Laurent Bonadéi, adjoint d’Hervé Renard à la tête de l’équipe de France féminine et ex-coach de la réserve du Gym, est l’invité ce vendredi de Gym Tonic, l’émission consacrée à l’actualité de l’OGC Nice du groupe Nice-Matin. Autour de Michaël Lefebvre, on retrouve nos journalistes Philippe Camps, William Humberset et Vincent Menichini.
Au menu de ce nouveau numéro : un retour sur le nul face à Lille lors de la première journée de Ligue 1, un focus sur le coaching de Francesco Farioli, le match des recrues (Sanson-Boga), la titularisation de Marcin Bulka dans le but, un point sur le mercato, un pour-contre sur Jean-Clair Todibo qui intéresse Manchester United et un sujet sur Lorient-Nice de dimanche avec la composition probable.
Bref, un menu copieux pour tous les affamés du Gym qui pourront également gagner deux places pour le match Nice-Lyon.
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00:01:00 Salut à tous, bienvenue sur le plateau de Gym Tonic.
00:01:03 Rejoins sur le fil, les Zéglos ont concédé le match nul.
00:01:06 Un but partout face à Lille pour la première de Francesco Farioli.
00:01:10 Nous reviendrons bien sûr sur cette rencontre faite de promesses et de questions
00:01:16 en compagnie de l'équipe des sports de Nice matin.
00:01:18 Vincent Minchini, salut Vincent.
00:01:20 - Salut à tous. - William Mbercé, salut Will.
00:01:22 - Salut Mika, salut à tous. - Il est de retour la légende Philippe Camps.
00:01:26 - Salut Philippe. - Salut à tous.
00:01:27 Tes vacances au Cap d'Ages se sont bien passées ?
00:01:29 - Oui, bien sûr. - Toujours dans ton petit camp naturiste ?
00:01:31 - Oui. - Une merveille.
00:01:33 - On l'appelle la légende là-bas aussi. - C'est pour ça qu'on l'appelle la légende.
00:01:36 Notre invité cette semaine revient tout juste, lui pas d'un camp naturiste
00:01:39 mais de la Coupe du Monde féminine en Australie, battue cruellement au tir au but,
00:01:45 face à cette équipe d'Australie en quarts de finale de Rambaudadelli.
00:01:49 - Salut Laurent. - Bonjour.
00:01:51 - Merci d'être avec nous sur ce plateau, encore un petit peu en décalage horaire non ?
00:01:53 - Un petit peu. - Un petit peu, ouais.
00:01:55 C'est normal avec les 12 heures de décalage adjoint d'Hervé Renard
00:01:58 dans cette Coupe du Monde féminine.
00:02:00 Au sommaire de cette émission à retour sur Nice-Lille,
00:02:03 un focus sur Marcin Bulka, enfin numéro 1,
00:02:07 les dernières news mercato, l'avant-match face à Lorient
00:02:11 et le souviens-toi de Philippe consacré à Georges Dominguez,
00:02:14 El Potro qui nous a quitté il y a de cela quelques jours.
00:02:19 On attaque ce Gimto par ce match nul, un but partout,
00:02:23 face à Lille vendredi dernier, les Rouges et Noirs, Vincent,
00:02:26 ont affiché des choses plutôt intéressantes,
00:02:28 surtout en première période avant de baisser de pied ensuite.
00:02:31 - Au final c'est quand même un bon point face à une très belle équipe lilloise
00:02:34 qui m'a fait forte impression, notamment en premier mi-temps.
00:02:36 Quant au Nice-Oie, il y a eu du bon et du moins bon,
00:02:41 notamment dans le contrôle du ballon.
00:02:43 On s'attendait peut-être à les voir davantage en possession de la balle,
00:02:47 ça n'a pas vraiment été le cas, mais c'est aussi je trouve
00:02:51 un peu l'intelligence de savoir s'adapter face à une équipe
00:02:53 qui le tenait aussi bien.
00:02:55 Je trouve qu'il a été assez pragmatique, comme on dit,
00:02:57 c'est un peu le mot à la mode ces dernières années.
00:03:00 Il a fait en sorte de les attendre très bas et de procéder par contre,
00:03:03 et c'est ce qui a fait la différence, notamment en première période.
00:03:07 Un bon match, et j'ai surtout bien aimé l'atmosphère à la Lanzerivera,
00:03:11 30 000 spectateurs pour une première, c'est un record depuis 10 ans.
00:03:15 Une belle ambiance, une belle énergie, j'espère que ça va perdurer dans le temps,
00:03:20 parce qu'on sait qu'à Nice, c'est pas gagné.
00:03:21 Mais c'était une belle soirée d'été, un résultat plutôt convenable,
00:03:27 assez logique, voire même plutôt heureux pour Nice au final.
00:03:30 Pour appuyer ton propos, on va regarder les stats de cette rencontre
00:03:34 entre Nice et Lille, et on va voir qu'effectivement,
00:03:36 Nice a laissé la possession à Lille, 60-40 sur les deux équipes,
00:03:40 plus de tirs, dont des tirs cadrés également pour les Lillois,
00:03:44 et ces fameux cartons jaunes, 3 cartons jaunes pour les Niçois,
00:03:48 et les Lillois, une occasion de but de part et d'autre.
00:03:50 On en reviendra bien sûr sur ces cartons jaunes,
00:03:52 parce qu'ils ont compté dans le coaching de Francesco Farioli.
00:03:56 Will, toi, de ton côté, tu retiendras peut-être plus les promesses
00:03:59 de cette première période niçoise ?
00:04:01 Oui, en plus, je trouve moi sévère quand vous dites "un peu heureux" pour Nice,
00:04:05 parce qu'il y a beaucoup de phénomènes contraires à l'OGC Nice dans ce match,
00:04:09 notamment l'arbitrage, qui n'a pas été très cohérent.
00:04:11 Et j'ai trouvé que Nice, surtout quand ils ont la bonne période,
00:04:15 après l'ouverture du score, ils ont une situation immédiate de mettre le 2-0.
00:04:18 Lille, qui défendait mal, je trouvais,
00:04:21 très bon jeu de possession, maîtrise, mature,
00:04:23 mais par contre, défensivement, c'était instable,
00:04:26 et Nice leur faisait mal, la board leur faisait mal, Mofi leur faisait mal,
00:04:29 donc je pense que Nice a peut-être raté le coche en première période,
00:04:32 et en deuxième période, sur l'ensemble du match,
00:04:34 bien sûr que ce nul est logique,
00:04:36 mais oui, je préfère me concentrer sur les aspects intéressants,
00:04:40 et notamment ces 20 minutes en première période,
00:04:44 où le pressing fonctionnait bien, même en défendant bas,
00:04:46 ils arrivaient à faire des transitions rapides,
00:04:48 Thuram, qu'on retrouvait dans un rôle rayonnant,
00:04:51 la board qui a été très bonne aussi, alors qu'il avait vivé une prépa compliquée,
00:04:55 donc moi je trouve, face à une belle adversité, un nul encourageant.
00:04:59 Laurent, tu t'es regardé le match en replay, on va dire ça comme ça,
00:05:02 parce que quelques heures juste après ce match,
00:05:05 tu jouais avec, enfin, tu jouais non, tu jouais pas,
00:05:07 mais tes joueuses jouaient avec l'équipe de France Féminine,
00:05:10 qu'est-ce que tu as pensé de cette première ?
00:05:13 Et c'est une curiosité d'ailleurs autour du coach Farioli.
00:05:15 Moi j'ai pris beaucoup de plaisir à regarder ce match,
00:05:17 j'ai trouvé que l'équipe de Nice avait su garder sa philosophie de jeu,
00:05:22 avec Lil qui est très vite venu presser haut,
00:05:26 poser des problèmes avec 6 joueurs au pressing,
00:05:28 et malgré ça, Bulka, Dante, Thaudibot,
00:05:31 et tous les joueurs ont essayé toujours de relancer court,
00:05:33 il y a eu quelques pertes de balles dans la moitié,
00:05:35 mais au final, si on fait la balance entre les pertes de balles
00:05:38 et toutes les actions qui ont été menées en attaque rapide,
00:05:42 quand ils défendaient mais aussi quand ils construisaient,
00:05:43 j'ai trouvé ça très intéressant que cette équipe garde son fil conducteur.
00:05:49 Après, la possession tourne à 60-40 parce que Nice a marqué en premier,
00:05:53 et qu'à un moment donné, Lil a dû prendre leurs responsabilités dans le jeu,
00:05:58 mais j'ai trouvé un match avec beaucoup de rythme pour un premier match de la saison,
00:06:01 de l'intensité, alors je sais pas si c'est mon œil,
00:06:04 qui est formaté sur les féminines depuis avril,
00:06:06 mais j'ai vu vraiment des belles choses.
