À Chaud:
- Les résultats du BAC sont tombés ce matin. La Loire enregistre un taux de réussite de 87,1%.
- Le Président de la Région AuRA rendait visite aux forces de l'ordre de Roanne.
- Huit personnes étaient jugées cet après-midi en comparution immédiate pour avoir participé aux émeutes à Saint-Etienne.
- Les commerçants de Saint-Etienne se rassemblaient pour protester contre les violences de ces derniers jours.
- Les salariés de Mécacentre sont en grève. 180 emplois sont menacés.
À DÉCOUVRIR :
- Les greffiers de Saint-Etienne étaient en grève ce lundi.
- Les verts ont repris l'entraînement ce lundi à l'Etrat.
- 1000 sapeurs-pompiers de toute la France étaient à Saint-Etienne pour la FINAT. Une compétition sportive.
- Les résultats du BAC sont tombés ce matin. La Loire enregistre un taux de réussite de 87,1%.
- Le Président de la Région AuRA rendait visite aux forces de l'ordre de Roanne.
- Huit personnes étaient jugées cet après-midi en comparution immédiate pour avoir participé aux émeutes à Saint-Etienne.
- Les commerçants de Saint-Etienne se rassemblaient pour protester contre les violences de ces derniers jours.
- Les salariés de Mécacentre sont en grève. 180 emplois sont menacés.
À DÉCOUVRIR :
- Les greffiers de Saint-Etienne étaient en grève ce lundi.
- Les verts ont repris l'entraînement ce lundi à l'Etrat.
- 1000 sapeurs-pompiers de toute la France étaient à Saint-Etienne pour la FINAT. Une compétition sportive.
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00:00 [Musique]
00:15 Après plusieurs nuits de chaos dans certaines communes de la Loire,
00:18 le président de la région, Laurent Wauquiez, est venu soutenir les forces de l'ordre.
00:22 Il était à Rouen cet après-midi.
00:24 Il a notamment visité le centre de supervision urbaine. Nous y étions.
00:28 Des débordements qui ont abouti à une soixantaine d'interpellations.
00:31 La justice a pris rapidement le relais avec une série de comparutions immédiates.
00:35 Ce mardi, huit personnes ayant participé aux émeutes étaient convoquées
00:38 devant les juges du TGI de Saint-Etienne cet après-midi.
00:41 Les vacances sont finies pour l'AS Saint-Etienne.
00:43 Les Verts ont repris l'entraînement ce lundi à l'Étras.
00:46 Un événement que ne pouvait pas manquer.
00:48 Les supporters venus en nombre pour saluer les joueurs et les encourager pour la saison à venir.
00:52 Enfin, ce week-end, mille athlètes sapeurs-pompiers venus de toute la France
00:56 ont donné rendez-vous au stade Henri-Lux à Saint-Etienne.
00:59 Ils participaient à la finale nationale du parcours sportif et des épreuves athlétiques.
01:03 Vous verrez tout cela en fin de journal.
01:05 Bienvenue dans votre JT. Je suis ravie de vous retrouver.
01:09 Et on commence avec ce grand moment d'émotion dans la vie des lycéens.
01:12 Ce matin, les établissements affichaient les résultats du Bac 2023.
01:16 7883 candidats étaient inscrits cette année dans la Loire.
01:20 Ce matin, nous sommes allés à la rencontre de quelques lycéens venus découvrir leurs résultats.
01:24 C'était au lycée François Mourillac à Andrézis-Boutéon. Écoutez-les.
01:27 - Eh bien, mention bien, donc, 1,5.
01:30 - C'est parfait, je suis super content.
01:32 - Eh bien, c'est bien passé, j'ai eu une mention assez bien.
01:34 - Un petit peu déçu, parce que je suis le seul de ma classe à passer au rattrapage.
01:38 - Je ne pouvais pas avoir la mention bien, parce que je n'ai pas assez travaillé en première.
01:41 - Je pensais avoir quand même une bonne note, parce que j'ai bien travaillé.
01:44 Et là, ça a payé, je suis content.
