30 Mais bon, remontons, faisons l'historique.
15:32 - Attention au bleu qui se sont fait bloquer juste avant.
15:38 Une faute directe.
15:40 Attention à ne pas être trop facile comme dans ce deuxième set.
15:45 Où les bleus ont toujours été devant et se sont fait rattraper sur la fin de set.
15:49 - C'est le danger quand on déroule et qu'on joue bien comme ça.
15:52 Pour revenir sur la règle, il y a un moment où on a le droit de toucher des ballons juste au-dessus de la taille.
15:56 Si la balle touchait les jambes ou les pieds c'était faute.
15:59 Et à un moment donné la Feda International a dit que le but du jeu c'est quand même de faire vivre le ballon.
16:04 Et on a pas malgré cette règle commencé à avoir des volayeurs jouer avec les pieds.
16:10 C'est deux, trois fois par match pour aller sauver un ballon.
16:15 Ou quand on n'a pas le temps de toucher avec les pieds.
16:18 - C'est vraiment des réflexes ou des situations qui sont très rares.
16:22 - Et ça peut offrir des défenses spectaculaires.
16:26 J'ai en tête l'image de Herbinette Gapet qui part au fond du gymnase et qui remet le ballon avec le pied.
16:31 - Il l'a fait plusieurs fois ça.
16:33 - C'est un très bon footballeur.
16:35 - Très bon footballeur, oui.
16:37 - Je crois qu'à un moment il faisait les deux d'ailleurs.
16:39 - Il faudrait que je lui repose la question.
16:41 Je me demande s'il n'a pas joué plus jeune avec Lévin Kurzawa.
16:44 - Je crois que tu as raison.
16:45 - Je crois bien que j'ai raison.
16:47 - Je crois bien que j'ai très souvent raison.
16:53 - Nico, Nico Le Goff à l'attaque.
16:56 Encore une fois, belle régalade d'Antoine Brizard.
17:00 - Qui l'utilise beaucoup sur la shoot.
17:03 C'est cette fixation à 2-3 mètres du passeur qui est très difficile à lire pour l'équipe adverse quand elle est bien jouée.
17:11 - Ça c'est un bon service.
17:13 Oh la défense ! Il n'était pas loin.
17:16 Qu'est-ce qu'il était vite au sol là, Génie Agribennikoff.
17:19 - Le petit coup d'œil avec le sourire d'Antoine Brizard qui a de l'arbitre.
17:22 - Et celle-là du Brizard, elle est limite.
17:25 - Et celle-là, effectivement, ça ressemble un peu à du handball.
17:30 - Je crois qu'il a décidé de plus rincer.
17:32 Je pense qu'il s'est rendu compte que tout à l'heure, il avait fait une petite erreur et qu'il aurait mieux fait de laisser jouer.
17:38 - Oui, parce qu'au début de match, vous n'étiez pas là.
17:40 Les Turcs se sont fait sanctionner sur un ballon estimé porté par l'arbitre qui était quand même très, très discutable.
17:47 Les Turcs ont beaucoup, beaucoup discuté justement et contesté.
17:51 - Et depuis, l'arbitre ne siffle plus du tout de contact porté comme ici.
17:56 Troisième attaque, main gauche de Trevor Klibno.
17:59 Et l'avantage, c'est que ça préserve son épaule.
18:01 - C'est ce que j'allais dire.
18:03 C'est ce que j'allais dire pour le coup.
18:05 Il économise son bras un petit peu malade.
18:08 - Qu'est-ce qu'il a bien, celle-là, cette petite ferme d'épaule ?
18:11 - Encore une fois, c'est une palette.
18:12 Il a beaucoup, beaucoup de coups et c'est difficile pour un bloqueur ou même un système défensif d'anticiper Trevor Klibno
18:19 parce qu'il a vraiment plusieurs coups.
18:21 - Et service flottant à 3 mètres.
18:27 Ah, il n'était pas loin.
18:29 Si, finalement, il y a quand même un peu de distance.
