Ousmane Sonko sur les magistrats promus : "Macky Sall a acheté certains magistrats..."

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00:00 Je l'ai apporté ici.
00:03 Si tu ne le fais pas, tu ne peux pas faire ce que tu veux.
00:08 Je ne peux pas me battre car ma carrière politique est intacte.
00:13 Réunis au Sénégal, personne ne peut dire qu'il n'a pas été en paix avec Ousmane.
00:21 C'est la carrière politique de Wiasouna.
00:24 Il est à la page de la tournure.
00:30 Je vous ai dit que je ne vais pas laisser Mbakissal.
00:38 Vous avez vu ses nominations dans le magistrat.
00:41 Si c'est Fal, il va faire un cours d'appel.
00:46 On va le faire et il va condamner Ousmane Sonkour pour 2 tueurs.
00:53 Il a fait des erreurs dans sa décision.
00:57 Il a fait la même chose avec les avocats de Branco et les autres.
01:03 Il a été condamné à la présidence du tribunal grand instance de Dakar.
01:08 Il a fait des erreurs dans sa famille.
01:11 Je crois qu'il a été examiné par des enfants.
01:17 Il a été élu dans le cabinet de Victorine Dey.
01:22 Il a été élu pour qu'on puisse avoir majorité.
01:26 C'est ce qu'on va faire avec le secrétaire général.
01:29 Ce sont seulement des récompenses.
01:32 Il y a 60 ans, on a fait un autre procès avec Issa Ndiaye.
01:41 On a fait une promotion pour qu'il soit majoritaire.
01:48 On a aussi fait un cours de cassation pour préparer ceci.
01:52 Mais je veux vous dire que ce n'est pas un problème de justice.
01:57 Je crois que le magistrat a des bons et mauvais points.
02:02 Il a fait son travail et on en a beaucoup.
02:05 Mais il y a des corruptions.
02:10 Il a fait des promotions pour les corruptions.
02:17 Il a aussi fait des erreurs dans la justice.
02:24 Le procureur ne vous a plus fait confiance.
02:27 Si on avait appliqué ceci, on serait en justice.
02:31 Notre problème ne finira pas en justice.
02:34 Je suis éligible.
02:40 Je suis candidat.
02:43 Le premier dossier a corrompu les juges.
02:48 Mes avocats ont dit qu'ils allaient faire leur travail.
02:53 Ils ont fait une mémoire de 128 ou 130 pages.
02:59 J'ai demandé à mes magistrats de voir ce qui pouvait se passer dans le cassement.
03:09 Je ne vous ai pas dit que nous serions là pour faire des procédures.
03:13 Mais vous savez ce qui se passe dans le cassement.
03:18 Il y a des dossiers bétons.
03:20 On ne sait pas où les choses vont.
03:25 On ne peut pas se dire ce qu'on veut.
03:30 Mais je suis candidat car le dossier n'est pas terminé.
03:38 Si on est dans le premier dossier, on peut le faire.
03:41 Car on va condamner par comptimax.
03:44 Si je suis là, le jugement sera terminé.
03:51 Si vous êtes là, le jugement sera terminé.
03:54 Mais je veux que vous nous préparez pour ce qui va se passer.
04:02 Si on ne peut pas faire quelque chose, on ne peut pas faire autre chose.
04:10 Si on ne fait pas ce qu'on a décidé, on ne pourra pas faire autre chose.
04:19 On ne pourra plus faire autre chose.
04:27 Mais je veux que vous vous en fassiez conscience.
04:33 Que vous vous sensibilisez.
04:38 Que vous vous sentez en piège.
04:43 Ce n'est pas une piège.
04:45 On a beaucoup de gens qui veulent faire des choses pour Ousmane Sonko.
04:52 Mais Ousmane Sonko est dans le cassement.
04:57 Il a été en prison depuis le 28 mai.
05:06 Jusqu'au 14 juillet.
05:09 Il a dit que Ousmane Sonko ne partira pas.
05:17 Il ne partira pas en Sénégal, il ne partira pas en Syrie.
05:22 Il ne fera pas d'investiture.
05:25 Il a dit que son père allait en Syrie mais qu'il ne partira pas.
05:31 J'ai obligé mes collaborateurs d'avion à venir à Dakar
05:39 pour qu'on m'envoie les dossiers et qu'on puisse signer pour qu'on parte en Syrie.
05:45 Il a dit que ce n'est pas une piège.
05:51 C'est normal que les Sénégalais se sentent en prison.
05:56 Est-ce qu'on doit le faire?
05:58 Notre problème est que depuis le début de la lutte contre Macky Sall
06:06 nous sommes en position défensive.
06:09 Si Macky Sall ne veut pas qu'on prenne la décision de sortir de la justice
06:17 il faut qu'on soit en position offensive et qu'on avance.
06:22 Il faut que nous sachions que si on veut la défendre
06:27 c'est plus facile de la prendre en charge.
06:32 On ne peut pas le faire.
06:34 Ousmane Sonko est un homme, un citoyen, un père de famille
06:40 un maire, un chef de parti et un candidat à une élection présidentielle.
06:46 C'est donc le premier piège.
06:50 On peut le prendre mais il faut qu'on le prenne de la même façon.
06:55 Il faut sortir de ce deuxième piège.
07:01 On a beaucoup de problèmes.
07:03 La société sénégalaise a toujours dit que Sonko était un candidat.
07:07 On a toujours dit qu'il ne devait pas être un candidat.
07:13 C'est ce que l'on a dit au conseil constitutionnel en janvier.
07:16 Donc, est-ce qu'on peut continuer à ses défenses en janvier?
07:24 On a déjà pris des décisions
07:28 contre Antoine Diom, Ismaël Amadior Fall et son procureur.
07:34 Pour faire en sorte que personne ne le prend pour sortir de la liste électorale.
07:40 Vous savez ce que je veux dire?
07:43 C'est pourquoi on a décidé de le faire aujourd'hui.
07:45 On a décidé de le faire parce que ce que nous avons vécu ici
07:50 et ce que notre fils a fait pour nous, c'est de nous rendre compte que nous devons nous-mêmes.
07:57 Nous devons nous unir, nous devons nous unir mais nous devons nous défendre.
08:01 Les Sénégalais ont toujours été d'accord pour le projet de l'élection présidentielle.
08:09 Mais ce n'est pas le cas aujourd'hui.
08:14 J'ai entendu un bruit.

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