INFO 20HR [28 juin 2023]
À LA UNE :-
Le clash entre le Bureau du DPP et le Commissaire de police toujours au cœur de l’actualité :
« Le DPP a le droit de venir dire au CP qu’une arrestation n’est pas valable au vu des principes de droits qui doivent être appliqués », soutient le Senior Counsel Gavin Glover
Pour l’expert constitutionnel Milan Meetarbhan : « On vient remettre en question une procédure très bien établie sans donner de justificatif ! »
D’autre part… Suite à plusieurs complaintes de ses membres, le Bar Council a émis un communiqué dans lequel il réitère ses demandes pour un rendez-vous avec le commissaire de police
Dans le reste de l’actualité :
Des honoraires de plus de Rs 43 millions payés à neuf membres du conseil d’administration de la SBM Holdings et de ses subsidiaires… dont Rs 8 millions à Sattar HajeeAbdoula pour l’année financières de 2022
« C’est un vol déguisé », s’insurge Bissoon Mungroo, petit actionnaire, qui envisage de saisir la justice
C’est finalement demain que Raquel Jolicoeur quittera la prison de Melrose : « Li innocent », lance sa mère
Deux jours après sa libération sous caution : Avinash Bissessur porte plainte après avoir remarqué un drone survolant sa demeure
Décès d’une aide-soignante affectée à l’hôpital de Moka : La Ministry of Health Employees réclame une enquête approfondie
En Espagne : Forte augmentation des décès en 2022 à cause de la canicule !
À LA UNE :-
Le clash entre le Bureau du DPP et le Commissaire de police toujours au cœur de l’actualité :
« Le DPP a le droit de venir dire au CP qu’une arrestation n’est pas valable au vu des principes de droits qui doivent être appliqués », soutient le Senior Counsel Gavin Glover
Pour l’expert constitutionnel Milan Meetarbhan : « On vient remettre en question une procédure très bien établie sans donner de justificatif ! »
D’autre part… Suite à plusieurs complaintes de ses membres, le Bar Council a émis un communiqué dans lequel il réitère ses demandes pour un rendez-vous avec le commissaire de police
Dans le reste de l’actualité :
Des honoraires de plus de Rs 43 millions payés à neuf membres du conseil d’administration de la SBM Holdings et de ses subsidiaires… dont Rs 8 millions à Sattar HajeeAbdoula pour l’année financières de 2022
« C’est un vol déguisé », s’insurge Bissoon Mungroo, petit actionnaire, qui envisage de saisir la justice
C’est finalement demain que Raquel Jolicoeur quittera la prison de Melrose : « Li innocent », lance sa mère
Deux jours après sa libération sous caution : Avinash Bissessur porte plainte après avoir remarqué un drone survolant sa demeure
Décès d’une aide-soignante affectée à l’hôpital de Moka : La Ministry of Health Employees réclame une enquête approfondie
En Espagne : Forte augmentation des décès en 2022 à cause de la canicule !
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00:00 [Générique]
00:27 Bonsoir, bienvenue dans l'Info 20h, tout d'abord les titres.
00:31 Le clash entre le bureau du DPP et le commissaire de police toujours au cœur de l'actualité.
00:36 Le DPP a le droit de venir dire au CP qu'une arrestation n'est pas valable
00:41 au-dessus des principes de droit qui doivent être appliqués,
00:44 soutient le senior counsel Gavin Glover.
00:47 Pour l'expert constitutionnel Milan Mitterband,
00:49 on vient remettre en question une procédure très bien établie sans donner de justificatif.
00:55 D'autre part, suite à plusieurs plaintes de ses membres,
00:58 le Bar Council a émis un communiqué dans lequel il réitère ses demandes
01:02 pour un rendez-vous avec le commissaire de police.
01:05 Dans le reste de l'actualité, des honoraires de plus de 43 millions de roupies
01:09 payés à 9 membres du conseil d'administration, de la SVM Holdings et de ses subsidiaires,
01:15 dont 8 millions à Sata Haji Abdulla pour l'année financière de 2022.