00:06:10 Philippe, on a connu des premières un peu plus compliquées pour l'OGC Nice,
00:06:13 et en particulier pour certains coachs,
00:06:15 là on va dire qu'on s'en sort plutôt bien.
00:06:18 Oui, on a connu ces derniers temps,
00:06:21 parce que si tu remontes loin, on explosait tout le monde en début de championnat,
00:06:25 dans les années 70.
00:06:27 C'est vrai, c'était une équipe de première partie de saison.
00:06:29 Exactement, mais oui, je rejoins tout le monde,
00:06:34 c'était une bonne première,
00:06:38 mais moi aussi je vois vraiment une nulle logique.
00:06:40 Parce que j'ai trouvé que Lille avait quand même été un étage au-dessus dans le jeu,
00:06:49 c'est ce que je retiens un petit peu aussi.
00:06:52 C'est normal, après tout, Lille a fini devant Nice la saison dernière,
00:06:55 Nice n'avait que deux recrues seulement alignées sur le terrain,
00:06:59 on en parlera tout à l'heure, donc la dynamique était plutôt lilloise.
00:07:01 Et puis ils ont un an avec déjà Paulo Fonseca,
00:07:05 qui prône à peu près les mêmes idées que Francesco Farioli.
00:07:08 D'ailleurs les deux hommes se sont parlé à la fin du match,
00:07:10 Paulo Fonseca a eu des mots très sympas à l'égard de Farioli,
00:07:14 donc ils se comprennent, ils ont les mêmes idées football,
00:07:16 et dans leur discussion, je l'ai perdu,
00:07:21 Fonseca a dit à Farioli, de toute façon pour tes idées,
00:07:25 il va te falloir un bon cinq mois pour qu'il vraiment le déclic,
00:07:29 et que ton équipe joue à ta patte.
00:07:31 On va passer au débat sur Francesco Farioli,
00:07:34 des promesses et des questions,
00:07:35 on va d'abord parler des promesses peut-être,
00:07:37 Vincent, cinq, six mois pour trouver le bon équilibre,
00:07:41 le problème c'est que Nice a un gros calendrier sur les deux premiers matchs.
00:07:44 Après c'est la même ossature que la saison dernière,
00:07:46 quand tu redémarres la saison avec la même charnière centrale,
00:07:48 sur les côtés les latéraux sont les mêmes,
00:07:50 au milieu tu as quand même aussi une ossature,
00:07:52 Morgan Sanson voit évidemment qu'il t'apporte une plus-value,
00:07:55 et devant Mofi Laborde, ça fait six mois qu'ils jouent ensemble,
00:07:57 donc voilà il y a une ossature.
00:07:59 Après évidemment que Francesco Farioli veut mettre des choses en place,
00:08:03 notamment dans le pressing,
00:08:04 il a des idées novatrices,
00:08:06 ce que j'aimerais c'est qu'il ne sorte pas les deux meilleurs joueurs du match
00:08:10 à la 57ème minute,
00:08:12 c'est un constat que je pense que beaucoup de gens ont effectué,
00:08:15 je veux bien entendre l'excuse du carton jaune,
00:08:18 mais si on sort tous les garçons quand on est carton jaune,
00:08:21 d'ailleurs pour reprendre ce que dit Will,
00:08:24 il nous parle de Thuram, de Laborde,
00:08:27 il a entièrement raison,
00:08:29 ce sont les deux meilleurs joueurs de la première mi-temps,
00:08:32 et ce sont des garçons quand même réputés pour leur sagesse,
00:08:35 et quand ils voient le numéro,
00:08:37 ils se disent "mais coach, pas maintenant, encore peut-être dix minutes",
00:08:41 et je pense que même lui, apparemment en conférence de presse,
00:08:44 il a reconnu que ce n'était pas l'idée de l'année.
00:08:46 On l'écoutera tout à l'heure, je voulais juste faire intervenir Laurent par rapport à ça,
00:08:49 c'est quoi, c'est un peu la méconnaissance peut-être de la Ligue 1,
00:08:52 de son effectif, qui fait qu'il pense que ces deux joueurs
00:08:55 peuvent peut-être prendre un nouveau carton jaune et sortir du match,
00:08:58 c'est pour ça qu'il les change aussitôt ?
00:09:01 Oui, aujourd'hui les joueurs sont habitués à jouer avec des cartons jaunes,
00:09:03 c'est aussi à eux d'assumer leurs responsabilités.
00:09:06 Après, effectivement, on dit qu'un entraîneur en général a 100 jours,
00:09:11 alors 5-6 mois c'est beaucoup,
00:09:13 mais c'est vrai qu'il va falloir qu'il fasse vite ses preuves.
00:09:16 Moi j'ai trouvé beaucoup de choses positives,
00:09:18 et sur les deux changements, ça va très vite,
00:09:21 dans la tête d'un coach, il prend cette décision
00:09:23 parce qu'il ne veut peut-être pas se retrouver à dix à un moment donné.
00:09:26 Effectivement, ils auraient peut-être pu jouer un petit peu plus
00:09:30 quand on voit que Morgan Sanson à la fin a fini avec des crampes,
00:09:32 et il a la malchance aussi que Mofi se blesse.
00:09:35 Soit un peu touché, oui.
00:09:37 On va l'écouter, Francesco Faragli,
00:09:39 mais il est revenu en conférence de presse sur ça.
00:09:41 On va l'écouter d'abord, Will,
00:09:43 et après, puisque tu étais à cette conférence de presse,
00:09:45 tu nous expliqueras tout ça.
00:09:47 Francesco Faragli devant la caméra de Filiberti.
00:09:50 En règle générale, je n'aime pas trop l'idée d'avoir trop de joueurs avertis sur la pelouse,
00:09:59 surtout dans un match comme celui de Lille.
00:10:00 Si on regarde le poids des cartons jaunes concernés,
00:10:04 des joueurs comme Atal et Laborde qui évoluent sur la même aile,
00:10:08 et contre une équipe qui attaquait beaucoup de ce côté-là,
00:10:11 je n'ai pas voulu risquer de perdre ces joueurs.
00:10:13 Donc ça dépend du scénario du match, les cartons jaunes,
00:10:16 mais aussi, et également Kevren Thuram qui était sous le coup d'un avertissement.
00:10:21 Donc il y a le scénario du match avec les cartons jaunes,
00:10:24 mais aussi le désir d'injecter du sang neuf.
00:10:27 C'était le premier match devant un stade plein,
00:10:29 j'ai un effectif large à disposition,
00:10:31 je voulais impliquer tout le monde, c'est quelque chose en quoi je crois.
00:10:34 Après, avec le recul, j'aurais peut-être retardé un changement
00:10:40 pour garder une cartouche dans ce match,
00:10:42 mais après le dernier changement a été forcé par la blessure de Terremont.
00:10:45 Voilà donc Francesco Faragli qui fait son mea culpa au final, Will.
00:10:50 Oui, en expliquant aussi vraiment ses convictions,
00:10:55 il nous l'a dit aussi après la conférence de presse,
00:10:57 ça lui est arrivé 3-4 fois en Turquie de ne pas utiliser 5 changements seulement.
00:11:01 C'est quelqu'un qui demande tellement d'énergie, d'intensité à ses joueurs,
00:11:05 qu'il est conscient qu'à un moment donné, il faut injecter du sang neuf
00:11:08 pour garder la même intensité dans le match.
00:11:10 Et c'est comme ça qu'il essaie de déstabiliser l'adversaire aussi.
00:11:13 Il a eu cette petite phrase, c'est qu'un latéral droit qui a un attaquant sur son aile
00:11:16 qui fait 7 bornes pendant une heure,
00:11:18 et derrière tu fais rentrer pendant la dernière demi-heure
00:11:20 un remplaçant qui fait encore 5 bornes,
00:11:22 et bien le latéral droit à la fin il finit à l'hôpital.
00:11:24 D'abord ton courru.
00:11:25 C'est ça qu'il réclame, et du coup,
00:11:28 on va en parler aussi après dans l'Indiscret,
00:11:30 il y a aussi l'arbitrage qui l'a un peu fait pencher vers un choix plus défensif.
00:11:35 Et il disait aussi qu'il avait un banc pour défendre
00:11:39 plutôt que pour aller marquer le deuxième.
00:11:41 Donc il voulait faire des changements avant l'égalisation.
00:11:44 Mais ça veut dire quoi ça Philippe ?
