Budget 2023-2024 : mesures électoralistes et occasions ratées, thème de notre Hardtalk. Harish Chundunsing reçoit le chef de file du Parti Travailliste, le Dr Arvin Boolell, le leader du Rassemblement Mauricien, Nando Bodha et la députée MMM ,Joanna Bérenger. Outre le budget 2023-2024, ils aborderont aussi bien le comportement du Speaker à l'Assemblée Nationale, et feront un tour d'horizon de l'actualité tant politique que sociale. Vos appels sur le 2137777.
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00:00:00 Hard Talk, Hard Talk
00:00:02 Chers auditeurs du Talk FM, bon après-midi.
00:00:15 Nous vous présentons aujourd'hui notre émission Hard Talk.
00:00:20 Elle est pour l'eau, essentiellement, low budget.
00:00:24 Mais n'empêche qu'elle nous prouve à bon de bannir certains de nos sujets avec nos banne-invités.
00:00:29 Le nouveau plateau aujourd'hui, nous avons Johanna Beranger, députée de Vaqua Floréal, première députée.
00:00:37 Et nous avons ensuite M. Nandeboda, lui le second député de toujours Vaqua Floréal.
00:00:43 Et troisième, nous avons le chef de file du Parti travailliste à l'Assemblée Nationale, le Dr. Arvind Poulel.
00:00:49 Monsieur, Madame, bon après-midi.
00:00:52 Bon après-midi et tout le monde qui est avec nous.
00:00:55 Bon, on va parler immédiatement low budget avec vous et vous allez voir quelques jours le budget que je vais vous présenter.
00:01:02 Et je serais content de vous connaître et comment vous trouvez ce budget-là.
00:01:06 Est-ce que vous trouvez un budget qui est déguisé en un budget socialiste, un budget électoraliste qui est déguisé en un budget socialiste,
00:01:12 ou bien c'est un budget des occasions ratées.
00:01:16 Voilà.
00:01:17 Merci, vous pouvez donner la parole au premier ministre.
00:01:19 Non, je l'ai dit.
00:01:20 Ok, merci beaucoup.
00:01:22 Je suis heureuse d'être ici pour parler du budget.
00:01:26 Je veux dire que je suis bien inquiète.
00:01:30 Parce que autant, les paroles sont très jolies l'année après l'année,
00:01:34 tout le temps, les paroles sont très jolies.
00:01:36 Je suis un peu inquiète sur le budget, les trois dernières années.
00:01:39 Les mots qu'il a utilisé sont extraordinaires.
00:01:43 Mais ces mots-là ne sont pas réfléter dans les actions.
00:01:47 Et tout le temps, chaque fois, il y a des mesures qui occupent la forme, mais pas le fond.
00:01:54 Les problèmes de fond ne peuvent pas être réglés.
00:01:57 Nous ne pouvons pas arrêter le CRPF de la pauvreté, nous ne pouvons pas diminuer l'inflation,
00:02:02 nous ne pouvons pas arrêter la dépréciation, la roupie, nous ne pouvons pas créer des emplois.
00:02:06 Tous ces problèmes-là ne peuvent pas être réglés.
00:02:08 Et c'est ça qui décourage beaucoup les jeunes aujourd'hui.
00:02:11 C'est ça à cause de quoi beaucoup de familles ont émigré, malheureusement.
00:02:16 Nous sommes tristes de ça, mais il y a un fait, nous ne pouvons pas arrêter ça.
00:02:20 Tous les jours, nous avons des gens qui quittent Maurice,
00:02:23 parce qu'ils ont une perte de confiance dans l'avenir de Maurice.
00:02:27 Et ce qui est dangereux aussi, c'est que non seulement vous n'avez pas fait l'envie de réteigner ces gens-là,
00:02:32 de leur donner de l'espoir dans l'avenir, mais vous pouvez faire tous les contraires.
00:02:36 Vous pouvez libéraliser encore plus le marché de l'emploi pour faciliter l'accès à l'emploi pour les étrangers.
00:02:43 Nous ne pouvons pas le faire contre les étrangers, mais il y a un danger.
00:02:47 Parce que vous pouvez exposer vos jeunes à un salaire qui baisse,
00:02:51 et finalement vous pouvez donner cette opportunité d'emploi-là à vos étrangers.
00:02:56 Il y a toute une série de mesures qu'il faut prendre pour faciliter l'accès à l'emploi pour les étrangers.
00:03:03 Je suis d'accord qu'il y a un secteur où nous avons la compétence.
00:03:09 Nous avons la compétence, mais quand nous avons l'expertise, peut-être.
00:03:13 Et si on ne fait pas ça, nous ne sommes pas là pour ça.
00:03:16 L'emploi du futur, c'est l'emploi qui nous a besoin.
00:03:21 Et nous ne sommes pas là pour ça.
00:03:24 Mais vous ne pouvez pas faire rien pour retenir ces gens-là.
00:03:26 Au contraire, vous pouvez libéraliser le marché de l'emploi et vous pouvez libéraliser aussi le marché des biens.
00:03:32 Vous pouvez faciliter l'acquisition des biens pour les étrangers.
00:03:36 Même en ce qui concerne la terre, le prix peut augmenter.
00:03:40 Il peut être difficile pour vous de gagner non seulement un travail, mais aussi un niveau de vie décent.
00:03:45 Vous ne pouvez pas acheter une maison ou un terrain, ce qui peut être difficile pour vous.
00:03:50 C'est une raison additionnelle qui fait que vous pouvez perdre confiance dans l'avenir.
00:03:54 Merci.
00:03:57 Je vais écouter mon collègue.
00:04:00 Je pense qu'il y a un ratage complet par rapport à l'attente profonde de nos populations et de nos pays.
00:04:12 Nous pouvons étendre un revenu modèle, c'est-à-dire que si on veut un casque pour le pays,
00:04:20 nous pouvons étendre ça, nous pouvons tirer ça, nous pouvons aller,
00:04:23 alors que nous finissons par arriver à une fin de cycle insoutenable.
00:04:27 Il n'est pas possible de continuer ce que le ministre peut faire.
00:04:32 C'est une occasion ratée parce qu'il nous donne une fin de cycle.
00:04:37 Quand on quitte cette fin de cycle sur le plan économique,
00:04:41 nous trouvons qu'il ne s'habitait pas là.
00:04:44 Il n'y a aucun dynamisme pour relancer ce nouveau cycle qui nous est là.
00:04:52 Et nous sommes là parce que sinon, nous pouvons nous trouver dans une situation
00:04:57 où nous pouvons être payés en faillite sur le plan des compétences, sur le plan des piliers de l'économie.
00:05:06 Et nous pouvons nous trouver dans une situation où nous avons une population vieillissante,
00:05:09 des jeunes qui peuvent y aller.
00:05:11 Et finalement, l'économie-là, elle est basée sur quoi?
00:05:17 Est-ce qu'il nous faut continuer à ce moment-là à faire payer par l'argent?
00:05:22 L'argent des jeunes, l'argent de la politique.
00:05:24 J'ai l'impression que le ministre Finoullé, à tout prix, et surtout le premier ministre,
00:05:30 et je pense au MSM, à tout prix, a créé un « feel good factor » pour qu'il descende de notre terrain.
00:05:36 Il dit qu'il a une courbe, il est de retour chez sa famille, il dit ceci.
00:05:40 Mais il a quelque chose pour eux. Il a quelque chose pour eux.
00:05:44 Ce n'est pas « tu n'es pas capable », c'est une affaire qui tient une coupure entre le MSM et le gouvernement et la population.
00:05:51 Toujours pas incapable.
00:05:52 Toujours pas capable.
00:05:53 D'un gage ou d'une densité malheureuse, quelques jours après le budget.
00:05:55 Exactement. C'est ben si.
00:05:56 Moi, il y a une toile de fond, pour moi, qui…
00:05:59 Je pensais que vous étiez d'accord, mon camarade Anbin,
00:06:02 il y a une toile de fond qui nous peut sortir d'une crise sanitaire et socio-économique.
00:06:08 Et là, les pays viennent nous tourner la page.
00:06:12 Mais les pays ne tournent pas la page.
00:06:14 Nous ne sommes pas encore au niveau que nous étions en 2019 concernant la situation des ménages.
00:06:19 Les pays peuvent continuer à souffrir pour un certain nombre de raisons.
00:06:23 Le pouvoir d'achat, nous ne le connaissons pas.
00:06:26 La rupee se valait à la fin du mois et nous avons eu un gros problème.
00:06:30 Parce que nous ne savions pas combien elle valait.
00:06:35 Peut-être qu'on a pensé qu'on avait un bon chiffre.
00:06:37 Donc, nous avons les peuples qui peuvent souffrir,
00:06:40 un prix de pouvoir d'achat qui est baissé,
00:06:42 une rupee qui peut dégringoler, qui peut aller.
00:06:46 Et après, on a ce problème de confiance.
00:06:49 C'est-à-dire que nous ne pouvons pas, surtout la jeune génération,
00:06:52 ne peut pas avoir confiance dans l'avenir.
00:06:55 Et dans ce secteur, quand le dépôt nous a causé, nous avons eu un chiffre.
00:07:00 Mais tout le monde qui est dans la comptabilité, dans la section finance,
00:07:05 je parle de Luxembourg, je parle de Lyon, je parle de partout, je parle du Canada.
00:07:12 Alors, ça l'y est, surtout dans ce domaine-là.
00:07:15 Maintenant, nous, dans les autres domaines, nous ne pouvons avoir aucun pilier qui nous peut créer.
00:07:19 Nous avons fait une ultiméministre qui est quelqu'un,
00:07:21 qui nous a dit que nous pouvions faire ce qu'on voulait.
00:07:24 Nous pouvions réduire son impôt.
00:07:26 Avec ce qu'on fait, nous avons un climat de peur et de répression.
00:07:30 Nous avons l'État policier.
00:07:33 Avec ça, nous avons un système d'éducation qui fait une faillite,
00:07:36 avec 12 000 enfants, un programme extérieur, pas même qu'on ait, qui souhaite l'avenir été.
00:07:40 Un système de santé qui peut poser un gros problème,
00:07:43 parce que finalement, tout le développement dans la santé peut se faire dans les cliniques privées.
00:07:49 Et avec ça, nous avons un pays qui ne joue pas au football,
00:07:55 qui n'est pas dans la même affaire,
00:07:58 que l'investissement ne peut pas faire, et nous avons les signes extérieurs de richesse,
00:08:03 parce qu'il y a une économie parallèle qui est valuée à 50 milliards d'euros.
00:08:10 La drogue partout, et toutes les institutions,
00:08:14 camarades, on vient de vous d'accord avec moi,
00:08:17 toutes les institutions, ils le ferment, ils le cadenassent,
00:08:21 mais il y a des gens qui ne peuvent pas,
00:08:23 ce qui est des exécutants équipés dans la compétence,
00:08:26 purement politique, nous avons la corruption un peu partout,
00:08:30 et puis le gaspillage de l'argent public.
00:08:32 Dans cette toile de fond là, le ministre n'a pas posé aucune solution à ça.
00:08:37 Nous voulons une réforme totale de nos pays, à tous les niveaux,
00:08:43 si nous voulons vraiment faire quelque chose pour les années qui viennent.
00:08:46 Qu'est-ce qu'ils vont faire ?
00:08:47 Ils vont faire une consommation, une partage des taxes,
00:08:50 et ils vont récupérer une grande partie de ces taxes par la TVA et les taxes,
00:08:55 et nous ne pouvons pas avoir un modèle économique qui base ces fondements là.
00:09:00 Ce n'est pas possible.
00:09:02 Donc, le Boulogne, est-ce que vous partagez l'avis de choses ?
00:09:06 Totalement.
00:09:07 Entièrement.
00:09:08 C'est un budget taillé sur mesure, en anticipation de ce que Pravi Kandzil veut dire.
00:09:21 C'est un budget électoraliste.
00:09:25 Et moi, je me demande si ce n'est pas un "penultimate budget",
00:09:29 ou bien, ils disent, le dernier budget.
00:09:33 L'étant pour dire, c'est que le Premier ministre est démestiqué.
00:09:36 Deuxième affaire.
00:09:37 Pourquoi Jean-Michel Rocard qui dit qu'un socialiste ne peut pas bâtir leurs fausses monnaies ?
00:09:47 Et qui nous va trouver aujourd'hui ?
00:09:50 Et Johanna, et moi, quand on en a deux,
00:09:54 les deux qui nous feront sortir, qui nous proposent "illusions".
00:09:59 Donc, autant ça meurt,
00:10:01 hélicoptère, permette-leur ça.
00:10:03 Qu'est-ce que l'ennemi, il n'a pas de n'importe quoi.
00:10:05 Troisième affaire.
00:10:07 La banque de Boris Invalade, ATM.
00:10:11 Vous connaissez ça, au CAV ?
00:10:13 Il faut mettre "CASA" dans le bouquin de "CASA".
00:10:16 Le tout comptable, il faut mettre "CASA",
00:10:19 mais à la fois, ils disent "oh, "reject".
00:10:22 Et nous n'avons pas de "reject".
00:10:25 Quatrième affaire.
00:10:26 Et là, nous avons une affaire qui s'appelle "contribution sociale généralisée".
00:10:30 CAC.
00:10:32 C'est une taxe, comme Johanna peut le dire, "péasugée".
00:10:40 Une taxe-là, comme Johanna peut le dire,
00:10:43 elle n'est pas pour durer.
00:10:46 Elle est une "ponzi-laïque", elle est pour éclater.
00:10:51 Donc, nous pouvons vivre dans l'illusion,
00:10:57 dans le monde fait croire,
00:11:00 nous tous contents.
00:11:01 Qui ne sera pas content ? Gagné.
00:11:03 Et moi, je vous dis, je prends parce que c'est l'eau.
00:11:05 Les deux suivent, ils vont travailler,
00:11:07 et tu peux ramasser ta casse.
00:11:11 Et là, on prend bien l'eau.
00:11:13 Vous qui trimez, vous qui travaillez, vous qui consommez.
00:11:17 Et on fait riche, v'une plus riche.
00:11:20 Et on appauvrit la classe moyenne.
00:11:22 On fait l'immense entrement, on tue l'enclume.
00:11:25 Et nous faisons l'étude.
00:11:27 De 2019 à ce jour, une famille qui a moins de 50 000 rupees,
00:11:35 elle a deux enfants, bien trois enfants,
00:11:37 on ne peut pas dire qu'ils commencent à l'université.
00:11:40 De 2019 à ce jour, ce pète de pouvoir.
00:11:44 Les voyants, 10 000 et 20 000 rupees.