01:20 C'est un vol déguisé, fait suivre à partir de l'un groupe,
01:23 petit actionnaire qui envisage de saisir la justice.
01:27 C'est finalement demain que Raquel Jolicoeur quittera la prison de Melrose,
01:31 vue innocente lors de sa mère.
01:34 Deux jours après sa libération sous caution,
01:36 Avina a chassé sa porte-plainte après avoir remarqué un drone survolant sa demeure.
01:42 Blessé d'une aide-soignante affectée à l'hôpital de Moca,
01:45 la Ministry of Health Employees réclame une enquête approfondie.
01:50 Et à l'étranger, en Espagne,
01:52 forte augmentation des décès en 2022 à cause de la panique publique.
01:57 Crise institutionnelle, le DPP a le droit de venir dire au CP qu'une arrestation n'est pas valable
02:12 au vu des principes de droit qui doivent être appliqués, soutient Meta Gavin Glover.
02:18 Les deux clashes de cette semaine entre le commissaire de police et le directeur des poursuites publiques
02:23 par les représentants interposés continuent de susciter des vagues.
02:28 Invité à réagir à ce qui est qualifié de crise institutionnelle,
02:32 le senior counsel Gavin Glover rappelle que ce sont deux institutions
02:36 et non deux personnalités qui sont en guerre ouverte.
02:40 Cela, ajoute-t-il, n'augure rien de bon pour la société.
02:44 Il va jusqu'à parler de situation embarrassante pour le pays.
02:48 Il souligne que les deux institutions ont des pouvoirs discrétionnaires.
02:52 Mais en fonction de ce que possède le DPP, il a le droit, selon Meta Gavin Glover,
02:57 de dire au CP qu'une arrestation n'est pas valable selon certains principes de droit.
03:02 On l'écoute au micro de Kamale Periana.
03:05 C'est une situation embarrassante pour le pays en général.
03:09 Nous avons deux institutions et non pas deux personnalités.
03:12 Soyons bien clairs, nous sommes en train de parler de deux institutions
03:16 qui sont en guerre ouverte et cela n'augure rien de bon pour la société
03:22 et pour le public mauricien.
03:24 Je suis tout à fait sidéré d'entendre que le commissariat de police
03:28 va challenge une décision du DPP.
03:31 Il faut comprendre que le DPP a sa discrétion dans son domaine
03:35 et que le CP a sa discrétion dans son domaine.
03:38 Le CP a le droit d'arrêter quelqu'un et de dire qu'il a des raisons de croire
03:43 qu'il fallait arrêter cette personne sous la loi.
03:45 Mais le DPP a tout aussi le droit de venir dire au commissariat de police
03:49 que cette arrestation n'est pas une arrestation qui est valable
03:52 au vu des principes de droit qui doivent s'appliquer.
03:55 Quand le DPP a pris une telle décision, par exemple d'arrêter un procès,
03:59 nous savons très bien que même si cette décision peut être judicially reviewable,
04:03 il est dans très peu de cas que la cause suprême va s'ingérer dans une discrétion
04:08 aussi importante que celle du directeur des poursuites publiques.
04:11 Le senior counsel, Gavinet Glover, lance un appel au commissaire de police
04:16 et au directeur des poursuites publiques de mettre de côté leur égo.
04:20 Ils ont, ajoute-t-il, le devoir moral de travailler pour la population.
04:25 Toujours concernant le conflit DPP/commissaire de police,
04:29 on vient remettre en question une procédure très bien établie,
04:32 sans donner de justificatif, déplore Milan Mitterbund.
04:36 L'ex-père constitutionnel a commenté les récentes prises d'opposition
04:41 du commissaire de police dans deux cas en début de semaine.
04:44 Il dit ne pas comprendre la posture du patron des casernes centrales,
04:48 car à Maurice, il y a une procédure déjà bien établie concernant le rôle du bureau du DPP.
04:54 Qui plus est, ajoute Milan Mitterbund,
04:57 le commissaire de police n'a pas donné de justificatif.
05:02 Il n'en doute qu'une question qui mérite d'être éclaircie.