00:11:46 Ça veut dire un petit peu frileux sur ce coup-là peut-être Francesco Farioli
00:11:48 au lieu d'appuyer pour aller chercher le deuxième,
00:11:51 il a préféré blinder derrière ?
00:11:53 C'est son premier match,
00:11:55 donc je vais rester calme, tranquille,
00:12:00 mais franchement je trouve ce qu'il a fait complètement incompréhensible.
00:12:05 Petit erreur de jeunesse par exemple ?
00:12:07 Je sais pas, moi ce qui m'inquiète,
00:12:09 enfin ça m'inquiète pas vraiment,
00:12:11 c'est juste le feeling et sentir un match,
00:12:14 et sentir, et là, il avait le nez bouché quoi,
00:12:21 parce que sortir la board des Turam,
00:12:23 puis en plus on sait que la board comme Turam,
00:12:27 c'est des joueurs intelligents,
00:12:29 qui savent jouer avec un carton,
00:12:31 qui étaient très bien,
00:12:33 et surtout qu'après on a vu la différence quand ils sont sortis.
00:12:36 C'est-à-dire que le match, il était sur une balance,
00:12:40 il a basculé.
00:12:42 Même si les entraines sont plutôt intéressantes.
00:12:45 On va tout de suite dire que sortir à Tal,
00:12:48 c'est presque logique,
00:12:50 sur ce changement là peut-être,
00:12:51 il n'y a pas beaucoup de débat.
00:12:53 Entre Lothomba et Tal, en ce moment,
00:12:55 il y a peut-être plus avantage Lothomba.
00:12:57 Il était pas loin d'avoir un deuxième carton.
00:12:59 Mais au milieu, entre Pablo Rosario
00:13:01 et ce Kefren Turam là qu'on a vu contre lui,
00:13:03 ça c'est un Rosario-Turam oui.
00:13:05 Non mais il n'y a pas photo,
00:13:07 et surtout Kefren il a besoin je pense depuis quelques mois
00:13:09 de retrouver aussi de l'allant,
00:13:11 et il était en train en passe de le retrouver,
00:13:13 et là d'un coup à la 57ème,
00:13:15 comme on l'a dit, on le répète,
00:13:18 il est un garçon quand même
00:13:19 qui passe plutôt bien avec les arbitres,
00:13:21 il prend d'ailleurs très rarement des cartons jaunes.
00:13:23 Donc je pense qu'il aurait eu la capacité
00:13:25 de ne pas en prendre un deuxième,
00:13:27 et surtout quand il est sur le terrain,
00:13:29 il crée une menace chez l'adversaire.
00:13:31 Je pense que quand Lil voit rentrer Rosario,
00:13:33 même Fonseca, il se dit
00:13:35 "bon ben là en fait c'est un repli sur soi,
00:13:37 donc là on va avancer".
00:13:39 Parce que quand t'as Kefren Turam sur le terrain,
00:13:41 peut-être que tu te dis "bon on va pas le jouer
00:13:43 peut-être trop haut non plus".
00:13:45 T'as un rapport de force,
00:13:47 et ce rapport de force est presque inversé totalement.
00:13:48 - A ce moment-là.
00:13:50 Bon, on va lui pardonner évidemment.
00:13:52 - Il y a les changements,
00:13:54 mais il y a aussi le message.
00:13:56 Et à Nice, on aime le beau jeu,
00:13:58 mais on aime les joueurs qui s'engagent aussi.
00:14:00 Et donc là, il ne faudrait pas que les joueurs
00:14:02 au prochain match se disent
00:14:04 "il ne faut pas que je prenne de jaune
00:14:06 parce que sinon je vais sortir".
00:14:08 Et du coup, on s'engage un peu moins,
00:14:10 et c'est un cercle vicieux.
00:14:12 Il faut faire attention.
00:14:14 - Allez, on va passer à l'indiscret.
00:14:16 Will, tu nous en parlais.
00:14:17 L'indiscret.
00:14:19 - Oui, l'indiscret.
00:14:26 L'indiscret, oui, c'est...
00:14:28 Il n'a pas voulu en parler
00:14:30 en conférence de presse publiquement ni rien,
00:14:32 mais Francesco Farioli a été très désagréablement surpris
00:14:35 de l'arbitrage de M. Bastien.
00:14:37 Outre ses décisions,
00:14:40 notamment, par exemple,
00:14:42 sur celle de Samson, pour lui,
00:14:45 c'est un peu une pénalité.
00:14:46 - L'action de Lucas Chevalier.
00:14:48 - L'action de Lucas Chevalier-Samson,
00:14:50 là-dessus, il ne dit rien,
00:14:52 mais c'est plutôt sur un moment,
00:14:54 un tacle que reçoit Attal,
00:14:56 la dernière faute sur Mofi.
00:14:58 - Qui blesse Mofi, d'ailleurs.
00:15:00 - Qui blesse Mofi.
00:15:02 La première faute aussi au début de match
00:15:04 sur Youssouf,
00:15:06 une semelle énorme qui peut mériter rouge.
00:15:08 Et surtout, ce qu'il a un peu contrarié,
00:15:10 c'est cette impossibilité
00:15:12 de discuter avec l'arbitre.
00:15:14 C'est un arbitre de son camp,
00:15:15 de sa zone.
00:15:17 Le 4e arbitre venait vite
00:15:19 le renvoyer sur son banc,
00:15:21 il n'y avait pas de discussion possible.
00:15:23 Et ça, ça l'a un peu froissé.
00:15:25 Et c'est pour ça aussi que ça l'a encouragé
00:15:27 à se questionner sur les changements,
00:15:29 en se disant qu'à la limite,
00:15:31 vu comment ça tournait,
00:15:33 il suffisait peut-être que Kefraie
00:15:35 mette un petit pouce du bras à quelqu'un
00:15:37 pour prendre un deuxième jeune.
00:15:39 Donc, l'un dans l'autre,
00:15:41 c'est un peu un tout
00:15:43 et c'est un tout.
00:15:44 Et c'est un tout,
00:15:46 et c'est un tout.
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00:44:29 Et c'est un tout.
00:44:31 Et c'est un tout.
00:44:33 Et c'est un tout.
00:44:35 Et c'est un tout.
00:44:37 Et c'est un tout.
00:44:39 Et c'est un tout.
00:44:41 Et c'est un tout.
00:44:43 Ça va ?
00:44:44 Ça va, ça va.
00:44:45 Je lui ai dit, il y a la technique qui rencontre la technique là.
00:44:48 Mais je connais, parce qu'il était à Rennes.
00:44:51 Et je suis en Jeune moi.
00:44:53 Tu m'étais le meilleur buteur de la saison, ok ?
00:45:02 Ok.
00:45:03 Ça fait plaisir d'être bien accueilli.
00:45:11 Il y a des petits, des grands, des moyens.
00:45:13 C'est bien.
00:45:14 Franchement, un bel accueil.
00:45:15 Un bel accueil.
00:45:16 Ils m'ont tous souhaité la bienvenue.
00:45:18 Donc franchement, ça fait plaisir.
00:45:20 Et voilà, j'espère leur rendre toute cette confiance sur le terrain.
00:45:23 Maintenant, au stade, bientôt.
00:45:24 C'est ça le plus important.
00:45:25 À Issa, à Nissa et à les Logis.
00:45:28 Voilà donc pour ce Zap'Gym, que vous pouvez retrouver en intégralité sur les médias de Logis et Nice.
00:45:38 Laurent, on va parler un petit peu de cette Coupe du Monde.
00:45:41 Féminine, hélas, cette élimination en quart de final.
00:45:44 Raconte-nous cette séance de tir au but incroyable.
00:45:47 Ça s'est fini 7 à 6 face aux Australiennes.
00:45:50 Oui, les pénaltis, qu'est-ce qu'on peut dire ?
00:45:53 C'est cruel, mais c'est aussi pour ça qu'on aime le football.
00:45:58 Pour ces moments d'émotion.
00:45:59 Malheureusement, ça n'a pas tourné en notre faveur cette fois-ci.
00:46:01 Les joueuses ont tout donné.
00:46:04 Elles étaient affectées.
00:46:07 Très tristes, surtout Vicky Béchaud, qui est l'une des plus jeunes.
00:46:10 Elle a raté le dernier pénalty.
00:46:12 On n'est pas les premiers, on ne sera pas les derniers à subir ce genre de situation.
00:46:21 Il faut se servir de cette expérience-là pour gagner en maturité et revenir plus fort.
00:46:28 Est-ce que vous aviez fait le choix de les travailler, les tirs au but ?
00:46:31 On les a beaucoup travaillés, oui.
00:46:32 On les a beaucoup travaillés sur les trois premières semaines de préparation.