00:11:47 Il y en a l'un pour payer.
00:11:49 Il y en a pour aller au marché.
00:11:52 Ceux qui ont des enfants, ils ont l'aspiration.
00:11:54 Un week-end, ils vont à Kentucky ou ils vont ailleurs.
00:11:57 Donc, la qualité de vie est baissée.
00:12:01 Et le danger de ça,
00:12:04 le danger de ça,
00:12:06 Pierre, vous êtes capable,
00:12:09 et il y a une implication sociale,
00:12:13 il y a un éclatement social aussi.
00:12:15 Parce qu'il va de même...
00:12:16 - Est-ce qu'il va acquérir de l'endettement des ménages?
00:12:18 - Il va acquérir de l'endettement des ménages énormément.
00:12:20 C'est ce qui est arrivé là.
00:12:22 Là, bien moi, je vais commencer à dire,
00:12:26 la consommation, oui,
00:12:28 mais s'il ne peut pas soutenir
00:12:31 le développement qui a de la productivité,
00:12:35 c'est pas un pilier de l'économie, pas sûr du tout.
00:12:38 Heureusement pour nous, les touristes,
00:12:40 mais il n'est pas même 85%
00:12:42 c'est qu'il y a été 20, 19.
00:12:44 Heureusement, vous pouvez dépasser un peu plus.
00:12:46 Mais quand vous avez ce qu'on appelle
00:12:49 "export of services and goods",
00:12:52 quand vous comparez avec l'importation qui peut rentrer,
00:12:55 il y a...
00:12:56 - Déficit.
00:12:57 - Déficit, et ça veut dire roupies,
00:13:00 dépêchées, ça veut dire que les roupies peuvent être petites,
00:13:04 avec un TV à l'eau là.
00:13:07 Ça peut être plus.
00:13:09 Mais là, dix personnes peuvent prendre des médicaments,
00:13:11 pas des grains, certains médicaments.
00:13:13 Beaucoup qui ne tuent rien, pas des grains.
00:13:15 Donc, dans une situation,
00:13:16 on ne peut pas dire apocalyptique, mais dangereuse.
00:13:18 Bien sûr, il y a Astaire,
00:13:20 il y a Bouvine-Laure,
00:13:21 c'est-à-dire, ou bien Pliton,
00:13:22 ça va faire une contribution sociale généralisée là.
00:13:25 Ça, vous devez faire bien attention,
00:13:27 parce que vous pouvez faire une "com allowance"
00:13:30 de contribution sociale généralisée.
00:13:31 Nous comptons qu'il peut donner aux enfants des mille roupies.
00:13:35 La famille qui gagne 50 mille roupies,
00:13:38 la personne qui tue 50 mille roupies,
00:13:39 va gagner mille roupies.
00:13:41 En bas, 25 mille roupies,
00:13:43 en bas, 2 mille roupies.
00:13:45 Et bien, on peut prendre le compte.
00:13:48 Mais rappelez-vous que vous avez une motion de "dis allowance" là.
00:13:52 Parce que quand vous avez un "national pension fund",
00:13:55 une contribution,
00:13:57 et ça, ça compte,
00:13:58 ça a une contribution sociale généralisée là,
00:14:01 vous avez un "purpose".
00:14:02 Quoiqu'il ait dépassé, ça ne va plus servir.
00:14:05 Mais ce "purpose",
00:14:07 que je te dis,
00:14:09 le 21 juillet 2023,
00:14:12 je t'ai allé partout,
00:14:14 dans le Canada partout,
00:14:17 je t'ai promis,
00:14:18 je t'ai promis ta 170 mille "dimounes",
00:14:22 qui est à 65 ans et au-delà,
00:14:25 pour donner 13 mille 5.
00:14:27 Plus "income allowance" de mille roupies,
00:14:31 et je te fais deviner, 15 mille roupies.
00:14:34 Moi je ne dis pas qu'il n'y a aucun problème,
00:14:36 je dis bon, vous avez pas besoin de travail,
00:14:37 quand vous avez une contribution sociale généralisée,
00:14:39 quand vous avez un "TVA",
00:14:41 quand vous avez une dépréciation de la roupie consommation.
00:14:47 Mais, je te dis bien,
00:14:50 oui, je ne suis pas capable de soutenir tout ça là.
00:14:54 Parce que sinon, je te vendrais un rêve,
00:14:56 c'est un "idiot".
00:14:57 Je te dis bien, oui, je suis capable de soutenir
00:14:59 ça, "Tibaba" qui a des enfants,
00:15:02 qui faisaient des mille roupies, oui.
00:15:04 La famille qui se salait en bas avec 5 mille roupies, oui.
00:15:07 Les personnes qui 50 mille roupies en bas, oui.
00:15:10 Et les 170 mille personnes âgées,
00:15:13 je suis capable de dire oui,
00:15:14 mais je ne garantis pas ces attitudes,
00:15:17 avec toute la fermeté qu'il y a,
00:15:19 qui se trouvent là, qui se cassent.
00:15:21 Et nous ne vendrons pas de rêve.
00:15:23 Alors voilà donc la situation qu'on a là,
00:15:25 nous sommes une politique de vérité,
00:15:27 et nous sommes les seuls qui le sont,
00:15:28 qui sont capables de nous expliquer.
00:15:29 Parce que, j'en ai une cause au problème,
00:15:31 l'énergie renouvelable, aujourd'hui,
00:15:32 mon camarade a si avadé, mais c'est une cause.
00:15:35 Ils promettent ce qu'ils vont faire,
00:15:37 que 60% de l'énergie,
00:15:40 pour l'énergie renouvelable,
00:15:43 à ce jour, moins que 17%.
00:15:48 Dis-moi 17.4, on va dire 17.4%.
00:15:53 Nous pouvons vivre un "borrowed time",
00:15:56 "borrowed money",
00:15:57 et nous pouvons peut-être l'avenir de ce pays.
00:16:00 Et d'abord, M. Agbuta,
00:16:02 je fais un appel à mon auditeur,
00:16:04 qui je peux suivre "how talk",
00:16:06 et nous l'accommoder,
00:16:08 la députée Joanne Avey-Angers,
00:16:11 et le leader du Rassemblement Mauritien,
00:16:14 M. Nnamdoumabouda,
00:16:16 et nous avons le chef de file du Parti travailliste,
00:16:19 le Dr. Abin Boulel, avec nous dans le studio.
00:16:22 En même temps, je suis content de faire un appel à mon auditeur,
00:16:25 qui est capable de nous appeler sur 213 77 77,
00:16:29 nous pourrons répondre à vos questions après.
00:16:31 Bon, Madame et M. je vous écoute bien.
00:16:35 Il y a un dicton qui dit que la critique est aisée,
00:16:39 mais l'art est difficile.
00:16:41 Alors là, je suis content de connaître vous,
00:16:44 pour un moment,
00:16:45 où imaginez-vous vous qui êtes à la place du ministre des Finances,
00:16:48 et qui vous proposez vous,
00:16:50 à la place du ministre des Finances.
00:16:51 Là, je me suis fait chier, finalement.
00:16:53 Là, je me suis mis à la place de ce jour-là.
00:16:55 Imaginez-vous vous à la place du ministre des Finances,
00:16:57 et dites-nous qui vous proposez vous à sa place.
00:17:00 Pour continuer sur ce sujet qui est venu de ce jour-là,
00:17:03 déjà, si je suis ministre des Finances,
00:17:05 je suis parti pour faire confiance à un ministre,
00:17:07 qu'on appelle Joe Le Jonga,
00:17:09 concernant le ministère de l'énergie.
00:17:12 Je ne sais pas comment il a réussi à emprunter ce ministre des Finances,
00:17:19 pour qu'il mette ces mesures-là dans le budget.
00:17:22 Il répète encore ces mêmes mesures,
00:17:25 sa clarinette revient avec les mêmes affaires,
00:17:27 et surtout, il est irréaliste.
00:17:31 Nous sommes 100% en faveur de l'énergie renouvelable.
00:17:35 Nous sommes un peu contents qu'il nous atteigne l'objectif
00:17:38 de 60% d'énergie renouvelable dans notre mix d'électricité.
00:17:41 Mais clairement, les résultats qu'il peut obtenir,
00:17:45 ne sont pas à la hauteur de mon engagement qu'il peut prendre,
00:17:49 et qu'il peut finir par prendre, mais qu'il peut encore prendre.
00:17:52 Parce qu'il a dit 60% en 2030,
00:17:56 et il a dit 35% en 2025.
00:18:00 Donc nous sommes en 2023 là.
00:18:03 Il a dit 35% en 2025.
00:18:07 Avant-hier, le ministre Joe Le Jonga a dit dans son discours
00:18:11 qu'il nous appartienne 37,7% en excluant la biomasse en 2035.
00:18:20 Alors qu'en réalité, nous sommes reculés.
00:18:23 Ils ont dit qu'il y en a encore 17,4%.
00:18:26 Mais qu'est-ce qu'il peut faire? Il ne peut pas dire non.
00:18:28 Il n'est pas sérieux.
00:18:30 Nous sommes reculés vraiment, parce qu'en 2013,
00:18:33 nous avions 23,4% d'énergie renouvelable dans le mix d'électricité,
00:18:37 et à ce moment-là, nous en avons 17,4%.
00:18:39 Donc nous sommes reculés.
00:18:41 Et il peut nous dire que dans deux ans, nous pourrions arriver à 37,7%.
00:18:47 Mais il ne peut pas nous dire qu'il peut gagner 20,5% supplémentaire dans deux ans.
00:18:54 Il n'a aucune transparence.
00:18:56 Pourtant, il n'est pas une affaire qui est compliquée.
00:18:59 Nous ne pouvons pas donner l'exemple.
00:19:01 Quand vous terminez un projet par nos photovoltaïques,
00:19:05 l'installation par nos photovoltaïques,
00:19:07 c'est le site CEB qui donne tout le projet qui est terminé.
00:19:13 Mais comme je l'ai dit, nous sommes restés suspendus
00:19:16 pour attendre chaque déclaration qu'il peut faire,
00:19:19 pour dire quand il arrive avec son projet.
00:19:21 Les armées ne le disent pas.
00:19:22 Donc, il nous donne une flotte totale.
00:19:24 Et nous annonçons nos affaires dans le budget,
00:19:26 qui en fait, soit le projet n'est pas terminé,
00:19:29 donc chaque année, nous reviendrons avec le même projet,
00:19:31 par exemple, en état,
00:19:33 là, il y a une fausse.
00:19:34 Donc, vous vous dites qu'il faut installer,
00:19:36 dans le roadmap, le roadmap 2030,
00:19:38 vous vous dites qu'il faut installer des mégawatts
00:19:40 dans Marine Force.
00:19:41 Nous ne pouvons même pas dire quand il arrive
00:19:43 avec son projet des mégawatts.
00:19:45 Là, vous vous dites qu'il faut mettre 30 des mégawatts.
00:19:47 Dans le budget, vous pouvez dire ça.
00:19:49 Mais dans le roadmap 2030,
00:19:51 le ministère lui-même dit que ça n'a aucun rapport.
00:19:54 Donc, qui est qui?
00:19:55 Vous êtes bien cohérents avec vous-même.
00:19:57 Après, vous vous dites qu'il faut mettre
00:20:00 une certification obligatoire,
00:20:03 pour les télévisions, tout ça.
00:20:04 C'est déjà là, depuis je ne sais pas combien d'années.
00:20:06 Vous vous dites qu'il faut des BAM
00:20:08 pour signer un contrat pour l'installation
00:20:10 de panneaux photovoltaïques,
00:20:11 pour les descentes à l'école.
00:20:12 Le contrat est fini de signer l'année dernière,
00:20:14 mais il n'est toujours pas encore installé.
00:20:16 Donc, vous êtes bien réalistes.
00:20:18 Et si nous avons envie de réaliser,
00:20:20 nous ne pourrions pas atteindre ces objectifs-là,
00:20:22 malheureusement.
00:20:23 Nous savons bien pour ça.
00:20:24 Et nous avons besoin de nouvelles LNG,
00:20:27 Liquid Natural Gas,
00:20:30 qui sont capables d'une énergie de transition.
00:20:33 Nous ne devons pas continuer comme ça,
00:20:34 mais il faut une énergie de transition.
00:20:36 Et pourtant, il y a un mot là-dedans, dans le budget.
00:20:39 Donc, vous me posez la question,
00:20:41 si je suis ministre des Finances,
00:20:43 je vais vous faire confiance.
00:20:44 C'est un mot fascinant,
00:20:45 puisque vous avez exposé beaucoup,
00:20:46 puisque vous êtes ministre des Utilités Publiques,
00:20:47 bien des énergies.
00:20:48 Là, je peux dire à vous,
00:20:49 pour l'économie même,
00:20:50 à proprement parler,
00:20:51 qui vous proposez que tu renvoies?
00:20:52 Je termine par ce mot-là,
00:20:54 parce qu'il y a un secteur important pour moi,
00:20:56 l'avenir de l'île Maurice,
00:20:58 la transformation de notre économie,
00:20:59 qui passe à travers une souveraineté énergétique.
00:21:02 Parce que quand on est capable de baisser le prix
00:21:04 du coût de l'électricité,
00:21:05 c'est là que vous êtes capable de transformer
00:21:09 le secteur industriel,
00:21:13 et qui est capable d'augmenter
00:21:14 le niveau de vie de la ville de Maurice.
00:21:16 Le coût de l'électricité est directement relié
00:21:19 au niveau de vie de la ville de Maurice.
00:21:22 Donc, pour moi, je peux mettre
00:21:23 beaucoup d'attention à ce mot-là.
00:21:24 Et déjà, je peux avoir au moins un respect
00:21:26 pour votre stratégie,
00:21:27 parce que dans le budget, à la page 233,
00:21:30 pas dans le budget, pardon,
00:21:32 dans l'estimation,
00:21:33 je peux dire que dans votre stratégie,
00:21:35 il y a des LNG,
00:21:37 mais ce n'est pas du tout comme ça,
00:21:38 dans le budget.
00:21:39 Donc, pour révéler la question,
00:21:42 excuse-moi,
00:21:43 je pensais que tout projet politique libéral,
00:21:46 d'abord, passe à travers
00:21:48 donner un travail avec un salaire décent
00:21:52 à tous les gens,
00:21:54 et pour qu'ils soient capables
00:21:55 de gagner des toilettes au-delà de leur tête,
00:21:57 pour qu'ils soient capables
00:21:58 de vivre une vie correcte.
