TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Category
📺
TVTranscription
00:00 C'est le problème de l'intégration.
00:02 Être étranger, quand on adhère, on épouse les valeurs du pays qui vous accueille,
00:07 ne pose aucune difficulté.
00:09 Aujourd'hui, le nombre d'étrangers qui sont arrivés,
00:12 on a un accueil en situation légale, quasiment 500 000 chaque année.
00:17 500 000 chaque année qui se rajoutent.
00:21 Et donc aujourd'hui, on n'a plus la capacité
00:24 à assimiler aux valeurs de la République ces personnes,
00:27 à ce qu'elles puissent toutes travailler.
00:28 Il y a 500 000 étrangers au chômage.
00:30 À ce qu'elles puissent connaître la langue de la République.
00:33 Et puis, il y a des problèmes de communautarisme, on l'a vu,
00:37 qui sont liés à cette immigration de masse.
00:40 Il y a des problèmes de délinquance.
00:42 Ce n'est pas moi qui le dis, c'est le ministre de l'Intérieur,
00:44 puisqu'il a été, je le dis presque courageusement,
00:47 le premier à faire ce lien.
00:49 Il n'a pas fait grand-chose pour corriger,
00:52 mais à dire qu'il y a un lien entre délinquance et immigration.
00:56 24 % des détenus en prison aujourd'hui sont des étrangers.
01:00 Vous avez cité le chiffre, à peu près 7 % de la population.
01:04 – 10 % ?
01:06 – Alors, sur les étrangers, vous parliez des immigrés,
01:08 sur les étrangers, c'est presque 8, 3 millions, 5 millions.
01:14 Il y en a 24 %, donc trois fois plus proportionnellement en prison.
01:18 Donc il y a ce lien.
01:19 90 % des vols à la tire dans les transports parisiens
01:23 sont commis par des étrangers.
01:25 Donc il y a un sujet, il faut qu'on intègre mieux ceux qui sont ici,
01:30 il faut que ceux qui n'ont pas le droit d'y être repartent chez eux
01:34 et il faut qu'on arrête que notre pays accueille trop d'étrangers.
01:38 J'étais hier au Danemark, le Danemark a envoyé un message très clair
01:42 en disant "on ne peut pas accueillir certaines personnes
01:46 et donc ils ne seront pas bien accueillis ici".
01:49 Et du coup, ils vont ailleurs.
01:50 Ce message de dissuasion comportait les Danois
01:54 au-delà des mesures qui sont en application.
01:56 Ils ont lancé un message, ce message a été entendu.
01:59 Nous, en gros, on dit "c'est open bar,
02:01 vous avez les prestations sociales dès le premier jour,
02:04 les allocations familiales, vous avez une multitude d'aides,
02:08 l'aide médicale d'État, vous avez le droit aujourd'hui
02:12 de venir vous soigner en France parce que dans votre pays,
02:15 il n'y a pas le même niveau de soins".
02:17 Tout ça, c'est une forme de naïveté.
02:19 Les Français ne l'acceptent plus
02:21 et ça nuit à la cohésion de notre pays.
02:25 – Gilles, moi ce que j'aime bien, M. Sciotti,
02:26 c'est que vous n'êtes pas langue de bois.
02:27 Et là, vous l'êtes moins que jamais,
02:29 c'est-à-dire que là, vous faites directement,
02:30 explicitement le lien entre immigration et délinquance.
02:34 – Ce n'est pas moi, ce sont les statistiques.
02:35 – Non, mais vous dites sur le plateau, s'il y avait moins d'immigrés,
02:38 aujourd'hui, il y aurait moins d'insécurité
02:40 ou de sentiments d'insécurité en France.
02:42 – Moins d'insécurité.
02:44 – Directement, vous dites ça, c'est-à-dire que les immigrés
02:45 sont responsables de l'insécurité majoritairement en France.
02:48 – En tout cas, ce n'est pas moi qui l'ai dit, je le souligne.
02:51 – Là, c'est vous.
02:52 – Mais je le confirme, le préfet de police de Paris,
02:55 l'ancien préfet de police, le ministre de l'Intérieur,
02:58 M. Darmanin, on n'est pas dans la même famille politique,
03:01 il part sur les bases du service statistique du ministère de l'Intérieur.
03:06 Donc, il dit, oui, on y était, mais on n'y est plus.
03:10 50% des actes de délinquance commis à Paris, à Lyon, à Marseille,
03:16 donc dans les grandes villes, sont aujourd'hui du fait d'étrangers.
03:19 C'est une statistique, après chacun y trouve son interprétation.
03:23 Mais pourquoi ?