00:46:36 On les a filmées, on les a mises sous pression.
00:46:39 On a fait des séances où elles tiraient quatre, cinq fois d'affilée.
00:46:43 On a changé les gardiennes.
00:46:45 On leur a monté des clips vidéo, elles se sont vues, elles ont visualisé positivement tout ça.
00:46:51 On les a travaillés aussi la veille.
00:46:53 On a tout fait, mais...
00:46:55 C'est pour ça que vous avez changé les gardiennes.
00:46:57 Contrairement à l'OM, ça a failli marcher pour vous.
00:46:59 Non, mais c'est justement le travail qu'on avait fait sur les pénaltis qui nous a permis de prendre cette décision.
00:47:04 En tout cas à Hervé de prendre cette décision.
00:47:06 C'était prévu de longue date.
00:47:09 Parce que Solène avait fait des séances de pénaltis extraordinaires.
00:47:14 Et donc on avait totalement confiance en elle, sur sa capacité à arrêter des pénaltis.
00:47:19 C'est ce qu'elle a fait effectivement, Solène Durand.
00:47:21 Peut-être le tournant de cette séance, c'est les deux tirs de Kenza Daly.
00:47:25 Ce tir au but d'abord arrêté par la gardienne australienne, à retiré.
00:47:29 Et encore une nouvelle fois au même endroit, retiré et arrêté.
00:47:33 Ce qui est cruel pour elle, c'est que c'est une joueuse qu'elle connaît.
00:47:37 Puisqu'elles ont joué ensemble.
00:47:39 Et la veille, j'étais moi sur la séance d'entraînement.
00:47:43 Elle demandait à Solène Durand volontairement de plonger de ce côté-là.
00:47:46 Pour se forcer à avoir un pénalti difficile à tirer.
00:47:51 Et c'est ce qu'elle a vécu le lendemain.
00:47:53 C'est vrai que c'est terrible pour elle.
00:47:55 Qu'est-ce qu'on va retenir quand même malgré tout de cette Coupe du Monde ?
00:47:59 La promesse peut-être aussi, comme on parlait tout à l'heure avec Francesco Ferrulli.
00:48:03 Mais la promesse d'une équipe qui est née.
00:48:06 Oui, je pense qu'on a essayé de donner un nouveau souffle à cette équipe.
00:48:11 Au niveau de l'état d'esprit, au niveau de l'intensité dans le jeu aussi.
00:48:14 On a utilisé deux systèmes de jeu.
00:48:17 On leur a donné beaucoup d'informations.
00:48:19 Elles ont été fantastiques. Elles sont très professionnelles.
00:48:22 Elles se sont beaucoup investies, se sont engagées.
00:48:25 On l'a vu au travers des matchs contre le Brésil et de l'Australie aussi.
00:48:28 Elles ont beaucoup donné d'elles-mêmes.
00:48:31 C'est vrai que c'est une promesse. Il ne faut pas que ce soit une promesse en l'air.
00:48:35 Il faudra concrétiser sur les prochains matchs au niveau de la Nations League
00:48:38 pour bien préparer les Jeux Olympiques.
00:48:40 Oui, parce que c'est l'objectif. Après, je te donne la parole Vincent.
00:48:43 C'est vrai que c'est l'objectif numéro un de cette équipe de France féminine.
00:48:46 Ce sont les Jeux Olympiques l'année prochaine.
00:48:48 Oui, en France. Et quand on voit l'impact que le public a pu avoir.
00:48:54 Et aussi l'enthousiasme général en Australie qu'a pu avoir sur cette équipe australienne.
00:48:59 On s'est bien rendu compte que c'était une vraie force en plus.
00:49:04 Et en France, je pense qu'avec cette force en plus, on pourra aller loin.
00:49:09 Je trouve que c'est beau. On voit quand même beaucoup de garçons aller en Arabie Saoudite.
00:49:14 De voir qu'il y a des gens qui décident de faire un peu le chemin inverse.
00:49:17 De venir pour représenter son pays.
00:49:20 Tu parles d'Hervé Renard.
00:49:21 Hervé Renard et de Laurent. Je les ai vus, je les ai sentis très émus.
00:49:26 J'imagine de vivre une Coupe du Monde et représenter son pays.
00:49:30 Au moment où tu as la Marseillaise en quarts de finale d'une Coupe du Monde.
00:49:32 Je ne sais pas ce que tu peux nous dire Laurent, mais ça doit être hyper intense.
00:49:35 Oui, ça procure beaucoup d'émotions.
00:49:37 C'est vrai que pendant qu'on chante la Marseillaise, on a des fois des émotions qui montent.
00:49:41 Ça fait vibrer la voix.
00:49:43 Et forcément, représenter son pays, c'est quelque chose de fort.
00:49:48 Donc effectivement, on a fait ce choix qui n'est pas un choix financier.
00:49:52 C'est un choix purement sportif et patriote.
00:49:55 Donc on est fiers d'être revenus en France pour assumer ces responsabilités.
00:50:01 Et on espère donner le meilleur pour aller le plus loin possible.
00:50:04 Pour rendre toute la nation fière de cette équipe.
00:50:06 Et puis ça va être magique.
00:50:07 Les JO à Paris, c'est quelque chose que vous attendez avec impatience.
00:50:13 Oui, après avoir fait deux Coupes du Monde en moins d'un an.
00:50:16 Avoir les JO se présenter dans un an, effectivement, c'est une belle aventure.
00:50:21 On a vu beaucoup de favoris tomber assez tôt dans cette compétition.
00:50:25 À un moment donné, on s'est dit que c'était peut-être une année pour la France.
00:50:30 Je pense qu'effectivement, c'est une année qui aurait pu nous sourire.
00:50:35 On le voit avec l'Angleterre qui fait sa première finale.
00:50:38 L'Espagne aussi.
00:50:39 Donc forcément, ça veut dire aussi que le niveau se nivelle un petit peu.
00:50:44 Il y a des équipes qui émergent.
00:50:45 On a vu des belles équipes comme la Jamaïque, même Haïti.
00:50:48 La Colombie, qu'on avait battue en Amicale, mais qui est une très belle équipe.
00:50:52 Les Pays-Bas qui sont toujours là.
00:50:55 Mais effectivement, ça laisse entrevoir une redistribution des cartes, on va dire.
00:51:02 Ça fait plaisir parce qu'on a retrouvé le fait de parler foot.
00:51:07 Et d'avoir des émotions dans cette équipe de France féminine.
00:51:10 Où ces derniers temps, ce n'était pas vraiment le cas.
00:51:12 On avait l'impression que c'était le chaos généralisé.
00:51:17 Comment vous avez fait pour remettre du souffle et de la vie dans ce groupe ?
00:51:23 On est arrivé avec notre authenticité, notre sourire, notre joie de vivre, avec des principes.
00:51:30 On a très clairement, dès le départ, annoncé qu'on ne voulait pas parler du passé.
00:51:34 Parce que le passé, de toute façon, on ne peut pas le changer.
00:51:37 On peut agir sur le présent pour le futur.
00:51:39 Ça a été notre message avec les filles.
00:51:42 Elles ont adhéré très vite au discours qu'on leur a proposé.
00:51:46 Et après, ces deux premiers matchs amicaux, ils nous ont été salutaires aussi.
00:51:51 Le fait de gagner ces deux matchs contre la Colombie-Canada, ça nous a donné un peu plus de crédit.
00:51:56 Il y a eu le match de l'Irlande.
00:51:57 Le match de l'Australie, un 14 juillet, avec cinq jours à peine arrivé là-bas.
00:52:02 Il n'était pas trop bien placé.
00:52:04 Mais malgré tout, on a fait une compétition où on ne perd pas.
00:52:07 C'est ça aussi qui est un petit peu navrant.
00:52:11 Mais il y a de l'espoir.
00:52:14 Et puis il y a aussi des joueuses qui étaient absentes.
00:52:16 Marion Toinet-Catoto, par exemple.
00:52:18 Avec elle, ça ne sera peut-être pas la même chose.
00:52:21 Cascarino.
00:52:22 Cascarino également.
00:52:23 Le match, on va le dire, le plus spectaculaire, le plus emblématique de cette communion,
00:52:27 c'est peut-être le Brésil, en poule.
00:52:29 C'est là qu'on a senti cette force naissante de l'équipe de France, avec ce but de Wendy Renard.
00:52:34 Parce qu'on avait démarré sur un match nul contre la Colombie.
00:52:37 Et à postériori, on se rend compte que ce n'était peut-être pas un si mauvais résultat,
00:52:40 vu ce qu'elles ont fait derrière contre le Brésil.
