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HardTalk : La liberté syndicale est-elle menacée ?
Chid Rughoobur, ancien président de l'Union des employés de la Banque de Maurice et Yogita Baboo présidente du syndicat du Personnel Navigant Commercial (AMCCA) d'Air Mauritius doivent faire face à un comité disciplinaire. La liberté syndicale est-elle menacée ?
Pour en parler, Harish Chundunsing accueillera, dans notre studio à partir de 17h30, Jack Bizlall, syndicaliste chevronné et négociateur de la FPU et Raj Ramlagun, ancien président de l'AMCCA et actuel secrétaire de l'association des petits actionnaires de MK.

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00:00:08 Hard Talk, Hard Talk
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00:00:20 Auditeurs de Top FM, bon après-midi, bienvenue à notre édition de Hard Talk
00:00:26 Pour l'édition de cet après-midi, nous avons comme invité Jacques Bislal qui ne m'a pas croit lui-même du pass de présentation
00:00:35 Jacques Bislal c'est un syndicaliste, comme on dit, chèvronné qui compte plusieurs années dans le monde du syndicalisme
00:00:44 Et ensuite nous avons M. Raj Ramlagan qui est anciennement chef de cabine des Amour Riches, ancien président de l'association qui représente les intérêts du personnel d'un vivant commercial, AMCA
00:00:59 Et il est également maintenant le secrétaire de l'association des petits actionnaires des Amour Riches
00:01:06 Et monsieur, bonsoir
00:01:08 Bonsoir
00:01:09 Et Jacques Bislal, bon pour que vous vous en aillez bien, premièrement, il y a un cas, deux cas, spécifiquement qui en ce moment en CP
00:01:16 qui occupent un peu la place dans le média, c'est le cas de deux syndicalistes
00:01:22 Alors un ancien syndicaliste et un actuel syndicaliste, un c'est Mme Yogita Babu, syndicaliste qui est présidente de l'AMCA, des Amour Riches
00:01:33 Et ensuite il y a M. C. Dragooba qui lit un ancien syndicaliste à la banque de Maurice
00:01:37 Donc tous les deux font face à une bonne action disciplinaire, donc j'aurais besoin que vous parliez de développer un comité disciplinaire à chacun
00:01:45 Comment vous, comme syndicaliste, vous trouvez ça, est-ce que vous trouvez ça en atteinte à la liberté syndicale ?
00:01:51 D'abord, ce n'est pas la première fois
00:01:54 Dans les Amour Riches, plusieurs syndicalistes ne passent pas les tours de la direction quand ils n'assument pas notre responsabilité, quand ils nous causent
00:02:03 D'abord, avant qu'ils n'attaquent nous, un syndicaliste, un employé, il a besoin de lire la section 162, le quatrième fédéral de l'Implement Relations Act
00:02:14 qui dit à vous qu'il y a vraiment de bonnes choses contre un syndicaliste, il a besoin de signer au fichier du syndicat pour disquifier, c'est une protection assurée au syndicaliste
00:02:23 ça c'est un premier élément. Dans le cas des Amour Riches, il y a Mme Mildred Strissing, qui est mon camarade Raj Kondien
00:02:35 et Manique, qui, dans une débatte manifestée, fait des démarches, n'a rien fait d'autre, ils n'assument pas notre responsabilité
00:02:46 Il n'y a pas un cas dans les Amour Riches où ils n'assument pas leur responsabilité. En ce qui concerne la banque de Maurice, c'est un cas beaucoup plus grave que ça
00:02:56 Je ne vais pas vous mentionner le nom de la personne qui s'est suspendue, mais la personne qui s'est suspendue a détenu le code d'entrée pour le transfert des devises Maurice à l'étranger
00:03:06 c'est-à-dire sans intervention, pas car transfert, il s'est suspendu et c'est le gouverneur de la banque qui prend sa cote là, il ne peut pas se faire un droit propre
00:03:18 Donc il y a eu un tas de transactions qui ont traversé, il faut avoir en compte une série de dirigeants syndicats qui passent sous les taux de l'employeur
00:03:27 Mais il y a eu un changement qui a été réalisé par l'employeur. Quand on a eu l'information de cela, on est allé dormir tranquille, on peut expliquer pourquoi on est allé dormir tranquille
00:03:39 Entre le moment où tu pouvais mettre des gens en haut à l'époque, il y a eu le cas de Salay de la MBC
00:03:47 Le journaliste de la MBC a dit que la loi dirait que quand on met des gens en haut, on doit donner la raison. Il n'y a pas donné de raison, il ne faut pas mettre des gens en haut, il faut seulement l'arrêter
00:04:03 Alors on a accompagné lui au ministère du travail, il n'a pas eu de résultat. Sorti du ministère du travail, il n'a pas eu de résultat. Sorti du CCM, à la tribunale d'arbitrage, il n'a pas eu de résultat
00:04:19 Et le tribunal d'arbitrage a dit qu'il n'y avait pas de pouvoir pour inciter un employé. Ecoute moi bien là, il n'y avait pas de pouvoir pour inciter un employé
00:04:32 Le cas de la Cour suprême, la Cour suprême a interdit la décision du tribunal. Mais la Cour suprême a fait quelque chose de très intéressant, elle a dit que si on veut qu'on ait un reinstatement, on a besoin de la loi
00:04:46 Donc rencontre avec le syndicat que je me représente, avec moi-même, avec Kalli Tchenn, rencontre avec Böljong, qui est conseiller du ministre, rencontre avec Karambène, et a cisé, à mot de la loi, introduire le paragraphe de 69A
00:05:10 69A vient dire quoi comme ça ? Qu'il faut que les licenciés aient le droit de faire un appel au superviseur du ministère du travail, qu'il faut refaire sa caisse à la tribunale pour un reinstatement
00:05:29 Ils ont entendu ça, reinstatement d'une façon procédurale et dans la loi. Nous n'avons pas eu de reinstatement dans le passé. Nous avons déjà eu une rétrédeuse qui a été suspendue, qui a été remise en charge, qui a été en arbitrage de Garrix à l'époque, qui était le juge, et qui est rentrée
00:05:48 Nous avons eu un licenciement de 20 gars dans le CEB qui est nommé magistrat pour l'âge et qui est tiré du travail. Dans beaucoup de cas, il y en a eu un cas où il y a eu un travail. Il y a eu un cas bien longtemps, dans le vieux tribunal du passé, où le président s'est dit qu'il y a un droit d'étudier une casse et une démission injustifiée si les deux parties sont d'accord
00:06:17 Mais là, il n'y a pas eu de deux parties. Là, c'est une application de la grippe portée et un dressage par le juge. Si le juge trouve qu'il y a une démission postdisciplinaire, il a fini par la démission disciplinaire, il le refait à la tribunale et la tribunale préconise le reinstatement
00:06:37 Ça, il a demandé de la loi, ce qu'il a demandé récemment. Et quand un internal auditor dans une entreprise qui absorbe MSI/RI, etc. dans la marketing industry, il met des hausses au internal auditor, sans raison, sans disciplinaire, sans rien
00:07:01 Il ne peut pas se demander de mettre ce casse devant le tribunal. Quand ce casse est rendu devant le tribunal, l'avocat du parquet, qui l'a même drafté, la loi qu'il a changé, vient dire qu'encore une fois, la définition de reinstatement ne permet pas au tribunal d'assumer sa responsabilité
00:07:26 Et si vous avez une dernière demande qui peut apporter dans le cadre du finance act, ok ? La demande que je vais lire est "implomettre le licence act, clarifier la définition de la dispute de travail et le reinstatement pour faciliter l'application de la loi en cas de termination d'une raison injustifiée"
00:07:46 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, si vous passez d'un comité disciplinaire, mais tout d'un coup, sans raison valable, sans justification, vous avez le droit de faire appel au tribunal d'arbitrage et de retourner dans votre travail, pas de s'y exister ça longtemps.
00:08:03 Vous avez l'impression que votre employé n'est pas au courant de ce changement-là. Ainsi, certains employés ont envie d'appliquer la loi Marussem, qui dit que quelle que soit la décision d'un comité disciplinaire, un employé a le droit d'être un employé, mais que l'IDEO, l'IPLI, trois mois pendant les services, vise ça.
00:08:20 Ça, c'est ça qui prend Port-au-Dunier-ville, donc à Salaye, devant les tribunaux d'arbitrage. Ça, la loi-là, il ne s'en fout pas. Aujourd'hui, le reinstatement est dans la loi.
00:08:32 C'est-à-dire que ça décamarade là. Si jamais vous passez d'un comité disciplinaire, mais vous avez des autres raisons qui ne sont pas raisonnables, qui ne sont pas acceptables, vous ne pouvez pas réintégrer votre travail.
00:08:43 Ça, c'est sur le "general principle", c'est-à-dire de sauvegarder, de désassauvregarder, de l'intérêt de désassauvregarder la loi-là. Mais il y a un problème qui m'oppose quand même.
00:08:56 Si vous êtes des syndicalistes, qui peut assumer votre responsabilité des syndicalistes, pas qu'un droit fait ça aux autres. Il n'y a pas autant que les syndicats concernés dans M. Rousset et les syndicats de Lille-Maurice
00:09:07 qui peuvent s'associer aux autres, ou soutenir des "jimoons" en tant que syndicalistes qui ne critiquent peut-être la direction. Mais, rends-moi un service, il y a un seul élément capable de baiser sur la loi-là, c'est que si jamais un "jimoon" retourne dans son travail,
00:09:23 un patron est capable de dire qu'il s'est contrait à la section 8 de la Constitution, c'est-à-dire le droit de disposer de son entreprise. Par où est-ce qu'il peut dire "moi, je vais prendre un "jimoon" ?
00:09:33 Si je suis arrivé, je vais faire ça comme un appel en cause suprême et qui s'appelle "private counsel" et qui veut gagner de cause. L'ERA, à mon Constitution, pour introduire le principe de la propriété personnelle et la propriété privée sociale.
00:09:54 La propriété privée personnelle et la propriété privée sociale, elle amène cet amendement-là et si ça venit, nous donnera un coût assez important à ce qu'on appelle le terrorisme du capitalisme qui décidait quand les rétruiter, quand les licencier, quelle manière de les payer, pas capable de faire ça dans une société républicaine.
00:10:13 Rache, devant nous, où est-ce que nous trouvons plutôt l'AMCA, la décision que la direction de Maurice Chassin prend contre un président de l'AMCA et comment vous décidez de faire ça ? Comment vous trouvez ça ?
00:10:30 Moi, je ne vais pas vous rendre la technicalité et procédure de cela parce que je ne veux pas que vous dites que c'est un "compris simple". Pour moi, je suis président de l'AMCA, je trouve que je suis un ministre de l'État dans les années 2005 à 2014, je ne suis pas un médecin, mais c'est parce qu'il y a une affaire qui est commune.
00:10:50 Nous avons beaucoup d'AMCA, qui sont des "state-owned enterprises" ou des "state-controlled enterprises". C'est des compagnies qui, avec raison, Jacques Dierre, c'est des compagnies qui ont une entité privée, mais c'est une privée sociale, c'est une privée qui est "owned" par l'État, par le peuple.
00:11:05 Moi, je trouve que nous devons savoir comment cette entreprise, où nous sommes, a été créée, et où nous sommes encore aujourd'hui. Même l'époque où nous avions été "battus et tuffés" s'est déroulée dans les "MT". Après, nous avons eu Rihanna Amir qui a été "jacquinée" avec la grève, et nous avons eu Rampadarat qui, jusqu'à aujourd'hui, ne peut pas être réhabilité à 100% parce qu'il n'a pas de "séquipe de bois", mais quand même, il a sauvé la "casse" des meubles, ce qu'il nous faut dire.
00:11:30 Alors, il y a beaucoup d'affaires, mais moi, au-delà de ce que je vais dire, parce qu'il y a beaucoup de gens qui sont là, qui veulent qu'on les amène à la "Workers' Rights Act", ce n'est pas ce qui est important là.
00:11:40 Cette femme-là, cette madame-là plutôt, Yogita Babu, peut faire face à un potentiel qu'elle appelle "un "Firing Squad", parce qu'elle ne parle rien d'autre qu'un "Firing Squad". La décision a été prise, mais moi, je ne suis pas là pour faire une nuance fondamentale.
00:11:58 Cette petite fille-là, je ne la connais pas personnellement, j'en connais bien quelques-unes, parce qu'elle travaille là-bas pendant 28 ans, ce n'est pas ce qui me fait penser, je ne sais pas ce qu'elle va faire, je ne sais pas, je vais finir.
00:12:08 Je vais continuer à me faire confiance jusqu'à aujourd'hui, je vais lui donner beaucoup d'informations. Je lui dirai "Mais vous n'avez pas un syndicat, non ? Tout est à Closethe World.
00:12:15 Un syndicat peut vendre, l'autre peut vendre, il n'y a pas de problème, on est un syndicat". Et je lui dirai "Puisqu'il y a jamais, je vais continuer à me faire confiance, puisque jamais, on est un terrier derrière mon cheval, parce que les syndicats, c'est ça.