00:22:00 Donc, je pensais que nous,
00:22:02 si on prend les mesures,
00:22:03 nous sommes une partie,
00:22:04 même si nous sommes une partie
00:22:05 social-démocrate,
00:22:06 donc nous devons prendre
00:22:07 les mesures qui sont réellement socialistes
00:22:09 et qui ne sont pas, en fait,
00:22:12 comme on peut le faire dans ce budget-là,
00:22:15 qui, en réalité,
00:22:16 à travers les différentes mesures
00:22:18 que je vous ai dit tout à l'heure,
00:22:19 à travers ce taxe qui n'est pas
00:22:21 un taxe progressif,
00:22:22 parce que c'est les plus fortunés
00:22:23 qui peuvent l'aider en réalité,
00:22:25 ou bien à travers la libéralisation
00:22:28 du marché de l'emploi,
00:22:30 ou bien à travers l'abolition
00:22:31 de la solidarité des vies,
00:22:33 c'est les plus fortunés
00:22:34 qui peuvent réellement
00:22:35 l'aider et le protéger.
00:22:37 D'ailleurs, le titre de ce discours,
00:22:38 c'est « To care and to dare »,
00:22:39 c'est aux privilégiés
00:22:42 qu'ils peuvent s'occuper.
00:22:44 Nous, nous pourrions mettre
00:22:47 un équilibre là-dedans,
00:22:48 et nous pourrions assurer
00:22:49 un niveau de vie décent
00:22:51 à tous les Mauritiens.
00:22:52 Je pense que je suis capable
00:22:54 de continuer avec des mesures
00:22:55 plus précises,
00:22:56 mais je ne vais pas abuser
00:22:57 de mon temps de parole,
00:22:58 j'ai l'impression que j'ai déjà
00:22:59 des pieds de brume
00:23:00 à me faire causer là.
00:23:01 Maintenant, on passe à la parole
00:23:02 au Dr Boulaine,
00:23:03 si il y a des choses
00:23:04 qu'il faut faire
00:23:05 pour la place du ministre
00:23:06 de l'Éducation.
00:23:07 Vous avez tout le pouvoir.
00:23:08 Bien sûr.
00:23:09 Je vous en prie.
00:23:10 Je suis confiant que ce gouvernement,
00:23:12 le peuple,
00:23:13 qui a tout le pouvoir,
00:23:16 laisse un maximum
00:23:17 à trois titres sur les capotes.
00:23:19 La transition,
00:23:21 la transformation
00:23:23 et la transmission des valeurs.
00:23:25 Et il nous faut approprier, nous,
00:23:27 d'un programme qui appartient
00:23:29 au peuple.
00:23:31 Ça, c'est clair.
00:23:33 Deuxième affaire,
00:23:35 moi, mon avis,
00:23:37 mon avis sur ce gouvernement,
00:23:39 et mon avis sur l'opposition,
00:23:43 comme l'a dit l'opposition,
00:23:45 le ministre,
00:23:46 il nous faut faire un retour
00:23:48 avec ce qu'on appelle
00:23:49 un programme basé sur le budget.
00:23:52 Ça, il est important, ça.
00:23:54 Là, on comprend comment se gêne le ministère
00:23:56 et de quelle manière on a
00:23:58 un droit de regard
00:24:01 en profondeur
00:24:03 dans chaque département.
00:24:05 Et là, on va prendre ça,
00:24:06 rappelons-le,
00:24:07 le dite et public accord du comité,
00:24:09 taille rasée.
00:24:11 Je vous en prie,
00:24:12 c'est-à-dire que c'est ça
00:24:13 qui comprend qu'il y a peu
00:24:14 de dirige depuis la Banque de Maurice
00:24:16 en termes politiques et monétaires.
00:24:18 Le ministre, il a besoin de ce rôle intérieur,
00:24:20 un rôle fiscal,
00:24:22 comment vous allez dépenser,
00:24:24 comment vous allez dépenser,
00:24:25 pour ne pas vous agacer.
00:24:27 Et après, il y a un moment pour amener,
00:24:29 l'Angleterre, il faut un
00:24:30 "inflation reduction bill".
00:24:34 On ne peut pas aller aussi loin pour dire
00:24:37 qu'il y a un débat au fiscal
00:24:39 au point de vue du Québec,
00:24:40 mais il y a deux pas différents.
00:24:42 Nous ne faisons pas ça pour une crise financière.
00:24:45 Une crise financière du nouveau siècle.
00:24:52 Nous faisons la ramasse italienne,
00:24:54 l'équipe sous-tibetane,
00:24:57 et nous faisons une ville avec des "stimulus package".
00:25:01 Nous ne faisons pas, comment dire,
00:25:03 "big man" dedans.
00:25:05 Allemandier.
00:25:06 Allemandier avec la Banque de Maurice.
00:25:09 Nous faisons plier nous
00:25:11 devant ce que les institutions
00:25:13 internationales font.
00:25:15 Aujourd'hui, ce gouvernement
00:25:18 peut faire un "notch",
00:25:20 un "tipé" là-haut,
00:25:22 ce qu'on appelle "junk".
00:25:24 Si nous continuons sur cette tracée-là,
00:25:27 nous leur apportons "junk".
00:25:30 Ça, c'est important.
00:25:32 Après, je veux dire l'IDB,
00:25:34 le "right of IDB".
00:25:36 Je ramène le ministère du plan
00:25:39 et du développement économique.
00:25:41 Là, ce qu'ils nous font,
00:25:43 concernant le niveau sectoriel,
00:25:45 nous mettons à la tête des gens
00:25:47 les plus compétents.
00:25:49 Nous redynamisons ce secteur existant,
00:25:52 secteur émergeant,
00:25:54 et n'oublions qu'il y a un État
00:25:56 insulé en voie de développement.
00:25:58 Nous avons la possibilité d'un État océan.
00:26:01 Tout d'un coup, nous faisons le président
00:26:03 du comité ACPLO.
00:26:05 Nous faisons ça dans un État océan.
00:26:08 Et nous travaillons de concert
00:26:11 avec les pays de la région.
00:26:13 Nous faisons ça avec nos camarades américains,
00:26:15 avec nos autres camarades.
00:26:17 Nous disons qu'il faut que la lutte
00:26:19 contre la peste illicite soit réglementée.
00:26:22 Nous faisons la guerre contre ça.
00:26:24 Nous faisons l'exploitation au maximum
00:26:26 de nos ressources maritimes.
00:26:28 N'oublions pas ce qui pénalise la terre aujourd'hui.
00:26:30 Vous voyez, dans la mer.
00:26:32 Tout ce que nous appelons "élément très"
00:26:34 c'est le même.
00:26:36 Dans le secteur informatique,
00:26:38 dans le secteur immatériel,
00:26:39 tout ce n'est pas le même.
00:26:40 Mais nous avons un plan,
00:26:42 ce que nous appelons "un master plan".
00:26:44 Donc il y a un plan, un schéma de directeur.
00:26:47 Et nous finissons quinquennalement aux cinq ans.
00:26:50 Alors, nous faisons des réformes
00:26:53 au niveau du ministère.
00:26:55 Comment est-ce qu'il y a une meilleure gestion
00:26:57 de mon institution?
00:26:59 Programme de base de budgeting.
00:27:00 Oui, programme de base de budgeting.
00:27:01 Et nous sommes capables de répondre à leur parlement.
00:27:04 Pas dire moi une institution
00:27:06 qui n'est pas capable d'être accountable
00:27:10 au Parlement.
00:27:11 Même le système parlementaire n'est pas assez croyé.
00:27:15 Nous faisons un avant-comité,
00:27:17 un partisan,
00:27:18 qui appelle ceux qui sont responsables
00:27:20 de la tête des institutions,
00:27:21 ils répondent.
00:27:23 Et, on ne peut pas dire qu'il y a un monde
00:27:26 où les politiques sont gouvernés à la borde.
00:27:28 Ils sont gouvernés à la borde.
00:27:30 Et c'est vrai pour eux,
00:27:31 c'est vrai pour tous ces institutions.
00:27:34 Moi, je me confie qu'il y a un plan,
00:27:37 qu'il y a des personnes qui sont capables,
00:27:40 qui amènent le pays au bon point,
00:27:45 et qui sont capables de redynamiser le secteur.
00:27:47 Mais l'autre petite chose,
00:27:48 nous sommes une population vieillissante.
00:27:51 Nous devons ouvrir nos pays,
00:27:53 identifier ce qu'on appelle le créneau,
00:27:55 ce que nous devons être les ressources compétentes,
00:27:58 et avec un système de taxation
00:28:00 qui voit si investissement.
00:28:02 Et non pas où on repousse investissement,
00:28:05 mais où nous faisons prendre toutes les précautions aussi,
00:28:10 et ne pas subir les conséquences
00:28:12 avec ce que ce gouvernement peut faire,
00:28:14 par exemple, le syndrome de l'Europe et de l'Angleterre,
00:28:19 avec ce qu'on appelle une invasion massive
00:28:22 des migrants illégaux.
00:28:25 Alors, il y a beaucoup de choses qu'il n'y a pas à faire.
00:28:28 Moi, je pense, avec raison,
00:28:30 que l'équipe n'a pas à faire rien.
00:28:32 Il y a une politique de vérité qui prévaut,
00:28:35 mais avant tout, nous approprier nous
00:28:37 d'un programme qui appartient au peuple.
00:28:41 OK ?
00:28:43 Et après, l'agriculture, mon camarade,
00:28:45 c'est-à-dire produire ce qui nous mange,
00:28:47 manger ce qui nous produit,
00:28:48 redonner à ce marché-ci,
00:28:51 ce marché multifonctionnel.
00:28:53 Il y a un "Land Suitability Index"
00:28:55 qui peut, là, rentrer la terre agricole.
00:28:59 Et moi, pour arrêter de vous parler de moi,
00:29:01 Régis peut faire un signe,
00:29:02 qu'il nous a déjà passé une pause publicitaire.
00:29:06 Et là, nous vous prépons avec M. Baudin.
00:29:08 Donc, immédiatement, et en passant,
00:29:10 les rappels de nos auditeurs qui peuvent prendre nous en route là,
00:29:13 qui nous ont donné dans les studios,
00:29:15 Mme Joanna Béranger, M. Nangouan Baudin,
00:29:18 et Dr. Ravine Boulel,
00:29:19 qui peut nous présenter le budget,
00:29:21 les autres comptes qui nous vous développeront après.
00:29:23 On fait amuseur, donc, à la page pub,
00:29:26 et ensuite, on répond.
00:29:27 Donc, il est chaud.
00:29:29 [Musique]
00:29:35 [Musique]
00:29:57 [Musique]
00:29:58 [Musique]
00:30:26 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile
00:30:30 pour des prises de sang à travers l'île
00:30:32 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:30:34 Ocoulé, Ménil et La Rosa.
00:30:37 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:30:41 avec des résultats bien détaillés et précis,
00:30:43 dans un délai raisonnable.
00:30:45 Pour tous vos renseignements,
00:30:47 appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60,
00:30:51 660 60 60.
00:30:54 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30,
00:30:57 7 jours sur 7.
00:30:59 [Musique]
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00:32:10 [Musique]
00:32:38 [Musique]
00:32:53 [Musique]
00:33:03 Nous vous retrouve sur le plateau de Hot Talk.
00:33:05 Je vous rappelle encore une fois que nous sommes sur le plateau aujourd'hui
00:33:08 avec la députée Joana Béranger du MMM.
00:33:12 Nous avons également la députée Nankuma Bouda,
00:33:16 leader du parti de l'Assemblée des Mauriciens.
00:33:20 Et ensuite nous avons le Dr Arvind Boulel,
00:33:23 le chef de file du poste de travail à l'Assemblée nationale.
00:33:27 Et en même temps, nous te racontons un rappel
00:33:29 aux équipes qui nous écoutent,
00:33:31 qui sont capables de nous répondre sur le 213 7777.
00:33:36 Et nous pouvons prendre votre question après, au cours de l'émission.
00:33:40 Et je voudrais donc te demander
00:33:43 de nous dire un coup,
00:33:45 que tu peux faire si jamais tu es le ministre des Finances.
00:33:48 Mais en même temps, je peux faire trois choses
00:33:50 qui me donnent de mauvaises nouvelles pour toi,
00:33:52 parce que, Dr Arvind Boulel,
00:33:54 tu dis que tu pourrais tenir le pouvoir,
00:33:56 ce qui veut dire que tu ne pourrais pas tenir le pouvoir toi.
00:33:58 - Non, non, non. Là, nous avons un problème.
00:34:01 - Qui sera là pour retenir le pouvoir, c'est les peuples que vous décidez.
00:34:04 - C'est ça le problème.
00:34:05 - Bon, je suis content pour le moment de dire
00:34:07 que j'ai apprécié la façon dont tu as pu faire ce débat-là,
00:34:11 parce que c'est rare pour moi qu'il y ait un plateau,
00:34:13 un an et demi, qui demande celui qui est venu.
00:34:16 Mais c'est toi, ministre des Finances, qui peux le faire.
00:34:19 Je pense que c'est une très bonne approche. Je te félicite pour ça.
00:34:21 - Merci.
00:34:22 - La première chose que je pense que tu peux faire,
00:34:25 c'est rétablir la confiance dans le pays,
00:34:29 chez les opérateurs économiques,
00:34:32 et dans les peuples, surtout Tidji Moun.
00:34:35 Un ministre des Finances, il ne faut qu'un allié sade.
00:34:37 Ça veut dire que le monde des affaires,
00:34:39 qui s'aboucle là,
00:34:41 il met en place un environnement des affaires pour l'investissement,
00:34:43 création d'emplois, pour qu'ils soient prospérés.
00:34:46 Tidji Moun dit comme ça,
00:34:48 sa ministre des Finances, là, elle comprends ce que je veux dire.
00:34:50 Elle peut vous mettre une fardeau qu'elle ne peut pas supporter.
00:34:53 La première chose que je peux faire,
00:34:56 c'est réduire le train de vie de l'État.
00:34:59 Il ne faut pas le faire.
00:35:01 Aujourd'hui, ce gouvernement-là peut fonctionner avec 20 ministres.
00:35:04 Et depuis trois mois, depuis un an et demi, nous sommes comme ça.
00:35:08 Jusqu'à la fin du monde,
00:35:10 on ne va pas croire que Ravine Diagnat
00:35:12 a le courage de faire un rémanement ministériel.
00:35:15 Donc, nous pouvons continuer avec 20 ministres.
00:35:17 Je pense qu'il faut réduire le nombre de ministres.
00:35:20 Il faut avoir des ministres,
00:35:22 mais je vous propose 18.
00:35:26 Avec un premier ministre.