05:06 Il est dommage qu'il y ait une pratique très bien établie depuis longtemps
05:11 pour faire une distinction entre l'autorité chargée de l'enquête
05:16 et l'autorité qui l'a pour demander la cause qui peut les imprime un individu de se libérer ou non.
05:25 C'est-à-dire que la séparation entre ces deux fonctions-là
05:29 est souvent nécessaire dans une démocratie.
05:33 On ne peut pas trouver aucune justification, aucune donnée,
05:36 pour justifier le fait qu'il nous devait un changement radical
05:42 par rapport à la pratique établie qui repose là une répartition de fonction
05:49 qui est nécessaire pour la sauvegarde des libertés fondamentales.
05:54 Mélanie Mitterbund ajoute que la posture du commissaire de police risque de soulever des questions
06:00 au stade initial, soit au moment où une personne formule une motion de remise en liberté conditionnelle.
06:07 Là, nous pouvons remettre en question la bonne pratique bien établie
06:12 et aussi les bons principes constitutionnels qui concernent les pouvoirs du DPP.
06:19 Donc, il est clair que c'est le DPP qui est en contrôle
06:25 lors de l'initiation de poursuites ou même le fait de pouvoir arrêter une poursuite à n'importe quel moment.
06:33 Donc, la question en fait qui probablement n'a pas été posée dans le cadre de ce débat actuel-là
06:42 est dans qui mesure un pouvoir indiscutable du DPP, dénoncé de façon très claire dans la Constitution,
06:49 dans qui mesure est-ce que ce pouvoir-là y applique aussi à l'étape où une démonstration de l'application.
06:59 C'est-à-dire que quand il s'agit de poursuites, il est clair que c'est le DPP qui est dans le contrôle total.
07:03 C'est-à-dire que même si vous payez un emploi et pas d'avocat en débat, etc., c'est le DPP qui pousse les animaux.
07:10 Mais, mon pensée que ce débat-là donne l'occasion pour réfléchir aussi au rôle et au pouvoir du DPP au stade initial,
07:19 c'est-à-dire quand un démon n'est pas encore "charged" formellement et non encore au stade d'une application.
07:28 L'instance dit avoir reçu plusieurs plaintes de ses membres.
07:32 Le Bar Council somme la police à de s'assurer que les avocats ne soient pas intimidés dans le cadre de leurs obligations professionnelles
07:39 et réitèrent ces demandes pour rencontrer Anil Kumardeep.
07:43 Le Bar Council a émis un communiqué ce mercredi.
07:46 Elle dit avoir reçu plusieurs plaintes de ses membres qui disent avoir des difficultés à accomplir leurs obligations professionnelles correctement.
07:54 Ils disent être intimidés par la police.
07:57 Le communiqué demande ainsi au commissaire de police de prendre les dispositions nécessaires
08:02 afin que les avocats ne soient pas intimidés dans l'exercice de leurs obligations professionnelles.
08:08 Le Bar Council demande aussi à ce que les droits fondamentaux de chaque citoyen soient respectés
08:14 pour qu'ils puissent consulter un homme de loi de leur choix, comme le prévoit la Constitution.
08:20 Écoutons Priscilla Balgobin-Boyrol, la présidente du Bar Council, au micro de Marc-Pierre.
08:26 On a eu un communiqué aujourd'hui, le Bar Council a eu un communiqué.
08:31 Et dans ce communiqué-là, on a fait un témoignage au commissaire de police pour assurer que les avocats peuvent travailler librement,
08:39 accueillir leurs clients et on peut d'ailleurs réitérer les demandes qu'ils nous font au début de l'année.
08:44 Donc ils nous sont pas ravis de dire qu'ils gagnent un échange, un dialogue et transmettent certains messages de nos membres.
08:50 À la fin du jour, on a envie d'assurer qu'ils travaillent correctement et que c'est souvent l'institution au travail, main dans la main.
08:58 SBM Holdings Limited a des honoraires de plus de 43 millions de roupies payés aux neuf membres du Conseil d'administration pour l'année financière 2022.
09:08 L'annuel General Meeting de la State Bank of Mauritius a eu lieu ce mercredi 28 juin à Ébène.