00:12:27 Vous êtes en complicité avec votre "véreux", votre opportuniste qui ne prend pas position dans le management, et puis vous faites du boulot et vous restez tranquille.
00:12:34 Moi, je tiens à l'attention là-bas, si vous avez besoin de me débattre, vous le disiez, je n'ai pas de problème. Et si vous ne voulez pas me critiquer, vous pouvez me mettre devant les faxes, je n'ai pas de problème.
00:12:42 Je vous dis que je suis dans le cadre de cette madame-là. Cette madame-là, aujourd'hui, peut faire face à un comité disciplinaire. Je lui ai donné la lettre. Et moi, je lui dirai "Certifique, une signe, ça, la lettre, et tchola, pas les signes, ça, on va faire signer. Moi, c'est mon responsabilité".
00:12:54 Elle n'a pas la capacité ni l'autorité de lui faire signer une lettre comme ça. Je sais qu'elle m'a dit ça. Je ne suis pas dans le comité disciplinaire, moi, je ne suis pas dans le comité disciplinaire.
00:13:01 Vous prenez la responsabilité de vos propos. Je prends la responsabilité de mes propos, je peux dire "Laissez-moi en avoir une prouve, moi, otherwise".
00:13:05 Je vais signer parce que je sais que mon système n'est pas bon aujourd'hui. Un camarade m'a dit que je ne fais pas de signes aujourd'hui. Un garçon, il s'appelle Michael Limky, il fait ce travail que je fais, je vérifie ça, moi.
00:13:17 Il n'a pas de responsabilité. Si je lui demande de faire des choses pour chacun, il y a un syndicat là-bas. Le syndicat peut donner des coups de main pour faire des tirs à lui.
00:13:26 Et un garçon, il s'appelle Chris Virapen, il fait des tirs, il n'a pas d'accord avec un rapport, c'est ce qu'il a demandé, il a dit qu'il allait retourner dans son département. Il y a un contrat venu du fond.
00:13:34 Si je peux raconter à lui, Maeswa Ram, qui fait l'équité à Mauritius, Charlie, il y a une équipe constante de 4-5 personnes depuis 2000, je peux dire.
00:13:44 Avant aussi, vous savez, à l'époque de Cheikh Vengadam, je connais Mauritius, je ne suis pas prêtant, je ne sais rien.
00:13:48 Depuis l'époque de Cheikh Vengadam, il y a eu un clic. Il y a eu un clic là et ça a pourri sa compagnie là et les politiciens qui ont le pouvoir, qui ont le pouvoir,
00:13:55 c'est les CEOs qui viennent, je peux dire, ils ne dépendent pas de moi parce qu'ils rapportent de fausses republiques, ils sont ménagers, ils peuvent survivre.
00:14:01 Sauf si il y a eu un conflit, un peu comme Mike Strava, du coup, là, là, en vie, en vie, c'est pas mal.
00:14:06 Mais ce problème-là, il découle d'un clic et ce clic a commencé encore plus après 2010.
00:14:11 Nous, on a eu à l'époque la question, on le connaît, nous disons qu'on doit mettre un lot de partout. Le lot là, il a duré jusqu'en 2005, un petit peu, après 2005, il a reboulé.
00:14:19 Piage.
00:14:21 Ça veut dire que nous sommes constants dans l'équation pour retirer sa compagnie là et nous rester tranquilles.
00:14:27 Nous sommes camarades. Moi, tout le temps, je dis que si nous faisons de la paix, nous devons avoir une qualité de vie.
00:14:32 Je ne suis pas capable de camarader avec des gens qui peuvent donner des coups de main pour le système.
00:14:36 Et je dis que je ne veux pas faire de système. Les systèmes, c'est les personnes qui font les systèmes.
00:14:40 Moi, je prends la responsabilité en 2010.
00:14:42 2010, oui.
00:14:44 Moi, Clive Bastien signifie que son âme repose en paix. Il n'est pas là.
00:14:46 Il y a des gens qui ont des idées.
00:14:48 J'ai qu'une de nos coups de main, je le reconnais vraiment.
00:14:50 Mais c'est moi qui ai fait ça.
00:14:52 Moi, quand je fais ça, je le fais.
00:14:54 Parce que vous savez, il y a des gens qui ont apporté l'expérience personnelle et non pas de façon académique.
00:14:59 Ils ont apporté l'expérience qui est passé.
00:15:01 Moi, je me suis dit que je vais reprendre mon travail.
00:15:03 Clive, pour aller là-bas.
00:15:05 Je me suis dit que je ne serais pas capable de faire ça.
00:15:07 Et il a fait ça.
00:15:09 Et moi, André Villejoy, qui parle aujourd'hui, qui fait Caspar Kedof, qui me dit ceci.
00:15:12 Je lui ai dit que je n'étais pas d'accord pour prendre moi, mais pour redéployer moi.
00:15:16 Je lui ai dit que j'avais envie de connaître si je pouvais négocier.
00:15:21 Parce que je n'ai pas fini de connaître moi.
00:15:23 Je ne suis pas le président de la compagnie.
00:15:25 Il ne me le dit pas.
00:15:27 Il me le dit à Harris. Je ne le connais pas.
00:15:29 La case, c'est ma mère.
00:15:31 Vous savez qui s'active dans ce comité d'expérience?
00:15:33 Je vais vous citer.
00:15:35 Gavin Glover, Hamid Moulane, qui continue à l'étudier.
00:15:37 Yusuf Mohamed, qui est en train de faire un tribunal de la République.
00:15:40 Il a fait passer des dix mois des cinq mois.
00:15:42 Qui se peut de faire ça?
00:15:44 Le ministère du Travail, qui s'en a?
00:15:46 C'est qui?
00:15:48 C'est Saquille Mohamed.
00:15:50 C'est Yusuf Mohamed.
00:15:52 Il a fait un conflit avec Iréna.
00:15:54 Je peux vous dire que le système qui est allé au livre Harris, avec raison,
00:15:58 c'est le même système qui ne peut pas durer.
00:16:00 Parce que les mêmes personnes, les mêmes protagonistes, la même culture sont derrière.
00:16:04 Les FN, moi, je ne peux pas vous dire ça.
00:16:06 Samedi, je dis à André Villejoy,
00:16:08 je suis pas encore prêt à me faire avaler par la même classe.
00:16:10 Il me dit, oui, maintenant, la mauraiseur, je lui dis, je reviens là-dedans,
00:16:13 après, maintenant, répiez-moi.
00:16:15 Il a donné mon papier, quels problèmes il a pour moi?
00:16:17 Ça veut dire que ma relation avec l'État, parce qu'il peut me traiter.
00:16:19 Il a des affaires génériques.
00:16:21 Parce qu'il m'a dit que je ne peux pas m'y mettre.
00:16:23 Il m'a dit que je ne peux pas aller à l'époque,
00:16:25 il a dit que je ne peux pas faire ça.
00:16:27 Le logo, c'est pas qu'il change.
00:16:29 Il a dit que je ne peux pas faire ça.
00:16:31 Bon, Samedi, André Villejoy, il est pas là,
00:16:34 c'est lui qui a appelé, il m'a dit depuis Fidji, il dit,
00:16:36 "Bacha téléphoné, disons-le,
00:16:38 "give Ram Lagane whatever he needs, let him go."
00:16:40 Voilà, je vous dis comment une compagnie d'État fonctionnait.
00:16:44 Si je peux dire ça, c'est tout,
00:16:46 je peux dire ça, c'est tout, "from record", et non pas d'une façon académique.
00:16:48 Alors, si je peux vous dire ce qui s'est passé,
00:16:50 je vous dis, je reviens là-dedans.
00:16:52 Ce qu'ils ont dit pour moi,
00:16:54 au-delà de, moi, je suis presque convaincu,
00:16:56 c'est pour mes minutes, c'est pour moi,
00:16:58 c'est pour, puis il arrive pareil, comme à l'époque,
00:17:00 Charles Lacks, Bacha, il y a un autre,
00:17:02 Vipi, il vit pis, je te dis là,
00:17:04 et qu'il y a un clic en cours, qui est en cours là aujourd'hui,
00:17:06 des trois dans les, dans, bah, t'sais, 33 ans, etc.
00:17:08 Je, moi, moi, pour moi, c'est simple,
00:17:11 presque tous les syndicats sont dans les poches
00:17:13 de la direction, m'en dis, c'est à moi.
00:17:15 Je peux dire, non, non, c'est pas, je ne parle pas
00:17:17 pour les scientifiques, là, je travaille,
00:17:19 c'est une autre question, mais c'est moi qui ai dit clair,
00:17:21 il y a des gens dans le public qui, c'est les syndicats qui
00:17:23 nous disent, c'est à moi. Pour moi,
00:17:25 il y a des possibilités, soit,
00:17:27 parce que moi, je dis, il y a un comité de justice,
00:17:29 une "Firing Squad", "Get rid of her", une madame
00:17:31 qui a une veuve, qui l'occupe, ses enfants,
00:17:33 les criminels, vous êtes là, dans des affaires comme ça,
00:17:35 dans un pays qui est dans l'état de droit, et l'état de droit,
00:17:37 vous savez, il parle de la justice tout le temps, ça,
00:17:39 c'est à nous qui avons le débat. Ça, ça veut dire, là,
00:17:41 le point, là, il y a l'autre possibilité, c'est qu'ils
00:17:43 peuvent faire, parce qu'ils ont fait tout, de l'intérieur,
00:17:45 puis, ils renversent, vous savez,
00:17:47 les équipes, les "Crews", je les ai, pendant des années,
00:17:49 je ne suis pas le président, encore.
00:17:51 Il ne peut pas arriver que je soit au "Ground", je ne sais pas,
00:17:53 "Magouille", "C'est pas proxi", ou "Batik",
00:17:55 20 ou 30 personnes, ou "Pont d'exécution",
00:17:57 ou "Diavio", ou... Les "Cabin Crew", c'est un peu plus
00:17:59 solidaires, un peu différents. Ils sont capables, pour de bonnes
00:18:01 raisons ou de mauvaises, de ne pas rentrer là-dedans.
00:18:03 Pourtant, je sais qu'ils peuvent faire ça,
00:18:05 les "Cabin Crew", les "Jews".
00:18:07 Ils ne sont pas capables. Qu'est-ce qu'ils veulent faire ?
00:18:09 Ils sont capables, ils ont un des manoeuvres
00:18:11 qui me trouvait depuis longtemps pour garder ça, c'est qu'ils font ça
00:18:13 tellement découragés et pires,
00:18:15 qu'il faut faire la sortie des syndicats,
00:18:17 à certains points de possibilité.
00:18:19 Là, je me dis, il y a un syndicat
00:18:21 qui est accommodant,
00:18:23 qui joue le jeu. Et ça, je dirais,
00:18:25 il faut que je garde ça,
00:18:27 vis-à-vis de l'agenda.
00:18:29 "Either she's out, or ce syndicat-là,
00:18:31 deviendra un syndicat qui fait consensus."
00:18:33 C'est ce qu'il peut faire.
00:18:35 Moi, j'ai écrit au Premier ministre,
00:18:37 à Réussi, vous allez comprendre,
00:18:39 il n'a pas eu le même calibre, même l'expérience qu'il a eu.
00:18:41 Il m'a appris énormément de choses.
00:18:43 Je me suis pris la honte, je me suis donné le lieu
00:18:45 pour dire ça, le rigueur, le principe.
00:18:47 Je me dis que je suis capable, je me suis rendu au bout,
00:18:49 je finissais par y vivre, mais je reste là-dedans
00:18:51 parce que mes parents aussi, ils m'ont aidé.
00:18:53 Parce que j'ai eu l'habitude de les tuer.
00:18:55 Je me dis que ça m'a dit que je peux faire
00:18:57 ce que je veux, je peux suspendre les gens
00:18:59 qui me trahissent, je peux transférer,
00:19:01 je peux être le manager de Pauking à cause de Pauking.
00:19:03 Je ne peux pas faire ça. Et ça m'a dit que
00:19:05 je peux être dans le giron, le CEO et le virtual CEO.
00:19:07 Et moi, je suis le premier ministre, je suis le monsieur Bikari.
00:19:09 Je lui explique, il me dit qu'il n'est pas d'accord
00:19:11 et qu'il n'a pas fait la bonne chose.
00:19:13 C'est moi qui lui ai dit ça. Chaque fois que je lui dis ça,
00:19:15 il me dit qu'il est dans ce giron-là, dans ce clic-là.
00:19:17 Une fois qu'il a fait ce qu'il a dit,
00:19:19 il a causé une hypothèse, il a causé un changement
00:19:21 de la société. Il a dit que ça ne se sent pas.
00:19:23 Et ça m'a dit que je suis en train de me faire la tête rouge.
00:19:25 Quand je me dis que je suis un mal propriétaire,
00:19:27 je me dis que je peux implémenter un système propre
00:19:29 et que je peux poser des questions très hautes et profondes.