01:46 - Je suis étonné, je pensais l'avoir et à 0,25, je l'aurais eu.
01:51 - Donc voilà, ça se rattrape facilement, mais bon, l'algorithme, ce n'est pas comme le bac.
01:56 Le bac, en général, au rattrapage, on le donne plus facilement.
01:58 - Avec mon père, on va fêter ça ce soir.
02:00 - C'est fac de sociaux à Montpellier, du coup.
02:02 - On va faire un bon apéro, je pense, bien fêter ça.
02:05 - Eh bien, on croise les doigts, on monte à Lyon demain pour le rattrapage,
02:09 réviser deux, trois cours de la matière où on a froid le plus, puis on croise les doigts.
02:17 - Et dans la Loire, le taux de réussite a atteint 87,1%.
02:21 On félicite les nouveaux bacheliers.
02:23 L'actu de ce mardi, c'est aussi la visite du président de région dans la Loire.
02:28 Laurent Wauquiez était à Rouen cet après-midi.
02:31 Il est venu apporter son soutien aux forces de l'ordre du nord du département
02:34 suite aux émeutes de ces derniers jours.
02:36 Il s'est notamment rendu au centre de supervision urbaine.
02:39 Marie Lispario y était.
02:41 - Les policiers et les pompiers de Rouen ont reçu les félicitations
02:45 et les remerciements du président de région Laurent Wauquiez.
02:48 Il souhaitait se déplacer à Rouen pour soutenir les villes moyennes victimes,
02:52 elles aussi de dégradation.
02:54 Contre les casseurs, il prône une sévérité impitoyable.
02:57 - Après ce qui s'est passé, toute atteinte à l'intégrité physique
03:01 doit faire l'objet ensuite d'une sanction privative de liberté.
03:05 Si on veut reprendre la main, si on veut réinstaurer du calme,
03:08 si on veut lutter contre la violence, ça me semble indispensable.
03:13 Alors je sais bien sûr les arguments qui vont être opposés.
03:16 Je sais bien sûr les excuses qu'on va brandir.
03:19 Je sais bien sûr qu'on va expliquer qu'une grande partie de ces délinquants sont des mineurs.
03:23 Mais je le dis aussi très simplement et très clairement.
03:27 S'ils sont suffisamment barbares pour commettre ce qu'ils ont commis,
03:31 alors ils sont suffisamment âgés pour être lourdement sanctionnés.
03:34 - À Rouen et au Coteau, sur trois nuits d'émeute,
03:37 de nombreux incendies ont détruit ou dégradé trois bâtiments,
03:40 des véhicules et des conteneurs.
03:42 Pour le maire de Rouen, il est important de réagir.
03:45 - Si on ne tire pas les conséquences politiques de ce qui s'est passé,
03:48 à quel que soit le niveau, au niveau de l'État, nous aurons raté quelque chose.
03:52 Et par conséquent, il est important que les politiques qui comptent dans ce pays
03:55 puissent se rendre compte de ce que nous avons vécu, nous, ville moyenne,
03:59 parce que nous avons connu effectivement en 2005 des émeutes urbaines,
04:02 mais dans les grandes villes, mais pas dans les villes moyennes comme les nôtres.
04:05 Laurent Wauquiez a visité le commissariat, le centre de protection urbaine et la caserne
04:09 pour rencontrer les acteurs de la sécurité.
04:12 Il constate un niveau de violence de plus en plus important, même envers les pompiers.
04:16 Alors recevoir la visite du président de région peut booster le moral des équipes.
04:21 - C'est obligatoirement positif de savoir qu'on a le soutien de la région,
04:25 le soutien de la ville, c'est obligatoirement des choses qui sont positives pour les équipages.
04:30 Après c'est très personnel, chacun va l'intérioriser en fonction de son vécu,
04:35 de son expérience et tout un ensemble de choses.
04:37 Ces derniers jours ont été difficiles pour les commerçants et les équipes de sécurité.
04:42 Les enquêtes pour découvrir les identités des émeutiers continuent,
04:45 grâce notamment aux enregistrements vidéo.