18:31 Ce ballon touché par Antoine Brizat en bloc.
18:33 - Pourtant, Antoine qui prend beaucoup de place, là.
18:36 On va le voir sur le ralenti.
18:38 On voit quand même Nikolo Goff qui fait un plutôt mauvais choix parce que la réception était un peu loin.
18:43 Il a anticipé le renversement du passeur et Antoine qui s'est retrouvé tout seul.
18:48 - Et les Turcs sont là.
18:49 Les Français, on a l'impression qu'ils maîtrisent, qu'ils sont tranquilles.
18:52 Mais les Turcs sont à un point seulement.
18:53 Attention de ne pas se faire piéger justement par cette relative tranquillité.
18:58 Et on voit Antoine qui secoue un peu ses coéquipiers parce qu'il a dû regarder le squad.
19:01 Et les gars, il n'y a que 19-17.
19:03 Attention.
19:04 - C'est exactement ça.
19:07 Et Antoine, il a toujours adoré jouer au centre.
19:10 Mais ce soir, encore un peu plus que d'habitude.
19:13 On verra après sur les statistiques, mais il surutilise nos contreurs centraux.
19:19 - Et il est présent au bloc.
19:22 Il est présent, Antoine.
19:23 Nouvelle occasion pour les Turcs.
19:25 Ils savent le faire aussi.
19:27 À l'image de la Gumsilla, cette petite fin de déposée.
19:30 - Oui, c'est bien joué aussi.
19:33 - Et il tient, il tient.
19:35 Il reste au contact.
19:36 18-19.
19:39 Et tout à l'heure, c'est un peu ce qui s'est passé jusqu'au moment où un joueur turc a débarqué au service, a commencé à envoyer.
19:46 C'était, si je ne dis pas de bêtises, Soubasy.
19:49 - Exactement.
19:51 - Et là, c'est Bédirhan Bulbul.
19:53 Qui sert bien, regardez.
19:55 Réception à 3 mètres, mais ça n'empêche pas.
19:57 Antoine Brilhard.
19:58 Alors, jusqu'où il va pouvoir jouer avec ses centraux ?
20:01 Mettez-lui une réception à 9 mètres au fond du terrain.
20:04 Je serais curieux de savoir s'il ne continuerait pas à jouer avec ses...
20:07 - Ils peuvent jouer les yeux fermés.
20:09 J'ai l'impression que peu importe la réception, ils arrivent toujours à trouver la balle pour pouvoir le rendre disponible.
20:15 - Oui, parce que pour jouer comme ça avec les centraux, on dit souvent qu'il faut que la réception soit au filet.
20:20 Pour que les passeurs puissent jouer avec le jeu rapide.
20:22 Mais voilà, suivons les passeurs.
20:24 Oui, tenu tranquillement.
20:27 Mais il continue !
20:28 Il continue !
20:29 Il continue à jouer avec Martine Zephia.
20:33 - L'énergie géniale, c'est incroyable.
20:35 Parce que, bon certes, il n'y a pas beaucoup de supporters, pas beaucoup de public.
20:39 Mais on l'entend en hanguet à chaque fois.
20:41 - C'est un copain.
20:42 - Son équipe, lui dire non pour que les bloqueurs ne sautent pas.
20:45 Et c'est lui qui, malgré une belle attaque, apporte quand même une défense où on peut derrière jouer au centre.
20:51 Et ça, c'est quand même la classe.
20:53 - C'est une locomotive.
20:55 Enfin, une locomotive qui pousse de derrière.
20:57 Il apporte une énergie.
21:01 - C'est rassurant, cet état d'esprit, je trouve, sur ce qu'on avait pu voir ces deux dernières années.
21:08 De voir les Bleus aussi concentrés, aussi prêts physiquement sur un Euro.
21:14 C'est plutôt rassurant, je trouve, en ce début de compétition.
21:18 - Et puis on sait la qualité des préparateurs physiques de l'équipe de France.
21:21 Et ils ont plutôt coché la fin de l'Euro au milieu du mois de septembre.
