Handicap: un père de famille choqué par le manque de lycées adaptés !
- l’année dernière
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Un témoignage alarmant
La recherche d’un lycée adapté peut s’avérer être un véritable parcours du combattant pour les personnes en situation de handicap. Joël Borowski, père d’une adolescente en fauteuil roulant, en a fait l’expérience récemment. Les lycées qu’il a visités avec sa fille ne sont pas assez adaptés à son handicap, faute d’ascenseurs ou de monte-charges.
Des obstacles récurrents
Le problème d’accessibilité est récurrent dans certaines zones de Paris, notamment avec le métro et certaines stations. Ainsi, il est difficile pour certaines personnes en fauteuil roulant de se déplacer librement. De même, les lycées de la ville sont mal adaptés, en particulier ceux qui disposent d’escaliers à l’intérieur ou d’une entrée avec des marches.
Les difficultés pour inscrire sa fille
Le père de famille se heurte régulièrement à des refus quant à l’inscription de sa fille dans les établissements publics. Certains d’entre eux refusent d’investir dans des travaux d’accessibilité pour accueillir des jeunes en situation de handicap. En conséquence, il doit se tourner vers des lycées privés qui demandent des financements pour assurer une prise en charge adéquate. Cependant, la région refuse de les accorder.
Une exclusion qui se profile
L’impossibilité d’inscrire sa fille dans un établissement adapté peut nuire à sa scolarité et à son rythme de vie. Si elle ne peut pas se rendre à l’école, elle risque de manquer des cours importants, ainsi que de se sentir exclue de son environnement. Par conséquent, les cours à distance ne sont pas une bonne solution pour elle.
Une demande d’actions concrètes
Devant cette situation, Joël Borowski souhaite sensibiliser les autorités et faire entendre sa voix afin d’obtenir des actions concrètes pour davantage d’accessibilité. Les personnes en situation de handicap ont le droit de suivre une scolarité normale et de bénéficier d’un accès équitable à l’éducation. La défense de leur droit à l’éducation nécessite une prise en compte attentive de leurs besoins spécifiques et l’installation de moyens concrets pour y répondre.
Un témoignage alarmant
La recherche d’un lycée adapté peut s’avérer être un véritable parcours du combattant pour les personnes en situation de handicap. Joël Borowski, père d’une adolescente en fauteuil roulant, en a fait l’expérience récemment. Les lycées qu’il a visités avec sa fille ne sont pas assez adaptés à son handicap, faute d’ascenseurs ou de monte-charges.
Des obstacles récurrents
Le problème d’accessibilité est récurrent dans certaines zones de Paris, notamment avec le métro et certaines stations. Ainsi, il est difficile pour certaines personnes en fauteuil roulant de se déplacer librement. De même, les lycées de la ville sont mal adaptés, en particulier ceux qui disposent d’escaliers à l’intérieur ou d’une entrée avec des marches.
Les difficultés pour inscrire sa fille
Le père de famille se heurte régulièrement à des refus quant à l’inscription de sa fille dans les établissements publics. Certains d’entre eux refusent d’investir dans des travaux d’accessibilité pour accueillir des jeunes en situation de handicap. En conséquence, il doit se tourner vers des lycées privés qui demandent des financements pour assurer une prise en charge adéquate. Cependant, la région refuse de les accorder.
Une exclusion qui se profile
L’impossibilité d’inscrire sa fille dans un établissement adapté peut nuire à sa scolarité et à son rythme de vie. Si elle ne peut pas se rendre à l’école, elle risque de manquer des cours importants, ainsi que de se sentir exclue de son environnement. Par conséquent, les cours à distance ne sont pas une bonne solution pour elle.
Une demande d’actions concrètes
Devant cette situation, Joël Borowski souhaite sensibiliser les autorités et faire entendre sa voix afin d’obtenir des actions concrètes pour davantage d’accessibilité. Les personnes en situation de handicap ont le droit de suivre une scolarité normale et de bénéficier d’un accès équitable à l’éducation. La défense de leur droit à l’éducation nécessite une prise en compte attentive de leurs besoins spécifiques et l’installation de moyens concrets pour y répondre.