04:48 - Et à Saint-Etienne, la réponse judiciaire est déjà donnée.
04:51 Cet après-midi, huit personnes étaient jugées en comparution immédiate
04:55 au tribunal judiciaire de Saint-Etienne.
04:57 Des personnes jugées pour avoir participé aux émeutes et au pillage des commerces.
05:01 Un reportage de Nathan Vacher.
05:03 - L'un d'entre eux devrait fêter son baccalauréat obtenu tout juste aujourd'hui,
05:08 mais pour avoir participé au pillage, il devra porter un bracelet électronique pendant six mois.
05:13 Son cousin, un boulanger âgé de 18 ans, est condamné à un an d'emprisonnement,
05:17 dont cinq mois avec sursis.
05:19 Le troisième est un marocain de 33 ans.
05:21 Il est condamné à un an de prison et une interdiction totale du territoire français.
05:26 Il a volé quatre paires de lunettes dans la nuit de vendredi à samedi.
05:29 - Il y a eu beaucoup d'arrestations, moins de dossiers transmis au tribunal
05:34 parce qu'on arrête à tour de bras sans forcément se donner le temps
05:40 de vérifier qui a commis quel fait.
05:43 On l'a vu aujourd'hui, il y a des personnes qui sont arrêtées,
05:46 qui sont présentées au tribunal sans forcément qu'on ait d'éléments dans les dossiers.
05:51 Certaines personnes sont au mauvais moment, au mauvais endroit.
05:55 - De lourdes sanctions ordonnées par le président du tribunal.
05:58 Le procureur de la République, lui, ne veut pas entendre parler d'exemple,
06:02 mais bien de sanctions justes et à hauteur des actes commis.
06:05 - Le but de la judicie, ce n'est jamais de faire des exemples,
06:07 c'est surtout de traiter les situations à la juste mesure qu'elles doivent être traitées,
06:11 à la fois en fonction de la gravité des faits et en fonction des personnalités.
06:14 La gravité des faits, tout le monde peut le constater.
06:16 Lorsqu'on se promène à Saint-Etienne le samedi 1er juillet au matin,
06:20 la ville est dévastée, il y a des commerçants qui sont absolument écoeurés
06:24 et désespérés de la situation.
06:26 Il y a même tout un tas de particuliers qui, en voyant ce qu'on a fait de leur ville,
06:29 ont les larmes aux yeux et se demandent comment ça va se passer demain.
06:32 - Six autres émeutiers seront jugés jeudi en comparution immédiate.
06:36 Le procureur de la République espère que ces condamnations
06:39 feront écho à ceux qui n'ont pas été interpellés,
06:42 pour qu'ils connaissent ainsi les sanctions prévues.
06:44 - Une réponse rapide de la justice, attendue par les commerçants de Saint-Etienne.
06:49 Près de 70 commerces ont été vandalisés et pillés ces derniers jours.
06:53 Un traumatisme pour certains commerçants qui ont décidé de dénoncer ces actes de ce soir.
06:58 Un rassemblement est organisé rue Michelet devant la boutique Lacoste.
07:02 Et sur place, nous retrouvons Sébastien Couturier.
07:05 Vous êtes président de l'association de commerçants côté Saint-Etienne.
07:08 Bonsoir.
07:09 - Bonsoir.
07:11 - Dans quelques instants, d'autres commerçants vont venir vous rejoindre.
07:15 Dans quel état d'esprit vous êtes ce soir ?
07:17 - Ecoutez, madame, j'ai une mauvaise nouvelle déjà,
07:22 puisque le bilan s'est alourdi entre votre précédente phrase
07:25 et ces minutes qui sont en train de se dérouler.
07:28 On a fait un bilan provisoire ce week-end,
07:31 qui était d'une soixantaine de boutiques que nous avions visitées.
07:35 Aujourd'hui, Saint-Etienne se place tristement en première ville de France
07:40 touchée en proportion à son nombre de commerces.