00:19:31 Je ne peux pas causer de salaire, je peux causer de convictions.
00:19:33 Je ne peux pas dire que je suis un clé à tenue.
00:19:35 Ça m'a dit que je suis un pays qui nous soutient
00:19:37 et qui nous soutient pour quelques raisons.
00:19:39 Est-ce qu'il est propre ça ?
00:19:41 Ça m'a dit qu'on peut vivre comme des représentants
00:19:43 de la République demain, parce que
00:19:45 petit poisson deviendra grand.
00:19:47 Jacques, je vais t'écouter un peu plus tard.
00:19:49 Je vais te dire un peu plus ou moins
00:19:51 ce que je pense.
00:19:53 Si je peux dire ainsi.
00:19:55 Pas pour mon compte, mais pour le besoin d'agence.
00:19:57 Tout ce qui est en ce moment, on le dit.
00:19:59 Finalement, le cas de Yogi Thababou,
00:20:01 il reste entier.
00:20:03 On ne peut pas dire qu'il y a un jour
00:20:05 si on peut éventuellement mettre les choses en ordre,
00:20:07 il y a toujours une manière de retourner.
00:20:09 Mais il est garanti,
00:20:11 chacun qui a le retour est garanti,
00:20:13 il est capable de perdre son cas aussi.
00:20:15 Si on arrive à le trouver, pour une raison ou pour une autre,
00:20:17 quand il est venu nous dire...
00:20:19 Je connais actuellement,
00:20:21 c'est l'institution qui peut tenir un peu la démocratie,
00:20:23 c'est un peu le judiciaire.
00:20:25 On peut analyser.
00:20:27 C'est un peu ça.
00:20:29 Ça dépend du mandiment qui magistrate,
00:20:31 qui juge dans la cour intermédiaire,
00:20:33 dans la cour suprême, dans la magistrature.
00:20:35 Parce que si les autres sont emportés
00:20:37 par une vague de répression qui peut arriver,
00:20:39 la société va finir
00:20:41 en baisse pendant un bout de temps.
00:20:43 Alors,
00:20:45 on retourne l'autre élément.
00:20:47 Le crucial.
00:20:49 C'est-à-dire, nous n'avons jamais eu le droit
00:20:51 de contester
00:20:53 une démission
00:20:55 pour un retour.
00:20:57 C'est la guerre. On connaît comment l'État
00:20:59 prend pour la guerre, ça.
00:21:01 Quand nous sommes arrivés là,
00:21:03 c'est 83.
00:21:05 83, 2000... - 40 ans.
00:21:07 - 40 ans. 40 ans
00:21:09 de combats systémiques.
00:21:11 Quand lui-même,
00:21:13 mon cher camarade de...
00:21:15 Comment c'est ça ? Ramadien.
00:21:17 S'est subi à son époque,
00:21:19 avec son camarade de... Comment c'est ça ? - Clive.
00:21:21 - Il a eu une mauvaise baise quand il était au
00:21:23 département de la médecine à l'époque.
00:21:27 Et il m'a dit que je ne l'avais pas.
00:21:29 Je ne l'avais pas. Arrivait le moment
00:21:31 où je disais, passe dans le comité disciplinaire.
00:21:33 Il arrête ça.
00:21:35 Tu as ta propre liberté. Tu ne prends pas ton retraite.
00:21:37 Tu n'as pas de pension, etc.
00:21:39 C'est toi qui décides. Tu n'as pas envie de rester dans sa...
00:21:41 Comment c'est ça ? Dans cet environnement
00:21:43 hostile-là. Malheureusement,
00:21:45 Clive est mort. Il est autant jeune.
00:21:47 Il est même plus vieux que toi.
00:21:49 Il est plus beau que toi. Parce que tu es plus chassé.
00:21:51 Tu es mari correct.
00:21:53 Mais il y a un cas dans la Morocco qui peut défendre.
00:21:55 Là récemment,
00:21:57 pendant la période de Covid,
00:21:59 il y a eu une prise de l'argent, une saccage de l'argent.
00:22:01 Et... Brite.
00:22:03 Mais des hauts déclarent
00:22:05 un contrat, une cassée, etc.
00:22:07 On a le CCM.
00:22:09 Et une tombe d'accord
00:22:11 pour que
00:22:13 le cas suivant soit revu.
00:22:15 Ça, ça ne finira jamais dans la Morocco.
00:22:17 C'est ce que je veux dire. Car au Caroli,
00:22:19 la squelette qui
00:22:21 était née d'un haut handicapé,
00:22:23 on peut quand même te rappeler la squelette.
00:22:25 Il avait des enfants handicapés. Il était
00:22:27 à la France. Il a déclenché
00:22:29 ce contrat.
00:22:31 Là,
00:22:33 ce cas-là, il est revenu.
00:22:35 Après 4 ans, ce petit-là, il a fini
00:22:37 avec 3 ans. En passant, il a eu
00:22:39 un peu de courage. Il a adopté ce petit-là.
00:22:41 C'est ce qu'il a imaginé.
00:22:43 Il a une parrain quelque part.
00:22:45 Tourette, Léon,
00:22:47 Boulaki,
00:22:49 Boulaki,
00:22:51 Payendi, Gopalan,
00:22:53 Perside, Benjen,
00:22:55 Veitelingum, Doma,
00:22:57 Veitelingum.
00:22:59 Boulaki, là,
00:23:01 il y a une semaine,
00:23:03 il n'a pas téléphoné pour dire qu'il avait une dame.
00:23:05 Il faisait son travail.
00:23:07 Non, il ne l'a pas laissé tomber.
00:23:09 Personne n'a
00:23:11 dit dans ce pays-là
00:23:13 qu'il avait un soutien.
00:23:15 Arrivée qu'il a même fait la grève de la faim,
00:23:17 dans le cas de Mme Achar
00:23:19 Rampadaradk, il a eu
00:23:21 son plein soutien.
00:23:23 Il a eu un emploi
00:23:25 dans le secteur gouvernemental.
00:23:27 Et quand il a eu 60 ans, il a été
00:23:29 refusé de se pencher. Il n'a pas droit
00:23:31 parce qu'il a été élu, il n'a pas eu le droit de se pencher.
00:23:33 Là, actuellement, il a créé
00:23:35 une petite société secrétariale.
00:23:37 Il est capable de débrouiller
00:23:39 en autonomie
00:23:41 dans cette petite société
00:23:43 de secrétariat.
00:23:45 D'ailleurs, il est passé comme secrétaire
00:23:47 dans un arbitrage
00:23:49 actuellement.
00:23:51 Moi-même, personnellement, je me suis
00:23:53 soucié de dire
00:23:55 qu'il y a beaucoup de personnes
00:23:57 qui peuvent essayer et atteindre une réponse
00:23:59 pour qu'ils puissent se pencher.
00:24:01 Que bien que jamais personne
00:24:03 n'ait le droit
00:24:05 de m'abandonner
00:24:07 dans un moment de détresse.
00:24:09 Jamais.
00:24:11 Alors, il faudrait qu'il s'en acclare.
00:24:13 Mais seulement, défend, défend,
00:24:15 défend Raj.
00:24:17 Et ne te passe pas sans
00:24:19 la loi qui pousse vers sa
00:24:21 situation-là.
00:24:23 Il est aberrant.
00:24:25 Finalement, tout pour la guerre, la guerre, la guerre, la guerre.
00:24:27 Il réussit à gagner son amendement.
00:24:29 - Monsieur l'interprète, je suis au courant de beaucoup,
00:24:31 de beaucoup d'affaires.
00:24:33 Vous réalisez que depuis Workers' Rights,
00:24:35 il n'a pas eu de loi en 2019.
00:24:37 - Oui, il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:49 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:51 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:53 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:55 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:57 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:24:59 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:01 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:03 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:05 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:07 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:09 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:11 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:13 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:15 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:17 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:19 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:21 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:23 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:25 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:27 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:29 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:31 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:33 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:35 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:37 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:49 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:51 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:53 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:55 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:57 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:25:59 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:01 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:03 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:05 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:07 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:09 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:11 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:13 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:15 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:17 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:19 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:21 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:23 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:25 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:27 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:29 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:31 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:33 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:35 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:37 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:49 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:51 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:53 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:55 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:57 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:26:59 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:01 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:03 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:05 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:07 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:09 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:11 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:13 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:15 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:17 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:19 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:21 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:23 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:25 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:27 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:29 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:31 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:33 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:35 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:37 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:49 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:51 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:53 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:55 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:57 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:27:59 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:01 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:03 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:05 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:07 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:09 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:11 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:13 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:15 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:17 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:19 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:21 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:23 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:25 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:27 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:29 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:31 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:33 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:35 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:37 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:49 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:51 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:53 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:55 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:57 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:28:59 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:01 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:03 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:05 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:07 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:09 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:11 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:13 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:15 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:17 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:19 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:21 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:23 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:25 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:27 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:29 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:31 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:33 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:35 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:37 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:39 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:41 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:43 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:45 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:47 - Il n'y a pas de loi en 2019.
00:29:49 - La roue la tourne, mais nous battons dans la roue.
00:29:53 - Vous avec nous, nous avec vous, nous battons.
00:29:57 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:01 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:05 - Amène-nous la vérité.
00:30:07 - La roue la tourne, mais nous battons dans la roue.
00:30:11 - Vous avec nous, nous avec vous, nous battons.
00:30:15 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:19 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:23 - Amène-nous la vérité.
00:30:25 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:29 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:33 - Amène-nous la vérité.
00:30:35 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:39 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:43 - L'armée dans l'armée, nous battons.
00:30:47 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:51 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:55 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:30:59 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:03 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:07 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:11 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:15 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:19 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:23 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:27 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:31 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:35 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:39 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:43 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:47 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:51 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:55 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:31:59 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:03 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:07 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:11 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:15 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:19 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:23 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:27 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:31 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:35 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
00:32:39 - Laissez-nous, liberté menacée, sans frayer.
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00:41:55 - Pour prendre une sanction disciplinaire.
00:41:57 - Pour "high and fire", il y a plein de choses de "high and fire".
00:41:59 - "High and fire", et laissez-moi vous dire, il peut abuser.
00:42:03 Il peut abuser en ce qui concerne un comité disciplinaire ou une sanction disciplinaire.
00:42:07 L'employé peut abuser dans ce pays-là, et malheureusement,
00:42:11 la loi ne donne pas de sécurité à l'employé.
00:42:15 Elle ne donne pas de sécurité à un syndicaliste qui est capable de faire son travail.
00:42:19 Dites-moi, jeudi, comment est-ce qu'on est capable d'encourager les gens dans ce pays-là
00:42:23 d'employer, comment est-ce qu'on peut les encourager pour rendre le monde syndical,
00:42:27 car je sais que le monde syndical est faible,
00:42:31 à n'importe quel moment, on peut avoir des problèmes,
00:42:35 et à n'importe quel moment, on peut perdre le travail.
00:42:37 - Merci, M. Gopi, un bien coup de tous, et vos interventions nous l'ont apprécié terriblement.
00:42:41 Et je peux effectivement demander à des invités qui l'ont, pour que vous réagissiez à ce qu'ils vont dire.
00:42:47 Surtout, sa proposition qu'il veut faire, qu'il nous besoin d'une instance centralisée
00:42:51 pour pouvoir prendre tous les cas d'une action disciplinaire, d'une bonne comitée disciplinaire,
00:42:57 donc remplacer une bonne comitée disciplinaire qui est située ici et là par toutes les compagnies,
00:43:01 qui tout cela devienne devant une instance centralisée pour pouvoir prendre tous les cas d'une discipline,
00:43:05 et surtout sur la présidence d'un magistrat qui est indépendant de l'employeur,
00:43:11 qui n'est pas appointé par l'employeur. Que pensez-vous de cela, Jacques?
00:43:15 - La proposition d'un dumoun qui est responsable d'une fédération syndicale, il assume sa responsabilité,
00:43:23 mais si jamais une comitée disciplinaire est présidée par un magistrat qui trouve un dumoun coupable, il court lutter.
00:43:29 Il faut faire attention à l'autre. - Il y a un danger.
00:43:31 - Pas juste ça. Comment on identifie un employé? On identifie un employé par le fait qu'il paye son salaire
00:43:38 et qu'il est sanctionné aussi. C'est une identification de l'employé.
00:43:41 Il y a un système similaire dans l'école secondaire. Par exemple, dans une professionnelle école secondaire privée,
00:43:49 quand on fait une faute, ce n'est pas votre employé qui le juge, c'est l'autorité qui le juge.
00:43:57 Et quelquefois, un cas disciplinaire rentre et bypasse la loi, il faut attendre 4 ans pour qu'il soit en jugement,
00:44:05 pour devenir une sorte d'autorité, etc. Maintenant, quand on entend des syndicalistes se plaindre,
00:44:12 la lutte syndicale n'est pas loin de plat, tout ça.
00:44:16 A mes dépens, on a subi ça en 1975. Je suis le pire héros de la fédération service civil,
00:44:25 je fais une déclaration dans la presse, je traite Walter, qui est l'époque où il était ministre du travail, de tonovide.
