Une vingtaine de marathons au compteur, Nicolas Bompard s'obstine à défier les chronos. Ce marathonien déficient visuel a le goût de la victoire ! Comment se prépare alors une course de cette envergure ? Nicolas Bompard nous révèle les coulisses de la préparation d'un marathon.
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00:11 Sur ce stade, ce qui me va bien, c'est le contraste entre la piste qui est noire et la ligne blanche.
00:17 Donc ça me va mieux que les pistes classiques rouges et blanches.
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00:27 Ce qui m'a donné envie de courir, c'était un petit peu un défi que j'avais eu avec une amie
00:34 qui devait m'accompagner sur le 10 de Clermont en 1997.
00:39 Il n'y avait pas de camp qui ne pouvait pas au dernier moment et ça a été remplacé par quelqu'un d'autre.
00:44 Mais voilà, c'était un défi de faire le 10 de Clermont et je me souviens très bien que j'avais fait 43.15 à l'époque,
00:51 sans les entraînements de journée bien sûr.
00:54 Après voilà, c'était qu'un début et après j'ai couru quelques fois sur les 10 de Clermont ou ailleurs, seul.
01:03 Mais après j'ai eu quelques incidents avec des voitures, les voitures, les choses comme ça.
01:08 Donc après il a fallu prendre une décision d'avoir un guide.
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01:16 C'est là où j'ai commencé à progresser à nouveau, repasser un palier.
01:21 Et en 2014, c'est là que j'ai fait mon chrono de référence en 2h44.16 à Orléans.
01:33 C'est avec ce chrono là où j'ai pu à la fois participer au championnat de France des valides, sur marathon entre autres,
01:42 et j'ai pu être reconnu auprès de la Fédération Endesport.
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