07:42 Nous en sommes à 105 commerces touchés.
07:45 J'arrive même pas à vous parler.
07:47 - Oui, j'imagine que c'est un vrai traumatisme pour les commerçants de Saint-Etienne.
07:51 Qu'est-ce qu'ils vous racontent ?
07:53 - Je sais même pas si j'ai des mots, en fait.
07:55 - Comment on vit ?
07:57 - Les images parlent d'elles-mêmes.
07:59 Aujourd'hui, on a du mal même à communiquer avec les équipes,
08:02 parce qu'il faut pas penser que c'est un nombre de commerces.
08:05 C'est un nombre de salariés qui est impressionnant.
08:09 C'est aujourd'hui une valorisation financière qui est incontifiable.
08:13 On parle de plusieurs dizaines de millions d'euros à Saint-Etienne.
08:16 Ce sont des chiffres qui sont impossibles à imaginer.
08:20 On a des commerces qui ne s'en remettront pas.
08:23 Aujourd'hui, nous avons 40 commerces à Saint-Etienne qui ont été pillés sur les 105.
08:28 40 commerces, madame.
08:30 C'est impossible de chiffrer cela.
08:32 C'est impossible d'imaginer ce qui va se passer par la suite.
08:35 Ce sont des salariés au chômage.
08:37 Ce sont des salariés apeurés dans les autres boutiques.
08:40 C'est bien ce qu'il faut comprendre.
08:42 Aujourd'hui, il y en a certains qui ne veulent plus aller travailler.
08:44 Il y en a certains qui sont en dépression, déjà depuis ce week-end.
08:46 Et je les comprends.
08:48 Aujourd'hui, notre message est le suivant.
08:50 On n'est pas là pour évaluer le pourquoi du comment de la situation.
08:54 On n'est pas là pour dire ce qui s'est passé.
08:56 Vous l'avez tous déjà vu à travers les réseaux.
08:58 On est là pour dire ce qui se passe demain.
09:01 On est là pour dire qu'il y a trois missions pour un commerçant.
09:04 Recevoir du public.
09:07 Gagner de l'argent grâce à ça.
09:09 Payer ses salariés grâce à ça.
09:11 Aujourd'hui, on a du mal à dire qu'on va pouvoir payer nos salariés grâce à ça.
09:15 On ne sait même pas si les salariés vont recevoir des clients demain.
09:18 Parce que les clients ont peur.
09:19 Et parce que certaines boutiques sont même fermées.
09:21 On n'est pas capable de sécuriser nos propres boutiques.
09:24 Parce qu'on l'a vu, les débordements sont rapides et exceptionnellement violents.
09:28 Donc ça veut dire que demain, on ne sait même pas si ça va recommencer.
09:32 Et on n'est pas capable finalement d'assurer notre propre foyer à nous, commerçants.
09:37 Qu'est-ce qu'on fait de tout ça demain ?
09:39 Il faut une réponse qui soit claire, nette et excessivement rapide de la part de la municipalité.
09:43 Ceux qui nous suivent, beaucoup plus que juste des annonces.
09:46 On attend d'eux une réponse ferme sur la sécurité.
09:48 On attend d'eux un soutien ferme sur l'économie.
09:51 C'est important.
09:52 Il y a aussi ce retour rapide de la justice.
09:55 Je suis prévenu, passé en comparaison immédiate aujourd'hui, d'eux hier.
09:58 Des peines sont tombées.
10:00 Il y a des peines de prison, une interdiction de territoire.
10:02 Est-ce que c'est ce que vous attendez ?
10:04 Est-ce que vous m'avez entendu ?
10:16 Je vous parlais de la justice qui agissait déjà avec ces comparutions immédiates,
10:23 avec huit prévenus qui passaient déjà aujourd'hui.
10:25 Il y a des peines qui sont tombées, des peines de prison, une interdiction de territoire.
10:29 Est-ce que c'est quelque chose que vous attendez ?
10:31 Est-ce que c'est un retour de la justice que vous attendez ?
10:33 Est-ce que c'est quelque chose que vous attendez ?
