• l’année dernière
Auxerre est le malheureux vaincu de cette 38e journée. Sa défaite contre Lens condamne la troupe de Christophe Pélissier à la L2. Le coach est très triste et déçu.

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Transcription
00:00 Beaucoup de tristesse et beaucoup de déception.
00:02 Comme je dis dans les vestiaires, voir des joueurs pleurer, c'est jamais évident.
00:07 Comme je leur dis aussi, c'est qu'ils font un métier très difficile.
00:11 Les gens voient que les paillettes de ce métier.
00:17 Mais il y a des hauts et il y a des bas, comme ce soir.
00:19 Il faut être capable d'affronter ces moments-là.
00:25 On a beaucoup de déceptions, mais comme je leur ai dit, ce soir il y avait une possibilité
00:33 bien sûr.
00:34 Mais je crois qu'il y avait une classe d'écart entre les deux équipes.
00:37 Il faut aussi accepter des fois quand l'adversaire est plus fort.
00:42 Je pense qu'on a raté le coche sur les quatre derniers matchs.
00:47 On a raté des petits points par-ci, par-là.
00:49 La Toulouse, la semaine dernière, à la fin du match, on sait qu'on peut aussi gagner.
00:55 Mais c'est plein de petites choses.
00:57 Après, bien sûr qu'on peut analyser.
00:58 On a eu la chance d'arriver jusqu'à là.
01:02 Parce qu'en janvier, février, tout le monde nous voyait cuit.
01:06 On a eu la chance de pouvoir arriver jusqu'à cette finale.
01:09 Malheureusement pour nous, on l'a perdue.
01:10 Je considère que dans un premier temps, je suis venu pour la mission du 20ème, même
01:14 si elle était très difficile.
01:16 La mission, c'est un échec.
01:20 Après, qu'on ait permis au club d'espérer jusqu'à la fin, ça a été le côté positif.
01:29 Après, comme je dis, il faut récupérer.
01:35 On va analyser froidement.
01:36 On se verra avec la direction.
01:39 On verra aussi la suite à prendre.

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