00:35:28 Il y a beaucoup de ministères qui sont capables de cumuler.
00:35:32 Familles, capables de solidifier la sécurité sociale,
00:35:36 agriculture, jeunesse et sport.
00:35:38 Il ne faut pas créer un ministère.
00:35:40 Peut-être qu'il y en a en 82, si je ne me trompe pas.
00:35:42 Premièrement, il faut réduire le train de vie de l'État.
00:35:44 PPS, je ne pensais pas que ça serait possible.
00:35:47 On a créé PPS à l'époque,
00:35:49 pour réduire les comptes, la ville et la campagne.
00:35:51 Mais qui fait PPS aujourd'hui ?
00:35:53 PPS ne fait pas rien.
00:35:54 Et nous avons un PPS qui part au même terrain.
00:35:56 Qui projette les poils pilotés ?
00:35:59 Et qui drive ?
00:36:01 Vice-président ?
00:36:03 Vice-président, je vais proposer que le speaker de l'Assemblée
00:36:06 et le vice-président soient au même poste.
00:36:08 Pareil que moi dans Radiasaba de l'Inde.
00:36:15 Nous devons réduire les trains de vie de l'État.
00:36:18 Je suis entièrement d'accord avec le camarade Orvin.
00:36:21 C'est le directeur de la direction de l'audit.
00:36:24 Je pensais que le ministère de la fonction publique n'existait pas.
00:36:28 Il existe un ministère de public service, accountability and efficiency.
00:36:33 Et nous mettons l'équipe dans chaque ministère.
00:36:35 Pour que l'année prochaine, nous puissions avoir un problème
00:36:38 qui nous puisse gagner dans chaque ministère.
00:36:40 Ça veut dire ici 500 millions de gaspillage,
00:36:42 là-bas 1 milliard, 7 milliards.
00:36:44 C'est-à-dire le déficit qu'il y a, le gaspillage.
00:36:48 La lutte contre le gaspillage.
00:36:50 Nous ne sommes pas capables de dépenser les fonds publics
00:36:53 sans, de manière... dans l'impunité.
00:36:57 Nous ne sommes pas capables de dépenser les fonds publics.
00:37:02 Avec une nonchalance.
00:37:03 Oui, mais les peuples parlent de ça.
00:37:05 Les peuples, ils pensent à un État.
00:37:07 Il faut un nouvel État, je dois dire.
00:37:10 Je suis le ministre du PNAPPS,
00:37:12 nous sommes députés de Zotrol,
00:37:14 un nouveau parlement.
00:37:15 Nous ne sommes pas capables de tourner le mardi.
00:37:17 Nous avons le Prime Minister's Question Time,
00:37:19 le camarade Darwin, il y en a depuis 1987,
00:37:21 il dit maintenant,
00:37:22 mais toujours un premier ministre qui peut répondre
00:37:24 6, 7, 8, 10 questions.
00:37:26 Nous avons le Prime Minister's Question Time
00:37:28 qui nous répond 1 question.
00:37:30 Nous avons le Question Time qui nous répond 18 questions.
00:37:33 Nous devons avoir un parlement.
00:37:35 Après, en Angleterre, vous savez qu'il y en a,
00:37:37 il y en a un jour, un ministre,
00:37:38 Lili vient répondre à une question,
00:37:40 Lili vient répondre à une question sur l'auditification.
00:37:42 Alors, nous...
00:37:44 Et pour ça, nous avons besoin d'un nouveau ministre.
00:37:46 Tout ça, nous avons besoin d'un nouveau parlement,
00:37:48 nous avons besoin d'un nouveau Speaker.
00:37:49 Et puis, comme on dit,
00:37:51 le train de vie de l'État.
00:37:53 Il y a des gens qui veulent être ministres,
00:37:55 il y a des gens qui veulent avoir un système de pension.
00:37:57 Mais tout ça, nous avons besoin de réguer,
00:37:58 nous avons besoin de baisser,
00:37:59 nous devons baisser.
00:38:00 Parce qu'ils ne sont pas capables,
00:38:01 d'un côté, de dire que les peuples
00:38:02 c'est à sentir,
00:38:03 et puis, à l'autre, nous pouvons comparer,
00:38:05 les gens comprennent nous avec l'Inde,
00:38:06 comprennent nous avec l'Europe.
00:38:07 Nous n'avons pas des millions,
00:38:08 mais comme nous avons un premier ministre gagné,
00:38:10 ce système de pension,
00:38:12 du Vice-President, du Président, du Premier ministre,
00:38:16 tout ça,
00:38:17 nous avons besoin d'une affaire qui descend,
00:38:19 et qui est acceptable par le peuple.
00:38:20 Ça, pour moi, c'est fondamental.
00:38:21 Deuxième chose qu'il nous faut faire,
00:38:23 nous avons besoin de mettre de la compétence partout.
00:38:25 Quand nous mettons un bon gouverneur dans la banque de Maurice,
00:38:27 nous repoussons ça,
00:38:28 nous corrigeons beaucoup de choses.
00:38:30 Là, le problème, c'est notre ministre de l'Agriculture.
00:38:32 Aujourd'hui, nous, importation alimentaire,
00:38:36 40 milliards.
00:38:37 Si nous baissons ça par 5 pour 100 par an,
00:38:40 nous gagnons 10 milliards dans 5 ans,
00:38:43 pour nous, relancer notre secteur agricole.
00:38:46 Et Camerada, vous êtes d'accord avec moi,
00:38:48 en Europe,
00:38:49 il y a des produits, disons,
00:38:51 d'Iber qui sont faits au Danemark
00:38:52 et d'Iber qui sont faits en Bulgarie.
00:38:54 Je ne sais pas, le coût de production n'est pas pareil,
00:38:56 mais quand il y a l'étalage en France,
00:38:58 c'est comparable, qui fait ?
00:39:00 Parce qu'il y a le programme agricole commun,
00:39:02 où nous avons un prix garanti,
00:39:05 Camerada, vous êtes d'accord avec moi,
00:39:07 où nous avons un prix garanti
00:39:09 pour les producteurs agricoles,
00:39:11 pour qu'ils se connaissent,
00:39:13 je ne compte pas le fait que,
00:39:15 quand je vais sortir,
00:39:16 il y a la Cessre, il y a l'autre partie,
00:39:18 pour qu'ils me fassent un jacpot.
00:39:20 L'agriculture, ce n'est pas un jacpot.
00:39:22 Alors, nous sommes capables de réduire
00:39:24 nos budgets alimentaires.
00:39:27 Ça, nous pouvons le faire.
00:39:28 Après, nous relancerons l'économie,
00:39:30 nous ne pouvons pas avoir une économie
00:39:32 qui base uniquement sur les taxes,
00:39:33 sur la consommation,
00:39:34 sur la productivité, sur la production.
00:39:36 Ça, c'est l'agenda africain.
00:39:39 Nous, tous les pays,
00:39:41 comme à Maurice,
00:39:42 comme à Hong Kong,
00:39:44 quand on a un comptoir,
00:39:46 ou quand on a un autre pays,
00:39:47 un grand marché,
00:39:48 parce que le marché, c'est tellement petit,
00:39:50 mais le grand marché, c'est l'Afrique.
00:39:52 Nous devons donner, je pense,
00:39:54 une ligne de crédit aux pays africains,
00:39:57 pour qu'ils puissent acheter des produits mauriciens.
00:39:59 Là, nous relancerons nos SMEs,
00:40:01 nous relancerons tout notre secteur.
00:40:03 Et une chose extrêmement importante,
00:40:05 c'est qu'il faut amener cette confiance-là,
00:40:07 et qu'il faut que ça risque.
00:40:10 Parce que nous avons une cause,
00:40:12 l'ICT dans ce budget-là,
00:40:13 les DLALIN, FinTech,
00:40:16 toutes ces choses qui, aujourd'hui, sont en hausse.
00:40:20 Tout, on peut dire comme ça,
00:40:21 qu'il y a de bons emplois dans ce secteur-là.
00:40:23 On ne sait même pas qui prend les bonnes décisions.
00:40:26 Donc là, pour les infections, un nouveau viseur.
00:40:29 Oui, exactement, un headset.
00:40:30 Alors, moi, je pense que, premièrement,
00:40:32 il faut donner l'exemple au niveau de l'État.
00:40:34 Deuxièmement, il faut attaquer le problème du pouvoir d'achat.
00:40:37 Et ça, c'est la rupee, c'est l'importation.
00:40:39 Troisièmement, il faut relancer la production
00:40:42 dans notre secteur,
00:40:43 parce qu'il faut l'agriculture, l'économie bleue.
00:40:45 L'économie bleue, c'est très simple.
00:40:48 En 2100, Aldo Nlen,
00:40:51 tout son développement informatique extraordinaire,
00:40:54 il a dit à un Premier ministre, Vajpayé,
00:40:56 "Je suis content de faire quelque chose à Maurice."
00:40:58 Vajpayé a dit comme ça,
00:40:59 "OK, je te donne un million de rupees,
00:41:01 plus les techniciens.
00:41:02 Nous viendrons à Ébène quand il y aura 50 euros pour Cannes,
00:41:05 et nous lancerons ça, aujourd'hui, il y en a 30 000.
00:41:07 Nous gagnons."
00:41:08 C'est-à-dire que nous restons toujours
00:41:09 aux premières étapes de notre secteur IT.
00:41:11 Mais pour l'économie bleue,
00:41:13 mon camarade Orvin, est-il d'accord avec moi ?
00:41:15 Il faut faire ça même.
00:41:16 Il faut avoir un partenariat stratégique
00:41:18 avec un pays qui finit réussir sur l'économie bleue.
00:41:21 Il ne peut pas aller au Japon,
00:41:22 il ne peut pas aller à la Corée du Sud,
00:41:24 il ne peut pas aller en Inde.
00:41:25 Ce pays-là amène les investissements,
00:41:27 le know-how, pour qu'on puisse lancer ça.
00:41:30 Par exemple, nous consommons encore
00:41:32 30 à 40 kilos de poulet par capita,
00:41:35 mais poisson, c'est vraiment bien, tu sais.
00:41:37 Et alors, il faut une vraie consommation.
00:41:41 Une consommation qui est produite localement,
00:41:45 nous réduire nos importations,
00:41:47 et puis nous stabiliser nos rupees.
00:41:50 C'est extrêmement important.
00:41:51 On a un chiffre,
00:41:52 au Zaudi, le dollar est de 46 rupees.
00:41:54 En 2021, il est de 39 rupees.
00:41:58 Et tout nous percetait.
00:42:01 Alors, tout ce chiffre qu'ils nous donnaient là,
00:42:03 tout ce chiffre-là,
00:42:04 si on divise en dollars,
00:42:06 nous ne le réduirons pas à tout.
00:42:08 Le tourisme, il faut que le tourisme
00:42:10 aille dans le business asusual.
00:42:12 Au Zaudi, tout ça,
00:42:13 il faut que ça produise.
00:42:16 Il faut un nouveau produit complètement.
00:42:18 Il faut qu'il y ait du monde dans la Corée du Sud,
00:42:20 il faut qu'il y ait du monde dans le nouveau marché.
00:42:22 L'Allemagne a 70 millions de voyageurs.
00:42:25 Ayant Mauritius, moi-même, je vais là-bas.
00:42:27 Alors, tout ça,
00:42:29 il faut qu'il y ait toute une institution
00:42:31 qui, au Zaudi,
00:42:32 mette du monde incompétent politiquement
00:42:35 dans l'époque, dans l'aéroport,
00:42:36 dans Ayant Mauritius, dans Atoll,
00:42:38 dans Mauritius Duty Free Paradise.
00:42:40 Il faut qu'il y ait du monde qui soit capable de le faire.
00:42:43 Mais pour faire ça, il faut qu'il y ait un an.
00:42:45 La consacrée mondiale qui montre le symbole
00:42:48 des dépenses de l'État.
00:42:50 Montrer que nous, en tant que ministre,
00:42:52 en tant que premier ministre,
00:42:54 en tant que speaker,
00:42:56 nous pouvons montrer à la nation
00:42:58 qu'on veut un nouveau pays,
00:43:00 un nouvel État.
00:43:02 Il faut une constitution.
00:43:04 Il faut une réforme.
00:43:05 Et puis, sur le plan politique,
00:43:07 la façon dont on fait l'élection.
00:43:08 Pensez-moi, les pouvoirs de l'Élection.
00:43:11 Tout ça, il faut que ça soit régulé.
00:43:14 Aujourd'hui, l'État pédimente un nouveau pays.
00:43:17 Et nous, nous...
00:43:18 - On peut arrêter tout ça, parce que...
00:43:20 - On peut arrêter ça, en disant que pour Camerada,
00:43:23 pour moi, c'est notre dernière bataille.
00:43:26 Pour Johanna, c'est le début.
00:43:28 Et pour Johanna, et pour sa nouvelle génération,
00:43:31 c'est notre devoir, avec moi,
00:43:33 de retracer l'architecture constitutionnelle
00:43:36 qui est basée sur l'intégrité et sur la compétence,
00:43:38 sur la méritocratie.
00:43:40 Et là, nous pouvons dire comme ça
00:43:42 que nous, nous, mission interminée.
00:43:44 - Justement, vous pouvez dire...
00:43:45 - Et dans sa bidelle, là, moi, un petit peu souhaité,
00:43:47 mais ça commence, le ministre, là.
00:43:50 Il est complètement à côté de la plaque.
00:43:52 Tout ça, il n'a pas intérêt.
00:43:53 Il peut faire des trois questions pour dire...
00:43:56 "On tape la table, on tape la table."
00:43:58 Combien de fois on tape la table?
00:43:59 25 ans, là-bas.
00:44:01 On tape la table, mais les faits ne durent pas.
00:44:03 Il y a une attente énorme.
00:44:06 Là, comme ça, nous, on ne peut pas aller.
00:44:08 Là, comme ça, nous, on ne peut plus courir dans la politique.
00:44:10 - M. Boulard, il y a un changement en profondeur
00:44:12 que vous pouvez demander, que vous souhaitez qu'il y ait là.
00:44:15 Est-ce que vous n'avez pas pensé que tout ça,
00:44:16 en fait, dans le cadre d'une deuxième république,
00:44:18 une nouvelle république, même les visages,
00:44:20 ils demandent justement ce qui est un changement,
00:44:21 un changement en profondeur.
00:44:22 - Moi, pas pour l'ongle, là, parce que je suis un peu content
00:44:24 qu'il y ait un problème comme ça.
00:44:26 Le changement de philosophie économique,
00:44:30 il n'est pas du même manière un changement constitutionnel, ça.
