C’est par une minute de silence que le sommet pour un nouveau pacte financier mondial s’est ouvert ce jeudi 22 juin à Paris, après une brève introduction du président de la République Emmanuel Macron.
Vanessa Nakate, militante écologiste ougandaise de 26 ans et ambassadrice de l’Unicef, a succédé à Emmanuel Macron à la tribune.
Dans son allocution, Vanessa Nakate a ensuite pris le temps d’énumérer les nombreux effets du réchauffement climatique : l’insécurité alimentaire sur le continent africain, fruit de sécheresses exceptionnelles, les incendies au Canada et la pollution atmosphérique qui en résulte, les vagues de chaleur en Inde.... « Les défis sont tels qu’ils sont difficiles à envisager », a-t-elle souligné devant le parterre de chefs d’état réunis pour l’occasion. Elle a appelé à « une sortie équitable des énergies fossiles », s’en prenant frontalement aux profits des compagnies pétrolières occidentales. « Les promesses non tenues coûtent des vies », a-t-elle martelé.
Lancé à l’initiative d’Emmanuel Macron et de la Première ministre de la Barbade Mia Mottley en novembre, lors des négociations climat de la COP27, ce sommet informel ambitionne de réorienter le système de financement mondial, « plus tout à fait adapté » selon les mots d’Emmanuel Macron, afin de répondre à une double problématique, cruciale pour les pays en voie de développement : la lutte contre la pauvreté et celle contre le réchauffement climatique.
Vanessa Nakate, militante écologiste ougandaise de 26 ans et ambassadrice de l’Unicef, a succédé à Emmanuel Macron à la tribune.
Dans son allocution, Vanessa Nakate a ensuite pris le temps d’énumérer les nombreux effets du réchauffement climatique : l’insécurité alimentaire sur le continent africain, fruit de sécheresses exceptionnelles, les incendies au Canada et la pollution atmosphérique qui en résulte, les vagues de chaleur en Inde.... « Les défis sont tels qu’ils sont difficiles à envisager », a-t-elle souligné devant le parterre de chefs d’état réunis pour l’occasion. Elle a appelé à « une sortie équitable des énergies fossiles », s’en prenant frontalement aux profits des compagnies pétrolières occidentales. « Les promesses non tenues coûtent des vies », a-t-elle martelé.
Lancé à l’initiative d’Emmanuel Macron et de la Première ministre de la Barbade Mia Mottley en novembre, lors des négociations climat de la COP27, ce sommet informel ambitionne de réorienter le système de financement mondial, « plus tout à fait adapté » selon les mots d’Emmanuel Macron, afin de répondre à une double problématique, cruciale pour les pays en voie de développement : la lutte contre la pauvreté et celle contre le réchauffement climatique.
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00:00 (Musique)
00:17 Président Macron, Secrétaire Général,
00:22 Mes chers invités, je voudrais commencer par demander à nous tous de garder un moment de silence pour les gens de partout dans le monde qui souffrent déjà,
00:40 qui sont en faim, qui sont déplacés, qui sortent de l'école, qui sont forcés dans les mariages infantiles, qui perdent leur culture et leur histoire,
00:56 à des mariages forcés et qui sont victimes de l'histoire, celles et ceux qui n'ont plus d'espoir et qui meurent du fait des effets dévastateurs des crises climatiques.
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02:41 Merci à tous !