21:26 Donc ils sont en train de monter en puissance.
21:28 On sait que les préparations sont quand même calibrées quasiment au jour près
21:32 pour arriver en Cannes pour le dernier carré.
21:36 On l'espère.
21:37 Le feu d'artifice de cet Euro qu'on va suivre tout au long de ce mois de septembre.
21:46 Ouh là !
21:48 Air brisou.
21:50 - Air brisou.
21:51 - Ouais.
21:53 - Nice.
21:57 - Elle est partie à l'horizontale.
21:59 - Ça agace un trait à Gianni.
22:03 Mais qu'est-ce que tu veux dire à Antoine Brizard sur ce match ?
22:06 - Ah là là !
22:07 - Il a masqué un petit peu sa mou, on peut dire ça comme ça ?
22:10 - Ouais.
22:11 - Ouais.
22:12 - Il s'est retenu.
22:13 - 19-21, deux breaks d'avance pour l'équipe de France.
22:17 Continuer à tenir cette réception.
22:19 Et oui, en plus, les Turcs savent qu'Antoine Brizard fait un tel match aujourd'hui
22:25 qu'il doit absolument faire sauter la réception.
22:29 Donc ils sont un peu en sur-régime au service.
22:31 Et les Français en profitent.
22:34 22-19.
22:35 Parce que quand on joue face à un passeur aussi inspiré...
22:40 - Si on ne met pas la réception en difficulté, c'est clair que ça devient compliqué.
22:44 - Yacine Moati qui a raté son service précédent.
22:47 Il ne prend pas trop de risques.
22:49 L'enchaînement avec Yacine Moati bien placé.
22:54 Trévor Clévenod...
22:55 Oui, Trévor qui attrape la main extérieure.
22:58 - Les Turcs qui râlent encore.
23:01 - Sur le deuxième contact.
23:02 - C'est un contact d'Antoine.
23:03 - Et la créativité, regardez ce que ça fait.
23:09 Trévor Clévenod, déjà, la défense elle est belle.
23:12 - La défense.
23:13 Antoine, c'est son rôle de prendre la passe.
23:16 Et là, on joue les coups du géant Matic.
23:21 - Le petit coup de poignet superbe.
23:24 Travail de la main.
23:26 Allez, décider d'envoyer un peu plus.
23:30 Yacine Moati.
23:31 Et alors, génial, Djabelykov, tranquille, qui tient cette défense.
23:36 Et la deuxième de Matic en puissance.
23:39 - On est sur tous les ballons.
23:42 C'est difficile pour les Turcs à chaque fois de devoir attaquer une fois, deux fois, trois fois dans le même point.
23:48 Ça use, ça use.
23:50 Pour le coup, Genia, il use des attaques adverses.
23:54 - On a l'impression que la défense est facile avec Genia Grébénikov.
23:56 Mais il faut se dire qu'il y a un garçon qui arrive, qui est à 4-5 mètres de lui.
24:00 Et qu'on voit des pralines à 120 km/h.
24:03 Et au-delà de la toucher, il faut la garder en vie, il faut la maintenir.
24:08 - Première petite erreur d'Antoine Brézard, si je peux me permettre.
24:12 - En soulignant là et insistant dessus.
24:14 - Mais première, vraiment première.
24:16 D'ailleurs, André Adjani qui voit que les Français sont peut-être un peu trop faciles.
24:20 Du coup, décide de couper cette...
24:21 - Je pensais qu'il allait sortir moi tout de suite.
24:23 - Ça aurait été un peu dur quand même.
24:25 - Ça aurait été un peu sévère peut-être.
24:27 Là, en fait, l'erreur qu'il fait, c'est la passe qui effectivement s'écarte un peu du filet.
24:32 - Oui, c'est vraiment une petite erreur.
24:36 Encore quand je dis petite erreur, c'est parce que derrière, Jean-Patrice va être attrapé par le bloc.
24:40 Il aurait pu aussi trouver une autre solution.