00:44:32 Je voulais une baise de tonovide à l'époque dans la presse.
00:44:42 Puis, si vous voulez une lettre, vous me dites, donnez-moi une raison pour ne pas faire des sanctions,
00:44:49 pour qu'on n'attaque pas un notable, etc. Je ne vous donnerai aucune réponse.
00:44:57 J'ai demandé à mon employé, qui était professeur en sciences à l'époque, Henri Spitalien-Noël,
00:45:05 est-ce que vous avez une complainte contre moi ? Est-ce que vous avez un délit que vous faites,
00:45:10 qui vous trouvez maladieux et insanctionnable ? Il m'a dit non.
00:45:18 Je lui ai dit, ouvrez-moi cette lettre-là et l'autre.
00:45:21 J'ai une façon militaire que très peu de gens ne comprennent.
00:45:27 À partir d'une particularité, je fais une protection générale.
00:45:30 Qu'est-ce que vous avez à dire là ?
00:45:32 Quand vous avez besoin de mon avis, je refuse une réponse,
00:45:36 vous savez pourquoi, c'est la Simpson qui dit, à l'époque du service civil,
00:45:40 je dis à Clément Moutoud, dis à Simpson, je ne vais pas vous donner aucune réponse.
00:45:44 Dis à Clément Moutoud, dis à ce jeune homme-là, il pourra se baiser avec PSC.
00:45:50 C'est l'époque où je peux traiter un professeur aux ciliers comme étant un fonctionnaire.
00:45:55 Vous connaissez la résistance qu'il m'a fait là, qui est arrivée au fil des temps.
00:45:59 Aujourd'hui, un professeur aux ciliers a le droit de poser candidat à l'Assemblée nationale,
00:46:04 qui se contemple le gouvernement et n'a pas le droit de le faire.
00:46:07 C'est-à-dire qu'il libère à partir de l'attaque, moi je vous dirais qu'il est un syndicaliste.
00:46:13 Si vous pensez qu'il a les syndicats qui peuvent m'aider, il a les cotons, protégés, etc.
00:46:18 Il connaissait bien, nous avons assis ensemble pour négocier l'eau à la table en 2002-2004.
00:46:23 Nous avons négocié, si je ne me trompe pas, le "Bending and Leveling Agreement".
00:46:30 Mais tu as aussi eu l'eau à la table, tu as négocié pour augmenter ton salaire.
00:46:34 Mais tu peux te baiser, après, même si tu as une transfétonale dans HRM,
00:46:39 vengeance restée, ça, pas du monde.
00:46:43 Mais il y a des syndicalistes qui sont capables de remplir les champs dans l'environnement.
00:46:48 C'est-à-dire, qui est-ce qui est responsable ?
00:46:51 Des années après des années, je me dis que ce gouvernement est bien allé.
00:46:55 Et je l'ai encore lu l'antenne aujourd'hui.
00:47:00 Il n'y a aucune raison pour lequel un gouvernement pareil est resté.
00:47:03 Personne n'a pas rendu responsable ceux qui ont travaillé ici dans le pays.
00:47:06 Nous parlons de X, Y, Z.
00:47:08 Qui nous mobilise ? Pour qui ? Il y a une nouvelle constitution.
00:47:13 Parce qu'il y a une constitution qui borne une tas d'affaires dans notre tête.
00:47:15 Nous pensons qu'il y a une constitution extraordinaire.
00:47:17 Comme le coup de Béranger qui disait "c'est un constitut qui a fait ses preuves".
00:47:20 Rien de moins de service.
00:47:22 Moi, j'ai un accord avec mon prédécesseur, Marvin.
00:47:26 Je te supposer, après Bidzé, fin de débat ici, d'où vient le pouvoir du Premier ministre ?
00:47:32 Je te supposer que ça se passe par Mitterrand, Norsingen, Jocelyn Tan-Lao et moi-même.
00:47:39 Pour décortiquer la constitution de 68 et l'amendement de 92.
00:47:45 Pour découvrir comment une constitution qui s'est introduite à l'époque pour une décision britannique
00:47:51 est devenue une danger permanent pour nos démocraties.
00:47:54 C'est la constitution, la pire constitution qu'il n'y a jamais eu.
00:47:58 Et pourtant Béranger était l'innormale, l'autre pays était l'innormale.
00:48:01 Est-ce que si vous connaissez Béranger, Ramgoulam, tu peux faire...
00:48:05 - Comment ça ? Tu peux en vivre ? - République.
00:48:07 République, etc.
00:48:08 Ce n'est pas suffisamment une constitution.
00:48:10 Parce que dans la constitution, le président de la République, il est énié.
00:48:13 Le pouvoir exécutif.
00:48:15 Le Premier ministre, il peut n'avoir pas de pouvoir.
00:48:20 Donc, si Ramgoulam est président, il a une majorité dans le Parlement.
00:48:25 C'est lui qui dirige le pays.
00:48:27 Le Premier ministre vient commander l'Angleterre.
00:48:31 La proposition a été résistée par l'électorat.
00:48:33 Par l'électorat, à juste raison.
00:48:36 Moi, j'ai mis une campagne pour ça.
00:48:38 Parce que je ne voulais pas réaliser qu'il y avait une danger qui allait venir.
00:48:41 Moi, je suis été.
00:48:43 On a créé tous les leaders politiques.
00:48:45 Tous.
00:48:46 Dans le Parlement et au Parlement.
00:48:48 On a dû, comme ça, suivre le principe, prendre une décision.
00:48:50 Si pas, on est d'accord pour nous venir avec une nouvelle constitution
00:48:54 et nous passer à la deuxième République.
00:48:56 Je n'ai personne pour répondre.
00:48:58 Raja Moulin, je voulais vous poser une question très directe.
00:49:00 Parce que je veux conclure avec le cas de Yogita Babu et ensuite de M. Aguba.
00:49:05 Qui d'après vous, devait faire pour qu'il arrête d'avoir un comité disciplinaire ?
00:49:10 Pour qu'il parle de ce comité disciplinaire ?
00:49:13 Harris, je peux être blanc.
00:49:15 Je le sais.
00:49:16 Je connais mes camarades et je l'apprends beaucoup.
00:49:18 Je pense que si vous avez un message, je peux dire que nous sommes à l'occident principal.
00:49:23 Je comprends.
00:49:26 Il y a des gens qui disent que je suis un pédagogue.
00:49:30 Et ça, c'est dû à plusieurs raisons.
00:49:33 Moi, je ne suis pas un médecin qui passe dans le Pôle, dans le casino, dans l'AML.
00:49:39 Mais seulement, j'ai des staffs, des managers, qui ont une perspective réelle.
00:49:45 Par exemple, moi, tout le temps que je suis président syndical, je dis aux gens
00:49:49 "Quand tu peux fanner, tu dis qu'on a simé, je peux le défendre toi, moi, pour mitigating."
00:49:54 Mais je ne soutiens pas le mal propriétaire.
00:49:56 Parce que ce qu'il faut faire, c'est que si je soutiens le mal propriétaire, il y a une promotion demain.
00:49:59 Je peux causer une législation dans l'entreprise.
00:50:02 Il ne faut pas que je déclare que je défend tout le monde.
00:50:04 Je ne vais pas défendre tout le monde.
00:50:05 Sinon, je vais voir l'avocat du diable.
00:50:07 Ensuite, je vais voir le Yogita.
00:50:08 Moi, je fais un appel au premier ministre, au ministre du Travail.
00:50:11 Avant qu'il ne s'accommode pas de disciplinaire.
00:50:12 Parce qu'on dit que si ça peut paraître, Harris, nous causons dans le concret.
00:50:16 Il n'y a pas de calife à la place du calife.
00:50:18 Par exemple, il y a eu un conflit à Mauritius, à l'époque de Nassman Amacham,
00:50:21 quand Dastoma est rentré.
00:50:23 Les deux sont nommés par le premier ministre.
00:50:25 Et tous les deux déclarent que certains plus forts que ses camarades,
00:50:28 ils dominent, qui est-ce qui souffre là-dedans ?
00:50:30 C'est l'autorité et la gestion de l'entreprise.
00:50:33 À l'époque, Adjoda, Sanjay Bhagwati, disons, le protégeait.
00:50:37 Après, il y a Adjoda qui est rentré.
00:50:39 On sait qu'il est protégé de l'autre axe qui vient.
00:50:42 Là, on dit qu'il y a eu, par exemple, l'époque de Mike Hickmack,
00:50:45 il y a eu le même type de conflit, tous les deux nommés par le gouvernement.
00:50:48 On dit qu'il y a eu une entreprise qui ne bouge pas depuis décembre 2022.
00:50:53 Il n'est pas en cause de son syndicat là, un jour.
00:50:56 Par contre, tout le monde perd son EHL.
00:50:59 EHL qui se fonctionne, c'est Harris.
00:51:03 Non, je peux dire ça dans le concret.
00:51:05 Je demande au premier ministre, il est capable et il a tout à gagner
00:51:08 parce que les programmes que nous avons étudiés,
00:51:11 je pense que c'est ce qu'il faut faire.
00:51:13 Le premier ministre ne peut pas supposer qu'on puisse passer d'une entreprise à une autre.
00:51:17 Il n'a pas de autorité.
00:51:18 Il dit que c'est bon, laisse-moi travailler.
00:51:19 Parce qu'il a une entreprise qui a un problème.
00:51:21 Il ne peut pas passer à côté de la PAC quand il n'a pas de grand-chose.
00:51:24 Oui, le niveau micro qui détermine souvent le macro également.
00:51:28 Pas nécessairement tout le temps le macro.
00:51:30 Parce que le macro, c'est là où on peut réagir à ce problème.
00:51:32 Si on peut prendre les gens, on peut faire des choses.
00:51:35 Aujourd'hui, il y a un climat de terreur, je peux dire ça avec certitude.
00:51:41 Conviction.
00:51:42 Il y a une conviction.
00:51:43 Il y a un sentiment de terreur dans les bourgesses,
00:51:46 mais ce n'est pas des gens principalement.
00:51:48 Avec mon allié syndical également.
00:51:50 Si Jack Capave démonte moi, il ne peut pas suivre nous.
00:51:52 C'est M. Ken Orian et M. Mbamadikam.
00:51:55 Il ne peut pas nous traquer et il ne peut pas suivre.
00:51:57 Je dis maintenant, il ne peut pas suivre moi, monsieur.
00:51:59 Il ne peut pas prouver.
00:52:00 Si M. Tillman, qui est le CEO des bourgesses,
00:52:03 a fait une belle qualification et a fait un très bon record,
00:52:06 aujourd'hui, il peut nous mettre 20 compagnons.
00:52:08 Nous pouvons faire un bilan et un tel aujourd'hui.
00:52:10 M. Capave, d'accord, si pour une raison de...
00:52:12 Je ne sais pas, économie d'échelle,
00:52:14 pas d'économie d'échelle, il est intéressé.
00:52:15 Command and control.
00:52:16 Certifié, là, dans les bourgesses par exemple, il y a une victime.
00:52:19 Si elle a mort de mort risque, il y a même des affaires,
00:52:21 il y a un second coup de feu, il y a un calife à la place du calife.
00:52:24 Sa première ministre, c'est qu'il a fait un briefing comme ça.
00:52:26 Pareil, je vais vous donner un cas classique.
00:52:28 Le commandant Hoffman, n'oubliez pas.
00:52:31 Moi, je me dis qu'en amont,
00:52:33 M. Pépé Zé n'a pas créé cette crise.
00:52:34 Si Flight Up se permettait de gérer correctement.
00:52:36 Si Flight Up se connaissait à ce problème-là,
00:52:38 ça m'aurait piloté depuis longtemps,
00:52:39 puis j'aurais sonné le dallum.
00:52:40 Bien sûr, nous n'aurions pas d'accord.
00:52:41 M. Pépé Zé, vous avez fait une loisir, ce que vous m'avez dit,
00:52:43 pour viser le pilote Hoffman, à l'avis de la parole.
00:52:45 Bien sûr, M. Pépé Zé.
00:52:46 Mais c'est moi qui ai monté les enchères,
00:52:47 quand on a vu le petit ministre,
00:52:48 chacun a déclaré son tour.
00:52:49 Un premier ministre, surtout de ce que je crois,
00:52:51 qu'il faut un premier ministre.
00:52:52 Les gens, ils ont envie de...
00:52:54 Je vous dis, on n'a fait aucun syndicalisme,
00:52:55 il y a 50 ans.
00:52:56 Mais une entreprise, quand on travaille là-dedans,
00:52:58 et on prend l'intérêt.
00:52:59 Bien sûr, sous des perspectives différentes,
00:53:01 mais avec des perspectives...
00:53:02 Mais, avec moi, c'est vous qui avez remarqué
00:53:04 que le premier ministre,
00:53:05 que vous avez dit, il faut un premier ministre,
00:53:06 c'est le premier ministre depuis bientôt six ans.
00:53:08 Oui, c'est ce que je vous dis.