00:52:42 Et donc on était sous pression face au Brésil, parce qu'une défaite nous condamnait.
00:52:46 Et il fallait aller chercher cette victoire.
00:52:49 Donc c'est vrai que les joueuses ont vraiment véhiculé un état d'esprit,
00:52:54 une cohésion de groupe exceptionnelle.
00:52:56 Elles se sont réunies, elles ont fait des réunions entre elles.
00:52:59 Elles ont créé un slogan avant les matchs.
00:53:03 Elles se sont vraiment investies.
00:53:05 Et on a pu le voir sur le match.
00:53:08 Et ce qui est bien dans ce genre de match, c'est quand il y a la récompense au bout.
00:53:12 Et avec ce but rageur à la fin, c'est vrai que ça a donné beaucoup d'émotion.
00:53:16 J'ai une petite question sur la vie de groupe.
00:53:18 Est-ce que, contrairement aux hommes avec l'Arabie Saoudite,
00:53:22 peut-être que vous avez des petits soucis à gérer ?
00:53:24 Comment ça se passe ? Tu as eu des moments chauds un petit peu dans la vie de groupe ?
00:53:27 Pas du tout.
00:53:28 Et avec l'Arabie Saoudite, il y en avait eu par exemple ? Par moment ?
00:53:31 On avait eu un ou deux retards au tout début.
00:53:33 Pour mettre des règles de vie en place, Hervé avait pris des décisions radicales
00:53:37 puisqu'il avait laissé deux joueurs en tribune.
00:53:39 Mais très vite, ça s'était apaisé.
00:53:41 On n'a jamais eu trop de problèmes avec les Saoudiens.
00:53:44 Mais je crois que dans le management de Kervé Prone,
00:53:48 à partir du moment où il est juste et authentique avec les joueurs ou les joueuses,
00:53:53 il n'y a pas de soucis. Il a un discours clair.
00:53:55 Il sait ce qu'il veut.
00:53:57 Il n'y a pas de faux discours ou de promesses non tenues.
00:54:01 Il maintient son cœur.
00:54:03 C'est ce que les filles ont apprécié d'après ce qu'on a lu.
00:54:06 C'est chouette quand ça se passe comme ça.
00:54:08 Oui, je pense qu'elles apprécient aussi beaucoup d'explications.
00:54:12 Ça les a changé.
00:54:13 A chaque début de séance, je présentais avec l'ensemble du staff la séance qui allait venir,
00:54:18 le comment, du pourquoi, pourquoi on fait ça, dans quel but, etc.
00:54:21 Elles ont besoin beaucoup plus que les garçons de comprendre et de donner un sens aux choses.
00:54:26 Juste puisqu'on parlait des JO, Hervé Renard, sélectionneur de l'équipe de France féminine,
00:54:30 et à priori, peut-être Thierry Henry qui va être nommé à la tête des esports
00:54:34 et donc de l'entraîneur qui dirigera l'équipe de France de football.
00:54:37 Ça ferait deux belles têtes d'affiche.
00:54:40 Je n'ai pas eu d'informations officielles.
00:54:42 Tu n'es pas dans les petits papiers de la FED.
00:54:44 Je sais qu'il y avait plusieurs candidats,
00:54:47 mais effectivement Thierry Henry, c'est quand même un personnage du football français.
00:54:51 Vincent, un petit avis là-dessus ?
00:54:54 Je trouve ça super.
00:54:56 Pour les Jeux à Paris, Hervé Renard, Thierry Henry,
00:54:59 tu as besoin d'avoir des têtes d'affiche.
00:55:02 Au niveau de l'atelier, on n'est quand même pas incroyable.
00:55:05 En attention, heureusement qu'on a Léon Marchand.
00:55:08 Si par bonheur, Kylian Mbappé décide de faire les JO, voire Hugo Lloris,
00:55:13 et Anshan Griezmann peut-être ?
00:55:15 Van der Haaren, je trouve qu'on a besoin de têtes d'affiche
00:55:20 quand on est pays organisateur.
00:55:22 Pour moi, ce serait super.
00:55:24 Juste une dernière question, peut-être Laurent,
00:55:26 puisque tu as un passé d'entraîneur adjoint de l'Arabie Saoudite.
00:55:29 Comment tu juges ce nouvel Eldorado ?
00:55:32 Tous ces joueurs qui s'en vont maintenant.
00:55:34 C'est les pions en fait.
00:55:35 Oui, c'était les pionniers avec Hervé Renard.
00:55:37 Comment tu juges ce nouvel Eldorado ?
00:55:39 C'est une belle campagne publicitaire pour le pays
00:55:43 qui veut redorer son image.
00:55:45 Et à juste titre, c'est un pays où nous,
00:55:47 on a vécu vraiment dans d'excellentes conditions,
00:55:50 avec des gens qui nous ont très bien accueillis.
00:55:52 Concernant le championnat, effectivement,
00:55:54 ça va être un championnat qui va se relever.
00:55:57 C'était déjà un championnat d'un bon niveau,
00:55:59 puisque Alilhal a été jusqu'en finale contre le Real Madrid
00:56:03 cette année au Maroc lors de la finale des Clubs champions.
00:56:06 Avec tous ces nouveaux joueurs, bien sûr, ça va élever le niveau.
00:56:09 La question qu'Hervé s'est posée, justement, avant le départ,
00:56:13 c'est "Quid des joueurs saoudiens ?"
00:56:15 et "Quel va être le temps de jeu que les joueurs saoudiens vont avoir ?"
00:56:19 Et donc, par conséquent, "Quel est le niveau de l'équipe nationale ?"
00:56:23 Il avait quand même bien sont si le truc, Hervé, effectivement.
00:56:26 Pour le niveau des joueurs saoudiens, ça risque d'être un peu plus compliqué.
00:56:29 Mais ils vont aussi progresser au contact de ces joueurs-là.
00:56:31 Ils vont être obligés, si à un moment donné, ils veulent organiser la Coupe du Monde,
00:56:34 pour être aussi crédibles, c'est d'avoir une équipe nationale qui est quand même...
00:56:37 Ils peuvent être naturalisés, aussi.
00:56:39 Oui, c'est vrai.
00:56:41 Le Qatar en bal, par exemple, est beaucoup naturalisé.
00:56:43 Il a tout à fait raison, oui.
00:56:44 Mais malheureusement, on n'a pas la politique du pays.
00:56:46 C'est pas la politique d'Arabie Saoudite.
00:56:48 Non, parce qu'il y a quand même plus de 35 millions d'habitants dans le pays.
00:56:51 Et c'est un pays de football.
00:56:53 Il y a de très très bons jeunes.
00:56:55 En 2018, ils ont été champions d'Asie U19,
00:56:58 champions d'Asie U23 en juin dernier en Ouzbékistan, en 2022.
00:57:03 Donc, il y a du potentiel chez les jeunes.
00:57:06 Après, il faut qu'ils aient du temps de jeu.
00:57:08 C'est vrai qu'ils progressent à l'entraînement au contact de ces grands joueurs.
00:57:11 Mais après, le temps de jeu, il faut l'avoir aussi pour progresser.
00:57:14 Et s'ils passent leur saison à chanter à la gloire de Karim Benzema,
00:57:17 j'ai vu une vidéo dans le bus.
00:57:19 Ah, les joueurs ?
00:57:20 Oui, les plus spectateurs que je vois.
00:57:21 Philippe, t'as pas été contacté par l'Arabie Saoudite ?
00:57:23 Non, non, pourtant la légende.
00:57:25 Tant mieux.
00:57:26 Oui, tant mieux.
00:57:27 Dis, tu vas s'il te plaît.
00:57:28 Bien sûr.
00:57:29 Pour moi, le foot a une histoire, comme tout le reste a un passé.
00:57:32 Et donc, voilà.
00:57:34 Pour moi, le foot, c'est pas l'Arabie Saoudite.
00:57:36 Mais il faut construire l'histoire.
00:57:38 Il est en train de se construire l'histoire aussi, peut-être, là-bas.
00:57:40 Faut un début à tout.
00:57:41 Je suis pas toujours d'accord avec toi.
00:57:44 Heureusement.
00:57:45 Heureusement, et c'est bien pour ça qu'on s'adore.
00:57:48 L'avant-match de Lorient-Nice, c'est dimanche après-midi.
00:57:52 Il fera pas si chaud que ça, finalement, à Lorient.
00:57:54 Benjaïko.
00:57:55 Ouais.
00:57:56 Il y a pas d'alerte canicule pour l'instant encore en Bretagne.
00:57:59 Non, mais il prévoit le soleil, donc c'est content.