00:44:32 - Mais...
00:44:34 Vous pouvez dire beaucoup de choses, mais les autres affaires...
00:44:36 - Mais les autres affaires, effectivement,
00:44:38 nous voulons une nouvelle constitution.
00:44:40 Ou après, la deuxième république...
00:44:42 Nous, 50 ans après l'indépendance,
00:44:44 les Pères ont fait remarquablement bien.
00:44:46 Maintenant, ils ont pensé en 1967, 65, 67,
00:44:50 c'est extraordinaire, sa vision qu'ils ont faite,
00:44:52 et M. Maurice Côtelier était...
00:44:54 Et nous avons un modèle de vivre ensemble,
00:44:56 de démocratie, de méritocratie.
00:44:59 Ce pays-là, il a besoin de dire le D,
00:45:02 D qui est quelque chose.
00:45:03 Méritocratie et portage.
00:45:05 Il faut porter.
00:45:06 Il faut porter.
00:45:07 Et non pas politiser tout.
00:45:09 Là, c'est une politisation à outrance de tout.
00:45:12 La cuisine n'est pas tout.
00:45:14 Et le ministre des Finances, qu'il vient faire là,
00:45:16 je pense qu'il a fait une target.
00:45:18 Ils ont ciblé un certain nombre de groupes de monde,
00:45:21 un certain nombre de classes,
00:45:23 un certain nombre de groupes d'âge.
00:45:25 - Mais il est évident, non ?
00:45:26 - Il est là où on appelle ça électoraliste.
00:45:28 Mon camarade peut dire qu'on va rester dernier,
00:45:30 avant, on ne va pas connaître.
00:45:31 Mais c'est un budget purement de calcul,
00:45:35 cyniquement politique.
00:45:37 Cyniquement politique.
00:45:39 Le pays n'a aucune vision, le pays n'a aucune philosophie.
00:45:41 - Mais est-ce qu'il y a encore plein de gouvernement qui sait faire ça ?
00:45:43 Parce qu'il y a pas...
00:45:44 - Un gouvernement, un premier ministre n'est pas élu pour faire ça.
00:45:49 Il est beaucoup plus noble que ça.
00:45:52 Nous passons à la tête de l'État.
00:45:55 C'est quelque chose d'extraordinaire.
00:45:57 Je vais vous donner un exemple.
00:45:59 L'État a une permanence.
00:46:04 On a commencé en 2003, le négociation d'Issiq.
00:46:08 Très brièvement.
00:46:10 En 2005, mon camarade Harvey, ministre de l'Agriculture,
00:46:14 il a continué, et dans l'Europe, il nous a donné 16 milliards de roublies.
00:46:17 Il a servi ces 16 milliards de roublies-là.
00:46:19 C'est ça, il y a la permanence de l'État.
00:46:21 Mais il y a aussi la permanence de la responsabilité.
00:46:24 Quand on est à la tête d'un pays, ou d'un ministre des Finances,
00:46:27 on peut...
00:46:28 Je ne parle pas de l'Italie, mais je termine très brièvement là.
00:46:31 On peut donner 20 000 roublies pour une jeunesse.
00:46:33 15 000 jeunesses, 20 000 roublies, il fait 300 millions.
00:46:36 Mais si tu pouvais dire qu'on a 300 000 roublies pour sa 15 000 jeunesse,
00:46:39 qui m'a même pas servi ça ?
00:46:41 Pour relancer la vie, pour qu'ils croient dans un autre pays,
00:46:44 pour la formation, l'éducation, le loisir.
00:46:46 Mais nous avons fait une chose extraordinaire.
00:46:48 Et non pas maintenant, on rentre dans la case là,
00:46:50 où les enfants peuvent gagner 17 ans,
00:46:52 mais 18 ans, ils peuvent gagner sur 20 000.
00:46:54 Mais ce n'est pas ça.
00:46:55 C'est une question de responsabilité, de noblesse.
00:46:58 Quand on peut rouler un pays,
00:47:00 on peut pas, à la face de l'État, cyniquement faire politique.
00:47:03 Voilà, c'est votre...
00:47:04 Et de vision.
00:47:05 Bon, alors, là, censément, on a vu au plateau
00:47:08 deux anciens ministres de l'Agriculture,
00:47:10 également deux anciens ministres des Affaires étrangères.
00:47:12 Donc, vous avez une question pour finir tout à l'heure.
00:47:14 Donc, pour bien causer un réseau de trois,
00:47:16 maintenant, j'ai une question qui me mène à vous autres.
00:47:18 Entre-temps, moi, tu peux demander, Johanna,
00:47:20 où finit, au très, à cheval,
00:47:22 un des moindres délais, c'est l'environnement, c'est l'écologie.
00:47:25 Et comment on va accueillir sa décision
00:47:27 pour raser le bâtiment Emmanuel-Landis
00:47:30 pour mettre un forêt là-bas, un mini-forêt?
00:47:33 Comment on... Comment ça vous?
00:47:34 - Comment on va finir? Il y a une vraie gague.
00:47:37 Il est totalement risible
00:47:39 parce que, non seulement, il y a une étude
00:47:41 qui... Le gouvernement lui-même,
00:47:43 il commanditait l'eau, sa bâtiment là,
00:47:45 qui a beaucoup de problèmes,
00:47:47 mais ce démolition, pas de recommandation.
00:47:49 C'est ce rénovation qui est recommandé.
00:47:51 D'ailleurs, il y a de l'ambiance là-dedans,
00:47:53 donc il y a des affaires qui sont dangereuses.
00:47:55 Donc, quand on peut démolir ça,
00:47:57 il y a la poussière qui peut l'élever
00:47:59 et tout le monde autour pour concerner la santé,
00:48:02 pour s'affecter avec ça.
00:48:03 Donc, ils viennent faire une annonce comme ça,
00:48:05 comment dire, pour faire un grand effet.
00:48:09 - Mais après, eux, ce démolition,
00:48:10 ils peuvent représenter un health hazard.
00:48:12 - Ils peuvent être un health hazard.
00:48:13 Ils ont une coûte extraordinaire.
00:48:15 Et ça, ils ne peuvent pas dire non.
00:48:16 Ils ne peuvent pas compter ça là-dedans.
00:48:17 Combien ça peut coûter?
00:48:18 Comment ils poussent vers ça?
00:48:19 Est-ce qu'ils peuvent décontaminer le bâtiment là
00:48:22 avant de faire ce démolition?
00:48:23 Parce que ça coûte bien cher.
00:48:25 Une fois qu'ils l'ont démoli,
00:48:26 qu'ils ont pu faire avec ce débris de démolition là,
00:48:29 et quand ils ont pu mettre ce bâtiment là-bas,
00:48:31 parce que clairement, ce gouvernement-là,
00:48:33 toutes les affaires qu'ils ont fait,
00:48:35 ils ont un intérêt caché derrière leur tête.
00:48:38 Donc, quand est-ce qu'ils ont eu envie
00:48:40 de relocaliser ce bâtiment là-dedans?
00:48:42 Ça, on le sait bien.
00:48:43 Et ce qui fait qu'il est risible aussi,
00:48:45 parce qu'encore une fois,
00:48:46 il y a un symbole de l'incohérence
00:48:49 et de l'incompétence de ce gouvernement-là.
00:48:52 D'un côté, je devine,
00:48:53 nous pouvons planter un des pieds là,
00:48:56 nous pouvons faire une petite forêt endémique,
00:48:58 aller, dépouiller un maximum d'un demi-héritage.
00:49:01 De l'autre côté, vous avez envie de raser,
00:49:03 vous avez envie de déboiser 650 héritages
00:49:06 dans Roche-Noire, dans Salon-Droit,
00:49:08 quand vous avez fait ça, ce mortier-là.
00:49:10 Et Salon-Droit, quand vous avez fait ça, ce mortier-là...
00:49:12 Plus près de nous, on trouve les députés au sein de moi,
00:49:14 mais ils nous font ressortir,
00:49:15 ils nous changent les masques,
00:49:16 ils nous prennent dans l'espace vert là-bas,
00:49:17 pour mettre le casino,
00:49:18 et après, on peut mettre dans l'écurie, ce va-là.
00:49:20 Oui, mais ce qui est encore plus grave,
00:49:22 c'est que Salon-Droit, dans Roche-Noire,
00:49:24 c'est une zone environnementale sensible,
00:49:27 donc il y a une biodiversité qui est extrêmement riche là-dedans.
00:49:30 Et le ministère de l'Agro-Industrie
00:49:34 a fait une stratégie, 2017-2026,
00:49:37 donc les supposés finissent d'être implémentés avant 2026.
00:49:41 Quand on dit qu'il y a une zone,
00:49:43 quand on peut en faire un mortier-là,
00:49:45 c'est une zone qui, quand il y a une biodiversité,
00:49:48 qui est bien protégée.
00:49:49 Et ils ont fait une stratégie pour expander,
00:49:52 pour étendre une zone qui est bien protégée.
00:49:55 Donc, dans ce mortier-là, ils ont dit,
00:49:57 ben, ça, porc, bradelat, tout ça,
00:49:59 ils vont étendre ça pour protéger
00:50:01 sa wetland, sa biodiversité,
00:50:03 quand ils ont perdu le fer, ils ont dit ce mortier-là.
00:50:06 Donc, ils ont dit,
00:50:07 ils ont dit à l'Inspecteur des Bordes Économiques,
00:50:11 ils ont dit, ah, à quel point,
00:50:12 ils ont dit aux Bordes Économiques,
00:50:13 ils ne veulent pas un gouvernement parallèle.
00:50:15 Ils ont piété une stratégie qu'ils ont fait
00:50:19 pour le ministère de l'Agro-Industrie
00:50:21 et une stratégie aussi qu'ils ont fait
00:50:23 pour le ministère de l'Environnement.
00:50:24 Le ministère de l'Environnement,
00:50:25 il a fait un masterplan 2020-2030.
00:50:27 Quand on dit, dans un endroit où il y a une wetland,
00:50:30 où il y a un ISC,
00:50:31 ils ont fait un SIE,
00:50:33 un Strategic Environment Assessment.
00:50:36 Et ça, c'est différent d'un IIE,
00:50:38 qui fait, parce qu'un Strategic Environment Assessment,
00:50:41 il prend en considération tous les autres développements
00:50:43 qu'il y a dans l'endroit, qui déjà il y en a.
00:50:46 Et dans cet endroit-là, par exemple,
00:50:47 on connaît qu'il y a une ANAÏTA,
00:50:48 il y a un jury pas loin.
00:50:50 Donc, il n'y a pas suffisamment, par exemple,
00:50:52 quantité de démunis qui sont employés.
00:50:56 L'ANAÏTA même, ça peut être une difficulté
00:50:58 pour l'embauchement des démunis, tout ça.
00:50:59 Et ce SIE-là, il prend en considération,
00:51:02 il y a une étude qui prend en considération,
00:51:03 pression qu'il y ait un nouveau développement,
00:51:05 ils peuvent mettre l'eau dans l'environnement.
00:51:08 Et ça, ça n'a rien à faire avec ça.
00:51:10 Ça peut piétiner une stratégie du ministère de l'Agriculture et de l'Environnement.
00:51:15 - Il y a-t-il un manque de coordination
00:51:17 à tous les ministères et toutes les associations?
00:51:19 - Et moi, je voudrais dire, oui, ça a l'air.
00:51:20 Il y a un interministériel,
00:51:22 le Council on Climate Change,
00:51:24 donc un council qui s'oppose
00:51:26 au groupe de banques de représentants
00:51:27 de tous les ministères,
00:51:29 qui finit par mettre en place le Climate Change Act depuis 2020
00:51:33 et qui s'oppose justement à assurer
00:51:35 une coordination entre les ministères,
00:51:36 pour que chaque ministère ne travaille pas en silos.
00:51:39 Une seule fois, une seule fois.
00:51:41 Donc, normal,
00:51:43 certains peuvent faire ce qu'ils veulent,
00:51:44 certains peuvent aller dans une autre direction,
00:51:47 et il n'y a aucune coordination, comme on peut dire.
00:51:49 - Et monsieur et madame,
00:51:51 nous sommes presque arrivés à deux tiers de notre émission
00:51:54 et il y a beaucoup de questions,
00:51:55 donc je vais vous demander,
00:51:57 et si vous avez des questions,
00:51:58 c'est tant qu'il est possible,
00:52:00 que vous nous donniez une réponse,
00:52:01 pour que nous puissions prendre plus de questions
00:52:03 et pour que vous nous disez aussi
00:52:05 ce qui est bénéfique justement à d'autres choses.
00:52:07 - Je vais tout de suite me finir par dire
00:52:09 que je me sens et que je ne vais pas laisser passer.
00:52:11 Il y a deux anciens ministres de l'Agriculture
00:52:13 et deux anciens ministres des Affaires étrangères ici présents.
00:52:15 Donc, je suis content de m'aider à tous les rôles,
00:52:19 et c'est limite un peu justement la longueur de votre réponse.
00:52:22 C'est, qu'est-ce que vous pensez,
00:52:25 est-ce que ça peut faire suffisamment
00:52:28 pour la sécurité alimentaire?
00:52:30 Est-ce que vous êtes satisfait
00:52:32 avec la part de choses qui donnent la importance
00:52:35 à la cause au secteur de l'agriculture?
00:52:37 Donc, je tourne à tous les rôles,
00:52:39 si je ne peux pas justement exprimer d'autres choses.
00:52:41 - Je vais prendre en deux une réponse,
00:52:43 une de la réponse qu'ils faisaient,
00:52:45 et je vais donner une complémentaire
00:52:47 avec ce que je m'en suis fini.
00:52:49 Ils nous faisaient une politique cohérente
00:52:54 de la production agricole.
00:52:57 Je vais vous parler,
00:53:01 il y a une perception de réalité
00:53:03 qui l'a pris beaucoup l'ordre
00:53:07 pour faire le spéculation foncière.
00:53:09 Première chose,
00:53:11 on est là quand on fait définir politique,
00:53:14 on a beaucoup institution,
00:53:16 mais tout est out comme laisse à l'isole.
00:53:19 L'État nous permet ça,
00:53:23 OK, la terre disponible
00:53:27 pour qu'il y ait la police agricole,
00:53:30 il est très limité,
00:53:33 même la forêt.
00:53:35 Je vais diminuer.
00:53:37 Voilà, parce que la biodiversité,
00:53:40 vous connaissez par exemple,
00:53:42 il y a la Wetland,
00:53:44 sous la convention de Ramsar,
00:53:46 on va la reconstruire.
00:53:48 Alors, la première chose,
00:53:50 est-ce qu'il y a un Land Suitability Index?