09:15 Lors de cette rencontre, le rapport annuel de la SBM Holdings Limited a été déposé.
09:21 Il ressent que pour l'année financière 2022, Sada Haji Abdullah a perçu des honoraires de 3,8 millions de roupies pour comme président de la SBM Holdings Limited.
09:33 Il a aussi empoché 4,2 millions de roupies en tant que membre des autres subsidiaires de la SBM.
09:41 Cela fait un total de 8 millions de roupies.
09:44 Jean-Paul Arrauf a lui perçu 710 000 roupies en tant que membre de la SBM Holdings et 1,8 million pour les autres subsidiaires, ce qui fait un total de 2,5 millions de roupies.
09:58 Notons aussi que 22 millions de roupies ont été payées par la SBM Holdings à Raoul Jufflet, son groupe CEO.
10:07 Au total, un peu plus de 43 millions de roupies ont été payées comme honoraires aux neuf membres du conseil d'administration de la SBM Holdings.
10:16 Commentent ces honoraires de 43 millions de roupies payés aux membres du conseil d'administration de la SBM?
10:23 C'est un vol déguisé. Je vais saisir la justice, lance Bissoun Mungrou.
10:29 L'homme d'affaires et l'un des porte-parole des petits actionnaires, il a réagi au micro de Top FM sur la somme de 43 millions de roupies qui a été payée aux membres du board de SBM Holdings.
10:41 Pour lui, cela révèle d'un vol déguisé.
10:45 C'est un vol déguisé dans le sens qu'un membre de la board de la Holdings, il peut avoir prendre la décision de la Holdings.
10:53 Après, il peut prendre la décision de décider qui peut faire, comme si on avait lui-même fait le policy paper.
11:00 Après, il prend la décision du policy paper.
11:02 L'armée n'existe pas dans le monde.
11:04 C'est bien qu'il y ait une confidentialité pour les droits de l'époque, puis il y a une confidentialité.
11:09 On a un papier, la cour, pour demander où s'attachait le dollar, où vient le board de Holdings.
11:16 SBM Holdings, ils nous donnent le détail de toutes les dépenses.
11:21 Il n'y a que dans Kenya, 16 milliards de roupies, tax payers money, y compris small shareholders money.
11:29 Tax payers money dans le sens que c'était le plus grand actionnaire du gouvernement.
11:33 Le gouvernement c'est qui? Le gouvernement de tous les Mauritiens.
11:35 Ce qui veut dire que tous les Mauritiens sont casse-pieds lapidés.
11:39 Notons que c'est lors de l'Assemblée Générale Annuelle de la SBM Holdings Limited qui s'est tenue ce matin à Iben
11:47 que la décision a été prise de reconduire Sattar Haji Abdullah à la présidence.
11:52 Rappelons que les bénéfices après l'impôt du groupe ont atteint 752 millions de roupies pour le trimestre
11:59 terminant au 31 mars 2023, a rapporté le groupe financier dans son bilan financier paru au moins de mai.
12:08 Libération conditionnelle de Raquel Jolicoeur, noupe Atanli Leker-Ouvert, déclare ses proches.
12:17 C'est demain que le chanteur quittera la prison de Melrose.
12:20 Raquel Jolicoeur qui avait été arrêtée le 2 mai 2022 a obtenu la liberté conditionnelle lundi après-midi devant la cour de district de Port-Louis.
12:29 Sa caution a été fixée à 600 000 roupies et la reconnaissance de dette à 5 millions de roupies.
12:36 Il devra également respecter certaines conditions imposées par la cour.
12:40 Il devra se présenter au poste de police le plus proche de son domicile quotidiennement entre 5h du matin et 21h.
12:47 Les proches de l'habitant de Rochebois tentent de réunir la somme de sa caution.
12:52 Ce dernier pourra alors recouvrir la liberté dès demain.
12:55 Ils se sont entretenus avec la presse ce matin.
12:58 Les détails de Fabrina Luison avec la voix de Kamaly Periana.
13:03 Les proches de Raquel Jolicoeur entreprennent les dernières démarches à la cour de Port-Louis avant de régler sa caution.