00:58:01 Un petit peu chaud.
00:58:03 Alors, il arrive assez tôt dans la saison.
00:58:05 Il est un peu cocasse, ce match contre Lorient, parce qu'on se souvient quand même que
00:58:09 Regis Lebrus était la piste numéro 1 de l'OGC Nice cet été.
00:58:13 Lui, il dit qu'il a jamais songé à venir à Nice.
00:58:17 Mais les dirigeants…
00:58:19 Tu nous le confirmes, mon cher Vincent.
00:58:21 Ben oui.
00:58:22 Donc c'est un peu cocasse.
00:58:24 Après, tu le fais pas parce que ça aurait demandé de sortir encore une fois plusieurs
00:58:31 millions d'euros.
00:58:32 Et bon, ça a donné l'opportunité à Regis Lebrus de faire un petit peu table rase
00:58:36 aussi à Lorient.
00:58:37 Le DG qui a sauté.
00:58:39 Il est costaud avec le Eric Ferry, maintenant.
00:58:42 Et voilà, c'est le match de Mesa India qui est l'agent des deux coachs.
00:58:46 L'un des agents les plus influents et puissants du football français, qui travaille très
00:58:53 bien.
00:58:54 Il faut le reconnaître.
00:58:55 Et ouais, c'est rigolo.
00:58:56 Ce serait pas qu'on l'invite sur le plateau, un de ces quatre…
00:58:59 Il parle pas beaucoup.
00:59:00 Il parle pas beaucoup, effectivement.
00:59:01 En own, en tout cas.
00:59:03 Mais c'est vrai que ça serait hyper intéressant de la voir.
00:59:06 Mais ça va être aussi, là encore, on va voir si Francesco Ferraioli va avoir la possibilité
00:59:11 de mettre en place ce qu'il souhaite.
00:59:13 C'est-à-dire une équipe qui prend le jeu à son compte.
00:59:16 20% de possession pour Lorient au Parc des Princes contre le PSG de Loussien-Riquet.
00:59:20 Donc c'est une équipe qui est très forte dans les transitions rapides.
00:59:24 Nice également.
00:59:25 J'attends de voir.
00:59:27 Une opposition style, peut-être, dans ce match-là ?
00:59:30 Pas trop.
00:59:31 Lorient mise plus sur un bloc bas et des transitions très rapides.
00:59:35 Comme Nice contre Lille.
00:59:36 Comme Nice l'a fait contre Lille.
00:59:38 Mais encore une fois, Ferraioli nous a dit que c'est la deuxième fois de sa carrière
00:59:42 qu'il a une possession de balle aussi basse.
00:59:45 La première fois, il avait fait 30% en Turquie, mais ils avaient gagné 5-0 contre Trabzonsport.
00:59:53 Mais il était pas content d'avoir eu que 30% de possession.
00:59:56 Donc en fait, clairement…
00:59:58 Si tu gagnes 5-0 à Lorient en ayant 30% de possession, tu signes ?
01:00:02 Il sera pas trop content.
01:00:03 C'est son projet.
01:00:05 C'est là qu'il va voir si son équipe est capable d'aller chercher haut et surtout
01:00:09 de garder ce ballon en position haute et de créer, de provoquer.
01:00:13 C'est un peu un test pour son équipe.
01:00:18 Il n'y a pas encore d'urgence de points, évidemment, Philippe, dans cette première partie de saison.
01:00:21 Mais il faut gagner.
01:00:22 Même si le calendrier est quand même assez compliqué en août-septembre pour l'OGC Nice.
01:00:27 Et là, tu as eu deux points de lâcher en route dans les dernières secondes d'un match.
01:00:31 Donc, du coup, il faut peut-être aller rattraper à l'extérieur ces points-là.
01:00:35 Oui, oui.
01:00:37 Mais je pense que c'est dans les…
01:00:41 Dans les cordes.
01:00:42 … possibilités de Nice d'aller chercher quelque chose.
01:00:46 Avec le combat de Lomophy.
01:00:48 Je pense qu'elle a envie de jouer au ballon.
01:00:52 Elle n'a pas eu au Parc des Princes.
01:00:54 Lorient en août, il va falloir être solide.
01:00:58 Parce que ça a de la lance, ça va vite.
01:01:02 Tu vas être un peu sous pression.
01:01:04 Et puis, le Riz, c'est un bon entraîneur.
01:01:06 Il va bien préparer son plan.
01:01:08 Un bon match pour Lorient.
01:01:09 Oui.
01:01:10 Mais si tu joues bas, mais comme tu veux jouer haut…
01:01:15 Il est capable aussi de jouer dans une équipe qui joue haut.
01:01:17 Il n'avait pas joué, rappelons-le, le match de la deuxième partie de saison face à Lorient,
01:01:21 à cause d'un accord entre les deux clubs.
01:01:23 C'était une réconvention d'achat obligatoire.
01:01:25 Mais là, ça sera des vraies problèmes pour Mophy.
01:01:28 Ça serait bien de gagner ce match-là.
01:01:29 Apparemment, Lorient s'en méfie pas mal.
01:01:31 Régis Lebris a dit en conf que…
01:01:34 On lui a posé la question, est-ce qu'il y aurait un plan anti-Mophy.
01:01:37 Il n'a pas trop répondu.
01:01:39 Il a dit qu'il en parlerait avec Laporte et Talbi.
01:01:41 Et en effet, à la fin de la séance, il a discuté un quart d'heure avec Laporte et Talbi.
01:01:45 On suppose que le sujet de discussion, c'était comment bloquer Mophy.
01:01:49 Allez, il sera associé à Gaëtan Laborde, Therre Mophy.
01:01:53 On va justement écouter l'attaquant de l'OGC Nice sur cette rencontre et sur son début de saison.
01:01:59 Nous, on a l'ambition d'avoir le maximum le ballon.
01:02:02 Maintenant, on va voir.
01:02:03 On va jouer à l'extérieur.
01:02:04 Donc aussi, c'est chez eux.
01:02:06 On verra comment ça va se passer.
01:02:07 Mais nous, en tout cas, on va aller là-bas avec l'ambition de faire un résultat et de faire un match plein.
01:02:12 J'essaie toujours de faire mieux que la saison précédente.
01:02:15 Donc, j'espère rester sur les mêmes standards.
01:02:18 Je trouve que c'est pas mal depuis quelques saisons.
01:02:20 Je sais qu'on peut encore mieux faire.
01:02:23 Mais comme je disais, chaque fois, chaque saison, c'est un renouvellement.
01:02:29 On repart de zéro.
01:02:30 Donc, à moi, c'est d'essayer de bien m'entraîner, de travailler au quotidien pour faire des meilleures saisons encore.
01:02:37 Des meilleures saisons pour Gaëtan Laborde, qui pour l'instant est allogé à l'OGC Nice.
01:02:40 Mais le pauvre, il était parti dans les dernières secondes du Mercato également à Montpellier.
01:02:45 Ça s'était passé aussi un petit peu comme ça pour lui.
01:02:48 Donc, pour l'instant, on croise les doigts.
01:02:49 C'est ce qu'il a encore dit tout à l'heure.
01:02:50 Il a dit "Moi, je suis bien à Nice. Je suis content d'être là.
01:02:52 Mais dans le foot, un coup de fil et ta vie peut basculer."
01:02:54 Tout peut arriver.
01:02:55 Mais bon, un coup de fil.
01:02:56 Je ne comprendrai plus rien.
01:02:57 Il n'est pas question pour l'instant.
01:03:00 Encore heureux.
01:03:01 Mais moi, je pense que demain, s'il y a une belle offre pour Laborde avec son salaire...
01:03:04 Ça veut dire quoi, une belle offre ?
01:03:06 Je pense qu'à 10-12...
01:03:08 Le moindre tocard, il vaut 8 millions.
01:03:10 Donc, bon.
01:03:11 On passe à la compo probable.
01:03:18 8-12.
01:03:19 Allez.
01:03:24 Will, c'est la nouveauté de cette saison dans Gymtonik.
01:03:27 La compo probable, on la détaille sur le mur d'image derrière nous.
01:03:31 Il ne va pas arriver à la dame d'attaque.
01:03:33 Donc, il n'y aura pas beaucoup de changement vis-à-vis de la première compo contre Lille.
01:03:39 Donc, Boulka continuera bien sûr dans les buts.
01:03:42 Puisque Schmeichel ne sera même pas sur la feuille de match.
01:03:44 Rapproche-toi un tout petit peu le micro.
01:03:45 Tu me dis ça, mais j'entendais bien la semaine dernière.
01:03:47 J'ai l'impression de postillonner sur le micro.