00:53:53 Deuxièmement, quand on nous dit
00:53:57 produire ce qui nous mange,
00:53:59 nous devons définir notre politique.
00:54:01 Vous savez, aujourd'hui,
00:54:03 nous parlons de l'intelligence artificielle.
00:54:05 Tant qu'il y a un danger,
00:54:07 autant il y en a son mérite.
00:54:09 Nous avons servi ce que l'on appelle,
00:54:11 longtemps, ce qu'on appelle
00:54:13 le « Technology Diffusion Scheme ».
00:54:15 Aujourd'hui, nous arrivons au stage
00:54:17 de l'intelligence artificielle.
00:54:20 Et nous devons avoir une agriculture propre,
00:54:23 ou alors ce que l'on appelle
00:54:25 l'agriculture « shade house ».
00:54:28 Et l'agriculture,
00:54:30 vous savez, dans le Danemark,
00:54:32 où je ne sais pas comment on se plante le titre,
00:54:35 sous « shade house »,
00:54:38 on connaît qu'il y a tout un intranservi
00:54:43 ajusté et aux quantités voulues.
00:54:46 Et le nom « sanitaire »
00:54:49 finit avec le mot « sanitaire », respect.
00:54:52 Alors, ça, quand nous finissons de définir,
00:54:55 nous devons être capables d'avoir une synergie
00:54:58 avec notre pays qui va être succès.
00:55:01 Par exemple, longtemps, nous avons exploité
00:55:04 l'artificiel, l'agriculture.
00:55:07 Aujourd'hui, non.
00:55:09 Avant, nous avions beaucoup de valeurs,
00:55:13 ce que l'on appelle les « pineapples ».
00:55:18 Comment on appelle ça?
00:55:19 Non, non, non, ce n'est pas ça.
00:55:21 Ils donnaient une valeur,
00:55:23 c'est-à-dire ce type de « pineapple ».
00:55:25 Victoria.
00:55:26 Victoria, ou Pagel, ils parlent de tout ça.
00:55:29 Alors, ce que nous devons faire,
00:55:31 nous ne devons pas faire mille choses,
00:55:33 mais là que nous avons l'avantage comparatif
00:55:36 et compétitif, nous devons nous déduire
00:55:39 avec des valeurs ajoutées.
00:55:41 Alors, donc, une agriculture propre,
00:55:44 une agriculture qui a beaucoup de,
00:55:48 avec de vraies technologies,
00:55:49 de « shade house »,
00:55:51 une meilleure « suitability index »,
00:55:53 nous révalorise toutes les institutions
00:55:56 et nous fait, on va dire,
00:55:58 content l'agriculture.
00:56:00 OK? C'est ça.
00:56:03 Alors, rapidement, avant de nous enlever
00:56:05 ce public, donc, moi, je vous dirais,
00:56:07 je demande à M. Boudin,
00:56:08 est-ce que vous pensez que l'agriculture,
00:56:10 sous ce gouvernement-là,
00:56:11 il y a un secteur abandon,
00:56:13 je me demande, est-ce qu'il corrige ça,
00:56:16 qu'il y ait un ministre à temps passé
00:56:18 de l'agriculture, qui également,
00:56:19 à ton avis général, qui se trouve beaucoup
00:56:21 sur des tempéres dans, au niveau à ton avis général.
00:56:23 Donc, est-ce que vous pensez
00:56:24 que le gouvernement-là,
00:56:25 il valorise le secteur...
00:56:27 Premièrement, je ne crois pas que ce gouvernement-là
00:56:29 ait la foi, ait une confiance dans l'agriculture.
00:56:32 Je ne crois pas ça.
00:56:33 Je pense que ce qui est extrêmement intéressant,
00:56:36 c'est qu'il y a une cause,
00:56:38 beaucoup qui sont les mêmes causes,
00:56:39 parce que nous, nous comprenons problèmatiquement.
00:56:40 Il y a une « sugar map » de Maurice.
00:56:42 Pour dire comme ça, nous faisons,
00:56:43 c'est pas 300 000 tonnes ou 350 000 tonnes d'ici,
00:56:45 il y a donc 3,5 millions de tonnes de cannes,
00:56:48 nous faisons tant en Europe.
00:56:49 Et ça, nous faisons finir,
00:56:50 et cela, nous ne pouvons pas bouser l'eau.
00:56:52 Deuxièmement, quand nous faisons,
00:56:54 nous faisons une infrastructure,
00:56:56 nous faisons la terre avec nos grandes propriétés,
00:56:59 nous donnons en retour,
00:57:00 nous donnons « conversion rights ».
00:57:02 Nous faisons des choses comme ça,
00:57:04 nous mettons à la disposition de l'agriculture,
00:57:08 de la production agricole,
00:57:09 quand nous donnons « conversion rights »,
00:57:11 nous mettons à la disposition du secteur agricole,
00:57:14 c'est-à-dire à la production agricole,
00:57:16 un certain nombre d'emplois.
00:57:17 Un certain nombre d'emplois,
00:57:18 ça veut dire qu'il y a une obligation
00:57:20 qui, ça a une grande propriété là,
00:57:23 je veux dire,
00:57:24 et non, une production agricole.
00:57:27 C'est un deal comme ça que tu fais,
00:57:28 M. Dr. Boulet,
00:57:29 2 000 emplois que tu fais sous le gouvernement.
00:57:32 Non, mais là, nous avons 2 000 emplois
00:57:34 avec l'endroit où on peut dormir,
00:57:36 mais ça, c'est une politique,
00:57:37 plus ou moins politique.
00:57:38 Nous voulons un prix garanti
00:57:40 de certains nombres de choses
00:57:41 qu'il nous faut pour planter la licencie
00:57:44 qui est possible.
00:57:45 Au lieu de subsidiser certaines choses,
00:57:47 ça même, nous sommes capables de faire
00:57:48 avec un scrap, un marketing, tout ça.
00:57:51 L'autre chose, nous avons l'eau aquaponique.
00:57:53 Nous avons l'eau potagée à la maison.
00:57:56 Nous avons l'eau self-sufficient.
00:57:58 Ça veut dire qu'il nous faut
00:57:59 une bienne self-sufficience chez nous-mêmes déjà.
00:58:01 Faire une petite chose
00:58:02 qui nous permet de faire une petite élevage,
00:58:04 une petite plantation,
00:58:05 et qui nous fait un bon incentive pour ça.
00:58:07 Et, je suis entièrement d'accord encore avec Robin,
00:58:10 nous sommes en affaires de niches.
00:58:12 Vous connaissez nos litiges,
00:58:13 c'est le premier litige qui arrive en Europe.
00:58:16 Et quand il arrive en Europe,
00:58:17 ce prix 10 fois ce qu'il peut être
00:58:20 dans 3-4 semaines, parce qu'il est là,
00:58:22 tous les litiges Madagascar peuvent rentrer en Europe.
00:58:24 Nous avons besoin de rentrer dans la niche.
00:58:26 Nous faisons la niche.
00:58:27 Et nous avons besoin de gagner
00:58:28 une nouvelle génération de jeunes
00:58:31 qui comptent l'agriculture,
00:58:32 qui font le smart agriculture,
00:58:34 qui font l'agriculture, le computer, l'AI.
00:58:37 Et en même temps, nous avons besoin
00:58:38 de faire l'agriculture propre,
00:58:43 c'est-à-dire passer la vie aux pesticides,
00:58:46 parce qu'il y a un gros problème,
00:58:48 parce qu'il y a un autre effet sur l'environnement,
00:58:50 et il y a un autre effet sur la santé.
00:58:52 Tout ça, on ne prend pas ça pour mettre dans le soin,
00:58:55 mais plutôt on prend ça en amont
00:58:57 pour que les gens ne deviennent malades.
00:58:59 Donc, il y a une façon de reguerrer,
00:59:01 de modéler l'agriculture.
00:59:02 Là où il y a le ministre,
00:59:03 bon, moi je ne connais pas le ministre,
00:59:05 il comprend qu'il y a besoin d'agriculture,
00:59:07 peut-être qu'il comprend la chasse, oui.
00:59:09 Il y a une modèle qui est bien réalisée,
00:59:10 mais il y a une mentalité aussi qui nous a fait
00:59:12 une sensibilisation auprès de nos planteurs,
00:59:15 parce que depuis tout le temps,
00:59:16 on appelle les pesticides "mesquines",
00:59:19 alors que les mesquines sont censées soigner les corps,
00:59:21 mais en réalité, les pesticides sont des poisons
00:59:23 pour nos corps.
00:59:24 Donc, il y a une sensibilisation qui nous a fait là.
00:59:26 Et si je pouvais ajouter un point,
00:59:28 je me pose beaucoup de questions
00:59:29 sur les pesticides dans le pavlement.
00:59:31 Chaque fois que le ministre les surveille,
00:59:32 il ne me donne pas une réponse.
00:59:34 C'est une réponse que j'ai réussi à gagner
00:59:35 depuis 2018, depuis qu'il a gagné la loi
00:59:39 sur la régulation des pesticides.
00:59:41 Il nous a fait 10 811 essentiels,
00:59:45 c'est-à-dire, test légumes, fruits, tout ça là,
00:59:48 10 811 samples depuis 2018.
00:59:52 Donc, imaginez-vous, on a assez de contrôle
00:59:54 sur la quantité de pesticides.
00:59:55 On compte ça parce qu'il y a des causes
00:59:56 d'usage abusif des pesticides,
00:59:57 ça, c'est une des grandes causes du cancer.
00:59:59 Mais nous, le premier, dans le dernier rapport
01:00:02 qui est l'année dernière, je crois,
01:00:04 le premier plus gros utilisateur de pesticides
01:00:07 par mètre carré dans le monde.
01:00:09 Donc, il y a un vrai problème.
01:00:11 Et beaucoup de cancers que les femmes ont gagnés
01:00:13 sont déclenchés avec les pesticides.
01:00:16 Beaucoup d'études ont été faites sur ça.
01:00:18 Donc, comment on peut dire,
01:00:19 en plus de créer des cancer hospitals partout,
01:00:23 on peut régler ce problème-là à la source.
01:00:25 Alors, Monsieur, comment on peut dire?
01:00:27 Je trouve ça bizarre, vraiment,
01:00:28 qu'on ne peut plus répondre à toutes ces questions.
01:00:31 Donc, il y a une des trois questions
01:00:32 encore qui me restent.
01:00:34 Et je me rappelle d'un usateur
01:00:36 qui est ici avec nous,
01:00:38 dans le studio, le docteur Robin Brullel,
01:00:40 chef des filles du poste en Vaïsse,
01:00:42 Monsieur Nand Bouda, Nandoukouma Bouda,
01:00:44 et le leader du parti Rassemblement Ruissin.
01:00:47 Et ensuite, nous avons la députée
01:00:49 Joana Béranger du MMM.
01:00:52 A tout à l'heure.
01:00:54 [Musique]
01:01:00 [Musique]
01:01:10 [Musique]
01:01:20 [Musique]
01:01:30 [Musique]
01:01:40 [Musique]
01:01:50 [Musique]
01:02:00 [Musique]
01:02:10 [Musique]
01:02:20 [Musique]
01:02:28 Hard talk, hard talk.
01:02:30 [Musique]
01:02:38 Je vais nous retourner au studio en ce moment-ci
01:02:41 et nous allons continuer avec nous
01:02:43 le hard talk avec Joana Béranger du MMM,
01:02:47 Nandoukouma Bouda du Rassemblement Ruissin
01:02:50 et le docteur Robin Brullel du poste en Vaïsse.
01:02:53 Joana Béranger est récemment,
01:02:55 au cours d'une semaine,
01:02:56 nous fait une gangue d'incidents,
01:02:57 notamment un dans la circonscription numéro 4
01:03:01 en montant le vent plus récemment
01:03:03 et l'autre dans la circonscription numéro 17
01:03:05 à Sité Malheb, si je ne me trompe pas.
01:03:07 Et dans les deux cas,
01:03:09 trois ministres financiers impliqués
01:03:12 et deux ministres financiers impliqués,
01:03:14 notamment le ministre John Gaw à Montagnon
01:03:17 et le ministre Brigadou à Sité Malheb
01:03:19 et les deux ministres financiers impliqués
01:03:22 tiennent également le député de nous.
01:03:24 Et qui est-ce qui a offert ou décevant l'incident?
01:03:27 D'après vous, c'est un incident isolé
01:03:29 ou bien un indicatif d'une chose en ce moment-ci?
01:03:32 Une vase qui peut déborder.
01:03:33 Pour moi, c'est une vase qui peut déborder.
01:03:35 Elle peut être une grosse chose à l'intérieur
01:03:39 et elle peut être bien causée.
01:03:41 Et je préfère qu'on l'ait comme ça
01:03:44 parce qu'il est plus simple
01:03:46 qu'il y ait une révolution,
01:03:48 qu'il y ait de la violence dans ce pays-là.
01:03:50 Au moins, on peut l'exprimer.
01:03:52 Et je trouve ça vraiment déplorable
01:03:54 quand on connaît cette version.
01:03:56 On peut dire qu'ils n'ont pas fait d'incident
01:03:58 ou quoi que ce soit.
01:04:00 C'est cette version qui me déplaît.
01:04:02 Et si c'est vrai, je trouve ça déplorable
01:04:04 parce qu'ils mettent un charge rouge et vagabond
01:04:06 dans eux quand on connaît que c'est une loi
01:04:08 qui peut servir les peuples coloniaux.
01:04:10 C'est complètement enrayé.
01:04:12 Et on n'est pas capable,
01:04:14 en plus, d'exprimer ça.
01:04:17 Il y a un symbole dans lequel le pays ne peut pas vivre.
01:04:22 On n'est pas capable d'exprimer nous
01:04:24 en toute tranquillité.
01:04:26 Et le premier incident, je crois,
01:04:28 c'était avec le ministre Diolojonga.
01:04:30 Le deuxième, c'était avec le ministre Obigadou.
01:04:32 Et si je ne me trompe pas, c'était après le budget.
01:04:33 Donc même avec ce budget-là,
01:04:35 quand ils essaient de passer un sirop avec les peuples,
01:04:38 même ça, ça ne peut pas marcher.
01:04:40 Ils ont besoin de dire ce qu'ils ont dans leurs clés.
01:04:42 Et ça, le ministre Obigadou,
01:04:45 j'ai l'impression,
01:04:47 il n'est pas capable de redescendre au terrain.
01:04:50 Il y a une danger pour lui
01:04:51 parce qu'il fait que les peuples souffrent.