00:53:09 Je vous dis, quand vous avez dit "autoradviser",
00:53:11 pas juste ça, vous savez,
00:53:13 derrière, vous avez fait la même chose.
00:53:14 Un CEO venait, à l'époque,
00:53:15 il y avait une affaire qui s'appelait "SEL".
00:53:17 Il y avait l'équipe rentrée, là.
00:53:18 Une... comment dire ?
00:53:19 Une... une... une... une...
00:53:20 une éminence grise.
00:53:21 Dans l'époque, il y avait une affaire,
00:53:23 après, il y en a eu un petit moment,
00:53:25 où il y avait une affaire qui s'appelait "Programme Office".
00:53:27 Et tout a été forcé,
00:53:28 pour faire cette promotion-là.
00:53:29 Où il y a "Programme Office".
00:53:30 Là, aujourd'hui, il y a une autre équipe,
00:53:32 un CEO, avec ça.
00:53:33 Comment on appelle ça ?
00:53:34 "Virtual CEO".
00:53:35 Pérou, et cette fois-ci,
00:53:36 ils ont fait ça.
00:53:37 Pas avec l'intérêt de la compagnie,
00:53:38 car je vous dis,
00:53:39 on s'est dit, "Moi, l'élection est finie,
00:53:40 on a un contrat de travail".
00:53:41 Et moi, je trouve ça révoltant,
00:53:43 parce que ça m'a une décision qui peut prendre à risque.
00:53:45 Moi, je trouve,
00:53:46 le Premier ministre,
00:53:47 c'est le ministre du Travail.
00:53:48 Je vais continuer de le faire,
00:53:49 parce qu'il se paraît très loin avec ça.
00:53:51 Mais ça suffit, là,
00:53:52 c'est qu'il peut s'y biaiser,
00:53:53 aujourd'hui, en prenant le syndicat,
00:53:54 avec tout.
00:53:55 Et je peux dire,
00:53:56 en fait,
00:53:57 j'ai rencontré Jacques,
00:53:58 il s'en est rendu compte,
00:53:59 nous, on a eu de la solidarité.
00:54:00 Vous savez, moi,
00:54:01 je ne vais pas se faire intimer,
00:54:02 c'est un clientélisme
00:54:03 qui peut pourrir nos sociétés.
00:54:05 Moi, je vais vous dire rapidement,
00:54:08 si je ne trouve pas de solidarité,
00:54:11 si Yogita ne veut pas de "magouillère",
00:54:13 ou ça, ça me chute,
00:54:14 je ne sais pas,
00:54:15 je ne peux pas affiner,
00:54:16 je le sais,
00:54:17 sauf d'un point de vue humanitaire.
00:54:19 Autant qu'il me connaît,
00:54:20 Yogita n'a pas de "magouillère",
00:54:21 il n'a pas fait de fautes,
00:54:22 et quand je vais à sa lettre,
00:54:23 il peut faire un service,
00:54:24 il peut dire à la gestion des affaires,
00:54:25 qu'il ne les trouve pas correctes,
00:54:27 qu'il ne veut pas qu'ils soient réunis,
00:54:29 c'est un délit d'opinion, ça !
00:54:31 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:32 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:33 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:34 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:35 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:36 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:37 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:38 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:39 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:40 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:41 On dirait que moi, je n'ai pas...
00:54:42 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:43 C'est un délit d'opinion, ça !
00:54:44 C'est un délit d'opinion, ça !
00:55:10 C'est un délit d'opinion, ça !
00:55:39 Vous savez, on va aller chez une copine, on va aller dans la cour !
00:55:42 Car je veux qu'on dise dans la cour les arguments se déroulent de façon légalistique, avec un mindset légal.
00:55:47 Je vais vous conclure ce sujet là maintenant, je vais vous poser une question, très simple,
00:55:52 dans laquelle je vais vous donner une réponse assez courte.
00:55:55 Est-ce que dans votre opinion, les cas Yogita, Babou et Aguba, c'est un drame humain ?
00:56:03 Effectivement, il y a un drame humain. Mais contrairement à Rad, Rad peut concentrer l'île où elle est la plus riche.
00:56:09 Quand je me met là dans ma place, quand je me bats avec à travers une cinquantaine de secteurs,
00:56:17 ce drame humain existait partout. Finalement, il y a eu une diabolosité.
00:56:22 C'est à dire qu'on réglait ici, on réglait là-bas, on réglait là-bas, on a fait tout ça sans système.
00:56:28 Qui m'a raison, qui m'a tort ? Moi, personnellement, je me poussais sans le système.
00:56:35 Sans le système, c'est modifier la loi, c'est sans la constitution, et donner une base nouvelle pour une société démocratique.
00:56:42 Et Villebanca, à la Babou et...
00:56:44 Longtemps, longtemps, je suis quand même été en injonction.
00:56:46 Je suis quand même été en injonction pour stopper un comité disciplinaire.
00:56:50 Ok ? C'est de la pratique ça.
00:56:52 Et on a mal donné, nous avons causé problème, on est en injonction.
00:56:54 Est-ce que vous connaissez que la cause suprême n'est plus de nous en injonction maintenant ?
00:56:58 C'est Walden au comité disciplinaire, après il est là, Owen Divanly.
00:57:02 On a tout un système qui tourne le nous constitution, qui tourne le nous judiciaire.
00:57:07 Si nous en visons quelque chose, nous ne pouvons pas protéger au maximum les victimes dans un cadre de la loi actuelle,
00:57:15 et en même temps essayer de transcendre la loi actuelle, là, en venant avec une nouvelle constitution.
00:57:20 Dans le premier temps, moi je me suis fait ça, dans cette prison.
00:57:24 Non, vous n'avez pas de mal à dire ça, je vous conseille à ça que vous vous en amusez.
00:57:27 Ce n'est pas traumatisant pour n'importe qui qui dit ça.
00:57:29 Demain, quand quelqu'un dit ça, il descend 10 millions de roubles ici, il ne comprend pas ça.
00:57:33 Parce qu'il y a des gens qui se travaillent aujourd'hui, comme on a fait dans leurs ans.
00:57:36 20 000 roubles par exemple pour une maman jeune.
00:57:38 Moi je ne trouve ça pas correct, dans quel sens ?
00:57:40 C'est qu'ils travaillent pour apporter un sens de dignité à un être humain.
00:57:43 C'est ça qu'ils m'ont déjà dit.
00:57:44 Bon oui, mais plus que l'argent, c'est par exemple, ils travaillent en quoi ?
00:57:48 Dans le monde qu'ils peuvent vivre, quand ils ne passent plus beaucoup de temps dans le lieu de travail.
00:57:51 Ils donnent un sens de dignité, quand au moins ils traitent 10 personnes.
00:57:54 C'est ce que je vous dis, si je pose un petit coup, bien sûr, je dirais qu'il y a 100% de raison, je vous le dis.
00:57:59 Les politiciens au pouvoir, c'est qu'il y a 100% de raison.
00:58:01 Mais entre temps, il ne faudrait pas nous donner ça, comme on dit en Libye, pour ce qui est de la merde qui peut fonctionner,
00:58:07 le micro, et peut faire de la merde.
00:58:08 Moi, je ne suis pas d'accord avec ça, jamais.
00:58:10 Moi, je dirais comme ça, "the rot starts at the head", oui.
00:58:12 Mais seulement, il y a des petits bambes, il y a des petits, comment on appelle ça ?
00:58:16 Des petits, qui sont en bas, qui "feed" ça, et pourrissent le système là partout.
00:58:20 Et à Mauritius, c'est le même cas.
00:58:21 Si dans l'entreprise qu'il y a SBM, qu'il y a la banque de Maurice, d'autres syndicats,
00:58:25 ou d'autres gens qui m'ont dit "tiens la courage", je vous le dis, nous, tu peux avoir un différent type de débat.
00:58:30 Pas de type de débat comme ça, comme ça, en tant que société.
00:58:32 Parce que le gouvernement, lui aussi, ne réagit pas au rapport de pression publique.
00:58:35 Par exemple, c'est un Jacques Pégosé.
00:58:37 Jacques, il est un powerhouse de l'opinion publique, comparé à moi.
00:58:42 Il n'est pas là pour écouter Jacques, oui, mais bien souvent, il est là pour écouter Réa, pour écouter Jacques,
00:58:47 parce qu'il veut le pire.
00:58:48 Il veut pousser des gens, mais il ne veut pas s'en sortir dans le fond du jeu.
00:58:51 Par exemple, Workers' Rights Act.
00:58:52 Il est venu avec de nobles intentions, mais beaucoup plus, avec des intentions populistes également.
00:58:56 Mais tant mieux, je ne fais rien, il y a ce bon côté là-dedans.
00:58:59 Ce qu'il m'a fait dire, c'est qu'il m'a appris beaucoup de rapports de force avec Jacques Saint.
00:59:02 Dans toute relation, il y a un rapport de force.
00:59:04 Aujourd'hui, dans Mauritius, bien souvent, les syndicats utilisent ce rapport de force pour des gains personnels.
00:59:09 Il y a des employés qui sont victimes, et qui sont victimes de manière grossière, qui sont innocents.
00:59:15 Je ne vais pas vous parler, je vais parler avec Jacques un coup, je vais parler avec moi, je vais parler avec vous un coup,
00:59:19 je vais parler avec vous l'autre, mais le système va perpétuer tant qu'il est là-haut,
00:59:22 surtout parce qu'il y a une compagnie d'État et une compagnie contrôlée par l'État.
00:59:25 Ça, c'est un "man of the board" là, Harris.
00:59:27 Ça, c'est un "man of the board" là, c'est peut-être à nous qu'il nous peut dire ça.
00:59:29 Et bon, les gens, je pensais qu'il y avait beaucoup de... de... de... de... comment on dit ça ?
00:59:34 De... de... lucidité ? Mais les trousseurs, ils ne peuvent pas se faire de moi, là.
00:59:39 Ils ne peuvent pas me promouvoir, ils ne peuvent pas me victimiser d'un côté.
00:59:42 Depuis le début, je n'ai pas écrit un mot non-stop, je n'ai pas parlé.
00:59:44 Je pense que Jacques nous a dit "on ne t'en parle pas grave, écris, mettes-moi en courant."
00:59:47 Au moins, nous...
00:59:48 Vous avez marqué une pause pour une pause pub, et ensuite, nous pourrons retourner à l'antenne, hein ?
00:59:52 Donc, une pause pub. Bravo.
00:59:55 [Musique]
01:00:01 [Musique]
01:00:30 [Musique]
01:00:44 [Musique]
01:00:54 [Applaudissements]
01:00:55 [Sonnerie de sonnette]
01:00:56 [Musique]
01:00:59 [Musique]
01:01:18 Nous sommes de retour sur le plateau du Hard Talk.
01:01:21 Nous avons avec nous M. Jacques Bisdal et ensuite M. Raja Mlagan, ancien président de l'AMCA
01:01:27 et aussi secrétaire de l'association de petits porteurs de l'AMOUSHES.
01:01:34 M. Bisdal, Jacques, finalement vous pouvez vous dire, Jacques même, permettez-moi.
01:01:40 Et mon écoute à Raj Finjiek ou à Powerhouse,
01:01:44 on même a vu le combat qui vous a mené au fil des années, plusieurs années, peut-être 50 ans déjà.
01:01:51 Est-ce que vous considérez écrire une lettre personnelle au Premier ministre,
01:01:54 peut-être le cas de Yogeeta Babu et de…
01:01:58 De facto. Moi je demande une copie de la lettre qu'il me recevra comme chargeuse.
01:02:04 Voilà.
01:02:05 Correct.
01:02:06 Un camarade me promet de vous donner ça.
01:02:10 Un journaliste d'inglais.
01:02:12 Là, moi je l'ai, on a cisé, je vais écrire.
01:02:15 Mais Pénazis, il a aussi sa lettre de chargeuse de sa lettre de camarade dans…
01:02:20 Raguba, dans la banque du Mauricie.
01:02:21 Là-dedans. Et il y en a actuellement 224 travailleurs MTC qui se mettent sur place, c'est à cause de Jagnat,
01:02:31 qui prend la décision pour soi-disant combattre le…
01:02:35 La mafia.
01:02:36 La mafia, etc. Et qui, il y a une pétition qui se met à travailler là, puis signée, puis envoyée-là,
01:02:42 vous avez un rendez-vous. Et moi je peux envoyer une lettre tout parlementaire.
01:02:46 D'accord.
01:02:47 Je suis capable, ici, de la décaler là-dedans, pour dire à un parlementaire de tenir une responsabilité,
01:02:53 de mettre le premier ministre à l'aude, l'OQA, MTC.
01:02:57 D'accord.
01:02:58 Il y a 44 cas problèmes, passe-droit, conspiration, etc. qui existaient.
01:03:07 Il y en a un là-dedans qui concerne les signes.
01:03:09 C'est un qui concerne les signes-là, je vais les mettre en entier,
01:03:12 pour juste montrer que sa volonté soit disant pour la guerre contre la mafia, là.