10:43 Très bien, écoutez, je pense qu'on a un petit problème technique.
10:46 Nous reviendrons peut-être en fin de journal.
10:49 Dans l'actu, également, les greffiers de la Loire continuent leur mobilisation.
10:55 Toute la journée de lundi, ils ont stoppé leurs activités.
10:58 Ils réclament une meilleure grille salariale qu'ils jugent aujourd'hui injuste.
11:02 Lundi dernier, le ministre de la Justice était à Lyon pour entendre leurs revendications,
11:07 mais ses réponses ne semblent pas avoir convaincu.
11:09 Je vous propose d'écouter Sandrine Blanc, membre de l'UNSA, des services judiciaires.
11:14 Elle explique sa colère face à cette situation.
11:17 Nous sommes là aujourd'hui parce que par rapport à la grille indiciaire qui a été proposée par la chancellerie,
11:22 elle est indécente pour les greffiers.
11:25 Elle vise à peu près 10 euros d'augmentation pour un greffier mensuellement.
11:30 C'est scandaleux de faire ça, c'est vraiment nous mépriser.
11:33 Les choses, il faut qu'elles changent. Il faut une vraie reconnaissance de nos métiers.
11:37 Restez avec nous, dans quelques instants, nous reviendrons sur la compétition sportive des sapeurs-pompiers.
11:42 Pour la première fois, Saint-Etienne a accueilli cette finale.
11:46 Mais d'abord, de nouveau dans l'actu social, 180 emplois sont menacés sur l'entreprise Méca-Centre à Saint-Etienne.
11:53 L'équipementier allemand a été placé en redressement judiciaire.
11:58 Depuis lundi, les salariés sont en grève.
12:00 Ils réclament à la maison mère ZF de réinvestir 2 millions d'euros par an.
12:05 Ce mercredi, l'entreprise passera au tribunal de commerce.
12:08 En attendant, les salariés restent mobilisés.
12:10 Je vous propose d'écouter Yassine au micro de Nathan Vaché.
12:14 Je ne vais pas vous dire mettre un PSO en place, mais plutôt rapporter des nouveaux marchés,
12:20 des volumes de production pour qu'on puisse sauver nos emplois.
12:27 Bien sûr que ça nous fait peur. Il y a plus de 180 familles en péril.
12:32 Et là, on s'inquiète vraiment.
12:35 ZF, ils sont à plus de 43 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
12:42 Le président a été demandé 2 millions d'euros, chose qui a été refusée par l'actionnaire.
12:47 En gros, ils nous ont lâchés.
12:49 On est très abattus. On a peur pour nos emplois.
12:53 On est jeunes, on a des projets.
12:57 Du coup, voilà. Il y a des familles en péril, comme je l'ai souligné tout à l'heure.
13:01 Non seulement ils nous ont délaissés, nous, mais on a l'impression aussi qu'ils ont délaissé la direction.
13:07 Parce qu'aujourd'hui, la direction, elle est incapable de nous apporter des réponses.
13:10 En foot, c'est hier que les Verts ont fait leur rentrée des classes.
13:14 Retour à l'entraînement après un mois de vacances.
13:17 Et c'est quasiment un groupe au complet qu'a pu retrouver Laurent Batless.
13:20 Seuls deux noms manquaient à l'appel.
13:23 Jean-Philippe Crasseau, qui a été transféré à l'Etoile Rouge de Belgrade.
13:26 Et Nils Nkunku, qui est en vacances après avoir disputé l'Euro Espoir avec les Bleuets.
13:32 Le premier entraînement de l'année était ouvert au public, avec une cinquantaine de supporters qui étaient présents.
13:37 Et chacun y est allé de ses espoirs pour cette saison. Écoutez.
13:41 À venir ?
13:42 Remonter.
13:43 Déjà, premièrement, le maintien.
13:45 Il faut rester humble. Et puis si on peut remonter, suivant les recrues qu'on va avoir.
13:53 Plus pour la montée, quand même.