01:04:53 Il fait que la maison des gens creuse,
01:04:56 la maison de l'eau, en plein confinement,
01:04:58 en plein hiver.
01:05:00 Il n'y a pas de partie pour les gens.
01:05:02 Là, il peut tirer la terre avec son centre culturel.
01:05:06 Il y a un bilan catastrophique.
01:05:08 Il promet 12 000 logements,
01:05:10 ça en vaut 8 000 logements.
01:05:12 Un budget de 12 milliards,
01:05:13 ça en vaut plus de 20 milliards.
01:05:15 Il y a un bilan catastrophique.
01:05:17 Et mon sagré, je vous le dis,
01:05:19 c'est qu'il est sorti de lui-même
01:05:21 parce qu'il est complètement éloigné
01:05:23 de sa valeur militante.
01:05:25 Parce qu'avec son soutien,
01:05:26 avec son complicité,
01:05:27 ce gouvernement-là peut faire réculer le pays.
01:05:29 - M. Bédard, vous vous rendez compte de cela?
01:05:32 - Je me rejoins à ce que Johanna peut dire.
01:05:35 On se rappelle dans les années 82.
01:05:37 Il y a eu un incident en 82.
01:05:40 Mais je pensais qu'il y avait un climat de peur,
01:05:45 de répression.
01:05:46 Mais en dépit de ça, il y a eu des manifestants.
01:05:49 Ça veut dire qu'il voit même sa gouvernement-là impopulaire.
01:05:52 - M. Bédard?
01:05:54 - Je me suis rendu compte avec ce qu'a dit Johanna.
01:05:57 Je vais vous le dire.
01:05:59 Vous savez, moi, ça a l'effet brûlant.
01:06:02 Et quand un gouvernement croit qu'il est capable,
01:06:08 parce qu'il y a la tyrannie du nombre,
01:06:11 qu'il est capable d'être un tyran,
01:06:13 il fait dominer, c'est inacceptable.
01:06:16 Nous finit tout par l'arrestation arbitraire.
01:06:19 Nous finit tout le non-respect des institutions.
01:06:23 Et nous nous inquiétons parce que,
01:06:25 quand nous considérons notre pouvoir,
01:06:26 tel est la nouvelle cause du pouvoir du président,
01:06:29 le commissariat de police,
01:06:31 et nous comptons qu'heureusement,
01:06:32 le judiciaire reste le dernier rempart.
01:06:35 Mais il y a aussi une culture de retenue
01:06:38 de la part de tout un chacun.
01:06:40 Mais pour qu'il s'accapable d'arriver,
01:06:42 le respect faisait mutuel.
01:06:44 Et ça a commencé malheureusement
01:06:49 par sa perception en réalité.
01:06:51 Regardez ça par exemple, ça.
01:06:52 Ça s'appelle "striking team".
01:06:54 Le rôle de l'ICAC,
01:06:57 qui disposait quand même à Carantebo,
01:06:59 bien sûr sous les provisions de la loi
01:07:01 "Prevention of Corruption Act",
01:07:06 mais il ne pouvait pas faire ce qu'il faisait.
01:07:08 Et en attendant,
01:07:10 là, il n'y a aucune raison
01:07:13 pour déloger le "Van Council"
01:07:16 et le "Speaking Union" qui est là,
01:07:19 dans le triangle de rééductions.
01:07:22 Et tout ça, on peut le faire au nom du mercantilisme.
01:07:26 Et ça, c'est grave.
01:07:28 On peut donner l'argent
01:07:31 à un poids démesuré,
01:07:33 et littéralement, on va dire qu'on va acheter tout le monde.
01:07:36 Parce que pour l'argent, tout est perdu.
01:07:39 Et à l'époque,
01:07:41 Jean-Henri mentionne
01:07:43 le bâtiment,
01:07:46 Emmanuel Antille.
01:07:48 Nous trouvons l'amiante capable de tirer ça.
01:07:50 On ne peut pas tirer l'amiante.
01:07:52 Il y a une politique, une société, un logement.
01:07:54 On peut croiser les logements sociaux.
01:07:56 On connaît tous les logements sociaux.
01:07:58 Là, on a l'amiante.
01:08:00 Et il faut tirer, donc qui peut le faire ?
01:08:02 Et là, l'agenda, c'est lâché.
01:08:04 Au nom du mercantilisme.
01:08:08 Et quand je suis un camarade d'architecte,
01:08:11 je sais que, littéralement,
01:08:13 sans le dire,
01:08:15 l'agenda est révélé.
01:08:17 Alors, on ne peut pas diriger un pays
01:08:19 en provoquant
01:08:21 et en faisant, comment dire,
01:08:23 qu'il propriétait un pays pour être
01:08:25 le locataire de l'hôtel du gouvernement.
01:08:27 Il y a un office,
01:08:29 mais seulement s'il y a une force,
01:08:31 on peut abuser de sa force, de son pouvoir.
01:08:33 Pour pouvoir l'apporter.
01:08:35 - Je peux dire une chose ?
01:08:37 Si Patient Amman Radio Libre,
01:08:39 le groupe de 10 personnes,
01:08:41 exprime tous les matins dans toutes les émissions,
01:08:43 c'est une situation extrêmement grave.
01:08:45 Là, en fait, c'est...
01:08:47 - Je me suis fait offenser en attendant
01:08:49 qu'ils aient le droit de vote.
01:08:51 Mais là encore, ils finissent par leur envoyer
01:08:53 des élections municipales.
01:08:55 Et puis, je suis content aussi
01:08:57 de dire justement que c'est sa tentative
01:08:59 tout le temps de dire qu'il y a un pays là pour nous.
01:09:01 La cuisine qu'il va diriger.
01:09:03 Et puis, il prend un schéma, ça.
01:09:05 Il prend l'ATGouvernement,
01:09:07 il prend le State Bank d'EBM,
01:09:09 il fait un bâtiment,
01:09:11 il loue ça avec le gouvernement.
01:09:13 - C'est sur le gouvernement.
01:09:15 - Oui. Mais c'est pas possible.
01:09:17 - Mais il ne commence pas à Sainte-Troise même.
01:09:19 Vous êtes même qui commence
01:09:21 à Sainte-Troise, là, non ?
01:09:23 - Sainte-Troise, c'est une autre affaire.
01:09:25 Moi, je vais plutôt pas te mentionner.
01:09:27 - Vous n'êtes pas supplé de louer le Banque du Roi
01:09:29 avec le Banque du Ministère ?
01:09:31 - Ah, un moment.
01:09:33 - Oui ? - Oui.
01:09:35 - Mon question, c'est...
01:09:37 Je me pose d'abord
01:09:39 à M. Baudin.
01:09:41 M. Baudin, vous ne faites aucun secret
01:09:43 de votre ambition
01:09:45 première ministérielle, qui est tout à fait légitime.
01:09:47 Et là,
01:09:49 je me pose devant vous,
01:09:51 dans la configuration politique actuelle
01:09:53 que l'on est en train de se lancer,
01:09:55 est-ce que vous pensez que votre ambition est réaliste ?
01:09:57 - Vous savez,
01:09:59 c'est, premièrement,
01:10:01 moi, quand je suis sorti,
01:10:03 je suis sorti pour une raison
01:10:05 très simple.
01:10:07 C'est que ça donne
01:10:09 au pays, au peuple,
01:10:11 une possibilité
01:10:13 qui nous termine sa cible politique
01:10:15 de 50 ans, là,
01:10:17 et qui nous permet
01:10:19 de mettre une nouvelle constitution,
01:10:21 mettre une nouvelle
01:10:23 architecture, et après,
01:10:25 tout, tout, nous tous,
01:10:27 Namin Ramgoulam,
01:10:29 Paul Béranger, Orvin Boulel,
01:10:31 moi-même, Xavier Duval,
01:10:33 nous tous, m'auriez piqué, nous faire
01:10:35 mettre la tête ensemble. Nous venons avec un
01:10:37 projet. Et,
01:10:39 je peux vous dire comme ça, maintenant,
01:10:41 nous mettons ça en place, nous faisons ce gouvernement-là,
01:10:43 allez, et nous
01:10:45 dirons
01:10:47 une nouvelle génération de leaders émergent.
01:10:49 Moi, mon
01:10:51 objectif est encore pareil.
01:10:53 Moi, je veux toujours faire
01:10:55 la même chose. Moi, je crée
01:10:57 le parti, moi, je travaille avec
01:10:59 Paul Béranger, moi, je travaille avec Xavier Duval,
01:11:01 moi, je viens travailler avec
01:11:03 l'opposition dans le Parlement.
01:11:05 Moi, l'objectif est toujours pareil.
01:11:07 La question principale
01:11:09 pour nous, là, c'est, nous, nous devons dire qu'il y a
01:11:11 l'opposition divisée.
01:11:13 Moi, je pense, moi, qu'il y a
01:11:15 effectivement, il y en a plusieurs courants,
01:11:17 mais nous devons
01:11:19 toujours croire que nous sommes capables
01:11:21 de rassembler tout ce qu'il nous faut
01:11:23 autour d'un projet de société.
01:11:25 Ce n'est pas une question
01:11:27 des hommes, c'est une question
01:11:29 du travail qu'il nous faut faire.
01:11:31 Moi, je connais nos affaires aussi.
01:11:33 Nous devons avoir 10 personnes qui sont
01:11:35 à la tête du pays pour faire ce travail-là.
01:11:37 10 des boulons
01:11:39 pour avoir une journée pour moi,
01:11:41 ce n'est pas un programme.
01:11:43 C'est pour ça que je dis que moi,
01:11:45 j'ai ma volonté, j'ai envie de faire ça.
01:11:47 Je sais qu'il y a des camarades qui viennent,
01:11:49 je sais qu'il y a la volonté, la détermination.
01:11:51 Moi, je dis que je suis content d'avoir
01:11:53 un Premier ministre pour ça. J'ai ma volonté,
01:11:55 j'ai ma détermination
01:11:57 pour faire ce qu'il nous faut dire.
01:11:59 Là, ce programme-là, il vient d'un programme
01:12:01 quand il vient d'un pacte avec les Peps,
01:12:03 parce que c'est les Peps qui demandent ça.
01:12:05 Ne pas autrement que nous dire que nous,
01:12:07 nous, nous changeons de gouvernement,
01:12:09 nous, on a un nouveau gouvernement, nous, on a un nouveau ministre.
01:12:11 Non, ce n'est pas ça qu'il nous faut dire.
01:12:13 Ce n'est pas ça non plus qui fait
01:12:15 que nous devons aller.
01:12:17 Nous avons d'autres affaires fondamentales.
01:12:19 Pour moi, c'est un système qu'il nous faut changer.
01:12:21 Et moi, mon ambition, c'est ça.
01:12:23 Je me mets à la disposition du pays,
01:12:25 je me mets à la disposition
01:12:27 de tous les Mauriciens, tous les patriotes.
01:12:29 Je me mets aussi à la disposition
01:12:31 de tous les partis politiques pour qu'ils trouvent
01:12:33 une solution pour ne pas faire ça.
01:12:35 Moi, je veux faire ça.
01:12:37 C'est pour ça que je me dis que je veux venir
01:12:39 pour un ministre pour faire ça,
01:12:41 parce que c'est ça qui me drive.
01:12:43 Maintenant, c'est réaliste ou pas, ça dépend de l'échiquier.
01:12:45 Nous, nous pensons que l'échiquier politique
01:12:47 nous a changé beaucoup.
01:12:49 Vous pouvez nous suivre ça depuis 1982.
01:12:51 Aujourd'hui, nous avons peut-être même
01:12:53 la moitié de la population
01:12:55 qui perd quelque chose.
01:12:57 Ils perdent un rêve,
01:12:59 ils perdent une mission,
01:13:01 ils perdent quelque chose qui résonne dans leur cœur
01:13:03 et qui résonne dans leur esprit
01:13:05 par rapport à l'avenir.
01:13:07 Nous finissons en 1982,
01:13:09 nous finissons en 2014.
01:13:11 Je pense qu'il ne nous a pas créé une vague.
01:13:13 Existez-moi pour amener ce changement fondamental.
01:13:15 Une vague, est-ce que vous pensez en compagnie
01:13:17 des autres partis d'opposition?
01:13:19 Je me mets à la disposition de tous les partis politiques
01:13:21 pour ne pas créer ça à la force.
01:13:23 M. Boulard, vous connaissez,
01:13:25 puisque moi d'ailleurs, je suis pourquoi aspiré
01:13:27 pour être Premier ministre du pays,
01:13:29 vous avez nécessairement l'appui
01:13:31 de 30 députés, vous avez 30 vies à nous-mêmes.
01:13:33 Est-ce que vous pensez pouvoir rallier
01:13:35 30 députés d'ailleurs pour éventuellement
01:13:37 justement, est-ce que vous avez un clé pour la part de ce chef?
01:13:39 Je pense qu'il est capable de créer
01:13:41 une dynamique, une force,
01:13:43 une plateforme pour qu'il y ait
01:13:45 une majorité de députés.
01:13:47 Parce que ce qu'il nous faut, c'est le leadership,
01:13:49 le programme
01:13:51 et la confiance
01:13:53 de la population.
01:13:55 Moi, je veux dire que je veux le faire.
01:13:57 Nous pouvons amener l'équipe
01:13:59 et là, je veux dire que je suis d'accord
01:14:01 avec tout le monde des partis d'opposition pour nous
01:14:03 pouvoir faire quelque chose de ce genre.
01:14:05 Et je veux justement
01:14:07 qu'il y ait un nouveau équipe là.
01:14:09 Il faut un nouveau équipe.
01:14:11 Il faut un nouveau rêve. Il faut une nouvelle dynamique.
01:14:13 Il faut un nouveau
01:14:15 la force pour changer ce qui nous
01:14:17 nous est arrivé aujourd'hui. Parce que
01:14:19 nous arrivons, nous allons le rendre.
01:14:21 C'est la fin d'un cycle politique, économique,
01:14:23 moral,
01:14:25 constitutionnel. C'est
01:14:27 la fin d'un cycle. Et nous ne devons pas
01:14:29 négocier ça. - Qui aurait pu dire
01:14:31 qu'en fait, ce qu'il faut faire
01:14:33 ou action, il peut
01:14:35 davantage diviser les forces
01:14:37 de l'opposition et il peut faire
01:14:39 l'affaire du gouvernement. Donc,
01:14:41 en se divisant comme ça, comme un ETT,
01:14:43 fragmenté comme un ETT au niveau de l'opposition,
01:14:45 il ne peut faire que
01:14:47 l'affaire du gouvernement et qui peut-être
01:14:49 le gouvernement peut bien revenir aux affaires.