01:03:16 C'est les signes ou les signes ?
01:03:17 Les signes.
01:03:18 Les signes.
01:03:19 Ok, donc, ne pas casser la tête là-dedans.
01:03:21 D'accord.
01:03:22 Et, bon, je pensais nous financer, débattre les deux cas, et nous donner les temps que vous avez mérité.
01:03:27 Si vous me rappelez, moi, je suis content que tout le monde s'indicalise,
01:03:31 parce que je pense que même combat, et même risque dans la fonction de l'OQA,
01:03:36 je te solidaire, je t'écrire en ligne, pareil que moi, moi, je peux y aller en mon nom personnel,
01:03:42 comme un citoyen, pour dire que je te condamne sans manière qu'une seule fois,
01:03:46 et je te soutenir Yogita Babu et que le président de l'OQA ouvertement.
01:03:50 Et ensuite, je te rembourse.
01:03:51 Parce que qui c'était devient complice.
01:03:53 D'accord, ok.
01:03:54 Bon, nous, là, je te cite là, vous êtes des citoyens engagés,
01:03:58 vous êtes une belle chose qui était très engagée dans les choses en ce moment-ci,
01:04:03 dans toutes les actualités de l'OQA.
01:04:06 Donc, je suis content de poser cette question à vous, Raj Dabow.
01:04:09 Est-ce que vous pensez qu'il ne peut vivre dans l'île de la peur,
01:04:12 qui m'a beaucoup plaisé, est-ce qu'effectivement, il ne peut pas vivre dans l'île de la peur en ce moment-ci?
01:04:17 Oui, moi, définitivement, je pense que la peur vient de quoi?
01:04:22 Quand un système, un démone, vit dans la sécurité.
01:04:26 Il peut obligatoirement, s'il y a une manière de faire un terrain subtil ou ouvert,
01:04:34 où il n'y a pas de chance de le passer,
01:04:36 mais aujourd'hui, les démones peuvent dire qu'ils peuvent publier des raisons à risque de leurs affaires.
01:04:41 C'est qu'ils ont dit qu'il y a beaucoup plus d'exposés à travers les réseaux sociaux
01:04:44 et qu'ils sont devenus beaucoup plus proches et beaucoup de démones ont été à venir.
01:04:47 Mais dans le fond lui-même, qu'est-ce qui peut arriver?
01:04:49 Il y a une élection l'année prochaine, il y a un système où il y a un pouvoir qu'on veut garder.
01:04:53 Ça ne veut pas dire qu'on veut perdre ce pouvoir.
01:04:55 Et quand on veut perdre ce pouvoir, il y a une situation irrationnelle terrible.
01:05:01 On peut silencer toutes les contestations, mais on a des possibilités de faire ça.
01:05:05 Un, on peut avoir cette émancipation qu'on est capable de faire à travers une manière légale,
01:05:09 c'est-à-dire qu'on donne des fribises, comment dire,
01:05:12 ou on amalgue différentes couches, différentes "whatever it is",
01:05:16 ou soit c'est un sapin mort, c'est une frange qui lit,
01:05:19 peu importe, il y a un peu d'idéologie, il y a un peu de valeur,
01:05:22 ou c'est appliquer une moyen pour que Félix reste tranquille.
01:05:25 Ou craquelit même jusqu'au point de Félix subir une conséquence.
01:05:28 Et nous donner l'état de droit, nous vivre le central.
01:05:31 Si nous l'état de droit, il n'est pas qu'un protège à la justice,
01:05:34 il est un système gimmick état de droit.
01:05:37 C'est-à-dire qu'il est dans le "rule of law for lawyers".
01:05:39 Il ne s'applique pas. C'est ce que Djimon a remarqué.
01:05:41 Et encore, en plus, quand Djimon a l'impression que l'État,
01:05:44 l'IPC ou moins l'IPC contrôle aussi,
01:05:48 c'est un mécanisme qui fonctionne ensemble avec le judiciaire pour amener la justice.
01:05:52 Il y a un gros problème.
01:05:53 Et là, les intellectuels, c'est Djimon qui est engagé, pas que les intellectuels.
01:05:56 Je veux bien prendre conscience que si nous valorisons l'idée que le droit
01:06:00 qui est fondamental dans une société, pour qu'il y ait un équilibre,
01:06:03 qu'il faut pas bouffer, qu'il y ait un pli faible,
01:06:05 mais il peut arriver tout au tort, parce que le pouvoir, il y a une lagrogue.
01:06:09 Quand on rentre là-dedans, on connaît, il y a des pays comme l'Allemagne,
01:06:11 il y a des autres pays, on connaît que ceux qui étaient aujourd'hui,
01:06:13 David Cameron, on connaît que Tony Blair était où,
01:06:16 on connaît que Blair Nambéa qui l'était, jeunes vinaigres, citoyens ordinaires.
01:06:19 Ici, comment dire qu'un Djimon est un député ou un ministre ?
01:06:21 Les gars ont honteux de dire que c'est des bourses d'eau,
01:06:23 mais qu'ils sont des citoyens ordinaires.
01:06:25 Un premier ministre, il a dit qu'on a un symptôme,
01:06:27 mais qui fait au pire un symptôme ?
01:06:28 C'est parce qu'il y a des choses qui ont été perdues par les règlements de comptes.
01:06:32 Moi, je ne fais pas de règlement de comptes,
01:06:34 mais moi, pour l'instant, c'est le juste,
01:06:37 mais nous, les politiciens, on ne sait pas ce qu'on fait,
01:06:39 et je tente toujours avec Djimon, qu'il se fasse sa propre,
01:06:41 mais il se fait sa propre, mais il se condamne ça.
01:06:43 Je ne crois pas dans ce gouvernement ou dans le gouvernement d'avant,
01:06:45 tout le monde était pourri, sinon la société était en train d'éclater.
01:06:48 Il y a des complices dans le système, par exemple, dans l'organisation,
01:06:52 le syndicaliste n'est pas en lui-même un coupable,
01:06:55 mais il est complice.
01:06:56 Dans nos pays, il y a trop de complices qui se posent comme des chiens de gauche
01:07:00 de notre démocratie et de notre état de droit,
01:07:02 qui peuvent faire le jeu,
01:07:04 soit pour les bons intérêts ou l'égalité,
01:07:06 valeur, moralité,
01:07:08 ils sont tous des chiens, je ne sais pas pourquoi,
01:07:11 parce qu'ils ont tout dans leur tête.
01:07:13 Je peux dire comme ça, longtemps,
01:07:15 l'esclavage illégal, l'état de droit,
01:07:17 je peux dire qu'ils ont tous les droits,
01:07:19 et ce qu'ils ont dit, je peux y répondre,
01:07:21 c'est que si le monde ne prend pas conscience de l'immensité
01:07:23 de cette espèce de complaisance,
01:07:28 ou même indifférence à cette descente-là,
01:07:31 on va avoir un pays africain qui va lui dire "Africain, africain",
01:07:34 et il va se dire "non, il a tout dans sa tête".
01:07:36 Mais il arrive comme ça parce qu'il existe aussi
01:07:38 une oligarchie, une espèce de chronique capitaliste,
01:07:42 ou chronique même, un cercle qui continue
01:07:45 de dire "bien, pouvoir", de dire "la main",
01:07:47 et qui contrôle les vieux,
01:07:49 qui supposent les "checks and balance".
01:07:51 Si on rentre dans ce système-là aujourd'hui,
01:07:53 et on finit de rentrer, et là, je ne peux pas dire,
01:07:55 mais le Premier ministre ou le gouvernement
01:07:57 n'ont qu'à faire une chose,
01:07:59 faire le contraire de ce qu'ils ont habitué à faire,
01:08:01 au moment où ils ont dit "les médecins",
01:08:03 aujourd'hui, on ne sait pas tout,
01:08:05 on ne sait pas tout.
01:08:07 Ça vient avec raison qu'ils sont aussi
01:08:09 dans la commission de prosecution,
01:08:11 qui a pas laissé ça, il l'a passé.
01:08:13 Mais ils ont dit "c'est ce qu'il y a,
01:08:15 je ne peux pas passer la commission de prosecution,
01:08:17 je vais continuer à travailler, je ne peux pas passer
01:08:19 depuis plus carrément". Alors, nous trouver
01:08:21 qu'une démocratie, là, c'est ce qui, avec raison,
01:08:23 il y a un fondement de nos constitutions
01:08:25 qui est arrivé, parce qu'il y a un ennemis
01:08:27 là-dedans. Ça veut dire, si, après,
01:08:29 la vie revient, il y a ce qui nous fait
01:08:31 des citoyens, pas qu'il y a un mode réactif
01:08:33 qu'on peut causer, là, déjà causé,
01:08:35 nous pouvons... Ça, tout le temps, je dis
01:08:37 à des gens, c'est ce que je fais,
01:08:39 nous ne sommes pas capables de créer une relève de ce pays-là
01:08:41 qui digne. Nous comptons garder le pouvoir,
01:08:43 le leader du parti, qui nous a dit
01:08:45 si ce gouvernement-là peut permettre de faire ce qu'il a envie,
01:08:47 il peut faire ce qu'il faut, ou il peut faire ce qu'il veut.
01:08:49 C'est parce que l'opposition
01:08:51 n'a pas créé des gens
01:08:53 qui ont un calibre. Dans le monde syndical,
01:08:55 bien sûr, il est pareil.
01:08:57 Il n'a pas laissé de pouvoir là, parce que ça donne une autre chose.
01:08:59 Si nous ne parlaions pas de créer sa relève, là,
01:09:01 on aurait dit qu'il y avait une éclairté.
01:09:03 C'est parce que nous ne pouvons pas nous construire, nous ne pouvons pas investir
01:09:05 pour donner à des gens qui ont de la valeur, qui ont de la compétence,
01:09:07 prendre la relève.
01:09:09 Dans tous les instances
01:09:11 dans Maurice,
01:09:13 la relève dépend de nos proximités avec le pouvoir.
01:09:15 Si on a une organisation avec le pouvoir politique.
01:09:17 - Je vais vous dire,
01:09:19 je vais répondre à ma question très clairement.
01:09:21 Je vais vous dire très bien,
01:09:23 est-ce qu'il nous peut vivre dans l'île de la peur ?
01:09:25 - Ah oui, définitivement.
01:09:27 - Jack, que pensez-vous là-haut ?
01:09:29 - La peur existait,
01:09:31 mais il y a une structure
01:09:33 qui provoque ça, la peur.
01:09:35 La peur existait dans tout le monde.
01:09:37 Nous trouvons tous sur la table, est-ce qu'il y a quelque part
01:09:39 nous prenons de la peur ?
01:09:41 La peur de mourir.
01:09:43 Il y a de la peur.
01:09:45 Elle existait.
01:09:47 Mais nous ne sommes pas capables d'investiguer.
01:09:49 Moi, je vais te dire,
01:09:51 toi, tu es un des gens qui, à l'époque
01:09:53 qui m'a dit ce que je te dis,
01:09:55 tu étais un journaliste d'investigation.
01:09:57 Un des meilleurs. Il y en a un qui est arrivé aussi.
01:09:59 - Merci.
01:10:01 - Ok ?
01:10:03 Nous ne sommes pas des journalistes d'investigation aujourd'hui.
01:10:05 Et nous ne sommes pas.
01:10:07 Nous ne sommes pas.
01:10:09 Nous sommes tous dans le journalisme événementiel.
01:10:11 Événement traversé,
01:10:13 un jour après trois semaines,
01:10:15 quatre semaines, un autre vient et arrive comme ça.
01:10:17 L'autre jour, nous sommes des journalistes d'opinion.
01:10:19 Tu peux dire moi,
01:10:21 je suis un grand journaliste d'opinion,
01:10:23 je suis Sylvie Selvan,
01:10:25 je suis un journaliste d'opinion, etc.
01:10:27 Mais nous, dans la gazette,
01:10:29 tu es dans la gazette,
01:10:31 elle s'appelle ? - Le Mag.
01:10:33 - Le Mag.
01:10:35 Tu es avec ton collègue, tu lui donnes
01:10:37 - Alain Gondogenti.
01:10:39 - Alain Gondogenti, tu lui donnes l'opinion.
01:10:41 Ce que je vais peut-être t'oublier,
01:10:43 moi-même, je ne suis pas un reporter de journalisme.
01:10:45 Plus que ça, je suis le directeur de la gazette,
01:10:47 qui serait l'acteur en chef
01:10:49 de l'échange de code avocat.
01:10:51 C'est-à-dire, je suis comme ça,
01:10:53 je suis un journaliste et en même temps,
01:10:55 je suis le directeur d'un journal
01:10:57 qui n'est pas lié avec la rédaction.
01:10:59 Il y a une scission entre les deux.
01:11:01 Rédaction, l'une,
01:11:03 direction, administration de la gazette,
01:11:05 c'est l'autre. Parce que si tu as la paix
01:11:07 avec le père de la publicité,
01:11:09 ou avec le directeur,
01:11:11 ou le rédacteur en chef,
01:11:13 qui l'a proposé, qui ne l'a pas proposé,
01:11:15 ça n'a pas été proposé. Mais écoute,
01:11:17 la gazette est responsable.