24:42 - Tout à fait.
24:43 - Un bon attaquant se doit de compenser et s'adapter.
24:47 - C'est jamais la faute du passeur.
24:49 - C'est jamais la faute du passeur. On est d'accord.
24:51 Tu étais passeur, non ?
24:53 - 21-23.
24:56 À deux points, les Turcs, qui peuvent encore y croire.
25:01 Parce que c'est vrai que dans le jeu, on a l'impression qu'ils sont très loin.
25:03 Parce que les Français dégagent une sorte de tranquillité, de facilité.
25:06 Mais au niveau du score, c'est ce qui peut être un peu trompeur dans ce match.
25:10 Ils sont encore là, avec effet de Béram au service, qui est capable d'être dangereux.
25:16 Et il est dangereux. Regardez ce service.
25:18 Allez, Trevor Clévenod. Il est soutenu. C'est défendu.
25:23 C'est pour revenir à un point. C'est pour revenir à un point.
25:25 Et eux, ils le font ! Ils le font !
25:27 - Attention, attention. Attention à ne pas être trop facile.
25:31 On a vu, je crois que c'est Trevor.
25:33 D'ailleurs, je pense qu'il va laisser sa place.
25:35 - À Timothée Carle.
25:39 - Il aime bien faire rentrer dans des moments chauds comme Timothée Carle.
25:42 - Oui, il ne le met pas dans les meilleures situations, je trouve.
25:45 - Ou alors, il lui fait confiance. - Il lui fait confiance.
25:48 On peut voir ça comme ça. - C'est plutôt ça.
25:50 Attention à ce garçon qui est en train de monter en température.
25:53 Effet Béram, qui va certainement vouloir servir sur Timothée Carle.
25:58 Et il est là, Timothée, pour inscrire le 24-20.
26:02 Petit terrain de Béram, peut-être.
26:04 - Bravo à lui.
26:06 - Il sert son Grebennikov.
26:09 - Bravo à Timothée Carle, qui à chaque fois qu'Andréa Gianni a eu besoin de lui,
26:15 il a toujours été présent, que ce soit au service, à l'attaque.
26:19 - Parce que là, ce qu'il fait, il rentre.
26:22 Il inscrit le 24e point français et il ressort.
26:25 - Ce qui est fort, c'est qu'Antoine Brizard lui donne ce ballon.
26:30 Et c'est quand même compliqué pour un passeur de prendre le risque
26:34 à 23-24 de donner un ballon sur un mec qui rentre comme ça sur un point.
26:38 Mais il lui fait confiance et c'est bien joué parce qu'il le met en incontraint.
26:42 - Balle de match.
26:43 Quentin Jouffroy au service.
26:45 Qui sert dehors.
26:48 Je pense qu'il a un quota d'ace.
26:50 Il va se les garder pour les quarts et les demi et la finale.
26:53 - J'espère.
26:54 - On fait ça, Arsh ?
26:55 - J'espère.
26:56 Je pense qu'Andréa Gianni mise aussi là-dessus parce qu'aujourd'hui,
26:59 il n'était pas en réussite.
27:00 Mais on ne va pas rappeler la difficulté que c'est de rentrer au service.
27:05 - Deuxième balle de match.
27:07 Cette fois en réception.
27:10 Mert Matić au service.
27:13 Service flottant sur Yacine Ouattiou.
27:16 Pas facile.
27:17 Pas facile pour Jean-Patrick.
27:18 Il est défendu par la Goumsia.
27:21 Ça va partir en poste 4, ce ballon.
27:24 - Bien joué.
27:25 - Quelle que c'est bien joué.
27:26 Oh là là.
27:27 Et les Turcs reviennent à 24 partout.
27:29 - Les Turcs qui reviennent, qui reviennent encore une fois.
27:32 Et les Bleus qui se font peur, qui arrivent à se faire peur
27:35 malgré, comme tu disais tout à l'heure, le fait qu'on a cette sensation
27:39 que les Français sont au-dessus et déconcertant de facilité.