13:10 Sa mère se dit soulagée que son fils soit enfin libéré.
13:13 Elle dit avoir très mal vécu cet épisode et que sa santé en a pris un coup.
13:17 Je suis très contente, je remercie Dieu, je remercie tous ceux qui sont là-haut car nos enfants ont bien souffert, ils sont innocents.
13:23 Mais oui, nous avons les yeux ouverts, nous avons les yeux ouverts.
13:26 Nous avons ouvert la porte pour nous entendre, nous voulons venir.
13:28 Nous avons bien souffert, nous sommes malades, nous sommes malades, nous sommes allés à l'hôpital, nous avons été en bas-basin, nous avons été fatigués.
13:34 Je vous remercie Dieu.
13:35 Quant à son père, il dit être redevable envers les encanteurs qui l'ont aidé à réunir la somme fixée pour la caution de son fils.
13:43 Toutefois, il regrette que le grand-père de Raquel Jolicoeur, qui lui avait demandé de faire le nécessaire afin qu'il soit libéré, ne soit plus de ce monde pour voir son petit-fils.
13:52 Je me suis perdu avec mon père en 98, je me suis perdu avec la société. J'ai tout perdu, surtout les enfants, tous mes grands-pères.
13:58 On va les faire me solider, on va faire tout possible pour qu'ils soient en bonne santé.
14:01 C'est vraiment Dieu qui est là-bas dans l'encanteur qui les a aidés, ils ont aidé beaucoup.
14:04 C'est tout dans la dinde, c'est tout l'encanteur qui les a aidés.
14:07 C'est tout ce qui me doit, je ne suis pas un petit garçon, je ne suis pas un petit garçon.
14:10 Quand Dieu a aidé moi pour résoudre ce problème, je remercie tout l'encanteur pour lui.
14:16 Béla, la soeur du chanteur, s'attend à ce que justice soit faite pour ses deux frères.
14:20 Rappelons que le frère de Raquel a également été arrêté pour une affaire de drogue l'an dernier.
14:25 Bien que le montant de la caution soit très élevé, Béla dit être heureuse que Raquel Jolicoeur retrouve la liberté.
14:32 Je voudrais trouver la justice, vu qu'ils m'offrent une gueule de caution, une caution de mariée,
14:37 tout ça c'est 720 000 rubis, pour ça, 3 coups de 300 000 là,
14:41 mais je vais essayer de ramasser tout pour demain, l'année prochaine, et de les gueuler.
14:44 C'est pour ça que je voudrais trouver la justice pour lui, et pour que je fasse tout ça.
14:49 Deux jours après sa libération sous caution, Avinash Bisesar porte plainte après avoir remarqué un drone au-dessus de sa maison.
14:57 Le frère d'Aquil Bisesar a logé une precautionary measure.
15:01 Cela après avoir remarqué un drone au-dessus de sa maison.
15:07 Dans sa déclaration à la police, il explique qu'il revenait de chez ses beaux-parents,
15:11 où il avait dîné, il était environ 21h, c'est là qu'il a vu ce drone.
15:16 Il ajoute que son épouse a pu filmer le drone avec son téléphone portable.
15:20 Avinash Bisesar dit craindre que des policiers ne tentent de le piéger de nouveau, en déposant des articles illégaux dans sa cour.
15:28 Aquil Bisesar, d'où Mila Mohipat et lui, avait été arrêté suite à la découverte de 1022 comprimés,
15:34 soupçonnés d'être de l'ecstasy lors d'une livraison contrôlée à Drington Park, Sudnac, le 20 juin dernier.
15:42 L'opération avait été menée par la Special Striking Team.
15:46 Après avoir passé une semaine en détention, les trois suspects ont été libérés sous caution lundi dernier.
15:52 Manifestation pacifique devant l'hôpital de Mocha ce mercredi.
15:57 « Nous réclamons une enquête approfondie sur les causes du décès d'une aide-soignante »,
16:02 affirme Amarjit Sithohal, président de la Ministry of Health Employees.
16:08 L'aide-soignante de 43 ans travaillait au Subrahmanya Bharati Hospital à Mocha.