03:24 Parce qu'aujourd'hui, très clairement, notre pays n'a plus la capacité
03:28 à accueillir autant d'étrangers, parce qu'elle n'a plus la capacité
03:32 à les intégrer comme il conviendrait.
03:34 – Et tous les immigrés qui travaillent dans la restauration,
03:37 dans des tas de secteurs qui, sans eux, ne fonctionneraient plus aujourd'hui,
03:39 Monsieur Chautier ?
03:40 C'est vrai que ça, c'est une vraie question.
03:43 – Moi, je suis plus favorable à l'immigration de travail
03:46 qu'à l'immigration familiale ou, quelquefois aussi,
03:52 au dévoiement du droit d'asile, qui permet de faire rentrer aujourd'hui,
03:57 chaque année, 130 000 personnes, dont environ 80 000 sont des faux demandeurs d'asile.
04:03 – Ça veut dire que vous ne voulez pas de regroupement familial, alors ?
04:06 – Je veux limiter le regroupement familial.
04:08 Nous, ce que nous proposons, ce sont des plafonds maximums,
04:11 qui est une forme de quota.
04:13 Aujourd'hui, l'année dernière, on a donné 330 000 titres de séjour en France.
04:19 Nous disons, il ne faut pas dépasser, je prends un exemple,
04:22 ce n'est pas un chiffre qui a arrêté, mais on ferait voter chaque année,
04:26 par le Parlement, un plafond, en disant, cette année,
04:29 on ne dépasse pas les 75 000.
04:31 Et là-dedans, il y en a 15 000 pour le regroupement familial,
04:35 il y a 40 000 étudiants, il y en a 30 000 qui viennent travailler,
04:38 enfin, je n'ai pas le compte, je ne sais pas s'il est exact.
04:40 Voilà, et donc, ceux qui arrivent au-delà du seuil, ils attendent l'année d'après.
04:46 Mais le regroupement familial, aujourd'hui, il est automatique.
04:49 Il est automatique parce qu'on doit subir la règle
04:53 qui nous est imposée par un article d'une convention internationale.
04:58 Et d'ailleurs, dans notre proposition de loi, nous disons,
05:01 si les Français le décident, aucune norme internationale
05:05 ne pourra être supérieure à la volonté du peuple.
05:08 – Pour vous, la loi immigration, il y a une urgence à la faire pour vous ?
05:12 – Bien sûr, parce que la situation, elle est grave.
05:15 On voit bien que tous les chiffres se dégradent.
05:18 Jamais, nous n'avons accueilli autant d'étrangers dans notre pays,
05:21 jamais autant.
05:23 Chaque année, c'est l'équivalent d'une très grande ville.
05:26 – Mais est-ce que c'est pour s'exprimer de certains talents ?
05:30 – Oui, mais on les choisit.
05:31 – Comment ? – On les choisit.
05:33 – C'est ça que je voulais dire.
05:34 – Comment on fait pour choisir un bon immigré qui quitte son pays
05:36 parce qu'il y a la famille et qui arrive en France,
05:38 qui va travailler, à un mauvais immigré qui quitte son pays,
05:41 qui va profiter des aides, qui va foutre le bordel ici ?
05:43 Comment on le différencie quand il est sur le bateau en pleine mer ?
05:45 Comment on sait lequel est le bon, lequel est le mauvais ?
05:47 Quel on garde, lequel on devire ?
05:49 – Le bateau, ce n'est pas le bon vecteur.
05:52 Ce n'est pas le bon vecteur pour arriver.
05:54 Si on veut arriver, on va faire une demande de visa
05:56 dans un consulat à l'étranger.
05:59 Il y a des cartes qui s'appellent "talents et compétences",
06:02 notamment pour accueillir des professionnels de santé, il y en a.
06:06 Donc moi je dis, je préfère une immigration de travail, mais légale.
06:09 Vous parliez tout à l'heure dans les restaurants,
06:11 je pense que c'est un peu le projet de M. Darmanin,
06:13 c'est pour ça qu'on est contre.
06:14 Il veut régulariser ceux qui travaillent au noir,
06:17 ceux qui sont des clandestins.
06:19 Ça, je m'y refuse parce que si on commence à régulariser,
06:23 comme c'est fait aujourd'hui,
06:24 il y a 30 000 clandestins environ chaque année qui sont régularisés.
06:27 Ça veut dire quoi ? On lance un message à tous ceux qui veulent venir
06:31 et qui vont se dire, une fois qu'on a mis un pied en France,
06:33 en Europe, puis en France, on est régularisés.
06:36 Ça, ça ne marche pas.
06:37 [Musique]