01:03:49 C'est ce qu'on me dit en régie.
01:03:51 Je suis qu'un exécutant.
01:03:52 Donc, la défense est la même avec Atal qui semble avoir une longueur d'avance sur le tomba dans le choix et dans l'esprit de Francesco Farioli.
01:03:59 Donc, Atal, Todibo, Dante, Barre, ce sera la même défense que contre Lille.
01:04:03 Youssouf, Sentinelle, Samson et Thuram également.
01:04:06 Le même milieu de terrain.
01:04:07 Et ce qui devrait changer, c'est justement ce forfait éventuel de Jérémy Boga.
01:04:12 Et la question c'est, est-ce que Evan Gessens démarre comme il est entré en jeu à la mi-temps, enfin à l'heure de jeu contre Lille ?
01:04:21 Ou est-ce que c'est Jopp qui aurait sa chance d'entrée de jeu ?
01:04:23 On mise plutôt sur Jopp.
01:04:26 Même si son entrée est peut-être moins percutante.
01:04:28 Elle n'est pas bonne, mais on sait aussi que Jopp n'est peut-être pas un garçon qui aime être le joker en cours de match.
01:04:35 Être de nouveau titularisé, ça pourrait le pousser à vouloir se montrer et en faire plus.
01:04:40 Aux côtés de Mofi et donc Laborde aussi, qui ont donné satisfaction contre Lille.
01:04:46 Et justement, ce duo Mofi-Laborde, ils en ont parlé, Gaëtan Laborde en a parlé tout à l'heure en conférence de presse.
01:04:52 Ils prennent de plus en plus confiance, ils mettent des automatismes également.
01:04:56 Ils en sont quand même à 22 buts, toute compétition confondue tous les deux.
01:05:00 Et le coach aussi, ce qu'il aime bien dans ces attaquants, Laborde, Mofi, c'est pareil pour Boga, pour Gaëtan, c'est leur générosité dans les efforts.
01:05:10 Il est même surpris par ça parce que généralement les attaquants, quand tu leur demandes d'aller presser haut, d'aller chercher le défenseur, tout ça, ils n'aiment pas trop.
01:05:17 Et là, l'OGC Nice, ils trouvent que c'est des garçons très généreux et qui sont connectés.
01:05:22 Et on en a vu déjà la belle connexion Laborde-Mofi, passeur décisif Mofi pour Laborde contre Lille.
01:05:28 Donc de belles promesses à confirmer à Lorient.
01:05:32 Sur le papier, Laurent, cette compo d'équipe niceoise, elle a de quoi battre Lorient ?
01:05:38 Bien sûr, et puis c'est une équipe qui est dans la continuité du premier match, si c'est cette équipe-là qui démarre.
01:05:45 Avec effectivement de la qualité technique, déjà, ce qui est important dans le jeu de l'OGC Nice.
01:05:52 S'ils souhaitent avoir une possession haute et un jeu de qualité, il faut qu'il y ait de la technique.
01:05:57 Je trouve qu'il y a beaucoup de technique dans ce jeu-là.
01:06:00 Et puis la percussion de Mofi devant devrait faire la différence à Lorient.
01:06:05 Voilà donc ce que l'on pouvait dire sur cet avant-match entre Lorient et Nice dimanche à 15h du côté du Moustoir.
01:06:13 Monsieur, c'est bien ça ?
01:06:15 Je pense au "Souviens-toi" et je pense à Antoine.
01:06:17 Ah oui, on va en parler. D'abord, avant le "Souviens-toi", messieurs, il y a le cadeau de la semaine.
01:06:22 [Musique]
01:06:27 Et le cadeau cette semaine, ce sont deux places pour la rencontre entre Nice et Lyon.
01:06:32 Ce sera la semaine prochaine du côté de l'Alliance Riviera à 21h.
01:06:36 On vous fait donc gagner deux places pour cette rencontre au sommet entre les deux équipes.
01:06:41 La première grosse affiche de cette saison.
01:06:44 Et pour cela, vous en avez l'habitude maintenant, il faut pronostiquer le score de Lorient-Nice
01:06:50 avec le nom des buteurs.
01:06:54 Allez, venez, on le fait. Ça fait longtemps qu'on n'a pas fait les pronoms.
01:06:56 Vous voulez faire un petit jeu des pronoms ?
01:06:58 Alors vas-y, tiens, tente.
01:07:00 1-1.
01:07:02 Lorient ?
01:07:03 3-1 pour Nice.
01:07:04 Doublé de Mofi.
01:07:06 Et le dernier ?
01:07:08 Je mettrai Laborde.
01:07:09 J'allais dire 2-1 pour Nice, Mofi Laborde.
01:07:11 Et toi, Philippe ?
01:07:12 J'ai le 2-1 aussi.
01:07:14 Allez, moi je vais dire 1-0 avec un but de Sofiane Diop.
01:07:17 Pour qu'il se réveille, un but pour les Nice.
01:07:20 Voilà le cadeau de la semaine, deux places pour Nice-Lyon.
01:07:23 Le petit hashtag #GymTonic sur les réseaux.
01:07:25 Le score, le nom des buteurs.
01:07:28 On passe au Souviens-Toi.
01:07:29 Alors, tu as été un spectateur attentif du Souviens-Toi de la semaine dernière.
01:07:37 J'ai regardé le...
01:07:39 Est-ce que tu as compris quelque chose de ce que t'a raconté Antoine ?
01:07:41 J'ai regardé le Souviens-Toi de Belle Goulée.
01:07:43 Un régal.
01:07:45 Après j'ai pris deux Guronzan, un Nafalgan et deux Nurofen.
01:07:49 On l'embrasse Antoine.
01:07:50 Ce n'était pas un exercice facile parce que le match était difficile.
01:07:52 Non, bien sûr.
01:07:53 Mais il m'a demandé, il m'a dit "essaye de faire plus long que moi".
01:07:56 Ah, oula.
01:07:57 Tu sais qu'on a déjà un peu dépassé le timing.
01:08:00 Allez, on va redevenir sérieux puisque c'est d'un joueur qui nous a quitté il y a quelques semaines
01:08:05 dont on va parler à présent.
01:08:06 C'est Georges Dominguez surnommé El Potro.
01:08:09 El Potro.
01:08:10 Alors, Georges Dominguez nous a quitté le 31 juillet dernier.
01:08:14 Il avait 64 ans.
01:08:16 Il a marqué Nice.
01:08:18 Il a marqué l'OGC Nice.
01:08:20 Surtout pour la saison 84-85.
01:08:24 Il est arrivé à Nice après des matchs amicaux inquiétants qu'avait fait l'OGC Nice.
01:08:30 Ils avaient pris en 3-0 contre Monaco pendant l'intersaison.
01:08:33 Oui, pendant l'été.
01:08:35 Donc, ils avaient fait signer en express Mustapha Daleb et Albert Gemrisch
01:08:44 qui étaient des grands joueurs, mais un peu sur la fin de leur carrière.
01:08:47 Et donc, le président Iusantini voulait absolument un attaquant.
01:08:51 Et il a appelé son ami Rafael Santos qui faisait le lien avec les attaques en Sud-américain.
01:08:56 Et c'est comme ça que Georges Dominguez est arrivé à Nice pour 700 000 francs.
01:09:00 Ce qui fait 106 euros.
01:09:02 100 000 euros.
01:09:03 J'ai regardé un peu sur le net, ça ferait 220 000 avec l'inflation.
01:09:09 220 000 euros.
01:09:11 Un défenseur central...
01:09:12 Qui n'existe plus.
01:09:13 Ouais, costaud.
01:09:14 C'est le président du Britannique.
01:09:17 220 000 euros.
01:09:19 Donc, Georges a fait une première saison avec l'OGC Nice remarquable.
01:09:24 Il a fini meilleur buteur de la D2 avec 28 buts en 32 matchs.
01:09:29 Quand il est parti, j'ai appelé ses anciens coéquipiers,
01:09:34 Fabrice Mej, Andréa Mitrano et Patrick Brusichezic.
01:09:39 Ils m'ont tous dit que c'était un phénomène parce qu'il bougeait les défenses,
01:09:43 il marquait de droite, de la tête, du gauche, il allait au charbon, peur de rien.
01:09:49 Et c'est vrai que c'est grâce à lui que Nice a retrouvé la poussière.
01:09:57 Grâce à tout le monde, mais en partie grâce à lui que Nice a retrouvé la première division.
01:10:03 C'était un mec super sympa qui avait une dégaine d'acteur de cinéma,
01:10:10 qui a trouvé l'amour à Nice aussi parce qu'il s'est marié avec Dominique, une niçoise,
01:10:17 que lui avait fait connaître Patrick Brusichezic, avec qui il sortait.