16:14 Elle comptait plus d'une vingtaine d'années de service.
16:17 Elle était restée huit jours à l'unité des soins intensifs de l'hôpital Jito à Port-Louis,
16:22 avant de rendre l'âme dans la soirée du mercredi 21 juin.
16:25 Amarjit Sithohal, président de la Ministry of Health Employees Union,
16:31 et d'autres membres du personnel ont manifesté pacifiquement ce mercredi devant l'hôpital de Mocha.
16:37 Ils expliquent que l'aide-soignante n'arrivait plus à travailler
16:40 quand le volume de travail avait beaucoup augmenté.
16:43 La Ministry of Health Employees Union ajoute,
16:47 réclame une enquête approfondie sur les causes du décès,
16:51 ces propos recueillis par Stéphane Douce.
16:54 « Je veux dire qu'il n'y a aucune considération que je prenne,
16:57 et je commence à travailler.
17:00 Et comme on dit, la fille commence à sentir la fatigue,
17:02 continuellement pendant un mois, elle commence à se fatiguer.
17:05 Et là, à partir de là, elle vient vers moi.
17:08 Elle vient vers moi pour dire à moi, elle a envie de bouger depuis.
17:12 Là, elle ne peut plus travailler parce que le volume de travail est trop conséquent.
17:16 Et ce qu'ils m'ont fait faire, moi, si je me retrouve malade,
17:19 je vais aller rejoindre le management pour expliquer que c'est un problème
17:22 qui désert, renforce le staffing.
17:25 Et pour moi, quand je demande au sergent-intendant de l'hôpital,
17:29 c'est-à-dire le management, lui, son raisonnement, il est très simple.
17:34 Il dit que le travail c'est de 9h à 4h.
17:38 Il veut dire que peu importe combien de patients viennent,
17:41 je vous dis, de 50, 60, 70, 100, il monte,
17:45 il veut dire qu'il n'est pas capable de faire le travail.
17:48 Il veut dire que non, il n'est pas trop un problème pour lui.
17:52 Et finalement, la fille, ce qui est arrivé,
17:56 elle n'est pas si bien sentie, comme on dit, elle n'est pas sentie bien.
17:59 Et elle commence à se fatiguer dans le travail.
18:02 Et là, elle finit par mourir dans l'ICU.
18:05 Et finalement, on connaît l'indécédé.
18:08 OK? Et pour nous, ce qu'il nous faut demander,
18:11 c'est qu'il fasse une enquête approfondie
18:14 parce qu'il y a une personne indécédée.
18:16 Il est important qu'il fasse une enquête
18:18 pour déterminer qui raisonne la personne indécédée.
18:23 Habib Mungorn, neveu de l'aide soyante,
18:26 explique que ce problème a député avant la Covid-19.
18:29 Il explique que c'est dur pour toute la famille.
18:32 Il annonce aussi des actions légales.
18:35 En fait, nous avons des problèmes là,
18:37 avant la Covid qui ont commencé, avant nos affaires.
18:40 Mais, on a fait des démarches, ici, au bureau,
18:43 on n'a pas pris les staffs compte.
18:46 C'est bien dur pour nous, parce que nous avons une colonne.
18:49 On a même des mains de transfert.
18:51 Nous avons envoyé une lettre.
18:53 Depuis aujourd'hui, on n'a pas eu de réponse.
18:55 On ne sait pas ce qu'il y a dans la poubelle.
18:58 Comment causer ces problèmes qu'il a fait ?
19:01 On a dit qu'on allait envoyer un civile.
19:04 C'est un sentence qui s'est déroulé.
19:06 Mais, il n'est pas à ça.
19:08 Je faisais des solutions pour lui.
19:10 Et, tout dernièrement,
19:12 ce qui me passait là, c'est une pipière.
19:14 En fait, la lettre, je l'ai écrite,
19:16 je l'ai fait pour une pipière avec colchée,
19:18 parce que j'ai été touché.
19:21 J'ai eu des vieilles demande à la maison.
19:23 J'ai été touché.
19:24 C'est un problème de transfert.