01:11:19 Je vais écrire une lettre. Tu connais
01:11:21 tout la gazette. Ici,
01:11:23 où il y a la gazette,
01:11:25 il y a une date du 2 décembre
01:11:27 2022. Qui me dit
01:11:29 qu'il y a quatre questions.
01:11:31 Avons-nous ici un ému de Mobutu ?
01:11:33 Et vous devez connaître que je suis
01:11:37 associé avec Mobutu.
01:11:39 Est-ce qu'il est dans l'état terroriste ?
01:11:43 Je me pose la question et je vais étayer.
01:11:45 Troisième question qui me dit
01:11:47 maintenant la gazette,
01:11:49 c'est la pratique
01:11:51 inacceptable de Pravinjagnat.
01:11:53 Je vais vous la dire directement.
01:11:55 Vous savez, peut-être que dans l'île Maurice,
01:11:57 il y a deux djimouns comme moi.
01:11:59 Pas tous seuls.
01:12:01 Ici, j'ai un djimoun
01:12:03 qui me fait le sentiment de haine
01:12:05 dans moi. Jamais je n'ai reçu
01:12:07 un sentiment qui me donne la haine contre un djimoun.
01:12:09 Et deuxièmement,
01:12:11 venger. Ça n'est pas dans moi ça.
01:12:13 Mais est-ce que
01:12:15 vous posez la question de qui Pravinjagnat
01:12:17 est-ce que c'est qu'il veut faire ?
01:12:19 Est-ce que c'est la vengeance ?
01:12:21 Quand je suis assis au radio, je me pose la question
01:12:23 avec un camarade qui tient à nous, qui perd du place dans l'IKAC.
01:12:25 Badaï. Il est ministre.
01:12:31 Il faut un baiser.
01:12:33 Il existe ici.
01:12:35 Sa présence dans le gouvernement.
01:12:37 Il a fait ce programme-là.
01:12:39 Et il a eu une deuxième interview
01:12:41 quand il a démissionné.
01:12:43 La gazette n'a pas joué son rôle.
01:12:45 La gazette, c'est le cinquième
01:12:47 pouvoir de notre République.
01:12:49 Qui mène la gazette à Symé ?
01:12:51 Le quatrième ? Non, le cinquième.
01:12:53 Le premier pouvoir
01:12:55 est le pouvoir du peuple qui n'est pas figuré
01:12:57 dans la Constitution.
01:12:59 Le pouvoir de l'Assemblée représentative.
01:13:01 Le judiciaire.
01:13:03 Le exécutif.
01:13:05 Cinquième pouvoir.
01:13:07 Et il y a un joli texte qu'il écrit
01:13:09 dans le Monde ici à nous, Ramoné,
01:13:11 qui mène la gazette, qui cause
01:13:13 un différent type de journalistes.
01:13:15 Jacques, est-ce que vous pouvez dire
01:13:17 que la situation dans laquelle nous sommes
01:13:19 en ce moment-ci, c'est un peu à cause
01:13:21 de la faillite de la presse ?
01:13:23 La faillite de la presse en ce qui concerne l'investigation.
01:13:25 Je donne 5 étoiles
01:13:27 pour l'événementiel.
01:13:29 OK ?
01:13:31 Zéro pour l'investigation.
01:13:33 Et une fois N,
01:13:35 c'est l'opinion. Et là aussi, l'opinion.
01:13:37 C'est une interview que vous pouvez faire
01:13:39 quand vous avez une bonne opinion.
01:13:41 C'est pas un mandat de la radio
01:13:43 où il y a un invité qui vient et qui a une opinion
01:13:45 de radio, qui a une autre opinion, etc.
01:13:47 Vous quittez l'espace.
01:13:49 Mais ce n'est pas suffisant pour les médias
01:13:51 d'un société républicaine.
01:13:53 A partir
01:13:55 de cet incident qu'il y a eu ici,
01:13:57 on a rassemblé
01:13:59 des journalistes
01:14:01 le 6 juillet
01:14:03 dans la salle de conseil pour lui.
01:14:05 Si nous avons une permission,
01:14:07 c'est ce qu'il y a pour avoir une permission.
01:14:09 Je suis avec mon journaliste et mon ami des journalistes
01:14:11 pour nous analyser.
01:14:13 D'ailleurs, vous pouvez avoir une conscience
01:14:15 et une invitation.
01:14:17 Vous devez répondre à trois questions.
01:14:19 C'est-à-dire, cette question-là, ça va faire la peur d'un pays.
01:14:21 Est-ce que le journalisme haussier
01:14:23 est sous la taxe généralisée ?
01:14:25 Et qu'y faire ?
01:14:27 Manifester ?
01:14:29 Rier ?
01:14:31 Le bien réagir ?
01:14:33 La réaction des gens ?
01:14:35 On peut demander à l'ébaye de la presse ?
01:14:37 On peut demander à l'Etat de donner son nom ?
01:14:39 Un service à moi ?
01:14:41 OK ?
01:14:43 Le système de sécurité
01:14:45 au niveau de la gazette, qui est capable d'avancer ?
01:14:47 Il ne suffit pas de crier.
01:14:49 Il faut qu'il y ait une réponse à basir.
01:14:51 Par exemple, comment réagir comme ça
01:14:53 quand il y a un syndicalisme à basir ?
01:14:55 Basir syndicalisme ?
01:14:57 Il faut faire une pétition dans
01:14:59 la banque de
01:15:01 Norvège pour faire travailler,
01:15:03 signer et
01:15:05 prendre position contre
01:15:07 un aboli qui peut sanctionner les gens.
01:15:09 D'accord.
01:15:11 Il y a une action qui nous faut prendre
01:15:13 pour nous combattre.
01:15:15 Et en même temps, il faut ajouter un petit bout en plus
01:15:17 pour que ce problème-là
01:15:19 soit corrigé dans ces structures.
01:15:21 Il y a beaucoup de corrections qu'il faut faire
01:15:23 sans que les gens ne le connaissent.
01:15:25 Raduci a fait ça tout à l'heure
01:15:27 et je suis content
01:15:29 qu'il nous prend le bien en détail.
01:15:31 Et
01:15:33 qu'est-ce que tu as à faire de ce conflit
01:15:35 entre les commissaires de police
01:15:37 et le bureau du directeur de la police publique ?
01:15:39 Qu'est-ce que tu as à faire ?
01:15:41 Non, moi je ne suis pas très mal sain.
01:15:43 Je suis mal sain pour une raison bien simple.
01:15:45 C'est qu'il y a eu une série d'événements
01:15:47 qui ont été réunis
01:15:49 avec la sérénité voulue.
01:15:51 Je n'ai pas fait de réflexion
01:15:53 pour adopter un nouveau système.
01:15:55 Jimungel a assimilé,
01:15:57 discuté et
01:15:59 digéré. Aujourd'hui, c'est en réaction
01:16:01 avec un désaccord
01:16:03 clair et net qui peut se trouver.
01:16:05 Et moi je me dis encore
01:16:07 que c'est ça le gros problème.
01:16:09 Et là peut-être, je vais déborder un petit peu
01:16:11 parce que tu es connecté. C'est qu'il y a déjà
01:16:13 par exemple les médias. Il y a une opinion
01:16:15 publique qui branchait
01:16:17 beaucoup plus le
01:16:19 scandale politico-financier
01:16:21 parce qu'il y avait une source de
01:16:23 divertissement, de banalisation aussi, de problèmes
01:16:25 de fonds. Mais seulement
01:16:27 chaque citoyen a une responsabilité
01:16:29 mais aussi il peut exercer ce discernement
01:16:31 parce que moi, peut-être un petit peu
01:16:33 nuancé, Jacques, je pense que
01:16:35 l'année 70, heureusement, je suis un peu
01:16:37 dans la transition là, je ne suis pas trop content
01:16:39 que trop de passé, je me tiens à l'aison
01:16:41 mais moi je vous dis que demain
01:16:43 il y a un désdivance qui nous peut faire. Sinon
01:16:45 nous pourrons être dans une espèce de culte qui n'est pas correct
01:16:47 parce que les jeunes ont l'impression qu'ils nous
01:16:49 peuvent dénigrer les autres, nous sommes
01:16:51 indifférents. Nous devons regarder ce système-là,
01:16:53 comment il fonctionnait et
01:16:55 nous voulons voir par rapport
01:16:57 à ce qui peut arriver, disons, par exemple au niveau
01:16:59 des PPP et que c'est P.
01:17:01 Ma question est simple, souvent des fois je dis
01:17:03 une petite question simple quand elle répond à une longue question.
01:17:05 Dans quelle façon l'idée de l'intérêt public
01:17:07 est l'intérêt de la justice quand adopté
01:17:09 c'est la qualité postulaire ? M. le
01:17:11 commissaire de police et M.
01:17:13 Lédi Pippi. Et gouvernement en plus
01:17:15 avec tous les politiciens parce que c'est
01:17:17 le parlement qui est l'autorité
01:17:19 suprême pour la loi, etc.
01:17:21 Comment un citoyen ordinaire
01:17:23 trouve ça sain pour la démocratie
01:17:25 et pour faire prévaloir
01:17:27 la justice ?
01:17:29 Je ne peux pas dire que c'est la technique
01:17:31 de la loi, je ne peux pas dire que c'est la loi.
01:17:33 Mais ce qui
01:17:35 tout ce qui est de la loi, il y a une manière
01:17:37 pour amener la justice. Souvent des fois je dis
01:17:39 à mes camarades d'avocats, je dis maintenant comme ça,
01:17:41 sauf Antoine Demain qui souvent des fois remet ça en perspective,
01:17:43 qui là la finalité
01:17:45 c'est la justice. Je ne sais pas comment
01:17:47 impressionne-moi qu'il y a une façon de l'atteindre
01:17:49 ou bien qu'il est capable de servir
01:17:51 la loi, qu'il y a une manière
01:17:53 pour amener la justice, pour ne pas faire
01:17:55 toutes ces bêtises qu'il y a.
01:17:57 Et s'il n'est pas capable, il va mettre en question
01:17:59 le cadre légal, les médecins.
01:18:01 Pour revenir au point,
01:18:03 moi, je ne suis pas en train de dire
01:18:05 les réponses à mes appréhensions.
01:18:07 Je trouve que c'est une manière de clamper
01:18:09 les roulets, quand finalement ça ne débrouille même
01:18:11 jusqu'entre le DP, le DPP
01:18:13 et le judiciaire, et le
01:18:15 CP. Et c'est dans un contexte
01:18:17 très précis que tu peux trouver
01:18:19 un tug-of-war incessant,
01:18:21 en D, qui suppose
01:18:23 assurer l'order et la justice
01:18:25 dans le pays. Mais comment une situation
01:18:27 extraordinaire pour qu'on trouve qu'il ne peut vivre d'une démocratie.
01:18:29 Je pense que c'est le moment de se
01:18:31 ressaisir et que tout le monde ensemble,
01:18:33 pas seulement le capital politique,
01:18:35 mais tout le monde comprend qu'il dépasse
01:18:37 le cadre politique, qu'il ne peut vivre de tout ça,
01:18:39 fondement même de la démocratie. La démocratie,
01:18:41 pour assurer la protection des plus faibles
01:18:43 vis-à-vis des plus forts, c'est un, sinon, pas tout,
01:18:45 un gouvernement. - Je peux vous adresser la même question
01:18:47 à Jacques, mais avec quelques commentaires.
01:18:49 Jacques,
01:18:51 quelques années de cela, au fait,
01:18:53 une commissaire de police se posa avec moi,
01:18:55 disait à moi à l'époque,
01:18:57 dit "pipi", il appelle lui,
01:18:59 et le téléphone, il dit à lui, sur la police,
01:19:01 "c'est comme un headless chicken".
01:19:03 La commissaire n'a pas pris un long bras.
01:19:05 Est-ce que vous pensez, dans le contexte
01:19:07 actuel, ça, dit "pipi", là c'est "car", dit la même
01:19:09 chose aux commissaires de police, sans qu'il ait
01:19:11 une réaction, et violent.
01:19:13 Ça c'est un. Deuxièmement, est-ce que
01:19:15 vous pensez quelque part, le président de la
01:19:17 République, qui est le garant de la
01:19:19 constitution à Maurice, est-ce que
01:19:21 vous pensez qu'il peut jouer ce rôle,
01:19:23 qui nous dévolue à lui, et pour lequel nous voulons
01:19:25 payer le bien, bien grâcement, en banque contribuable,
01:19:27 nous voulons même payer les taxes fries,
01:19:29 et est-ce qu'il peut jouer ce rôle
01:19:31 d'arbitre en deux détenteurs
01:19:33 de poste constitutionnel,
01:19:35 qui est en conflit, est-ce que vous ne pensez pas
01:19:37 que c'est le président de la République qui a besoin
01:19:39 de "step in" pour mettre fin, justement,
01:19:41 à cette guerre, en deux
01:19:43 détenteurs de poste constitutionnel.