27:42 Mais quand ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.
27:46 - Et Soubasy a trouvé une magnifique petite attaque là.
27:51 Allez, cette fois, il faut le faire.
27:53 Il faut le faire absolument.
27:54 Jean-Patrick.
27:55 Il est défendu, Jean-Patrick, par Berhame.
27:59 Le soutien, encore une fois, avec Bulbul qui était là.
28:03 Encore une fois, Soubasy.
28:05 Et cette fois, ça va être une balle de 7 pour les Turcs.
28:08 - C'est mérité de la part des Turcs qui s'arrachent vraiment sur les ballons.
28:13 Ils ont eu raison d'y croire.
28:15 - Et oui, ils étaient là, entraînards.
28:19 - Et qui est gênant sur ces deux derniers services.
28:22 Là, Matic encore une fois sur Trévor Clévenod.
28:25 Trévor à l'attaque.
28:27 Solide Trévor.
28:28 Il n'a pas eu beaucoup de ballons à négocier comme ça.
28:31 Et il ne tremble pas.
28:32 - Non, surtout, il s'en est souvent sorti en poussant.
28:35 Il a eu beaucoup de ballons.
28:37 Il a eu beaucoup de ballons.
28:39 Il a eu beaucoup de ballons.
28:41 - Et il a eu beaucoup de ballons.
28:43 - Et il a eu beaucoup de ballons.
28:45 - Non, surtout, il s'en est souvent sorti en poussant les ballons.
28:49 Et là, il sentait quand même qu'il fallait qu'il en mette un petit peu plus.
28:52 Peut-être que l'épaule le gêne un petit peu.
28:55 Mais là, ça ne s'est pas vu sur cette attaque-là.
28:58 - Et là, on voit tout le travail de fixation.
29:00 Le fait d'avoir beaucoup, beaucoup joué au centre dans ce match.
29:03 En fin de 7, les 103 adverses sont obligés de s'engager.
29:07 Et Trévor se retrouve en 1 contre 1.
29:09 25 partout.
29:11 Allez, encore une fin de 7 au couteau.
29:13 On aime ça aussi.
29:14 Montrer toutes les qualités mentales.
29:16 Jean-Patrick au service, qui sert plutôt bien.
29:20 Même si c'est tenu.
29:21 Oh !
29:23 MVP Antoine Brizard !
29:25 - Un monstre bloc !
29:27 - Énorme bloc sur Buruta et Subazi.
29:30 - Ouh là là là !
29:31 Mais je crois qu'il a écarté complet, là, non ?
29:33 Il a écarté les...
29:34 Ouais !
29:35 - Oh, oh, oh, oh !
29:36 - Celle-là...
29:37 - Celle-là, je l'ai fait souvent à 4 heures du mat', c'est vrai.
29:42 - Je pense que la photo de ce bloc, je peux peut-être la mettre dans mes toilettes.
29:45 - J'en ai mis 2-3 comme ça avant de me réveiller le matin.
29:48 - Ouais ? C'est vrai ?
29:49 - En pleine nuit, ouais.
29:50 J'en ai mis 2-3 comme ça.
29:52 - Pas moi !
29:53 - Oh là là, ça c'est le bloc de rêve.
29:57 De rêve sur 1 contre 1.
29:59 J'écarte des blocs exceptionnels.
30:01 26-25.
30:02 Jean-Patrick.
30:03 Et voilà !
30:04 Et voilà !
30:05 Ils sont là !
30:06 Ils sont là, les Golden Boy !
30:08 Avec Kervin N'Gapet,
30:10 qui vient au milieu de la mêlée
30:12 pour célébrer cette première victoire dans 7 euros.
30:16 Avec 2-7 finalement au couteau.
30:19 Ils n'ont pas survolé finalement les débats en termes de score,
30:22 mais c'est une entrée en matière hyper rassurante
30:26 pour l'équipe de France qui s'impose 3-7 à 0 face à la Turquie.
30:31 OK.

Recommandations