19:26 Oui, je ne pense pas qu'on a une action légale.
19:29 Mais, plutôt que de l'amener là,
19:31 nous ne pouvons pas causer plus de problèmes.
19:34 Pour le moment, nous recouvrons,
19:36 mais nous ne pouvons pas le causer.
19:39 Salim Raja, c'est au tour de l'ex-chief human resource officer
19:47 de Mauritius Telecom, d'être arrêté.
19:50 Niamala Ramdjouria a été arrêtée lundi
19:53 par la Major Crime Investigation Team.
19:55 Elle a été présentée en cours le lendemain
19:58 où une accusation provisoire de complot
20:00 a été logée contre elle.
20:02 La police n'a pas objecté à sa remise en liberté.
20:05 Niamala Ramdjouria a donc été libérée
20:08 contre une caution.
20:10 La police l'accuse d'avoir procédé
20:12 à la destruction de données appartenant
20:14 à l'ancien CEO de Mauritius Telecom, Sherry Singh,
20:17 sur un ordinateur de l'organisme.
20:19 Voilà, c'est ici que prend face cette page locale.
20:22 Dans quelques secondes, retrouvez Marc Pierre
20:24 pour les nouvelles internationales.
20:27 [Générique]
20:45 Au moins quatre personnes ont été tuées
20:47 et 47 blessées, dont une romancière ukrainienne
20:50 et trois personnalités colombiennes,
20:52 dans une frappe russe contre un restaurant
20:54 populaire de Kramatorsk, dans l'est de l'Ukraine.
20:57 La frappe a détruit le restaurant Ria Pizza,
21:00 un établissement du centre de Kramatorsk,
21:02 apprécié par les journalistes et les militaires.
21:05 Selon la police ukrainienne, la Russie a tiré
21:07 deux roquettes Sol Air S-300,
21:09 sur cette ville qui comptait 150 000 habitants
21:12 avant la guerre et qui reste la seule grande
21:14 agglomération encore sous contrôle ukrainien
21:16 dans l'est du pays.
21:18 Outre le restaurant, des appartements,
21:20 des commerces, des voitures, un bureau de poste
21:22 et plusieurs autres bâtiments ont subi des dégâts,
21:24 selon le parquet.
21:26 La Cour suprême des États-Unis a rejeté
21:28 mardi une théorie privilégiée par le camp
21:31 conservateur de Donald Trump, selon laquelle
21:33 les États détiennent le pouvoir d'établir
21:35 leurs propres règles lors des scrutins
21:37 présidentiels et législatifs et de redécouper
21:40 les cartes électorales sans l'aval des tribunaux.
21:43 À une majorité de six juges sur neuf,
21:45 la haute juridiction du pays a rejeté
21:47 la théorie dite des législateurs d'États
21:50 d'indépendants, défendus par des parlementaires
21:53 républicains de Caroline du Nord.
21:55 Selon eux, la Constitution place les règles
21:57 à des élections fédérales entre les mains
21:59 des parlementaires des États et de personnes
22:01 d'autres à ce niveau. Dans les faits,
22:03 la Constitution confie aux élus de chaque État
22:06 la tâche de fixer l'époque, le lieu et la procédure
22:09 des scrutins, mais leur loi demeure soumise
22:11 au contrôle des tribunaux locaux.
22:13 Plus de 350 personnes sont mortes directement
22:16 à cause des températures records de l'été
22:18 dernier en Espagne. La canicule a aussi provoqué
22:20 une augmentation considérable des décès,
22:22 selon des chiffres officiels publiés
22:24 mardi 27 juin, peu après un premier décès
22:27 lié à la vague de chaleur en cours.
22:29 De mai à août 2022, 150 580 décès ont été
22:33 enregistrés, soit 26 849 de plus par rapport
22:37 à 2019, année de référence en raison de la
22:40 pandémie de la Covid-19, indique l'Institut
22:42 national des statistiques dans un rapport
22:44 sur les causes de la mortalité dans le pays
22:46 en 2022. Ce sera tout pour ce 20h ce soir,
22:49 merci de l'avoir suivi.
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