13:56 Histoire qu'on puisse rêver un petit peu. Revoir les grandeurs du championnat français.
14:02 J'espère que cette année, ça sera une bonne saison et qu'on puisse au moins remonter en Ligue 1.
14:07 Déjà qu'il se fasse plaisir et qu'il y ait un bon esprit autour de l'équipe.
14:11 De tous ceux qui tournent le staff et tous les supporters.
14:15 Vu l'année dernière, c'était pas assuré en début de saison.
14:20 On a fait un bon recrutement pour le Mercato d'hiver.
14:24 Donc c'est vrai que si on pouvait refaire pareil cette année, ce serait bien.
14:27 Renforcer la défense et puis des bons attaquants. C'est ce qui attire le plus le public.
14:34 C'est marqué des buts.
14:36 Notez que la plupart des entraînements sont ouverts au public cette année.
14:41 Ce sera le cas ce mercredi matin à 10h30, mais aussi jeudi et vendredi à 17h.
14:46 On va retourner rue Michelet à Saint-Etienne, où on va retrouver Sébastien Couturier,
14:51 qui m'entend cette fois pour ma petite question sur la justice.
14:56 Je vous parlais de ces comparutions immédiates.
14:59 La justice a été assez rapide, avec deux prévenus hier et huit personnes
15:03 qui sont passées devant le tribunal aujourd'hui, avec des peines déjà qui sont tombées,
15:08 prennent de prison ou une interdiction de territoire.
15:10 Est-ce que c'est finalement une réponse que vous attendez de la justice ?
15:14 Je n'ai pas de commentaire à faire, Madame.
15:17 Aujourd'hui, je suis beaucoup trop préoccupé.
15:19 Ça fait cinq jours que je n'ai pas dormi.
15:21 Mes commerçants autour de moi sont là en train de démonter, remonter leur boutique.
15:25 La justice fait son travail, les assureurs feront leur travail.
15:28 On m'a posé souvent la question.
15:31 Très bien. Merci beaucoup, Sébastien Couturier,
15:34 d'avoir répondu à nos questions ce soir.
15:37 Je vous le disais, ils étaient plus de mille pompiers de toute la France
15:41 réunis ce week-end au stade Henri-Lux à Saint-Étienne.
15:44 Ils étaient présents pour participer à la finale nationale du tournoi des pompiers.
15:48 C'est la première fois que notre département accueillait cet événement.
15:51 Des pompiers de 14 à 40 ans se sont affrontés lors d'une dizaine d'épreuves,
15:55 la plus impressionnante étant celle du Paris-Montréal.
15:58 La deuxième épreuve la plus impressionnante étant celle du parcours sportif.
16:02 Des compétences qu'ils utilisent au quotidien, comme nous l'explique Jean-Paul Bauslan,
16:06 président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France.
16:10 Aujourd'hui, on voit des événements qui impactent l'ensemble du territoire.
16:15 On a des collègues sapeurs-pompiers qui viennent renforcer d'autres collègues
16:19 de la région parisienne, voire d'autres secteurs.
16:21 On le fait aussi dans les territoires d'outre-mer.
16:23 On a vu l'été dernier les territoires d'outre-mer venir en renfort
16:26 lors des feux de forêt dans le sud-ouest.
16:28 On est toujours dans cet esprit d'aide et de renfort qu'on peut avoir,
16:35 le même esprit qu'on retrouve sur le sport.
16:37 Ici, vous avez aujourd'hui l'élite des sportifs de sapeurs-pompiers,
16:41 mais toujours en restant dans ce bel esprit de partage.
16:45 Et c'est la fin de cette édition.
16:47 Je vous le rappelle, certaines sanctions ont été prononcées
16:50 contre les émeutiers jugés cet après-midi.
16:52 Des peines allant d'un an de prison avec quelques mois de sursis,
16:56 à de la prison ferme et une interdiction de territoire.
16:59 Le journal revient mercredi 19h.
17:01 L'actu continue sur notre site et nos réseaux sociaux.
17:04 Merci de votre fidélité.
17:05 [Musique]