01:14:51 - Parce que l'opposition va périsser, mais qui est d'accord.
01:14:53 - D'accord. Premièrement, la dernière
01:14:55 élection, camarades,
01:14:57 ils sont d'accord, le MSM
01:14:59 finit gagnant à peu près 10 sièges avec
01:15:01 3-4 mille voix. Parce que les écarts
01:15:03 étaient tellement minces.
01:15:05 Moi, je crois qu'aux prochaines élections,
01:15:07 les peuples peuvent choisir
01:15:09 les compétences. - D'accord.
01:15:11 - Ça ne veut pas dire que le MSM
01:15:13 vienne et met
01:15:15 3-10 personnes partout et 10 personnes
01:15:17 pour moi, pas forcément. Si nous
01:15:19 voulons avoir un leadership, un programme,
01:15:21 mais surtout un serment
01:15:23 qui nous permet de faire un programme. Par exemple,
01:15:25 dire que nous allons baisser le nombre de ministres,
01:15:27 nous allons pénétrer dans le PPS,
01:15:29 nous allons faire une activité économique
01:15:31 qui va vraiment faire
01:15:33 nous honneur, qui va faire une jeune
01:15:35 génération, qui va faire
01:15:37 notre pays un modèle de démocratie,
01:15:39 un modèle des institutions.
01:15:41 Moi, je crois que 10 personnes pour voter,
01:15:43 10 personnes pour voter la compétence
01:15:45 et la qualité. - On va vous poser
01:15:47 une question en ce moment-ci et ensuite,
01:15:49 on a un nouveau pose avec Octavio Boulayre et ensuite,
01:15:51 avec Joël Rancière. Il ne fallait pas que vous croyez qu'il nous vienne
01:15:53 avec une question pour vous. Oui,
01:15:55 passe-moi l'appel.
01:15:57 Allô? - Allô, oui.
01:15:59 - Oui, monsieur.
01:16:01 Vous écoutez-moi.
01:16:03 - Allô? - Oui, je vous écoute.
01:16:05 - Sir Charlie St-Vanthing?
01:16:07 - Oui.
01:16:09 - Oui, bonjour. Vous me passez mon appel.
01:16:11 C'est monsieur Raja Garnat. - Oui, monsieur Garnat.
01:16:15 - Pour d'abord, je vous félicite pour
01:16:17 votre nouveau job, un job qui vous donne
01:16:19 beaucoup de courage. - Merci.
01:16:21 - Je vous souhaite de bonnes chances. - Merci.
01:16:23 - Et je vais vous parler un peu de votre dévolé,
01:16:25 un dévolé politique et un dévolé de budget.
01:16:27 Je vais vous parler un peu vite. - D'accord. S'il vous plaît.
01:16:29 - Tout d'abord, je vous félicite, madame
01:16:31 Joël Rancière, qui me trouve à Ficherie.
01:16:33 C'est vraiment vraiment le meilleur pays.
01:16:35 - Merci beaucoup. - Je vous le dis pareil.
01:16:37 Mais n'oubliez pas, je dis franchement,
01:16:39 je fais critique X, X, X. N'oubliez pas,
01:16:41 parce que tous ceux qui ont fait ça,
01:16:43 je vous le dis, ils ont fait
01:16:45 beaucoup. Ils ont fait beaucoup.
01:16:47 L'étudiant de gouvernement, en 2014,
01:16:49 pour une scala, là, récemment, scala 2020,
01:16:51 hein, vous imaginez
01:16:53 quand l'étudiant de gouvernement,
01:16:55 qui n'est capable de faire?
01:16:57 Ils ont fait beaucoup.
01:16:59 Et les choses qui ont été faites, je vous le dis,
01:17:01 quand Ndeboda
01:17:03 a démenti par 5000,
01:17:05 madame Joël Rancière qui démenti là-bas, là-là-là,
01:17:07 dans l'élection de 2019,
01:17:09 mais Ndeboda a trouvé
01:17:11 que Ndeboda c'était une poêle. Je vous le dis franchement,
01:17:13 c'est comme ça, hein. Parce que si vous regardez
01:17:15 dans les monnaies intelligentes, vous savez qui les fait,
01:17:17 qui les fait, vous croyez? L'étudiant de poste,
01:17:19 ministre des Affaires étrangères, voilà ce que c'est.
01:17:21 Là aussi, il n'a pas fait bien
01:17:23 dans le COVID-19, quand il a
01:17:25 expatrié beaucoup de gens. Beaucoup de gens
01:17:27 ne finissent pas ce mésère. OK?
01:17:29 Ça, mon point de vue, je vous le dis,
01:17:31 il avait une prétence sur le verre de l'île Maurice.
01:17:33 Pas lui, ça. Moi, je ne l'ai pas dit, ça.
01:17:35 Sur le verre de l'île Maurice, pour le moment,
01:17:37 il n'y a pas eu de réaction.
01:17:39 Et, de notre occasion, M. Bouda,
01:17:41 répondez-nous, parce qu'il vous fait une grosse
01:17:43 poulie, donc laissez-le répondre à vous.
01:17:45 Très bien, je connais
01:17:47 M. Raja
01:17:49 Agunath bien.
01:17:51 Djagona. Djagona, bien.
01:17:53 Je le connais bien.
01:17:55 Je comprends cette
01:17:57 explication.
01:17:59 Je suis en train de parler comme ministre de 2014-2021,
01:18:01 je suis en train de faire un paquet,
01:18:03 je dépense environ 20 milliards de roublis,
01:18:05 que Johanna a gagné
01:18:07 une belle victoire dans la séquence du Mauricel,
01:18:09 je le félicite pour ça.
01:18:11 Ce que je peux dire,
01:18:13 c'est que je ne me suis pas trompé,
01:18:15 et que
01:18:17 les gens ne savent pas
01:18:19 ce qui s'est passé, en fait,
01:18:21 quand je suis devenu ministre des Affaires étrangères,
01:18:23 et dans quelles conditions
01:18:25 je suis devenu ministre des Affaires étrangères.
01:18:27 Bon, ça, nous n'avons pas de cause, ça, une autre fois.
01:18:29 Concernant le rapatriement,
01:18:31 je vais rapatrier 10 000 gens
01:18:33 à un moment où l'aéroport
01:18:35 s'est fermé, tout s'est fermé,
01:18:37 il y a eu un incident concernant les bateaux,
01:18:39 mais ça, je ne sais pas, il n'y a aucun protocole
01:18:41 pour les gens qui sont dans les bateaux,
01:18:43 parce qu'il y a beaucoup de gens qui sont dans le COVID dans les bateaux.
01:18:45 Je vais répondre,
01:18:47 dès le 3ème jour de l'idée
01:18:49 de l'opposition,
01:18:51 je crois que je vais faire ce que je dois faire,
01:18:53 et aujourd'hui, comme je peux le dire,
01:18:55 je vais y aller avec sincérité,
01:18:57 et je vais y aller avec
01:18:59 tout le dévouement que j'ai envers mon pays,
01:19:01 et je vais y aller avec tout mon pouvoir.
01:19:03 Je ne vais pas m'impliquer dans la corruption,
01:19:05 ou dans un scandale,
01:19:07 ou dans les autres banques qui se font,
01:19:09 si je fais un abus, je ne vais pas les défendre.
01:19:11 Moi, je vais y aller.
01:19:13 Je suis le secrétaire général d'un parti pendant 25 ans,
01:19:15 je travaille avec Jean-Henri Roule pendant 40 ans,
01:19:17 je travaille avec 4 premiers ministres,
01:19:19 et je vais apprendre, je vais y aller, je vais observer,
01:19:21 et partout où je suis,
01:19:23 je vais faire mon mieux
01:19:25 dans les circonstances données.
01:19:27 C'est pareil pour moi, pour le camarade
01:19:29 dans le parti travailliste,
01:19:31 dans le gouvernement travailliste,
01:19:33 il fait le meilleur de lui-même
01:19:35 dans les circonstances données.
01:19:37 Parce qu'il ne sait souvent pas dans quelles circonstances
01:19:39 les choses travaillent.
01:19:41 Moi, ce que je peux dire, c'est que je peux mettre mon intégrité
01:19:43 et je peux mettre mon compétence
01:19:45 au service du pays, et c'est le pays qui décide.
01:19:47 D'accord, maintenant, on va quitter
01:19:49 M. Boudap, on va aller avec Dr. Aboulel.
01:19:51 Dr. Aboulel, moi j'ai une question
01:19:53 à ceux,
01:19:55 je dirais que c'est avec vous,
01:19:57 est-ce que vous pouvez nourrir une ambition
01:19:59 premier ministériel comme M. Boudap?
01:20:01 Nous, on va faire politique, mais ce n'est pas ça
01:20:03 l'ultime.
01:20:05 Nous, nous représentons
01:20:07 l'électorat.
01:20:09 L'UN travaille pour faire,
01:20:11 et aujourd'hui, l'électorat
01:20:13 a compris sa tâche.
01:20:15 Nous sommes l'équipe responsable,
01:20:17 nous avons un programme
01:20:19 qui répond à l'attente de l'électorat,
01:20:21 et
01:20:23 tout à l'heure, on a commencé par dire
01:20:25 "transition",
01:20:27 "transformation" et "transmission
01:20:29 des valeurs".
01:20:31 Je dis beaucoup ça.
01:20:33 Et on a eu une longue conversation
01:20:35 avec Dr. Aboulel.
01:20:37 Concernant sa période de transition.
01:20:39 Ce n'est pas
01:20:41 ici que je dois
01:20:43 définir ça.
01:20:45 L'essentiel pour nous, c'est qu'il
01:20:47 doit être l'équipe, et moi,
01:20:49 mon plus grand souhait,
01:20:51 c'est d'avoir un d'arrache-pied
01:20:53 pour ça, et mon confiant
01:20:55 qui
01:20:57 l'Alliance
01:20:59 travaille MMMP
01:21:01 MSD pour conclure.
01:21:03 Parce que ce n'est pas pour conclure
01:21:05 pour l'allocation
01:21:07 des responsabilités, mais pour
01:21:09 nous approprier de ce que
01:21:11 l'électorat a voulu.
01:21:13 Et ce n'est pas nous qui devons dicter les termes,
01:21:15 les conditions. Donc dans ce contexte,
01:21:17 nous, c'est
01:21:19 la chaîne, c'est le maillon,
01:21:21 nous avons tout le maillon
01:21:23 fort là-dedans.
01:21:25 Aujourd'hui, si vous venez dans ce débat-là, nous expliquer
01:21:27 qui l'objectif était.
01:21:29 Nous avons placé l'intérêt du pays avant tout,
01:21:31 nous avons une jeunesse
01:21:33 qui est en plein épanouissement,
01:21:35 parfois un pays en désarroi,
01:21:37 mais il y en a
01:21:39 qui ont l'ambition légitime.
01:21:41 Et
01:21:43 nous avons deux causes. La fin
01:21:45 d'un siècle, c'est vrai.
01:21:47 Que ce soit un nouvel ordre
01:21:49 économique, politique, social,
01:21:51 mais nous devons réinventer
01:21:53 l'île Maurice. Nous devons avoir
01:21:55 une véritable Mauritius incorporated.
01:21:57 Quand nous avons, vous voulez vous parler aujourd'hui,
01:21:59 quand nous avons le changement
01:22:01 démographique, ce n'est pas
01:22:03 68, ça.
01:22:05 Finalement, le changement démographique
01:22:07 est important. Ce n'est pas parce qu'il
01:22:09 va dire que nous avons fait
01:22:11 un census électoral,
01:22:13 mais il est important de nous avoir un système
01:22:15 électoral qui consolide davantage
01:22:17 l'unité
01:22:19 dans ce pays.
01:22:21 Alors, donc,
01:22:23 bien sûr, l'ambition, c'est tout à fait légitime.
01:22:25 Sinon, vous ne pouvez pas croire qu'il y a
01:22:27 la raison d'être de faire politique.
01:22:29 C'est l'ambition démesurée. D'ailleurs, je veux
01:22:31 vous aider avec vos partis.
01:22:33 J'espère que vous n'avez jamais vu un problème qui n'a pas eu lieu.
01:22:35 Comme à l'heure de l'enfant.
01:22:37 Pour moi, je trouve que ce parti
01:22:39 travaille, il se fait réunion avec deux-dix personnes.
01:22:41 En vacances, je vais sortir de Nouvelle-Zélande,
01:22:45 je vais me rassembler avec les leaders du Parti
01:22:47 travaille, avec des-dix personnes.
01:22:49 C'est comme une sorte de
01:22:51 bâtisse. Vous comprenez,
01:22:53 mon camarade Béranger aussi,
01:22:55 les moments difficiles qu'il fait de passer.
01:22:59 Il y a beaucoup de choses, beaucoup de bonnes choses
01:23:03 qu'on apprend de
01:23:05 ces années dernières.
01:23:07 Mais pour nous, le Parti travaille,
01:23:09 que ce soit le docteur Amoulam
01:23:11 et toute l'équipe du Parti travaille,
01:23:13 c'est pas facile.
01:23:15 Un camarade n'est pas un élu
01:23:17 qui s'éteint
01:23:19 la fin d'un carrière.
01:23:21 Il est loin de là.
01:23:23 Nous connaissons la circonstance.
01:23:25 Aujourd'hui, l'élection peut contester.
01:23:27 Est-ce que vous avez un temps frais
01:23:29 qui vous est fixé quand vous serez capable
01:23:31 de prendre le leadership du Parti socialiste?
01:23:33 Est-ce que vous avez une attente?
01:23:35 Parce que vous avez un jour de
01:23:37 anniversaire, même avec un peu de retard.
01:23:39 Mais vous savez qu'il a toujours l'espoir.
01:23:41 Est-ce qu'il y a une chose
01:23:43 ou il y a une chose, une idée,
01:23:45 qu'on pense, que vous apprenez du Parti?
01:23:47 Il y a une chose qui est certaine.
01:23:49 On laisse le choix à l'électorat.
01:23:51 Vous n'avez pas pu répondre à ma question.
01:23:53 Je ne vais pas vous donner une réponse définitive.
01:23:55 Si je me suis arrêté dans le boule cristale,
01:23:57 je dirais oui, mais
01:23:59 cette ambition-là n'est pas démesurée, mais légitime.
01:24:01 C'est vrai.
01:24:03 Donc, mon camarade, que ce soit au sein du Parti,
01:24:05 c'est une période de transition.
01:24:07 La transition,
01:24:09 c'est une période de transition.
01:24:11 C'est une période de transition.
01:24:13 C'est une période de transition.
01:24:15 C'est une période de transition.
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