01:10:21 Il mangeait souvent au Félix Fort et après ils allaient à l'Escurial, au Grand Escurial,
01:10:27 où ils buvaient des menthe à l'eau, m'a dit Brusichezic.
01:10:30 La célèbre boîte de nuit qui n'existe plus.
01:10:32 Qui n'existe plus. J'ai beaucoup de souvenirs d'ailleurs.
01:10:36 Ça ne m'étonne pas. Nous en avons tous, même si vous êtes un peu plus jeunes.
01:10:40 Donc, je ne sais pas, on devait voir peut-être les buts du dernier match contre Grenoble.
01:10:48 Et voilà, Nice en bleu. Je ne sais pas ce qu'ils ont repris.
01:10:51 On dirait le milieu du match Racing.
01:10:52 Nice en bleu, Lee Cooper. L'équipe de niche, je vous le rappelle vite fait.
01:10:55 Amitrano, Joly, Brusichezic, Urbello, Blanc derrière.
01:10:58 Au milieu, Françoise, Castagnino, Mej, Lefèvre.
01:11:01 Devant, Marguerite, Dominguez, entraîneur Jean-Séraphin.
01:11:05 Il y avait 1500 spectateurs. 1500 niçois qui avaient été à Grenoble.
01:11:09 Au stade des Alpes.
01:11:10 Oui, au stade des Alpes où il y avait à peu près 9000 personnes.
01:11:12 Ouverture du score par Lefèvre.
01:11:16 Là, je crois qu'on va avoir un but refusé à Jorge Dominguez.
01:11:22 Il me semble. Non, là on voit le but. Deuxième but. 2-0.
01:11:29 Avec le défenseur qui essaye de la rattraper de la main.
01:11:32 Voilà, but de Dominguez. C'était à combien à peu près ? 40ème.
01:11:36 C'est à Lézigère.
01:11:39 C'est à Lézigère, et pas au stade des Alpes.
01:11:43 Alors que toute la caméra était à Saint-Etienne, parce que toute la France voulait que Saint-Etienne remonte.
01:11:48 Sauf Nice.
01:11:49 Voilà, un petit clin d'œil à nos amis verts.
01:11:53 Et le troisième but signé Gilbert Marguerite.
01:11:58 Et après, alors là je ne sais pas ce que c'est.
01:12:01 C'est un coup franc.
01:12:03 Ça veut dire quoi El Potro ?
01:12:04 El Potro, le cheval. Et lui c'était le cheval sauvage.
01:12:07 Parce qu'il défonçait les défenses.
01:12:10 Donc là on ne voit carrément plus rien.
01:12:13 On va appeler Cognac G.
01:12:16 Je crois que Marguerite.
01:12:17 Nice mène 3-0, après Grenoble revient à 3-1, 3-2.
01:12:22 Mais ça arrête là.
01:12:24 Nice monte. Il y avait un monde fou à l'aéroport. J'y étais.
01:12:28 Pour Nice matin.
01:12:31 Et le lendemain, ils avaient fait un défilé. On les voit là.
01:12:34 Avec le docteur Parienti.
01:12:37 Et donc ça c'était pour fêter la montée en Ligue 1.
01:12:40 On lui raconte à chaque fois que sa fille est née à L'Enval ce jour-là.
01:12:43 Et qu'il avait participé au défilé depuis mon oncle Pich.
01:12:46 Et depuis la chambre de L'Enval.
01:12:48 Et oui, mais à un moment donné, on va voir les balcons de L'Enval.
01:12:54 Ah ça fait plaisir de voir.
01:12:56 Les jeunes en Ciao et en 103.
01:13:00 Les confettis de Carnaval.
01:13:02 Les rapports Albert Gainbrich.
01:13:04 Voilà, ça c'est L'Enval.
01:13:06 Mais oui, l'ancien L'Enval.
01:13:08 L'ancien hôpital.
01:13:10 Il y a peut-être Pich sur le balcon. On le salue.
01:13:13 Salut Pich.
01:13:14 Et donc c'était la fête au gym.
01:13:19 Combien de temps ils étaient restés le OGC Nice ?
01:13:22 Ils étaient restés 3 ans en 2ème division.
01:13:24 Et l'année d'avant, il y avait eu ce match de barrage contre le Racing.
01:13:28 Et donc ils montent en 1ère division.
01:13:31 Et donc l'année suivante, ça se passe un peu moins bien pour Jorge Dominguez.
01:13:36 Une histoire de contrat, de prime, qu'il devait toucher, qu'il n'a jamais eu.
01:13:40 Il était parti en 3ème agent qui avait fait le transfert.
01:13:44 Il y a eu un bras de fer avec le président Igno Santini.
01:13:46 Il a refusé de faire le premier match.
01:13:48 Il a refusé d'aller à Bordeaux pour la première journée.
01:13:51 Ça s'est très mal passé entre lui et le président.
01:13:53 Il a mis du temps à revenir.
01:13:55 Il a rejoué, mais il avait perdu un peu le fil.
01:13:57 C'était un affectif.
01:13:59 Il a mis quand même 10 buts.
01:14:01 Parce que pas mal d'attaquants niçois n'ont jamais mis.
01:14:06 Et il est parti au bout d'un an.
01:14:09 C'était dommage, ils avaient fait venir un autre Argentin,
01:14:12 Rolando Barrera, pour jouer à gauche avec lui.
01:14:16 Il s'était blessé très vite.
01:14:18 C'était le rouillé alors.
01:14:21 Et donc après, Jorge est parti à Toulon.
01:14:26 Il a fait Toulon-Nîmes, Toulon-Nîmes.
01:14:28 Et il est reparti en Argentine.
01:14:30 Laurent, tu as le souvenir de Jorge Domínguez ?
01:14:33 Oui, je me souviens, j'étais adolescent.
01:14:35 C'était un attaquant, comme on aime aussi à Toulon.
01:14:39 Qui s'engage et qui remue les défenses.
01:14:42 Il a dû jouer avec Roger Récord à cette époque-là.
01:14:46 Il y avait une belle équipe à Toulon.
01:14:48 C'était en 1986 peut-être.
01:14:50 Il a joué deux ans à Toulon, je crois.
01:14:52 Donc il part de 1986 à 1988.
01:14:55 Il avait des rapports musclés avec les journalistes aussi, non ?
01:14:58 Il quitte Toulon parce qu'il avait eu un problème avec un journaliste.
01:15:03 Et il lui avait donné un gros coup de poing dans le visage.
01:15:06 Et donc, Courbis avait dû se passer de lui.
01:15:10 Parce qu'il y avait eu une plainte.
01:15:12 Ça s'était mal terminé à Toulon.
01:15:14 Oui, avec un journaliste qu'on connaît bien.
01:15:18 Donc on se passera de lui.
01:15:21 En tous les cas, on peut dire toutes nos condolences à la famille de Georges Dominguez et à ses proches.
01:15:27 Surtout que son ex-femme Dominique et son fils Dylan, qui a 33 ans.
01:15:32 Son fils est à Nice.
01:15:34 Il a une fille aussi qui a été jusqu'au bout avec lui.
01:15:37 La famille était très très peinée et très touchée.
01:15:40 Je crois qu'ils vont être à l'honneur pour Nice-Lyon.
01:15:44 Et ça serait bien.
01:15:46 Après avoir acclamé Puel, je pense que l'Allianz acclamera le souvenir de Georges Dominguez.
01:15:53 Et on pense évidemment fort à la famille.
01:15:55 Messieurs, merci beaucoup Laurent.
01:15:57 Merci.
01:15:58 On te reverra avant les JO.
01:15:59 Tu reviendras sur le plateau nous parler évidemment de cette équipe de France de foot féminine avant les Jeux Olympiques.
01:16:05 Les coachs qui passent ici.
01:16:06 On a l'exemple avec Eric.
01:16:07 On a relancé sa carrière.
01:16:09 Eric Roy, qui a réussi à battre France.
01:16:13 On l'embrasse.
01:16:14 C'est le début de saison d'Eric.
01:16:17 Merci beaucoup messieurs.
01:16:19 C'est la fin de ce Gym Tonic.
01:16:21 Merci à toutes et à tous pour votre fidélité.
01:16:23 Merci à Chloé Vargaar, Sophie Doncé, Philippe Bertigny et Franck Fernandez à la préparation et à la réalisation de cette émission.
01:16:30 Bon week-end à tous, bonne semaine et à la semaine prochaine.
01:16:33 Bye bye.
01:16:34 [Musique]
01:16:56 [SILENCE]