01:19:45 Autant qu'il n'est pas capable de dire
01:19:47 "nous constituons tel qu'il était".
01:19:49 Il y a une séparation du pouvoir,
01:19:51 quand c'est seul le DPP
01:19:53 qui a le droit d'amener
01:19:55 une poursuite en cours aux criminels.
01:19:57 Oui. Un individu
01:19:59 qui a le droit de mettre une caisse criminelle en cours,
01:20:01 il donne aux facilités, ça c'est un
01:20:03 besoin, un baiser levé.
01:20:05 Private criminal prosecution.
01:20:07 Mais,
01:20:09 il parle de l'avant, des DPP qui
01:20:11 rentraient, et des DPP décidaient
01:20:13 s'ils pouvaient poursuivre ou ne pouvaient pas poursuivre.
01:20:15 Ok ? Il y a une structure.
01:20:17 Nous ne savons plus. Nous ne savons plus
01:20:19 avec un parti qui ne va pas
01:20:21 tellement content, c'est l'MSD.
01:20:23 C'est un renouave, à la vérité.
01:20:25 C'est qu'il arrive un moment, une coalition,
01:20:27 quand
01:20:29 Jeannette Péenvie
01:20:31 a modifié
01:20:33 le rapport du DPP avec le pouvoir,
01:20:35 et Xavier Duval
01:20:37 qui s'est en gouvernement, il a démissionné, il est allé
01:20:39 et ça a été préservé. C'était la prosecution
01:20:41 correcte. Alors,
01:20:43 dans ce cadre précis là, il y a
01:20:45 une autorité qui est l'indépendance.
01:20:47 Ok ? C'est l'indépendance
01:20:49 qui prend les députés comme c'est la police,
01:20:51 les députés des ministres,
01:20:53 les députés des juges,
01:20:55 et tout. Et quelquefois, quand
01:20:57 nous avons les DPP du passé et du présent,
01:20:59 on finit par se faire dépasser.
01:21:03 Mais nous avons un bel
01:21:05 scandale
01:21:07 qui anime
01:21:09 de société, puisque
01:21:11 il y a une acceptation
01:21:13 qui c'est une autorité qui faisait
01:21:15 opérer avec toute indépendance.
01:21:17 Le régime en place,
01:21:19 vous connaissez comment il est opéré ?
01:21:21 Vous pouvez dire "président de la République,
01:21:23 garant de la Constitution".
01:21:25 C'est lui qui l'a mené.
01:21:27 Ceux qui le mènent.
01:21:29 C'est pas le président de la République
01:21:31 qui donne conseil aux premiers ministres.
01:21:33 Non mais Jacques, nous, vous arrêtez tout ici,
01:21:35 parce que je trouve que
01:21:37 le président de la République,
01:21:39 c'est le président de Paris.
01:21:41 Avec le même pouvoir que le président de Paris.
01:21:43 Il est aussi apporté par un gouvernement.
01:21:45 Alors, est-ce que vous pouvez me dire
01:21:47 quelle année
01:21:49 le président de la République a été nommé ?
01:21:51 92.
01:21:53 Non, non, c'est après.
01:21:55 Le premier c'était Ringadou,
01:21:57 après Ringadou c'est...
01:21:59 Il a été nommé comme président.
01:22:01 Il y a une amende constitutionnelle
01:22:03 pour rendre le président
01:22:05 inavouable.
01:22:07 Pour que Jacques Nade vienne président en 2000,
01:22:09 et on sait pas grave,
01:22:11 mais on sait que c'est lui,
01:22:13 pour un vote au Parlement.
01:22:15 Vous voyez ça ?
01:22:17 Il a une voix de déti à propos d'avoir une mauvaise chose.
01:22:19 Quand Ramgoulam est là,
01:22:21 il a envie de faire une déclaration
01:22:23 qu'il est le président de la République.
01:22:25 Il a dit "je suis le président de la République".
01:22:27 Il a manifesté devant Réjoui,
01:22:29 le président de la République est là.
01:22:31 Il a fini par manipuler la Constitution en 92.
01:22:33 C'est pour ça qu'il est assis là,
01:22:35 qu'il peut travailler ici.
01:22:37 Si un camarade dit comme ça,
01:22:39 "ok, j'ai un douleur dans mes genoux,
01:22:41 j'ai un douleur dans mes épaules,
01:22:43 j'ai un douleur dans ceci",
01:22:45 il peut aller le guetter,
01:22:47 qu'il ait eu ce douleur.
01:22:49 Il dit "mais demain matin je vais faire un test là,
01:22:51 pour voir si ça va me faire mal".
01:22:53 Un test d'endurance,
01:22:55 c'est pas le cas, il va faire le test.
01:22:57 Il doit prendre les dispositions nécessaires
01:22:59 pour aller le guetter,
01:23:01 et il va le guetter.
01:23:03 Quand il est assis là, dans sa chambre,
01:23:05 au nom de Moument,
01:23:07 il a sa Constitution là.
01:23:09 République.
01:23:13 Il a la Constitution
01:23:15 qui émane de 68,
01:23:17 pour la recherche indépendante.
01:23:19 Il a le rôle de sa Constitution là,
01:23:21 il ne peut pas gagner, il est obligé de le gagner.
01:23:23 Sa Constitution là, de 68.
01:23:25 Quand il est assis là, il a sa Constitution là,
01:23:29 et sa Constitution là,
01:23:31 pour guetter comment elle évolue, quelle différence il y a.
01:23:33 Il dit
01:23:35 "ça et ça,
01:23:37 bisez sans y".
01:23:39 Il ne peut pas y dire "d'y aller".
01:23:41 Il a cisé, il écrit
01:23:43 un chapitre
01:23:45 total.
01:23:47 Là, une nouvelle Constitution.
01:23:49 Il fait son travail
01:23:51 humblement, tranquillement.
01:23:53 C'est pour lequel il réclame un débat.
01:23:55 Et là-dedans, il cause
01:23:57 tout, il cause tout,
01:23:59 les repères essentiels pour une Constitution.
01:24:01 Si la population
01:24:03 n'est pas capable de prendre en compte
01:24:05 ça, il va faire pareil.
01:24:07 Quand vous dites "les gens de l'Assemblée
01:24:09 ne savent pas qu'il y a une Constitution", je vais vous dire
01:24:11 "Jacques, dans ton téléphone,
01:24:13 tu as tout, tu as toute la Constitution."
01:24:15 Je ne veux pas même que vous ne connaissiez pas la Constitution.
01:24:17 C'est pas possible.
01:24:19 Si moi j'avais ce téléphone là, quand j'avais 14 ans,
01:24:21 je ne saurais pas que j'avais la Constitution.
01:24:23 Jacques, nous sommes les mêmes présidents,
01:24:25 avec le même pouvoir.
01:24:27 Tout va nous suivre.
01:24:29 Pareil.
01:24:31 Tout va nous suivre. Nous comprenons que tout va nous suivre.
01:24:33 Pour ne pas dire un mot
01:24:35 qui fait froid.
01:24:37 Mais Kassamouthine va t'en suivre, parce qu'il fait une démissionnée, loin de principe.
01:24:39 Kassamouthine s'est démissionnée.
01:24:41 L'association en terrorisme.
01:24:43 Loin de principe.
01:24:45 Il a une résignation principale.
01:24:47 En terrorisme et la drogue, c'est le maximum.
01:24:49 Mais seulement moi je me rappelle
01:24:51 Kassamouthine n'était pas capable de convoquer
01:24:53 le commissaire de police. Quand il a besoin d'une explication,
01:24:55 je prends les cas de l'arrestation
01:24:57 d'Anangou Nzanti et moi-même.
01:24:59 Quand il arrête nous, il appelle
01:25:01 le commissaire de police pour réclamer
01:25:03 une explication.
01:25:05 Dans l'autre cas, quand il y a un grand
01:25:07 incendie dans le Basin Central,
01:25:09 les parties informées de cet incendie
01:25:11 les reposent à le commissaire de police
01:25:13 et demandent une explication en écrit.
01:25:15 Donc, moi encore, je reviens à cela.
01:25:17 Ce sont les hommes qui font les institutions
01:25:19 et non pas les contraires.
01:25:21 Vous ne croyez pas en l'actuel président
01:25:23 de faire la même chose,
01:25:25 d'appeler les deux personnes, d'appeler le commissaire de police
01:25:27 pour dire justement...
01:25:29 Si je prends Kassamouthine,
01:25:31 quand le commissaire de police s'appelle
01:25:33 le commissaire de police, le commissaire de police ne partait pas.
01:25:35 Non, le commissaire de police
01:25:37 c'était dans le cas de l'arrestation de Jacob Ndang.
01:25:39 Dans un cas précis, il les appelle
01:25:41 le commissaire de police, le commissaire de police dit
01:25:43 "Je ne suis pas responsable de vous."
01:25:45 L'étant présent au commissaire de police,
01:25:47 le commissaire de police dit "Vous en vivez une vie."
01:25:49 Il dit "Non."
01:25:51 Est-ce qu'il y a dans la société
01:25:53 un homme de la calibre de Kassamouthine ?
01:25:55 Kassamouthine.
01:25:57 Sans problème.
01:25:59 C'est une génération un peu différente.
01:26:01 Moi quand j'étais petit,
01:26:03 je trouvais qu'il fallait que l'on valorise
01:26:05 les grands hommes du passé qui nous montrent.
01:26:07 Mais si on continue à faire cela,
01:26:09 on ne va pas se quitter.
01:26:11 Comme je disais, tous ces gens
01:26:13 sont dans une position
01:26:15 contextuelle, circonstancielle.
01:26:17 Par exemple, quand je suis allé
01:26:19 à Pierre Gassemant, qui est un grand attentateur
01:26:21 de sa vie, le petit gars est en train
01:26:23 de se reposer. On ne peut pas bouger
01:26:25 parce qu'il est en face de la qualité des personnes
01:26:27 qui nous l'ont dit.
01:26:29 Et je vous pose une question encore centrale.
01:26:31 Sa régime présidentiel,
01:26:33 c'est une base d'un projet
01:26:35 politique avant tout.
01:26:37 On ne peut pas se quitter. Comment on va
01:26:39 contrôler les gens qui sont dans le mouvement ?
01:26:41 Parce que Kassamouthine aussi
01:26:43 a souvent une préférence politique.
01:26:45 Et il y a aussi un contexte
01:26:47 dans lequel on agit.
01:26:49 Quand il s'agit de l'hypothèse,
01:26:51 on est très clair.
01:26:53 Mais il y a d'autres cas.
01:26:55 On a aussi une question
01:26:57 qui nous fait pédaler.
01:26:59 Ce n'est pas de diminuer ce mérite.
01:27:01 Mais on ne peut pas arrêter avec le minimum
01:27:03 ou ce que les gens
01:27:05 nous ont donné au passé.
01:27:07 On vise vers un nouveau type.
01:27:09 Et ça passe entre les personnes.
01:27:11 Et ça, je ne prends pas la peine de le dire.
01:27:13 Tous les semaines, je le dis au radio.
01:27:15 Je ne fais pas ça.
01:27:17 Si on ne parle pas de ce débat, on ne peut pas s'occuper.
01:27:19 Mais il y a des gens qui peuvent
01:27:21 choisir de être spectateur
01:27:23 en permanence.
01:27:25 Le leader syndical m'a dit
01:27:27 qu'il allait donner un petit conseil
01:27:29 mais chacun a sa place.
01:27:31 Sa présidente la républicaine
01:27:33 n'est pas le premier ministre.
01:27:35 On peut dire à 14h qu'il ne peut pas
01:27:37 contredire le premier ministre dans le contexte présent.
01:27:39 Il ne s'agit pas de contredire
01:27:41 le premier ministre.
01:27:43 Il peut dire que le premier ministre
01:27:45 est un détenteur.
01:27:47 Je ne peux pas dire qu'il ne peut pas
01:27:49 contredire le premier ministre.
01:27:51 Il ne peut pas le dire de tout temps
01:27:53 parce qu'il a choisi des gens qui peuvent conformer.
01:27:55 C'est un point qui parle pour tous.
01:27:57 Vous savez que le premier ministre
01:27:59 ne peut pas menacer
01:28:01 ce précaré.
01:28:03 Mais on ne peut pas menacer
01:28:05 ce qui est à la tête.
01:28:07 Parce qu'il constitue un système
01:28:09 qui est opéré.
01:28:11 Merci beaucoup.
01:28:13 Merci à tous d'avoir répondu à l'appel.
01:28:15 Je vous remercie.
01:28:17 Je vous donne rendez-vous
01:28:19 à la semaine prochaine.
01:28:21 Merci et bonne soirée.
01:28:23 Merci Raj.
01:28:25 Merci Jacques.
01:28:27 Le pouvoir du premier ministre
01:28:29 tout ça vient.
01:28:31 Merci beaucoup.
01:28:33 *Bruit de marteau*

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